Je domine mon mari chapitre 1 Traduction de Dominating husband de Karen Young par elricnec@aol.com Je parle de la première fois ou je n'ai pas seulement été plus forte que mon mari mais aussi du moment ou j'ai été capable de le dominer. C'est l'histoire de la façon dont j'ai dominé mon mari. Et pour la plupart ces événements se sont réellement déroulés. Tout a commencé voici un an. Notre mariage était typique. Nous avions tous deux notre carrière individuelles et nous étions mariés depuis deux ans. Nous étions plus occupés à travailler pour payer notre maison que pour penser à avoir un enfant. J'etais assistante de direction pour une grande firme de Manhattan, lui travaillant à domicile comme consultant informatique. Nous étions bien ensemble. Nous étions matures, indépendants. Nous nous disputions, bien sur, mais trouvions toujours une solution à nos problèmes. Je ne sais si c'est mon éducation ou si s'etait de mon plein gré mais à chaque conflit plus important c'était moi qui cédait à mon mari. Je n'y pensais pas. Je l'acceptais comme je pensais que cela se faisait dans chaque couple. Pouvez-vous me blâmer ? J'avais sur mois deux millions d'années de domination masculine. De plus plusieurs de mes amies avaient la même situation dans leurs couples. Nous en parlions entre amies de temps à autre. Mais cela devait être. Que ce soit une discussion concernant la visite de parents, d'un film à aller voir, que manger ou même la place des meubles, je cédais. Je n'etais pas malheureuse et l'acceptais. Si j'avais su alors, ce que je sais maintenant, tout cela aurait été différent. C'est sur ! Il avait eu deux superbes années. Il y a un an environ, j'ai découvert que la seule chose dont j'avais besoin pour avoir quelque chose etait d'être physiquement supérieure à mon mari. J'etais sportive, ma scolarité m'avais permis de pratiquer couse à pied et natation. J'etais harmonieuse et musclée et j'entretenais ma forme jusqu'à 28 ans. Mes cuisses et mes mollets étaient fermes, mes fesses dures, un abdomen plat, rehaussés d'une poitrine bien ferme. Je n'etais pas un modèle fitness, mais j'etais harmonieuse, et j'appréciais le regard des hommes sur la plage qui embarrassait mon mari. Dans l'intimité de notre chambre il me confessait que s'etait un réel plaisir de faire l'amour avec moi, que mon corps le faisait rêver. En public, je peux le dire, et lui aussi, les spectateurs se demandaient ce que je faisais avec lui. Il n'était pas monsieur univers, mais honnêtement, s'il n'était pas musclé-il n'était pas flacide. Il ne s'entretenait pas c'est tout. Il etait trop investi dans son travail pour prendre le temps de travailler ses abdos. Un soir nous étions couchés regardant la télé. Un feuilleton policier ou de superbes femmes policières sur vélo circulaient sur les plages de Los Angeles et arrêtaient des hommes dangereux. Il y eut une scène ou une jolie petite blonde combattit un énorme homme, l'envoyant valser dans une vitrine. C'est ridicule s'exclama Mike, aucune femme aussi petite ne peut faire cela à un homme. J'abondais dans son sens. Je pensais que l'homme etait deux fois plus grand que la femme. Je regardais Mike manger ses chips, étonnée de sa réaction. Ce n'etait que de la télé après tout. Bien sur c'était truqué. Je ne suis pas sur de ce qui a déclenché ma réaction, mais j'en suis contente. Pourquoi dis-tu cela, elle semble robuste, et utilise des prises de judo. Karen, il est deux fois plus costaud, elle ne pourra jamais être aussi forte que lui, malgré toutes ses heures d'aérobic. C'est une femme. J'etais un peu irritée par mon époux, qui dépréciait une femme qui passait plus de temps que lui à entretenir son corps. Alors juste parce ce qu'une femme est plus petite qu'un homme, elle est moins forte ! Mais prend notre exemple. Comment notre exemple ? Il regarda nos corps allongés sur notre lit, lui 1m78 pour 73 kilos, moi 1m73 pour 58 kilos vêtue d'un long tee-shirt. Comme d'habitude je ne portais pas de slip en me couchant. Apres une courte inspection il etait clair que ses muscles etaient plus imposants que les miens, mes les miens etaient plus fermes. Je commençais à avoir une douce sensation de picotement en moi, c'était vraiment très agréable. Ok tu fais 15 kilos de plus que moi, mais je pari que si nous testons nos forces, je te battrai ; J'aimerai beaucoup cela, repondit-il. Il etait clair qu'il n'avait jamais envisagé pareil possibilité. Bien sur tu pourrais me battre en course car tu t'entraînes, mais en force pure je gagnerai facilement. Excuses moi mais la