Trop facile par Hardie Bobby est tabassé par sa jeune demi-sœur. Je l’avais saisi par les épaules, l’obligeant à se pencher de coté. Son jeune, et svelte, corps s’inclina vers l’arrière. Elle s’affaissa sur le lit. Sa jupe s’était relevée autour de sa taille, je ne me rappelais pas qu’elle eut d’aussi jolies jambes pour une fille de son age. Ses jambes étaient finement ciselées et paraissaient si douces. J’avançais tranquillement vers elle. Moi, un jeune mâle de quatorze ans, combattant une jeune fille de douze ans. Ce n’était pas équilibré, mais c’était elle qui l’avait voulu. Ma belle-mère nous observait, sa fille allongée sur le lit, moi debout face à ma demi-sœur Je ne faisais aucun des travaux ménagers, estimant que c’était le travail des femmes. Ma belle-mère ne l’entendait pas de cette oreille et m’avait prévenu que j’en subirai les conséquences. Les conséquences étaient ce combat avec Sarah, que je venais d’étendre si facilement. Ma demi-sœur semblait vulnérable, je venais m’installer au-dessus d’elle, lui demandant si elle en avait assez. A ce moment elle me donna un coup de pied dans les bourses. Je n’avais pas vu le coup partir, et je sentis juste l’affreuse douleur m’envahir. Je tombais à genoux, me tenant les couilles dans mes mains. Elle se redressa, tentant d’écarter l’une de mes mains. Je résistais, elle saisit alors l’un de mes doigts le tordant. Elle n’avait alors aucun mal à écarter ma main, car je ne voulais pas qu’elle casse mon doigt. Je ne tenais plus mes bourses douloureuses que de ma seule main libre. Je ressentis une vive douleur à mon épaule. Elle me tordait mon bras. Elle me tirait les cheveux et je me sentis partir en arrière, mon épaule était en feu. Je criais. La jeune fille que j’avais à ma merci, quelques moments auparavant, me tenait à présent sous son contrôle. Elle tordait mon bras sans pitié. Je gémissais, elle le lâcha, il retomba mollement de coté. Je sentis sa main s’insinuer entre mes fesses, j’essayais de serrer mes cuisses. Trop tard ! La main féminine s’était emparer de mes testicules. J’avais simplement un slip et un short. Aucunes défenses contre cette agression. J’étais impuissant face à la poigne de ma demi-sœur ! Elle me tint ainsi un moment. Je ne pouvais pas bouger. Je respirais bruyamment. La seule chose qu’elle avait à faire était de tenir fermement sa prise. J’éclatais en sanglots, mon corps tremblait, tremblant de peur et de douleur. -S’il te plait, lâches moi, tu as gagné. -Non, m’interrompit ma belle-mère. Rappelles toi Sarah, tu dois le tabasser, jusqu’à ce qu’il soit complètement anéanti. La prise se resserra un peu plus sur mes couilles. Mon cœur palpitait fortement. Je me souvenais de la vue de mon père, quelques jours après son mariage avec ma belle-mère. Elle le tenait par le coude, ils arrivaient de la cave. Il marchait difficilement. Son visage était rouge. Son torse nu était couvert de tâches rouges. Ses muscles puissants tremblaient, et il avait poursuivi d’un air abattu son chemin vers sa chambre à coucher. Belle-maman semblait heureuse et jubilait. -Il est tombé, nous avait-elle dit. Il va se coucher. Depuis ma belle-mère avait définitivement pris le pouvoir, et je savais maintenant ce qui s’était passé. Elle avait tabassé mon père, et à présent c’était moi qui subissais le même traitement de la part de sa fille. Je tentais avec ma main, de repousser ma demi-sœur. Elle écrasait mes couilles. Je criais de douleur. -Debout, ordonna-t-elle. Timidement je me redressais. -Mets tes mains dans ton dos ! J’obéissais, et elle lâcha mes couilles. Sa main s’empara d’un de mes bras, et le tordit dans mon dos. Elle me tourna face au mur, me tenant le bras et de son autre main par les cheveux. Totalement anéanti de douleur et de peur, je la laissa placer sa prise sur mon biceps. Me tenant toujours contre le mur, la fille plaça son genou entre mes cuisses et donna un violent coup dans mes couilles. Je tombais dans les pommes, la douleur était trop insupportable. J’étais tombé au sol, lorsque je me réveillais, Sarah était assise sur ma poitrine. Ses yeux luisaient d’excitation, et elle me souriait. -Maintenant, je vais te donner une leçon. Elle avait dit cela d’un ton rieur, et m’avait giflé. Elle m’avait ensuite giflé à plusieurs reprises. Je comprenais à peine ce qui m’arrivait, j’avais trop mal. Je sentais que je saignais. Je tentais de la frapper d’un coup de poing, mais elle m’en empêcha facilement, replaçant mon bras au-dessus de ma tête ; Les coups suivant sur mon visage, eurent raison de ma résistance. Quand elle en eut assez, ma demi-sœur descendit de ma poitrine, et elle me déshabilla totalement. J’étais nu devant elle. Je me recroquevillais, essayant de protéger ma virilité, toute dignité envolée. Battu par une fille. Elle commença à me donner des coups de pied, je criais sans retenue. Je désirais seulement qu’elle arrête de me battre. Je la suppliais d’arrêter, parlant mot à mot, jusqu’à ce que la douleur m’empêche d’articuler la moindre phrase. Je gisais là, le corps meurtri par les coups qui continuer de frapper mon corps. -Ok chérie, je crois qu’il en a assez. Sarah cessa de me frapper. -Tu sais ce qu’il faut faire maintenant ! -Oui, maman. Retournes-toi sur le dos toi ! J’exécutais aussi vite que possible son ordre, les yeux rempli de larmes. Sarah se tenait au-dessus de moi, mains sur les hanches, je pouvais voir ses cuisses magnifiques disparaître sous sa jupe. Mon sexe se dressait. Malgré la douleur, et l’humiliation d’avoir été rossé par une jeune fille, j’avais une érection, au pied de cette Amazone. -Regarde, maman. Dit-elle se moquant de moi, pointant son doigt en direction de ma queue. -cela arrive souvent lorsqu’une fille bat un mâle, c’est le signe qu’il trouve cela stimulant, à partir de maintenant il fera n’importe quoi pour te satisfaire. N’est-ce pas Bobby ? J’acquiesçais, j’étais terrifié et excité dans le même temps. Tout ce que je voulais étais, obéir à Sarah, et qu’elle ne me fasse plus souffrir. -A genoux, commanda-t-elle, avances et embrasses mes pieds. Trop heureux j’obéissais à l’ordre donné, elle tapa sur mes fesses. -Assieds-toi ! Je posais mes fesses sur mes talons -A partir de maintenant, tu fais ce que JE dis ou tu sais ce qui risque de t’arriver. -Oui, je sais, dis-je humble. -Tu dois répondre, oui Mademoiselle. Obéissant je répondais : -Oui, Mademoiselle. -Maintenant la dernière étape, dis belle-maman. -Sur les fesses ! -Oui, Mademoiselle. -Ecartes les jambes, ordonna-t-elle -Oui, Mademoiselle. -Maintenant, branles-toi. Je croyais rêver, elle frappa fortement ma cuisse, ses yeux brillaient. -J’ai dis, branles-toi. Et je le fis. Assis devant ma jeune demi-sœur, regardant son joli visage et ses charmantes jambes, j’abandonnais définitivement toute dignité, me masturbant devant elle. Traduction : elricnec@aol.com