Je domine mon mari chapitre 2 par Karen Young. Karen12613@aol.com Notre premier combat derrière nous, j'ai vraiment commencé à expliquer à mon mari qui était le CHEF. Le lendemain de sa défaite Mike avait du aller chez le docteur fin de passer une radio de son épaule. Il avait les tendons et les ligaments froissés. Il etait à la fois embarrassé et furieux de devoir aller chez le médecin, lui expliquant qu'il avait fait une chute à cheval en montrant une acrobatie à son neveu. J'ai bien rigolé lorsqu'il me le raconta. Pendant quinze jours, il eut le bras en bandoulière. Il passa tout son à travailler tout doucement sur son ordinateur. Son humeur devenait mélancolique et il etait très clair qu'il ne voulait pas discuter de ce qui s'était passé. Moi, j'etais exaltée débordant d'énergie comme jamais cela m'etait arrivé. A la gym, quelques jours plus tard j'admirais mon corps prenant conscience de mon changement d'état d'esprit jusque dans mes vêtements. Je n'étais pas si surprise de ma victoire face à Mike. J'étais en super forme plus forte que lui. Mes cuisses etaient harmonieuses, fermes et jolies. Mes bras n'étaient pas volumineux et n 'avaient pas la rondeur de certaines sportives. Pourquoi étais-je alors plus forte que Mike ? Je commençais à m'interroger sur cette idée que l'homme etait le sexe fort. Pourquoi une femme n'obtiendrait-elle pas un corps comparable et plus fort que celui d'un homme ? J'etais certaine qu'une femme de poids et de taille équivalente à un homme lui etait supérieure, elle a naturellement plus d'endurance. Je m'habillais et allais m'entraîner, finissant facilement les exercices d'aérobic et de vélo puis je travaillais ma souplesse. J'étais fatiguée mais j'en voulais encore. Normalement je suivais mes amies au sauna, mais cette fois j'avais continué à travailler aux machines. Je n'avais jamais travaillé avec les poids mais pourquoi pas cette fois ? J'étais forte et les poids ne me faisaient pas peur. Je m'etais assise sur le tabouret et avais placé l'aiguille de l'engin sur 25 kilos et fus surprise de la facilité à soulever la charge. Je fis dix répétitions à l'engin, sentant mes muscles se contracter. Je pensais, c'est super. J'allais ensuite à la presse pour faire travailler mes jambes et fis également dix répétitions. J'alternais le travail de mes jambes et de mes bras pendant quarante minutes. Puis fatiguée j'allais au saune relaxer mes muscles fatigués. Je sentais que les poids et la presse seraient bons pour ma musculature et décidais de les inclure à mon entraînement. Je retournais à la maison, trouvais mon mari devant son ordinateur, tapant doucement et péniblement sur son clavier. Cela faisait à pressent deux semaines qu'il avait son bras en écharpe. Il ne voulait plus se battre, mais pensait-il qu'il ne pourrait plus jamais me faire l'amour comme avant ? Je commençais à être frustrée par la situation et je voulais lui dire, mais il ne voulait pas aborder le sujet. Je décidais d'en parler à mon amie Lisa. Lisa etait psychologue au collège, elle avait mon age, et son travaille etait reconnu de tous. Elle etait la personne idéale pour discuter de mon problème. Je la rencontrais après un déjeuner. Es-tu sérieuse Karen ? Il a du aller chez le docteur. Pas étonnant u'il ne veuille plus te parler, dit-elle en finissant sa salade. Qu'est-ce que je veux, lisa ? Il m'évite depuis cet incident, il est vexé de mon pouvoir. Moi je veux que cela continue. Comment pourrai-je te blâmer, je le voudrai moi aussi. En fait je crois que toutes les femmes voudraient être à ta place. Je crois que ton mari dois le comprendre, physiquement s'il le faut. Mais, un conseil, évites de l'envoyer de nouveau chez le docteur. Tu le perdras. Nous avions beaucoup parlé