Service au tennis par escribe1@caramail.com Un homme est puni et humilié par une jeune joueuse de tennis --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Serving at Tennis", paru dans "Miscellaneous Two". --------------------------------------------------- Ce matin-là je devais retrouver au tennis Christine, cette petite nana sexy au corps de rêve. Si je lui avais proposé de jouer, c'était en fait principalement pour admirer ses jambes aux lignes pures et voir son postérieur athlétique se trémousser sur le court. J'espérais bien conclure avec elle plus tard dans la journée... Nous arrivâmes au club vers onze heures et demi, prêts à jouer, mais les quatre courts étaient pris. De plus, deux femmes attendaient déjà pour le prochain terrain libre. Voyant qu'elles ne paraissaient pas être trop attentives, je me figurais que lorsque le prochain court serait libre il me suffirait de les prendre de vitesse. De toute manière que pourraient-elles y faire ? Me tirer dessus ? Je les détaillai du regard : l'une était une charmante blonde d'une vingtaine d'années, portant un haut de tennis blanc sans manche, ainsi qu'une jupe plissée. Ses cheveux dorés étaient rassemblés par une queue de cheval, et elle avait tout à fait l'air d'une collégienne. L'autre pétasse était probablement sa mère, la quarantaine bien tassée. Il y avait également à côté du club toute une troupe de types en train de jouer au basket. Cela me rendait malade : cette jolie blonde, qui était vraiment resplendissante, en fait même plutôt canon, allait jouer sa petite partie de tennis avec "Mère", au lieu de sortir avec un mec comme moi. Quel gâchis ! Elles avaient toutes les deux l'air si coincé, que je m'imaginais déjà leur réaction offusquée lorsque je leur passerai devant : "tss, tss, quelle impolitesse !' Je m'assis alors, et commençai à occuper mes mains, essayant de les passer à l'intérieur du short de Christine. Je m'amusais ainsi avec elle pendant quelques minutes, puis un court se libéra. La mère et sa fille commençèrent à se bouger doucement, mais j'agrippai vite Christine pour me précipiter devant elles et rentrer le premier sur le terrain. Christine me dit quelque chose à propos de ces femmes qui étaient là avant nous, mais je lui répondis que c'était leur problème : nous allions jouer au tennis, puis ensuite nous passerions à une autre occupation... Soudain, j'entendis une voix très douce mais très claire : "excusez-moi monsieur, je pense que nous étions là avant vous." C'était la jeune blonde. Elle avait une voix exquise, avec une diction parfaite. Je pensais que j'allai vite lui clouer le bec. "Vous êtes folle ? J'étais ici avec ma copine en premier. Allez voir ailleurs si j'y suis !" lui criai-je le plus agressivement possible, en la fixant du regard. La blonde me regarda dans les yeux à son tour, avec un air étrange, à la fois outré et plein de défi. La situation devenait très tendue... Puis "Mère" s'approcha pour lui dire quelque chose, et elle tourna les talons. Je me mis à rire : ceux qui prétendent que la terre appartient aux humbles se fourrent le doigt dans l'oeil, pensai-je alors que les deux femmes allaient se rasseoir. Puis, mon forfait accompli, je commençai à jouer avec Christine. Elle ne jouait pas trop mal, et réussit même à gagner le premier jeu, avant que le court d'à côté ne se libère, et que la mère et sa fille ne s'y installe. Je devais admettre que la jeune fille était vraiment un beau numéro. Elle avait des bras délicieusement dessinés, des jolis seins pointant à travers sa chemisette blanche, et des fermes et interminables jambes sous sa jupe plissée. Elle devait avoir été gymnaste, majorette ou quelque chose de ce genre. Quel dommage, pensai-je : un jeune fils à papa boutonneux allait avoir un jour ce corps superbe entre les mains, et ne saurait même pas quoi en faire. Elle ne jouait pas mal non plus, avec des coups assez forts et un beau style. Ses gestes avaient de la grâce tout en étant puissants. Je la trouvai réellement canon : vraiment, quel gâchis ! Par contre, sa mère était complètement nulle, et avec son revers elle envoyait régulièrement des balles sur notre court, nous empêchant de nous concentrer, Christine et moi. En plus, Christine était en train de gagner le deuxième jeu, aussi quand pour la énième fois leur balle arriva sur notre court, je la relançai furieusement