Je domine mon mari chapitre 4 par Karen Young. Karen12613@aol.com Le jour suivant, je me levais tôt et j'allais faire un jogging. Je me sentais absolument terrifiante. Mes jambes et cuisses musclés me portaient dans le vent d'automne. Je ne pensais qu'à Mike et à ce que je lui avais encore fait. Je savais combien cela devait être dur pour lui de subir, surtout pour lui ! Mais je savais qu'il etait absolument nécessaire qu'il accepte sa soumission. J'étais convaincue qu'il accepterait sa situation. J 'étais certaine que s'il avait accepté certaines choses c'était par qu'il savait que je le contrôlais. J'arrivais à la maison une heure plus tard et je le trouvais à la cuisine préparant le petit déjeuner. Il semblait de bonne humeur. Je remarquais qu'il me regardait fixement, m'admirant. J'avais un short court et un tee-shirt dénudé aux épaules. As-tu bien couru ? Super, merci d'avoir préparé le petit déjeuner. Je saisissais un bol, étendant mes bras et découvrant un peu ma poitrine. Il ne pouvait pas éviter ce contact et noter mes biceps gonflés. Je pris une assiette. Son regard s'attardait, mais je m'asseyais. Il n'avait plus vu mon corps à la lumière du jour depuis longtemps. Il semblait intéressé par ces muscles qui l'avaient tant dominés. Tu aimes ce que tu vois ? Il rougit immédiatement mais ne pouvait détacher son regard de mon corps. Oui, j'ai toujours aimé te regarder. Mais à présent je ne sais pas pourquoi, mais c'est différent. C'est différent. Beaucoup de choses ont changé. Je me dressais et marchais vers lui. Il se poussa rapidement dans un coin. Karen, je veux juste parler, pas de combat inégal. Je posais ma main sur son visage, il se déroba Mike moi aussi je veux juste te parler, pour en finir. Tu ne m'as jamais vu ainsi depuis que je travaille les poids. Je plaçais mes bras autour de son cou. Aimes-tu comme ils sont développés ; J'aime, qui d'ailleurs n'aimerai pas ? Je le regardais dans les yeux mais lui préférait regarder mes bras et mes épaules nus. Aimerais-tu toucher ? Il rougit de nouveau et répondit : Oh oui, vraiment beaucoup ! Je pliais mon bras droit et bandais mes muscles. Bien sur mais bras n'étaient pas et ne seront jamais énormes. Mais ils sont durs et bien découpés, au moins aussi gros que les siens. Il était captivé par la bosse du biceps, il posait timidement sa main dessus. C'était drôle et sa main paraissait petite comparée à mon muscle. Il le prit dans sa main et essayât de le serrer, sans succès. Il essayât des deux mains et échoua tout aussi lamentablement. Veux-tu toucher mes cuisses ? Il s'agenouilla ; Oui s'il vous... Je fléchissais mes jambes tournant mes cuisses vers lui. Il les prit dans ses bras et les entoura. J'étais brûlante, je ne pouvais pas continuer. Tu comprends pourquoi j'ai pu faire cela hier soir ? Oui, je vois et je sens, mais je ne suis pas sur d'avoir compris pourquoi tu fais cela, à moi. Que crois-tu que je puisse penser d'une épouse capable de telles choses ? Je souris juste. Ce que tu ressens est la raison pour laquelle je le fais ; Car je peux faire ce que je veux et tu ne peux pas m'arrêter. Il est amusant pour moi de te dominer, de t'humilier et de me faire servir selon mes désirs. Mais, Karen comment puis-je accepter cela. Je sais que tu peux me blesser. Je réalise à présent combien tu es forte, mais cela ne suffit. Cela m'effraie aussi, mais tu dois l'accepter. Je repartais m'asseoir et je commençais à manger Tu es visiblement excité par la situation, il est donc inutile de te poser des questions. Aussi évident que la bosse qui déforme ton short. Je riais et lui était rouge. Ce n'est pas juste, Karen. Bien sur cela m'excite. Tu es pratiquement nue, me narguant de ton corps, quel homme pourrait résister. Je ne savais pas que tu profiterai ainsi de ton avantage. Nous avons parlé ainsi pendant le petit déjeuner. Moi lui expliquant combien je frissonnais à le soumettre, lui m'expliquant combien il était humiliant de se soumettre à moi. J'étais contente que nous en discutions. Lisa m'avait dit que son acceptation viendrait petit à petit, mais cela etait bien parti. Je devais cependant continuer son dressage. Nous avions fini de manger et je lui ai demandé de tout nettoyer. Je crois que nous pourrions nettoyer ensemble Karen. Mike, tu ne discutes pas. Je peux te forcer à nettoyer s'il le faut. Je préfère rester assise et lire le journal, mais si tu insiste. Je me lavais et vins prêt de sa chaise. Bon alors tu vas maintenant me tordre le bras jusqu'à ce que je fasse ce que tu dis ? Je souriais Exactement ! Il s'emporta. Karen, oublie cela, tu vas ranger la table. Il se précipita vers la porte, je le suivais rapidement, m'accrochant à lui. Il s'échappa mais je le capturais dans le salon et je le plaquais au sol. Je le saisissais par son short, le baissant à moitié. Il se débattait essayant de s'échapper. Je l'enfourchais de coté et pris ses poignets dans mes mains. Il luttait mais encore une fois j'étais plus forte que lui, capable de le maintenir fermement en place. Mike, arretes-toi. Tu l'as fait, tu m'as arrêter toi-même. Que veux-tu de plus ? Je veux que tu retournes à la cuisine et que tu la ranges. Fais-le toi-même J'avais placé ses poignets, avec mes mains, sur sa poitrine. J'en pris un et le bloquais sous mon genou, puis de mes deux mains, je serrai fortement son autre poignet. Je le contrôlais facilement et je frappais son visage avec sa propre main. Il se débattait en vain, mais face à moi il ne pouvait y avoir de match. Il était doublement humilié, son épouse le frappant avec sa propre main. Pendant plusieurs minutes je le frappais ainsi. Vas-tu nettoyer la cuisine, Mike ? Il essayait toujours de résister et ne répondait pas. Je le frappais alors plus violemment, abîmant son visage. Les articulations de ses doigts devenaient rouges et douloureuses, ses yeux étaient gonflés et rouges. Je peux continuer toute la journée si tu veux. La seule chose que tu as à faire est de nettoyer la cuisine. Je me penchais vers son oreille et lui dis d'une voix de petite fille : Ce n'est pas si terrible, n'est-ce pas Mickey ? Il commença à crier, réellement hurler. Pas de douleur, mais d'humiliation. Je le regardais gémir. Mike, je sais ce que tu dois ressentir. Oui, j'aime ça, te dominer, mais je veux que tu arrêtes de crier. Je veux juste que tu fasses ce que je t'ai demandé. Crier n'aide pas. Après encore quelques coups, il se soumettait. Bien, je vais ranger la cuisine. Laisse moi partir. Il y a autre chose. Quoi ? Je veux que tu le fasses entièrement nu. Quand je te libérerai, je veux que tu te déshabilles et tu nettoieras tout nu. Je le libérais et il se releva. Il etait voûté, fatigué Puis-je me déshabiller ? Oui Je restais à coté de lui, le regardant retirer son short, enlever son tee-shirt et enfin son slip. Bien que pas totalement en érection son pénis était déjà dur. Je le prenais par le haut du bras et l'escortais vers la cuisine. Je m'asseyais tandis qu'il commençait à débarrasser la table. Il entassait le tout sur l'évier et commençait à laver la vaisselle. Comme il récurait les bols, je voyais ses couilles et son pénis se balancer d'avant en arrière entre ses jambes. Je posais ma main dans mon short et je me masturbais jusqu'à me faire jouir avant qu'il n'ait fini son travail. Lorsqu'il se retourna, j'etais contente de voir que son membre était maintenant complètement en érection. Impressionnant, dis-je, tu vois, tu commences à aimer cela ! Il souriait timidement Je ne peux pas me battre contre ça, il fit signe en montrant son sexe. Que veux-tu faire avec cela entre les jambes ? Ce moment était très spécial et un frisson me parcouru. Il m'était complètement asservi. Je pensais rapidement. Lisa m'avait dit que cela arriverai. Elle m'avait aussi dit que ce moment etait le meilleur pour prendre un avantage définitif sur lui, sans recourir à une torture physique. Donnes moi un verre, dis-je. Il le fit. Je me mettais face à lui, mon corps bronzé, peu vêtu, contrastait avec sa pâleur. Je veux que tu te masturbes et que tu recoltes ton jus dans ce verre. Sérieusement ? Oui, très sérieusement. Il commença à se caresser, je tenais le verre, son souffle s'accéléra. Prends bien tout ! Il s'appliquait à caresser son sexe et c'était excitant de le voir, déjà je commençais à transpirer. Après un très court instant, il éjacula, plaçant précautionneusement le verre pour recueillir son sperme. C'était un orgasme terrible. Il y avait une quantité appréciable de son jus au fond du verre. Il avait fini et me regardait, il me tendait le verre fièrement. Qu'en dis-tu ? Très bien, Mike. Je lui pris son bras libre de ma main, je voulais l'écraser mais je me retenais. Maintenant, bois s'il te plait. Pourquoi ? Parce que je le veux. J'écrasais doucement son poignet et regardais le verre. Après une hésitation il bu et lécha le verre. Un peu de liquide coulait de ses lèvres et il lécha avec sa langue ces quelques gouttes. Ce fut la première fois que j'avais un orgasme sans me toucher. Très bien, je le laissais partir, je vais prendre une douche. A suivre... Traduction : elricnec@aol.com