course est un test parmi d'autre pour la force et il y a bien d'autres choses ou je te battrai. Je pari que je pourrai te battre dans tout un tas de domaine. Karen soit sérieuse donnes moi un seul exemple. Ok en lutte. Si c'est un test assez sérieux pour toi. Si c'est trop alors disons en aérobic. J'avais touché son point faible, je n'avais jamais cru que je pourrai battre mon mari à la lutte, mais la sensation de picotement augmentait en moi. Je pourrai te mettre minable sans problème à la lutte. Mais vous devez savoir que mon mari est introverti, et est rarement excité. Mais là il été excité comme jamais. D'accord prouves-le. Pas de problème. Nous avons sauté du lit puis nous sommes descendu au rez-de-chaussée. Nous avons poussé la table du centre de la pièce ainsi qu tous les meubles gênants. C'était un peu fou mais j'etais très excitée, je sentais le sang gonfler mes veines comme après un bon footing. Il arborait un large sourire. Nous nous étions mis d'accord, le vainqueur aurai battu deux fois son adversaire soit par immobilisation soit par reddition. Je ne savais pas quoi faire exactement, mais dans le feuilleton, la jolie blonde utilisait le poids de l'homme pour le faire tomber. Je pensais que l'idée etait bonne et je décidais de m'agripper à lui à son premier mouvement. Viens, fais moi voir la force d'un male, dis-je en le taquinant. Il vint vers moi et tenta de saisir le haut de mon bras. Je tournais sur le coté et saisissais son poignet et le tirais. Je tendis ma jambe en avant et lui fis un croc en jambe. Je le sentis s'étaler sur le tapis. Woaw quel mec ! lui dis ne pouvant me contenir. J'avais fait cela sans aucun effort et il etait complètement surpris. J'etais bien, le regardant se relever lentement. Je l'avais vraiment projeté violemment au sol et je cru un moment l'avoir blessé. Enfin il se releva et vint vers moi, muet. Je le saisis à nouveau au poignet et le tirai aussi fort que je le pu. Cette fois, c'etait pour le briser et je l'envoyais valser pour la seconde fois. Il s'écrasa à plat ventre, seulement cette fois je me laissais tomber à ses cotés, tenant toujours fermement son poignet. J'entendis l'air jaillir de ses poumons lorsque j'écrasais avec mes genoux le milieu de son dos. Je prenais son autre main et la tordais sur son omoplate. Alors chéri, tu sens ma force de femme, n'est ce pas. Je sais que cela te fais mal, mais je ne renoncerai pas avant que tu abandonnes. J'accentuai encore la pression, lui se tordait de douleur. J'avais changé de position pour me mettre à califourchon sur lui. Je serrais mes cuisses contre ses flancs le tenant très fermement. J'etais si excitée ! Je voyais ce grand gaillard à ma merci et j'avais gagné. Je voulais qu'il capitule. Je savais que je le blessais, mais il n'avait pas dit un seul mot et je continuais encore à augmenter la pression. Il essayait bien sur de me résister, mais mes jambes l'empêchaient de bouger. Je l'entendais haleter puis de sa main libre il frappa violemment le sol en signe d'abandon. Je n'etais pas sur de ce qu'il faisait mais je savais que sa douleur etait terrible. Arrêtes de t'entêter, abandonnes et je te laisse partir. En disant cela je sentis une vague de plaisir m'envahir. Mon orgasme s'acheva lorsqu'il commença enfin à me dire qu'il se soumettait. J'avais du lui couper toute sa respiration et je relâchais un peu la pression de mes jambes. Si tu te soumets bouges la tête pour dire oui. Avant d'avoir fini ma phrase il acquiesçait avec vigueur. Je me relevais aussitôt et le libérais. Il se redressa tenant son bras meurtri avec sa main valide. Son visage etait rouge et couvert de sueur. Je me tenais face à lui. Le signe de sa défaite sur son visage, blessé et harassé uniquement par mes mains etait la chose la plus sexy que j'avais faite. Je savais qu'il ne pourrai jamais me battre ni maintenant ni plus tard. Je savais que notre vie ne serait plus jamais la même et cette idée etait infiniment jouissive. Cependant je devais encore le battre une autre fois. Qu'est-ce que tu as fait, tu m'as presque cassé le bras, gémit-il Désolé, dis-je en rigolant je ne connais pas ma force. Je pliais mon bras, faisant rejaillir mon biceps musclé. Jetais crevé mais certainement moins que lui, qui en plus devait être démoralisé. On continu ? Je ne peut pas, grogna-t-il Nous savions tous les deux qu'il ne pouvait pas continuer. J'avais quasiment cassé son bras. Il le tenait replié de coté. Allons-y, dit-il. Aussitôt dit, il chargea et m'empoigna, envoyant son épaule dans mon ventre. Il me souleva du