Je domine mon mari chapitre 3 par Karen Young. Karen12613@aol.com Quelques jours plus tard, avait du partir, pour son travail, pour la semaine. Un fossé s'était creusé entre nous, mais il me laissait le temps de reconsidérer ce qui se passait entre nous. Je l'avais bel et bien battu à deux reprises, physiquement et je le pensais mentalement. Le premier combat l'avait envoyé chez le médecin, le second l'avait simplement harassé, meurtri, contusionné, mais rien de sérieux. Je crois que la manière dont je lui avais infligé sa seconde défaite, cruellement, sans me préoccuper d'autre chose que mon plaisir pervers, lui avait fait naître une peur de moi qu'il ne pouvait surmonter. Que m'arrivait-il ? Pourquoi prenais-je tant de plaisir à punir et dominer mon mari ? Je n'avais jamais ressenti une telle joie de ma vie. Le soumettre, sentir ses efforts sous moi, etait un plaisir que je n'avais pas soupçonné. Y penser me faisait frémir. J'etais indifférente à ses souffrances, imaginant simplement ce que je lui ferais subir la prochaine fois. Rationnellement je le savais, j'avais tort. Tirer partie de ma force pour l'humilier etait mauvais. Je décidais d'en parler à Lisa. Pas une discussion autour d'un café, mais une relation medecin/patient pour pouvoir explorer mes motivations et mes désirs. Tu es affreusement dure avec toi-même, me dit-elle, je ne crois pas que tu vois la situation dans son ensemble. Que veux-tu dire ? Je lui ai fait du mal. La dernière fois je l'ai laissé nu et pleurnichant dans son bureau. Ce n'est pas ce que fait d'habitude une femme à son mari, si un homme traitait sa femme de cette façon il serait en prison. C'est juste, il pourrait appeler la police et leur demander de l'aide. Il pourrait faire ses valises et partir ou te demander de partir. Il pourrait avoir une protection ou demander que tu ne puisses pas l'approcher. Tout cela serait légal, il faut s'y attendre. Mais il a choisi une autre voie, il est juste déprimé et préfère t'éviter. Que crois que cela veuilles dire ? Je ne sais pas ; Moi je sais, elle souriait, je crois qu'une partie de lui adore cela, une grande partie. Peut-Être n'aime-t-il pas que tu le frappes et battes, Peut-Être n'aime-t-il pas être humilié, Peut-Être n'aime-t-il pas ta domination sexuelle, mais partie de son cerveau a abdiqué et il hésite entre les deux. Dans son subconscient il éprouve le besoin de ta domination. Maintenant la partie la plus délicate est que tu as céder à tes désirs et les a accepter. Tu as entièrement accepter ta supériorité sur lui. Il doit à son tour admettre son infériorité face à toi. Il n'aime pas que tu fasses ce que tu désires et que lui ne veut pas, parce que tu satisfais tes désirs pas les siens. Il ne l'accepte pas, pas consciemment. Son esprit est en proie au doute, d'un coté humilié, battu, de l'autre titillé par l'incompréhension. Il paraît indifférent mais en réalité il est juste indécis. Wow c'est une idée séduisante. Tu sais, tu dois savoir que beaucoup de couples ont des relations de cette nature. Ces hommes, librement, acceptent la supériorité de leurs femmes ou partenaires. Accepter est la clé du problème. Tu dois laisser Mike accepter son nouveau rôle et il laissera son subconscient surgir et il aimera son rôle. Il aimera ta supériorité ! Les deux femmes rigolèrent. Comment ferais-je ? Cela semble incroyable, je ne conseillerai pas une patiente de la sorte, si je ne la connaissais pas intimement. Je te connais bien et je sais ce que peux faire Mike. Je te conseille de le briser ! Tu dois l'amener à faire ce qu'il ne veut pas faire, juste parce que tu le désires, il n'est pas libre de choisir. Ca forcera à admettre le nouvel ordre des choses. Il ne doit rien faire d'agressif ou que tu juges offensif. Tu feras ce que tu veux et il comprendra