en hurlant : "dégagez cette putain de balle !" Je suppose que j'avais tapé trop fort, car la balle rebondit juste devant la vieille dame et la heurta à la tempe. Bon dieu, elle manquait vraiment de réaction ! "Mère !" entendis-je crier la jeune fille. "Est-ce que ça va ?" Elle se rapprochèrent toutes deux du filet, et je pouvais sentir les yeux bleus de la jeune blonde me lancer des regards furibonds. Dur, dur ! Qu'est-ce qu'elle foutait ainsi sur le court avec cette vieille peau, gâchant mon rendez-vous avec la plantureuse Christine ? Puis ce fut pire. Quelques minutes après j'entendis la vioque gémir et vis alors la RAQUETTE voler vers notre terrain. Elle n'était même pas capable de tenir sa fichue raquette ! C'en était trop. Je m'approchai de cette saleté et y donnait un coup de pied pour l'envoyer vers la grille de séparation entre les deux courts, en expliquant à la vieille dame en termes explicites qu'elle n'avait rien à faire sur un court. La vieille resta immobile un moment, ne sachant comment réagir, se demandant si elle devait aller chercher sa raquette. Je repris alors le jeu avec Christine, mais elle restait ainsi debout près du filet, me fixant du regard comme si j'étais un extra-terrestre ou quelque chose du genre. Puis, je remarquai du coin de l'oeil que la blonde pulpeuse était en train de s'approcher de moi. Hé bien, je n'allai pas me laisser emmerder par cette pimbêche. "Non mais, où est-ce que vous croyez aller ?" Elle ne semblait pas tenir compte de mes paroles, alors qu'elle continuait à s'approcher de moi, ses yeux bleus me mesurant du regard. "Etes-vous capable de vous excuser ?" dit-elle. C'est ça. Comme si je devais m'excuser devant ces deux rebuts de la nature ! Je lui dit de foutre le camp. "N'avez-vous aucune notion de comportement civilisé ?" me demanda-t-elle ensuite, ignorant ma demande de déguerpir. Elle était maintenant à un mètre de moi. Je lui fis alors un doigt d'honneur. Soudain, elle dit : "d'accord, allons-y", et elle se mit alors dans une position bizarre, style kung-fu. "Carine !" entendis-je la vieille dame crier, "ne fais pas ça !" Je ne comprenais pas de quoi la mère voulait parler. Ne fais pas quoi ? Ne me fais pas rire, peut-être, c'est tout ce que cette petite donzelle était capable de me faire. Soudain elle se pencha en avant comme si elle voulait me toucher, aussi je décidai de la repousser. Hé bien, je ne me rappelle plus trop de ce qu'il arriva ensuite. Je me souviens qu'elle agrippa mon bras et commença à le tordre d'une manière extrèmement douloureuse. Je devais me contorsionner pour éviter d'avoir le bras cassé, et je finis par glisser ou trébucher pour me retrouver sur le sol. J'étais vraiment embarrassé, avec cette fille debout à côté et moi allongé par terre, massant mon bras meurtri. Pour rendre les choses plus pénibles encore, Christine s'était approchée du filet et avait observé toute la scène, bouche bée. Je me remis sur mes pieds et la blonde me regarda en disant : "êtes-vous prêts à vous excuser maintenant ?" Je la fixai à nouveau avec défi. Elle glissa alors sur le côté, comme si elle voulait partir, mais au lieu de cela lança en arrière son coude, le plantant dans ma poitrine. Je sentis tout l'air sortir de mes poumons et je me mis à suffoquer. Puis elle se retourna complètement et se mit à me gifler, alors que j'étais toujours en train d'essayer de reprendre mon souffle. Tout cela était arrivé si vite... J'étais totalement étourdi par les coups et le manque d'air, et je cherchais juste à me maintenir debout, les bras ballants. La fille me lança un petit sourire puis me tourna le dos à nouveau, mais cette fois je devinai qu'elle n'allait pas me frapper avec ses bras, et qu'elle allait essayer de me faire une ses prises de karaté en me lançant un coup de pied. Au moment où je levai mes mains pour bloquer le coup, je sentis sa chaussure de tennis heurter mon visage, juste à gauche de mon nez. C'était comme si j'avais reçu un crochet de Mike Tyson. Je tombai à moitié dans les pommes, et tout ce que je pouvais entendre était Christine, pleurant : "arrêtez, s'il vous plait ! Vous lui faites mal !" La blonde l'ignora. "Tu es un peu lent," dit-elle, debout droit moi. "Je pourrais t'utiliser comme punching-ball. On pourrait faire ça toute la journée." Pour rendre la situation encore pire, je pouvais maintenant entendre