Viva La Squeeze By The Porker Pendant la guerre d’Iraq, Donald Rumsfeld avait traité les Français de froussards face au combat. Il n’a jamais rencontré Lola et Nicole, deux très jolies Parisiennes de 19 ans, typiques avec leurs sweaters trop grands et leurs pantalons en tire-bouchons. Nicole, que j’ai rencontrée il y 5 ans, est la nièce de ma voisine de palier Helen. Lola est la compagne de voyage de Nicole et ne parle pas trois mots d’Anglais. Elles venaient de France visiter les USA et devaient habiter chez Hélen. Cependant Tom, l’ami d’Helen qui habite une autre ville, avait prévu de l’emmener en vacances à la période où les filles étaient en visite. Pour sauver la situation, Helen demanda si les filles pouvaient passer quelques jours chez moi. Pourquoi pas ? Mes filles sont grandes et vivent de leur côté et ce serait agréable d’avoir deux jeunes femmes dans les parages. J’ai une grande maison style ranch avec un sous-sol aménagé avec une grande chambre, salle de bain et cuisine. Ce serait leur appartement privé. Ma femme n’y voyait pas d’inconvénients aussi longtemps qu’elles garderaient l’endroit propre et puis elle n’avait pas peur que j’aie des problèmes avec elles. Que pourraient-elles faire d’un vieux croûton chômeur de 54 ans, gros et chauve de surcroît. Les filles arrivèrent avec leurs sacs en toile pour tout bagage et nous offrirent une bonne bouteille d’huile de truffe française. Nicole avait grandi ; je m’en souvenais comme d’une maigre petite fille avec des taches de rousseur, parlant Anglais avec l’accent Français (en fait, elle est née aux USA et sa mère est américaine), je la retrouvais grande et très jolie. Ses habits vagues masquaient ses formes et je découvrit ce qu’elle cachait lorsqu’elle me congratulât par une chaude et ferme étreinte. J’ai sentit alors ses bras incroyablement fermes et ses formes sensuelles sous le sweater. En secret, j’ai toujours admiré les femmes musclées et je me représentais en esprit le corps qu’elle cachait. Nicole présentât ma femme et moi à sa belle amie Lola qui pouvait tout juste dire « Hello! » mais me gratifiât elle aussi d’une solide étreinte et de bisous sur les deux joues. Comme pour Nicole, les habits amples de Lola masquaient son corps particulièrement solide et j’avais presque senti craquer mes côtes sous son étreinte. Ma femme annonçât alors qu’elle partait pour faire quelques courses et serait de retour dans deux heures. Je les aidais alors à s’installer dans leur appartement, leur montrais les lieux et en cas de besoin « elles n’auront qu’à appeler. » Nicole me demandât si j’avais quelque équipement qu’elles pourraient utiliser pour s’exercer ? J’avais quelques vieux poids dans un placard et un vélo d’appartement. Nicole en toisant mon corps rondouillard se mit à rire : « Tu as des haltères ? C’est marrant... » Je remontais ma manche, pliais mon avant-bras et lui dis de « sentir çà » comme une bosse plus ou moins dure sortait de mon bras. En le tâtant elle rit : « Tu es drôle, veux-tu voir de vrais muscles ? » Alors roulant ses manches elle exposât les biceps féminins les plus symétriques et les plus développés que j’ai pu voir. J’étais transporté par cette vision et lui demandais timidement comment elle pouvait être aussi musclée ? Elle m’expliquât alors que Lola et elle faisaient du bodybuilding et qu’elles payaient leurs études en étant catcheuses. « Qui combattez-vous ? » demandais-je. « Surtout des hommes » répondit Nicole. « Aimes-tu les femmes fortes et musculeuses ? Voudrais-tu nous voir poser ? » « Tu demandes si un aveugle veut voir ? J’adorerais çà. » Nicole dit quelques mots en français à Lola et les deux filles se débarrassèrent de leurs vêtements informes dévoilant leurs corps époustouflants juste vêtus de leurs soutiens-gorge et culottes noirs. Leurs jambes étaient parfaitement proportionnées avec des quadriceps finement ciselés et leurs abdos étaient durs. En transes, je les regardais faire jouer un muscle après l’autre. Mon petit membre aussi était en transes et grossissait comme jamais avant. J’étais au ciel, juste un peu embrassé par mon état. Lola remarquât que j’essayais de cacher mon émoi derrière un oreiller et dit un mot à Nicole. Elles stoppèrent immédiatement leurs exercices et Nicole me dit « Tu sais David, nous prenons 300$ pour montrer cela, mais nous sommes tes invitées et çà ne serait pas correct de te faire payer ; mais peut-être pourrais-tu faire quelque chose pour nous ? » Je lui demandais quoi ? « Si nous luttons avec toi et que tu nous bats, c’est gratuit » dit Nicole « Si nous te battons, tu nous montre ce que tu caches, çà marche ? » Bien que je ne mesure que 1m70 pour 104 kgs, je suis plutôt costaud et je connais quelques bonnes prises, cependant ces filles ont l’air dangereux... Mais c’est mon fantasme, ma femme est partie, alors pourquoi pas ? « OK les filles, ont y va ! » Ont vide un espace dans la chambre et on commence à lutter. Lola m’attrape autour du ventre avec ses bras massifs et me balance sur son épaule comme si j’étais une plume, puis me jette sur le lit. Elle me saute dessus en position pour contrôler mes mouvements, puis elle m’enfourche, rebondissant sur mon ventre ; je peux sentir l’impact de ses petites fesse dures sur moi si bien que ma virilité se dresse plus raide que jamais. Puis elle se penche et commence à m’étouffer avec sa poitrine drue. Nicole la tire alors en arrière, me saisit comme une poupée de chiffons et, avec un petit sourire sardonique sur sa jolie figure, passe ses jambes d’acier autour de mon ventre et commence à me serrer comme un étau. Cà fait mal et je suis au Paradis. Je tends mes muscles stomacaux au maximum pour contrer la pression et tenir aussi longtemps que je peux. Pendant que je suis dans l’étau implacable des merveilleuses jambes de Nicole, Lola presse son genou contre mes parties et commence un mouvement de frottement. Puis elle remplace son genou par sa main et serre ma grosseur de toutes ses forces. Je ne peux plus résister, la douleur et le plaisir me brouille l’esprit, je commence à faiblir et éjacule dans mon slip. Nicole me lâche, s’assied et hurle de rire à la vue de la trace sombre et humide qui s’élargit sur mon pantalon. Gêné, je me rue (enfin, je me traîne) dans l’escalier vers ma chambre pour me changer et restaurer mon égo, poursuivi par les rires des filles. Juste alors, j’entends la porte du garage qui s’ouvre. Ma femme est de retour et m’appelle pour transporter les sacs d’épicerie. Gisant endolori, faible et coupable dans la salle de bains, je ne peux même pas lui répondre. Nicole lance avec son accent Français si sexy « Ne bouge pas un muscle David, tu dois être crevé avec tout le boulot que tu fais » et elles éclatent d’un rire diabolique « Nous allons adorer passer quelques jours avec vous...on espère que çà ne sera pas trop dur pour toi ! »