que s'il est soumis, s'il accepte d'être dominé juste pour ton plaisir alors il pourra être heureux. Nous avions encore parlé, mais plus généralement. Je trouvais excitant de parler de ces idées avec une femme qui enviait ma situation. J'avais appelé Mike le vendredi soir, gentille et sympa. Je lui avais expliqué que je voulais lui parler de ce qui s'était passé. Je n'avais pas voulu le blesser, je voulais simplement épicer nos rapports. Je lui avais promis un accueil romantique à son retour samedi. La suite est un peu perverse, je vais vous dire que Mike est charmant, mais pas imaginatif au lit. Une chose qu'il n'appréciait pas etait le cunnilingus. Les rares fois ou nous l'avions pratiqué j'avais toujours été insatisfaite. Il n'y mettait aucun cœur. J'avais donc décidé que cela changerai samedi soir. J'avais passé toute l'après-midi à faire des exercices de musculation. Je faisais ma gymnastique par routine, effectuant une heure trente d'aérobics, puis j'étais passé à la machine à poids, entraînant mes muscles à l'effort. , puis la presse militaire pour mes jambes et mes cuisses. Je commençais à fatiguer mais je voyais les hommes présents me regarder et m'admirer. J'étais fière de mon corps. Je m'entraînais en tee-shirt court dévoilant mon nombril et en collant moulant mes fesses. J'aimais la forme que prenaient mes cuisses lors du travail à la presse. Je faisais travailler mes mollets durement. Le haut de mon corps devenait dur comme du béton avec des épaules musclées et des biceps gonflés. Bien que je me trouve musclée, je me considérais comme extrêmement féminine avec une poitrine généreuse mais ferme. Après une heure de travail je décidais de prendre une douche et de rentrer en courant les huit kilomètres jusque chez moi. Je sprintais lors des deux derniers kilomètres. J'arrivais juste à temps pour voir Mike sortir sa mallette de la voiture. Je le saluais chaleureusement sautant dans ses bras tandis que nous rentrions à l'intérieur. Je fermais mes jambes autour de son torse et mes bras autour de son cou l'obligeant à me porter. Amènes-moi au lit J'etais couverte de sueur et je mouillais ses habits. Nous entrions dans la chambre à coucher, je commençais à le déshabiller. Tu es content de me voir ? J'avais rapidement déboutonnais sa chemise et m'occupais de son pantalon. Il posa ses mains sur mes épaules je sentis son trouble. Il palpait mes muscles avec ses doigts. Le changement est impressionnant, me dit-il Oh Mike ce n'est pas tout ce qui a changé, tu peux me croire. J'avais retiré mon body et je jetais mon short au loin. Il était maladroit avec son pantalon, essayant de se déshabiller aussi vite que possible. Quand il eut fini, je le laissais doucement me poser sur mes fesses, il ne cessait de m'embrasser. C'était la façon traditionnelle chez nous pour faire l'amour. Je voyais qu'il réfléchissait « Finalement elle revient dans le droit chemin «  Il commençait à s'allonger sur moi et j'écartais doucement mes jambes. J'entourais son torse de mes cuisses et refermais mes chevilles dans son dos commençant à l'écraser. Son visage changea instantanément. Que fais-tu ? Je vais te donner une leçon, je sais c'est difficile pour toi mais nous devons le faire si l'on veut continuer notre histoire. J'augmentais mon étreinte tout en le faisant légèrement glisser de coté. Il commençait à se tortiller et essayait de se dégager avec ses mains, mais bien sur lui ne pouvait se dégager de la force de mes cuisses. Cela en est trop Karen. Je sais que tu es forte. Je voudrais juste faire l'amour à ma femme. Ne t 'en fais pas, tu vas me faire l'amour. Comme les deux première fois, j'étais excitée et ma chatte me donnait du plaisir. Il commença à me frapper à la poitrine et aux épaules. Je saisissais l'un des ses bras et le tordais dans