et j'avais décidé d'appliquer ses conseils. Lorsque Mike sortit de son bureau, je vint face à lui. J'avais revêtu la même nuisette que le soir de notre match. Mike, le silence n'est pas bon. Nous devons parler. Il devait manifestement s'y attendre car il n'etait ni surpris, ni fâché. Il semblait relax. Que veux tu me dire Karen ? Que j'ai aimé avoir mon bras tordu ? Tu aurai pu le casser ! Je veux que tu admettes que tu admettes que tu as aimé une partie du traitement. Une partie de toi a aimé. Je regardais en direction de son sexe, souriant d'un air entendu. C'est ridicule. Je n'avais pas le choix à ce moment là. Comment aurais-tu réagi si j'avais cela avec toi ? Je ne sais pas. J'aurai accepté ou je t'aurai quitté. Mais ce n'est pas le problème ici. Tu ne peux pas me faire la même chose, je ne te le permettrai pas, c'est tout ton problème. J'avais placé mes mains sur mes hanches et pris un air de défiance. Je le provoquais. Ecoutes-moi, dit-il, juste parce que tu fais de la gym, tu es devenu une sorte de salope dominatrice. Il m'effleura en rentrant dans notre chambre à coucher. Je fulminais, je ne pouvais croire qu'il m'ait traité de salope. Je le suivais et le trouvais se déshabillant. Comment m'as-tu appelé ? Tu as bien entendu. J'ai dis salope dominatrice. Comment appeler autrement quelqu'un qui a fait ce que tu as fais ? Si j'ai fait cela c'est que cela me plaisait. Je ne pensais pas te blesser ainsi. C'est arrivé, acceptes-le. Je veux juste parler avec toi. Nous n'avons rien fait depuis trois semaines. Il comprenait ce que je voulais dire, jamais nous n'avions pas fait l'amour pendant trois semaines. Maintenant je te suggères de retirer ce que tu as dis ! Ou tu recommenceras à me battre ? Je n'etais pas sure de ce que je devais faire. Je ne voulais pas blesser mon mari. Mais je ne pouvais me cacher que j'avais fantasmé en pensant à notre combat pendant ces trois semaines. La pensée de le dominer physiquement m'avais beaucoup plu. Arrêtes de te monter le bourrichon, Karen. Je t'ai laissé vivre assez longtemps sur ton petit nuage. Sur ce il se précipita sur moi, jetant au loin ses habits et se trouvant juste vêtu de son slip. Il etait agressif et m'empoigna de toute sa force, plus vivement que lors du précédent combat. Je tombais sur mes fesses avec lui au-dessus de moi. Il roula sur moi et saisit mes épaules puis glissa sur mon coté. Je lisais la fureur dans ses yeux et je fus un moment effrayée. Ses jambes emprisonnaient mon torse, écrasant mes seins. L'un de mes bras etait pris entre ses jambes, mon autre bras était sur le sol. Je ne pouvais pas bouger. Il me frappa à l'arrière de la tête. Pas une grande frappe mais elle attira mon attention. Qui est une salope de dominatrice ? Il bavait de plaisir. Comment aimes-tu cela ? J'aurai voulu lui dire que j'allais très bien mais je n'en avais pas le cœur. En vérité, c'était le premier contact physique que j'avais avec lui depuis trois semaines. Il tapait maladroitement mon visage car il devait me maintenir immobilisé. Mes jambes etaient libres, mais je ne pouvais les relever pour m'agripper à lui. Il me tapait encore lorsque je commençais à ruer nous faisant tourner sur le sol. Finalement mon pied heurtait mon armoire. Je plaçais mes pieds dessous pour prendre appuie et tentais de me relevais. Je poussais son cul arrogant loin de moi. J'etais étonnée de la force de mes jambes, capable de l'éjecter aussi facilement. J'appréciais l'entraînement effectué depuis trois semaines. J'étais vraiment plus forte qu'auparavant. Vous auriez vu sa tête lorsqu'il retomba avec un bruit sourd. Il tombait lourdement et était un peu sonné. Je bondissais comme une chatte, capturant un de ses bras entre mes cuisses comme il me l'avait