sol et me laissa retomber sur le sol. J'etais un instant étourdie et il vint me chevaucher. Il me bloqua une main au dessus de ma tête, mais ne put maintenir de son bras meurtri mon autre bras. J'essayais de sortir de sa prise tandis qu'il tentait de bloquer mes épaules. Il avançait petit à petit sur mon torse, écrasant mes seins, j'avais mal mais je parvins à le stopper. Finalement il saisit mon second bras et s'apprêtait à le bloquer lorsque je balançais mes jambes sur ses flancs, il s'etait trop avancé qu'il perdit l'équilibre et tomba sur le coté. Je me retirais vivement de dessous lui et j'entourais son cou avec mon bras. Il etait en position assise avec mon bras solidement agrippé à son cou. Je consolidais ma prise, positionnant mon coude juste sous son menton. Il tenta avec ses mains de se défaire de ma prise. Je tenais bien ma prise, et il apparaissait clair à présent que j'etais encore trop forte pour lui. Je regardais son visage devenu livide. Sa seule solution etait de se tenir calme et d'attendre. Comme il le faisait, je saisissait son bras blessé et de nouveau je le tordais dans son dos, combinant ainsi deux prises simultanément. Sa main libre tenait agrippait sans espoir mon bras. Pour compléter ses tourments ma jambe avait saisit la sienne pour la tirer en arrière, ses fesses venant se bloquer contre mon bas ventre. Nos deux jambes libres etaient cote à cote. Il etait complètement prisonnier et ne savait plus quoi faire. J'etais électrique. La faiblesse de sa résistance etait insuffisante pour moi, je m'amusais de ses faibles attaques. Ses efforts causaient un mouvement de ses fesses qui frottaient mon sexe exposé. Cela ne pris que quelques instants pour que j'éprouve un nouvel orgasme. Sans aucun doute cela avait été l'orgasme le plus intense de toute mon existence. J'écrasais sa tête, son bras, sa jambe au fur et à mesure que les vagues de plaisir m'envahissait. Je n'entendais plus ses plaintes pour abandonner. Rien de ce qu'il disait ne m'intéressait. Je le contrôlais physiquement si totalement que j'allais sûrement le casser entierement. Tandis que mon extase continuait, je laissais reposer mon menton sur son épaule meurtrie. Je regardais son torse se soulever, toute sa douleur venait se propager sur mon sexe exposé. Enfin je reprenais mes esprits sentant au bruit des tendons du bras que j'allais lui casser vraiment son bras. Il criait de douleur. Même en se débattant violemment il ne pouvait pas échapper à ma force féminine. Je rigolais. Je crois qu'à présent nous savons qui est le plus fort, tu ne crois pas ? Il pouvait a peine parler. Arrêtes Karen, tu as gagné. Libères moi s'il te plait. Tu me blesses. Je regardais encore son torse et je notais une bosse dans son slip. Son membre tentait de forcer l'élastique du slip. Regardes toi, on dirait que tu aimes autant que moi cette situation. S'il te plait Karen, laisses moi partir. Tu vas me tuer. Avec les doigts de pied de mon pied libre je libérais le membre prisonnier du slip, le pénis bondit immédiatement. Je commençais à caresser la verge avec la plante de mon pied. Pitié Karen. Objectivement la situation etait humiliante pour lui. Je n'avais jamais dirigé un acte sexuel de ma vie. Non seulement j'avais eu aujourd'hui un orgasme par moi même et en plus je contrôlais son plaisir. C'etait génial. Il essaya de bloquer ma jambe avec la sienne mais je serrais aussitôt son cou avec mon bras et je donnais un nouveau coup à son bras supplicié. Ne bouges pas tu va jouir, comme j'en ai envie. C'est clair ? Il ne répondit pas ; Je le serrais à nouveau. Est ce clair ? Oui, oui, c'est clair. Je repris mon massage sur son membre et après quelques secondes, il explosait dans l'orgasme le plus intense que j'avais pu imaginer. Il commençât à éjaculer, je plaçais mon pied de façon à ce que le jet de sperme arrose son visage. Une fois encore il etait humilié de se faire asperger par son propre sperme. Il tentât de se détourner mais mon bras maintenait fermement sa tête en place. Jet après jet son sperme s'écrasait sur ses yeux, ses cheveux, son nez ou sa bouche. Il essayait de se protéger avec sa main, mais il etait trop fatigué pour réagir. De mon coté j'avais un nouvel orgasme, sachant que cette fois j'avais souillé le tapis de mon jus intime. Lorsqu'il se calmât-je remarquais qu'il était effondré de fatigue. Je le libérais et me mettais à genoux, lui faisant lécher le sperme qu'il avait envoyer sur mon bras. C'était la chose la plus excitante qu'il n'ait jamais fait. A suivre... Traduction : elricnec@aol.com