son dos. Cela m'excitait beaucoup car je n'avais aucune peine à lui prouver la force de mon bras. Je n'aurais pu lui faire cela la première nuit. Je le faisais rouler sur le coté, bloquant son autre bras sous lui. Maintenant Mike, je peux t'écraser plus fortement si tu ne m'obéis pas, tu vas donc m'écouter. Pour changer je vais te faire l'amour avec moi en position dominante, tu vas utiliser ta bouche pour me satisfaire. Karen je ne veux plus faire l'amour avec toi, laisses moi. Je serrais juste un peu plus mes cuisses musclées et il s'arrêta de parler. Il ne pouvait pratiquement plus respirer, il cessa toute tentative pour échapper à mon étreinte. Je maintenais la pression quelques minutes pour qu'il soit complément à bout de souffle. Son visage etait cramoisi. Je regardais mon corps musclé, admirant l'éclat de ma peau. Je roulais sur son ventre et avant qu'il ne comprenne ce qui se passait, je m'empalais sur sa queue gonflée. Karen je ne veux pas. Il grognait tandis que je commençais à pomper son membre dans ma chatte. Mike, je me fous de tes envies, je le fais, acceptes-le. Je tenais toujours son bras derrière son dos, ainsi nos visages etaient proche l'un de l'autre. Je continuais à glisser sur son membre, il aimait cela, même si la douleur envahissait son bras. Son autre bras tenait faiblement ma cuisse. Je ne l'avais plus senti en moi depuis plus d'un mois, cela me faisait des sensations incroyables. Le travail qu'avaient exécuté mes abdos me procurait des sensations inconnues. Mon sexe agrippait sa queue palpitante, j'en ressentais toutes les sensations en bougeant sur lui. Je ne voulais pas jouir maintenant. Je voulais le chevaucher jusqu'à ce qu'il ait un orgasme. J'avais un autre plan pour moi. Il me regardait et je le fixais les yeux dans les yeux. Il ne me fallut qu'une minute pour qu'il jouisse en moi. Ses yeux brillaient lorsqu'il explosa, nourrissant ma chatte de son sperme chaud. Comme je controlais tous ses mouvements je sentais son bas ventre tenter de bouger pour prolonger son éjaculation. Après un court instant il s'affaissât. Je me retirais doucement de lui et venais placer mon bas-ventre sur son visage. J'avais placé mes pieds sur ses épaules pour le bloquer. Je commençais à approcher ma chatte de sa bouche. Karen, s'il te plait... C'était tout ce qu'il put dire avant de disparaître sous mon sexe, écrasant sa tête entre mes cuisses musclées, mes jambes le maintenant solidement sur son dos. J'entendais ses plaintes à présent étouffées. Pendant ce temps je commençais à bouger ma chatte sur son visage. Mon sexe etait trempé de sueur mélangée à son sperme. Je sentais coulais cette substance hors de mon sexe, à travers mes petites lèvres, sur son visage, le long de mes cuisses. Ses bras etaient bloqués par mes jambes. J'etais jambes écartées, limitant son horizon à mon sexe. Cela devait sentir fort et je pouvais imaginer ce que c'était pour lui. Je continuais à broyer sa face. Je veux sentir ta langue en moi, Michael, et que tu lèches tout le jus de mon sexe. Appliques toi ! De mes mains libres je caressais le bout de mes seins jusqu'ici délaissés. Ils avaient grossi et doucement je me donnais un plaisir immense. Tu ne bougeras pas tant que tu n'obéiras pas, Michael. Je le chevauchais encore quelques instants ignorant ses plaintes jusqu'à ce qu'il se décide enfin à me lécher le sexe. C'était ce que je voulais et j'explosais en un fulgurant orgasme. Je sentais mon jus tomber sur son visage et il avait du mal à tout avaler. Je l'entendais s'étouffer à plusieurs reprises. Je continuais à caresser mes tétons. J'etais en position dominante comme toute la soirée et je restais ainsi ayant deux orgasmes supplémentaires. Tout ce temps Mike travaillait dans la moiteur pour me satisfaire. C'était le moment d'en finir