fait. Il était furieux et écumait de rage. Il n'était vraiment pas de mon niveau. Il lança ses jambes en l'air mais je bloquais sa jambe gauche sur mon flanc avec mon bras droit tandis que je continuais à l'enfourcher. J'avançais doucement sur sa gauche forcent son bras droit sous lui. Je me sentais terriblement bien. Il était complètement immobilisé et j'avais une main de libre. Je regardais ma proie qui se savait pris au piège. Ses efforts pour se dégager etaient vains et trop faibles pour ma force de femme. Ils avaient en revanche l'avantage d'exciter mon clitoris bien calé sur son abdomen, qui me massait parfaitement. Je sentais mon sang affluer agréablement en moi. Alors tu aimes ? Je le toisais. Bien sur j'etais méchante avec lui mais il m'y avait forcé de son plein gré. S'il te plait ne gaspille pas ta force à vouloir t'échapper. Tu n'es pas assez fort pour moi. Je fléchissais le biceps de mon bras libre une body-buildeuse. C'en etait trop et j'eus un orgasme explosif comme jamais un rapport sexuel traditionnel ne me l'avait donné. C'étaient des vagues de plaisirs qui m'envahissaient. Je renforçais mon étreinte et tordais sa jambe tandis que ma jouissance se prolongeait. Apres un long moment je repris mes esprits. A pressent excuses toi. Jamais Mike tu rends les choses plus délicates qu'elles ne le sont. Tu vas devoir encore apprendre. Je commençais à le gifler, pas trop fort, suffisamment pour que ses joues rougissent. Allez, je ne veux pas te blesser mais je ne peux me laisser insulter par toi, excuses toi. Je le frappais plus fort. Il transpirait et je vis des larmes commencer à couler au coin de ses yeux. Je me sentais très forte. Mike, cela commence à être plus que tu ne peux supporter. Tu dois sentir que tu ne pourra pas m'échapper. Excuses toi et je te relâche. J'adorais lui parler ainsi, un vrai plaisir. Et le second orgasme fut tout aussi fort que le premier. Je plaquais ma chatte contre lui savourant chaque sensation. Ok, Ok, je m'excuse, je suis désolé Désolé de quoi ? Je suis désolé de t'avoir traité de salope dominatrice. Je ne dirais plus ce genre de chose. Je te jure si tu recommences, je te combattrai à nouveau. Je sais que tu ne recommenceras pas, n'est-ce pas ? Cela ne se reproduira plus. Très bien, maintenant quand je me lèverai, je veux que tu retires ton slip, compris ? Pourquoi ? Tu m'as posé une question ? J'ai dis COMPRIS ? Ta seule réponse possible est oui. OUI Je me levais et le libérais. Il gisait à mes pieds, sa face tuméfiée, ses yeux gonflés, en larmes. Il enleva avec précaution son slip pour se retrouver complètement nu. Je rassemblais ses habits qu'il avait éparpillés et y ajoutais le slip. Je les plaçais dans la corbeille à linge. Il se releva doucement et se dirigea vers son armoire. Je l'arrêtais. Pas ce soir, chéri, tu restes ainsi. Tu n'es pas assez homme pour avoir des habits. Je veux que tu dormes dans ton bureau ce soir. Il fit demi-tour, timidement et sortit de notre chambre. Je fermais derrière lui la porte et faisais tourner la clé. Je m'allongeais sur le lit repensant à ce que j'avais fait à mon mari. Il avait ce soir encore été battu, physiquement et mentalement. J'etais forte, puissante, belle et sexy. J'etais une femme. J'avais eu les meilleurs orgasmes de ma vie. Bien sur je n'avais pas appris cette façon de mes parents ou de la société en général, mais je me sentais bien et plus affamée que je ne l'avais jamais été. Je réfléchissais aux dizaines de possibilités qui s'offraient à ma vie future. Oui, j'etais cruelle... mais c'était si bon. J'etais calme et j'aurai juré entendre Mike pleurnicher dans son bureau. Je repris conscience et me masturbais la moitié de la nuit. A suivre... Traduction : elricnec@aol.com