Je domine mon mari chapitre 7 par Karen Young. Karen12613@aol.com Ceci est l'aventure la plus récente survenu dans mon couple. Nous luttons de temps à autre, mais il n'y a pas de suspense. Physiquement je suis supérieure à Mike et mentalement il a accepté ma domination. Je le punis de temps en temps, j'adore ce rôle de femme puissante et dominatrice. Cela a commencé, l'été dernier, dans la salle de gym aménagée au sous-sol de notre maison. J'avais pris place sur la banquette de la machine à poids, à coté d'un punching-ball que j'aime bien frapper pour raffermir mes muscles. Je soulevais sans peine des haltères de 70 kilos. Les personnes qui me connaissent bien savent que je ne suis pas exhibitionniste, je ne mets pas mon corps en valeur par des habits provocants. En fait mes amies se moquent de ma garde-robe traditionnelle, mais c'est comme cela que je suis. Par contre lorsque je m'entraîne j'adore mettre mon corps en valeur. De plus j'aime avoir la totale liberté de mes mouvements. Ce jour là, j'avais un corsaire en coton et avec les années il avait un peu rétréci, serrant outrageusement mes fesses. Mes cuisses musclées se tendaient dans le tissu. En haut je portais un vieux tee-shirt. C'était un tee-shirt très court dévoilant mes abdos, mon nombril et qui dépassait à peine mon soutien-gorge. Il avait de très courtes manches permettant d'admirer mes épaules musclées, et accentuait la fine sculpture de mes biceps. Pour être honnête, je dois dire que j'admire mes formes et que parfois je passe du temps devant la grande glace que j'ai fait installer dans ma salle de gym. J'aime voir mes muscles se gonfler lorsque je les plie, la vision de mes biceps est une des choses les plus sexy au monde. Je faisais des tractions, soulevant dix fois la barre avant de la reposer, puis je recommençais. Je transpirais à grosses gouttes. Soudain je perçus une présence dans mon dos. Mike se tenait près de la porte dans l'ombre, il me regardait travaillait. Je ne l'avais pas entendu arriver. En moi-même j'étais contente qu'il me voit ainsi. Beaucoup d'hommes disent aimer les femmes athlétiques, mais la plupart sont trop timides pour l'avouer. Mike avait vaincu sa timidité et m'appréciait comme j'étais. Le fait qu'il ait quitté son ordinateur pour venir m'admirer était très excitant. Mais je ne voulais pas lui dire. Cela faisait un bon moment nous n'avions pas pris de plaisir. J'échafaudais un plan rapide, soucieuse d'abuser de la situation. -Que fais-tu là ? le narguais-je Euh, j'ai besoin de livres posés dans le garage. Il se retourna pour partir, c'était amusant de le voir ainsi, humilié, la tête basse pour ne pas avoir à affronter mon regard. J'étais toujours allongée sur le banc, mes muscles bien gonflés. Mes habits étaient trempés et collaient à mon corps. Je le savais excité par cette vision et il avait du mal à le dissimuler. -Mike, ne me ment pas, tu étais la pendant mes exercices à te rincer l'œil. -Non, ce n'est pas vrai. -Tu aimes me regarder, n'est ce pas Michael ? Je m'étais levé, je lui avais coupé le chemin et je me dressais devant lui. Je l'attirais vers moi. -Tu aimes voir ta femme travailler son corps et ses muscles. Je lui donnais un petit coup de ma main sur son épaule, il rougissait. -Je sais combien tu aimes cela ; Je m'avançais, le faisant reculer vers le banc. -Arrêtes, Karen -Michael, nous avons promis d'être honnête l'un envers l'autre. Tu ne peux pas le nier, tu me regardais. Tu me regardais, car tu es un voyeur et tu aimes regarder les femmes surtout celles qui sont musclées. Je le comprends. Je veux simplement que tu l'admettes. J'étais excitée comme à chaque fois que je lui parle ainsi, le dominant comme un petit garçon. -Je vais te donner une leçon que tu n'oublieras pas. Il pressentait ce qui allait se passer. Il tentait de courir vers les escaliers, mais je le ceinturais en bas de l'escalier, il tombait lourdement au sol. J'en profitais pour glisser une jambe sous lui, et le chevaucher. Nous n'avions pas combattu depuis longtemps et j'avais presque oublié le trouble que cela me procurait. Nous ne nous battions plus car il était vraiment trop faible pour moi et je trouvais cela moins excitant de le dominer aussi facilement. Mais une leçon est une leçon. J'enroulais mon bras autour de son cou et je le plaçais sur son ventre. Il tentait de profiter de l'élan de son corps pour continuer à rouler. J'avais bien sur anticipé son mouvement et je plantais ma jambe pour cesser son mouvement. Je saisissais son bras que je tordais douloureusement dans son dos. Je libérais son cou et je tordais son autre bras. J'étais assise sur le bas de son