avec lui. A présent je ne savais plus si je devais poursuivre mon plan. Mais il résistait que modestement et je pouvais donc continuer ma prise de pouvoir. Je repensais à ce que Lisa m'avait dit, je l'avais amené la ou il ne voulait pas aller. Je m'enlevais de lui et je me mis à rire fortement. Son visage était recouvert du menton aux sourcils de nos jus mêlés, je détournais mon regard, essayant de reprendre mon sérieux. Je plaçais mes fesses fermement sur sa poitrine avec mon dos sur sa tête. Il protestait, levant ses jambes que je saisissais facilement pour les faire redescendre. Il se tortillait mais cette dans cette position il ne pouvait plus rien faire. Je glissais mon derrière vers sa bouche. Oh ! Mon dieu, Karen, non! Je descendais mes fesses vers lui, plaçant directement mon anus sur sa bouche. Je pris ses jambes fermement et les repliais tandis que je m'ecrasais sur son visage. J'entendais le bruit sourd de ses gémissements quand je lui ordonnais de lécher mon anus. Il se débattait avec toute la force qu'il pouvait rassembler, mais il n'y avait pas d'issu. J'étais encore et toujours trop forte pour lui. Lèches moi, esclave. Enfonces ta langue aussi profondément que tu peux. Il arrêta de se tortiller, réalisant la stérilité de ses efforts. Je me rappellerai toute ma vie cet instant. C'était comme une photo dans mon esprit. Nous étions ainsi tranquillement, mon ordre avait rempli la chambre à présent on entendait que nos respirations, j'entendais les oiseaux dehors, ainsi que les enfants qui jouaient dans la cour. C'était une expérience incroyable. Nous étions totalement calmes, moi maintenant ses jambes de coté, lui sous moi, ses bras de coté. Après ce qui parut une éternité (en fait une ou deux minutes ), je sentis sa langue humide s'insinuer dans mon anus. Ce fut comme un electro-choc. Je ne pensais pas qu'il ferait ce que je lui avais commandé. Gardant ses mollets bloqués sous mes bras, j'allongeais mes mains pour saisir son visage, écrasant sa bouche grande ouverte contre mon intimité. J'étais excitée, mon corps se tendait dans un orgasme furieux, je voulais bondir au plafond. Je me forçais à rester assise sur sa bouche, sentant sa langue fouiller mon anus. Plus profondément, salopard, lui ordonnais-je, lèches les cotés, je veux sentir ta succion. Je sentais ses lèvres faire ventouse autour de mon trou, sa langue caressait les parois de mon intimité. C'etait merveilleux. J'étais en extase complète. J'avais fait sucer et nettoyer mon anus par mon mari. Je l'avais forcé contre son gré uniquement parce que je le voulais. Il léchait sérieusement à présent, suçant mon trou. Je le maintenais ainsi et j'eus encore un orgasme. Cet orgasme durât plusieurs minutes par vagues incessantes de plaisir, avant que je ne le relâche. Nous étions allongés sur le lit, cote à cote, somnolant. Personne ne parlait, nous avions compris. Je l'avais humilié ; Je l'avais forcé à faire une chose dégradante. Il avait résisté mais il n'etait pas de taille face à la force de sa femme. Je le respectais en tant qu'être humain, mais plus de la même manière que je respectais autrefois mon mari. A présent je savais qu'il ferait n'importe quoi pour moi, juste pour un petit frisson. A mes yeux il était devenu, un vrai soumis sexuel, un esclave. Nous nous levâmes ensemble. Je saisissais ses vêtements et le jetais dans la corbeille à linge. J'escortais ce corps nu jusqu'à son bureau Dors bien, chéri. Je fermais la porte et regagnais ma chambre, fermant la porte à clé. Je baissais le thermostat de l'air conditionné qui contrôlait également son bureau. Sa défaite continuerait ainsi toute la nuit, frissonnant de froid sans vêtements. Je déclenchais le robinet de la baignoire et pris un merveilleux bain chaud. A suivre... Traduction : elricnec@aol.com