Combat débutant. Yann humilié. Les organisateurs annoncent le dernier combat de le soirée.. Ce sera un combat mixte. Il va opposé Aurélie, une métis de dix huit ans, un mètre soixante quinze pour soixante kilos., très belle. Elle est vêtue d'un short blanc, très moulant, et d'un blouson rouge à fermeture éclair. Apparemment sans soutien-gorge. Elle est chaussée de baskets blanches. L'adversaire s'appelle Yann, bel athlète de dix huit ans lui aussi. Un mètre quatre vingt deux, quatre vingt cinq kilos. Il est vêtu d'un short de boxeur blanc très ample. En haut, il est torse nu. C'est un combat ou tous les coups sont permis. Tout les combats de la soirée ont opposés que des filles. Ils ont tous étaient d'un grande Qualité pour des débutants, tous âgés de dix huit à vingt ans. On espère que ce dernier combat ne va pas décevoir. Les deux jeunes combattants sont dans la cage, prêt. L'arbitre donne le signal. Les deux adversaires s'observent. Yann saute sur place pour s'échauffer, incline sa tête d'un côté à l'autre. Aurélie est très concentrée, très vigilante. Elle a remarqué ce qui saute dans le short flottant de Yann. Il n'a pas de slip. Yann fonce sur Aurélie et lui met un coup d'épaule, qui la fait vaciller. Elle se retrouve assise au sol, ce qui fait ricaner Yann. Aurélie se relève sans dire un mot. Fort de sa surprise, Yann repart à l'attaque. Mais la surprise n'y est plus. Elle est prête. Elle évite l'assaut de Yann, lui passe un bras sous l'épaule, lui crohette un pied et le fait passer par dessus sa tête. Yann fini sa course contre le grillage. Il se relève avec un sourire en coin. -De la résistance? Intéressant, dit-il. J'aime pas les combats trop facile. Je sens qu'on va passer un bon moment. Il revient au centre de la cage. Aurélie, toujours méfiante, se déplace en tournant autour de lui. Pour la première fois, Aurélie tente une attaque assez vive, mais Yann évite facilement, trop facilement. Voulait-elle le tester, lui donner confiance. Toujours est-il que Yann fonce immédiatement sur Aurélie. Ils sont au corps à corps, Yann essayant de faire jouer sa plus grande taille. Ils tombent à genoux, se maîtrisant mutuellement. Dans le feu de l'action, la fermeture éclair du blouson d'Aurélie est descendue, laissant entrevoir les seins prêt à jaillir sur le ring. -Hum, que c'est beau, remarque Yann. Je sens que je vais bien me régaler tout à l'heure. Tu vas voir comme je vais te baiser, comme tu vas jouir. Tu en redemanderas. Dans un sursaut, Aurélie arrive à se libérer. Les revoilà face à face au milieu du ring. Air s'avance la première. C'est rare. Aurait-elle trouvé une faille. Elle tourne autour de son adversaire. Il là suit des yeux, se demandant comment il allait la surprendre. D'un coup, il se jette sur elle. Le choc est terrible. Emportés par leur élan, les deux lutteurs tombent au sol assez lourdement.. Yann se retrouve sur le dos, tandis q'Aurélie, en tombant se trouve sur le côté droit de Yann, lui bloquant son bras droit sous son corps. Aurélie se retrouve avec ses deux mains libres de tout mouvements. Yann n'en a qu'une. Il est assez mal placé. Dans la salle, on retient son souffle. Les spectateurs sont friands de combats mixte. Surtout les femmes, majoritaires, qui savent que, neuf fois sur dix, c'est la fille qui va gagner. Ce sont elles qui encouragent le plus. Et qu'un spectateur mâle s'amuse pas à insulter la fille sur le ring, sous peine de se faire prendre par les couilles. Une fois, un colosse en à fait expérience. Après une injure, il a été pris à partie par ses deux voisines. Les deux femmes l'on mis tout nu, et l'on allongé sur leurs cuisses. L'une lui serrait les couilles, l'autre lui grattait le gland avec ses ongles après avoir décalotté. L'homme hurlait, pleurait comme un gosse. Il suppliait les femmes de le lâcher, qu'il retirait ce qu'il avait dit. Tout d'un coup, un cri terrible, un hurlement surhumain traverse la salle. AIeaieaieaiiiiiiiaeiaaaaaaeiaieaieiiiiiiieieiaaaaaaaaaaaaaiiiii. Les spectateurs sont horrifiés par un tel cri. Aurélie a passé sa main dans le short de Yann par l'entrejambe, et lui a saisit les couilles qu'elle serre violemment. Yann, de douleur, soulève son corps à plusieurs reprises, entraînant Aurélie avec lui. Mais ses couilles sont prises, et bien prises. Il pleure, cri de douleur. Aieaieaieaieiaeiiiiiiiieieieaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeee. Aurélie vient de serrer une seconde fois, aussi violemment. -Chut, chut, calme toi, dit Aurélie. Tu ne peux plus rien faire.N' aggrave pas la situation, je vais te faire mal. Yann est a demi inconscient. Aurélie a complètement sorti les couilles et la queue en dehors du short. Apparemment il y a du dégât. Ses couilles ont presque doublées de volume et son toute rouge. -Tu