Ma Nouvelle Secrétaire. D’après Intenseman J’ai devant moi une journée qui s’annonce très pénible. Ma secrétaire m’a quitté, elle a préféré travailler avec Valérie, ma rivale au boulot, qu’elle a jugé plus dynamique, plus ambitieuse que moi. Elle m’a annoncé cela tout à l’heure, mais gentiment elle a contacté une agence qui m’enverra une secrétaire dans la matinée. Je m’assois à mon bureau, affolé, une secrétaire est utile, très utile, il serait temps que je m’en rende compte. Toc, toc, toc. Je feuilletais une revue, il est 9h30, cela doit être ma nouvelle secrétaire. Je me dirige vers la porte, mais je ne suis pas préparé à ce qui va m’arriver. J’ouvre la porte, et je vois la plus grande, la plus imposante femme que je n’ai jamais vue. Sa tête ne passe pas par l’encadrure de la porte. Je baisse les yeux, pour voir si elle porte des talons. Mais non, elle porte des sandales aux talons plats. Je l’invite à entrer et note qu’elle se tourne légèrement pour passer la porte, ses épaules sont si larges. Bonjour, je m’appelle Richard Johnson, dis-je nerveusement. Bonjour, je suis Candy, je suis heureuse de vous rencontrer. On ne m’avait pas prévenu que vous étiez si bel homme. Elle a dit cela naturellement, un immense sourire illumine son visage. Je la dévisage, elle est très belle, géante mais très belle. Ses cheveux sont clairs, ses yeux sont bleus, ses lèvres sont fines et légèrement maquillées. Elle porte un pantalon et un tailleur strict, une veste élégante renforçant si besoin était la stature imposante de Candy. Elle est grande, je devrais dire géante, mais pour ce que je vois, elle n’a pas un gramme de trop, ses mains sont fines, ses ongles longs et propres. Je l’admire, elle est très féminine et le sait, je ne peux détacher mon regard d’elle. C’est elle qui rompt le silence. Etonné, Richard ? Pardon, Candy ? Etonné de quoi ? Etonné par moi, ma taille, mon physique ! Je comprendrai votre refus de m’engager. Pardonnez-moi, Candy de mon attitude, je vous trouve ravissante, et je suis certain que vous travaillerez efficacement pour moi ! Ses yeux brillent, elle se saisit de moi et m’étreint. A ce moment, je sens que son corps est particulièrement musclé. Mon visage se retrouve comprimé entre ses seins fermes. Mon dieu ils sont énormes. Je touche son bras, il est ferme, de meme sont ventre est dur comme du béton. Ce contact m’émoustille. J’ai toujours rêvé d’être au contact d’une femme musclée, qui se battrait contre moi, qui me porterait dans ces bras. Je panique, mon sexe se durcit et rentre en contact avec sa jambe. J’essaie de me dégager, mais impossible. Je prie qu’elle ne sente pas mon érection. Elle me relâche finalement, son visage souriant se porte immédiatement sur la bosse qui déforme mon pantalon. Je vois son œil pétiller et sa langue passe, gourmande sur ses lèvres. Je suis cramoisi, rouge de confusion et de honte. Tu es vraiment mignon, Richard, tu es très gentil. Ne sois pas gêné, dit-elle en pointant mon pantalon tendu. Les hommes ont en général une réaction opposée, hostile. Je suis flattée d’être à ton goût, et tu me plais également. Prenez un siège, Candy. Je lui tends un siège et l’invite à s’asseoir. Assise, elle est toujours aussi grande que mes 1m75.Comme si elle lisait mes pensées elle me dit : Ne sois pas complexé, je mesure quand même 2m08, pieds nus ! Je suis désolé, je n’avais jamais eu la chance de voir une femme aussi grande que vous. Je n’ai même jamais vu un homme aussi grand que vous. Je comprends, Richard. Son sourire est généreux, moqueur. Je retourne à mon bureau et panique à nouveau, a l’arrivée de Candy je lisais une revue intitulée « Le monde merveilleux des femmes athlétiques » et consacrée aux bodybuildeuses et autres fortes femmes. Je me penche pour la saisir, mais l’énorme main de Candy se pose sur la mienne. Richard... Richard... Arrête d’être embarrassé, ce magazine confirme juste ce que je sais déjà. Elle me murmure à l’oreille : Tu es fou de moi, mon corps, mes muscles, tu m’aimes ! Candy, vous êtes très jolie, mais... Elle se lève et retire sa veste. Ma mâchoire tombe de stupéfaction de désir, comme le loup de Tex Avery. Son cou à la taille de mes cuisses, ses épaules regorgent de puissance, ses seins semblent plus énormes que lorsque je me tenais contre eux. Bien sur, mon pénis est déployé, désirant cette femme si délicieuse. Mon cher Richard, je suis ton fantasme, n’est-ce pas ? Je ne peux qu’acquiescer, je suis en transe. N’as-tu jamais rêvé de moi ? 2m08, 190kg, musclée, féminine, et une poitrine énorme ? Elle éclate de rire, sa main caresse ma tête. Incroyable, vous êtes incroyable ! Etes-vous aussi forte que vous en avez l’air ? Elle me sourit, espiègle. Combien d’hommes ont été nécessaires pour porter ton bureau, chéri ? Quatre, pourquoi ? Bon il pèse au moins 200kg, mon chéri, tu vas te coucher dessus ! Je devine ce qu’elle va faire, je me place sur le bureau, elle se penche, écarte ses bras. Je me sens soulevé. Elle porte le bureau ! ! ! je me redresse prudemment et m’approche de sa bouche Je t’aime mon Amazone. Nous nous embrassons, elle repose le bureau, me love dans son bras, je me sens bien, amoureux, j’ai enfin trouvé la femme de ma vie. Tu sais quoi, Richard ? Je ne serai pas ta secrétaire, je ne crois pas utile de travailler pour l’homme qui va être ma petite chose à moi ! ! ! Traduit librement par elricnec@aol.com