dos, confortablement, suppliciant ses bras. Il luttait pour se libérer, mais ses muscles étaient bien trop faible pour ma force. Il était vexé de voir que je l'avais dominé si facilement. -Maintenant Michael, je vais te laisser le temps de réfléchir à ce qui vient de se passer, qu'il vaut mieux m'obéir et ne pas me mentir. Tu dois accepter, bien sur, ma supériorité, mais aussi ta lubricité coupable. Je regardais autour de moi, mais j'étais trop loin pour saisir quelque chose. Je me redressais plantant un genou dans son dos, immobilisant ses mains avec une seule des miennes. De ma main libre j'enlevais mon corsaire d'un coté puis je plantais mon autre genou pour pouvoir retirer l'autre jambe. J'étais en sueur, je chevauchais à présent le haut de son corps immobilisant ses bras avec mes jambes, libérant totalement mes mains. Je retirais mon tee-shirt. J'attachais les poignets de Mike avec le tee-shirt trempé. Je me levais et l'aidais à lui aussi se redresser. Je l'avais attaché des dizaines de fois mais jamais avec mon tee-shirt favori. Mike était à présent soumis, admettant sa nouvelle défaite. Je lui ordonnais de s'asseoir sur le banc, son dos contre la barre de l'haltère. Il obéissait vite craignant visiblement de me contrarier. Je prenais une cordelette et reliais ses bras à la barre, puis je fixais 120 kilos de poids à la barre pour qu'il ne puisse pas la bouger. Je me tenais devant lui. -Je vais courir, Michael, tu auras tout le temps de réfléchir à ce que tu as fait. Sans pudeur, j'enlevais mon short humide, mon slip était trempé de ma jouissance. J'enlevais, il avait une forte odeur de mon intimité. Je le montrais à Mike puis le roulais en boule. J'ordonnais à Mike d'ouvrir sa bouche. Il obéit. Je plaçais mon slip sur sa langue et l'enfonçais dans sa bouche. J'utilisais mon tee-shirt pour le bâillonner et maintenir le slip dans sa bouche. Je sortais de la chambre, sentant son regard admirant mes jolies fesses musclées. Je mettais un jogging et partais courir. Je cours en général une demi-heure, mais aujourd'hui je me sentais bien et courais une heure. Je sentais mes muscles réagir à chacune de mes foulées, sans efforts, fruit de seize mois de travail intensif. Je jouissais à l'idée de mon petit mari m'attendant sagement à la maison, ligoté et bâillonné. Je savais qu'il respirait et gouttait la plus douce et la plus intime des odeurs de mon corps. Je savais qu'il était ainsi parce que je l'avais décidé et que je l'avais soumis de force, juste pour mon plaisir. Je savais qu'il n'avait d'autre choix que d'endurer ce que j'avais décidé pour lui. C'était le meilleur footing que je faisais depuis longtemps. Je rentrais à la maison, fatiguée et en sueur. Je buvais longuement un jus d'orange, assise à la table de la cuisine. Après un quart d'heure, je descendais les escaliers, Mike était, bien sur, dans l'état ou je l'avais laissé, transpirant et paraissant fatigué. Peu de gens savent qu'il est très dur, mentalement et physiquement, d'être bondagé. Mike m'avait dit combien cela était stressant et harassant pour lui. Lisa m'avait raconté que la victime d'un bondage concentrait tous ses efforts dans ses muscles, s'épuisant vainement à tenter de se libérer ou de trouver une position moins inconfortable. J'étais partie depuis une heure et demi et Mike semblait avoir travaillé autant que moi. Je venais séduisante, devant lui. J'enlevais mon jogging puis mon soutien-gorge. J'étais totalement nue, dégoulinant de sueur. J'enlevais son bâillon. Je me tenais devant lui jambes écartées de chaque coté du banc. -Maintenant, gouttes la source de l'odeur. J'attrapais sa tête et la plaquais contre mon sexe. Il se courbait, prenant sa bruyamment sa respiration. Le contact de son visage me faisait jouir instantanément. Mon jus se libérait sur son visage, et j'adorais cela. Il me nettoyait de sa langue pénétrant mon intimité. Après deux nouveaux orgasmes, intenses je détachais la corde de la barre et l'allongeais sur le banc. Je baissais son pantalon et m'empalais sur lui. J'aime qu'il sente quand je lui fais un cadeau, je ne bougeais pas, Mike n'osait visiblement débuter un va et viens. Pourtant il éjacula immédiatement simplement en me regardant, en m'admirant, en sentant ma puissance de Femme à le soumettre. Je relevais ces bras et les attachais à la barre, je m'installais bien sur lui sans me soucier de son confort. Nous avons parlé ainsi une bonne heure avant que je décide de le quitter. Je le laissais ainsi attaché, exténué, fier de m'appartenir. Il me laissa placer le bâillon dans sa bouche, sans protester, comme un bon garçon. Traduction : elricnec@aol.com