voulais pas me baiser, poursuit Aurélie. C'est pas toi qui va profiter de mon corps ce soir. Dommage, tu est bien monté. Tu veux pas que je quitte ton short? Tu serais plus à l'aise. Hé, tu réponds? Dans son état, Yann ne peut acquiescer d(un hochement de tête. Aurélie lui lâche le sexe, se relève et lui quitte le short. Yann écarte ses jambes pour dégager ses couilles. Un spectacle époustouflant. Aurélie tourne autour de lui. Elle sait qu'il est à elle. Elle a tout le temps pour l'humilié, après, on verra. -Tu voulais qu'ont s'amuse tout les deux. Dans l'état que tu es? Par cotre, moi, je vais m'amuser un peu avec toi. Mais je suis fair-play, tu auras des petites faveurs. D'en haut des gradins, Léon, le père de Yann, se lève et profère des injures contre Aurélie. -Bat toi comme une vrai lutteuse, sale pute. Yann, relève toi et corrige la, baise la cette salope. D'un coup, il sent une main qui lui agrippe l'élastique de son short et le tire en arrière, de haut en bas, jusqu'à mi-cuisse. Il se retourne et se trouve nez à nez face à une métis énorme. -Tu viens d'insulter ma fille, dit-elle, pour qui tu te prends petit con. Je vais m'occuper de toi. Je m'appelle Nelly. Là dessus, elle envoie une main entre ses jambes et lui attrape ses attributs. Léon pousse un cri de douleur. -C'est tout? Demande-t-elle. C'est quoi ces deux couillettes et ce petit bout, mais c'est ridicule. Tu arrive a baiser ta femme avec çà. Léon devient tout rouge. C'est vrai qu'il n'a pas été avantagé par la nature. Apparemment, il a tout laissé à son fils. Nelly fini de lui quitter son short. -Allez, dit-elle, viens sur mes genoux, on va regarder la fin du combat tout les deux. Tu vas voir ma fille comme elle vas s'amuser avec ton fils. Dans la cage, Yann a repris ses esprits. Il est a genoux, jambes écartées, faisant jouer ses articulations. Aurélie ne tient pas à ce qu'il se refasse une santé. Elle s'avance vers lui, le saisit par les cheveux, et lui assène une volée de gifles qui le renvoie au tapis. Elle se penche sur lui et fait une boule avec ses couilles. -Arrête, s'il te plait, ne me bat plus, je t'en prie, pas mes couilles. Tu vas me rendre infirme,Implore Yann. Aurélie lui prend un testicule est le fait rouler entre ses doigts. -Et si je serrai,dit Aurélie. Mais je suis sportive. Comme promis, je vais te faire quelques faveurs. D'abord, j'ai vu que mes seins t' intéressait. Je vais te les faire caresser et sucer. Aurélie dégrafe son blouson, libérant deux obus à couper le souffle. -Vas-y, lui dit Aurélie, profites en, régale toi. yann avance sa main et caresse les seins. Puis doucement, Aurélie lui soulève la tête jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec le bout de ses seins. Et là, Yann aspire, suce, donne des coups de langue. Aurélie commence à gémir. Yann lui fait du bien. Quel dommage. A force de jouer avec les seins, Yann a une érection. Aurélie s'en aperçoit. Elle lui décalotte le gland, et commence a branler cette queue énorme qui vibre, et qui est prête à cracher. Yann lance un cri de jouissance. Il éjacule à grand jets sur le tapis. Aurélie a diriger la queue vers le visage de Yann. On peut voir une trace de sperme de ses cheveux jusqu'à son ventre. -Merci Aurélie, merci, dit Yann. Je sais pas ce que tu vas me faire, mais merci, tu m'as fait du bien. Elle lui soulève la tête, et lui prend la bouche dans un long baiser. -Quand tu seras rétabli, on fera l'amour tout les deux, dit-elle. J'ai envie de toi. Maintenant, regarde ma mère ce qu'elle fait à ton père. Léon ressemble à un petit garçon sur les genoux de Nelly, tant la taille est différente.. Ses jambes sont complètement écartées. Dans la main gauche, Nelly lui tient ses petites noisettes, et de la droite, elle essaie de lui faire une petite branlette. Elle y arrive. Son petit gland est tout décalotté, et il commence a gémir de plaisir. -Tu a l'air de te régaler, mon petit salaud? hein. Elle aime ta petite bite. Je vais te la faire pleurer, tu vas voir. Regarde comme je fait coulisser la peau su ton petit gland. D'un coup, Léon est pris de petits soubresauts. -T'arrête pas, je joui, vas-y, décalotte complètement ma petite queue. Tu l'a faite pleurer, salope. Gratte moi mes couillettes aussi. Que c'est bon de se faire branler. Trois jets ridicules partent sur le sol. -C'est tout, ricane Nelly. Remarque, pour vider deux petites noisettes comme çà, c'est vite fait. Allez, je vais nettoyer ton petit bout, et je te laisse partir. Elle mouille ses doigts, et lui nettoie le gland. Puis violemment, elle enfonce un ongle dans le méat, et lui serre les testicules. Le cri est horrible. Léon s'écroule, évanouit. Dans la cage, le combat est fini. Yann reconnaît sa défaite. Aurélie l'accompagne jusqu'au vestiaire une main posée sur son épaule.