faiblement un concert d'applaudissements et d'encouragements, et je notai que tous les jeunes qui jouaient au basket à côté du club s'étaient arrêtés et observaient avec attention cette jeune blonde sportive me filer une trempe. Cela ne pouvait plus continuer ainsi. J'allai me lever et mettre toute ma force dans un coup qui allait la faire valdinguer à travers le court. Je me relevai le plus vite que je pouvais et la fixai. Elle était sur ses gardes, mais elle avait l'ébauche s'un sourire narquois qui donnait l'impression qu'elle avait obtenu sa revanche et qu'elle s'en satisfaisait. J'ai pratiqué un peu de boxe au lycée, et je pensai que je pouvais feinter avec un faux crochet du gauche pour l'embrouiller, afin de l'ajuster ensuite avec un direct du droit : c'est moi qui rirait alors en la regardant de haut... Je commençai ma feinte et manquai la fille, comme prévu, mais par contre je fus surpris lorsque mon droit, au lieu de l'envoyer dans les roses, ne rencontra rien d'autre que de l'air. Elle avait des réflexes presque magiques. J'essayai de l'atteindre de plusieurs coups de poing, mais elle arrivait à les éviter comme si elle dansait autour. C'était totalement frustant. Elle semblait savoir ce que j'allai faire avant moi. Si seulement je pouvais la toucher une fois ! Mais elle était si rapide qu'elle arrivait à tout éviter. Même les coups qu'elle ne parait pas complètement, elle s'arrangeait pour les bloquer avec un mouvement circulaire qui m'empêchait de passer. Soudain, elle me rentra dedans et commença à déclencher une pluie de coups incroyablement rapides. Je tentai en vain de bloquer au moins l'un d'entre eux, mais il semblait qu'elle pouvait toujours s'arranger pour frapper plus vite que mes tentatives de défense. Ses coups n'étaient pas aussi puissants que ceux d'un homme, mais ils étaient extrèmement précis et semblaient toujours toucher les zones les plus sensibles, me causant ainsi une grande douleur. Elle se moquait maintenant ouvertement de moi. Mes bras étaient douloureux et sans force. J'avais abandonné l'idée de la toucher, elle était vraiment trop rapide. J'essayai au moins d'arrêter un de ses coups, qui m'atteignaient régulièrement dans les endroits les plus douloureux. Finalement, un crochet du droit vint me cueillir au menton, et je m'écroulai. Les joueurs de basket s'écriaient : "il est par terre ! Elle l'a eu ! Elle l'a assommé ! Elle lui a foutu une sacré avoinée !" Cela a été une des expériences les plus douloureuses de ma vie. Toujours incapable de respirer normalement, je commençais à prendre conscience de la douleur qui m'envahissait de la tête aux pieds. J'en avais eu assez. J'espérais seulement que c'était aussi le cas pour elle. Je restai étendu ainsi sur le ventre, ne sachant pas ce qui allait arriver ensuite, seulement que ce serait ce qu'elle aurait décidé. Alors que je demeurais allongé, je l'entendit dire : "Oh zut, mon lacet est défait !" Je n'en croyais pas mes oreilles : elle venait de me casser en mille morceaux, et elle se plaignait de son lacet défait ! "Et bien..." dit-elle. Et je sentis alors la pression de la semelle d'une de ses tennis sur mon visage. Elle se baissa sur un genou et commença à remettre son lacet. Cette salope était en train d'utiliser mon visage en y posant son pied pour refaire son lacet ! Je pensai à essayer de me lever, mais je ne bougeai pas, tétanisé par le souvenir de la manière douloureuse avec laquelle elle m'avait maîtrisé. Je ne voulais pas subir ça à nouveau. En plus, elle ne paraissait même pas essoufflée ! Les jeunes basketteurs faisaient maintenant un vrai vacarme. Christina sanglotait de temps en temps des "arrêtez, s'il vous plaît", et la vieille dame regardait tout ça avec une espèce de fierté en voyant ce que sa petite fille avait infligé à son tourmenteur. La blonde prit tout son temps pour faire son lacet sur mon visage. Puis elle se releva, mais je ne bougeai toujours pas. J'espérais que mon humiliation était terminée. Elle m'avait battu avec une telle facilité et elle m'avait humilié devant ma copine et tout un groupe d'adolescents. Mais je n'étais pas au bout de mes peines, et je ne pouvais pas faire autre chose que subir ce qui allait arriver. "Maintenant", dit-elle, "maintenant que nous avons mis les choses au point, nous avons encore du travail qui nous attend. La raquette de ma mère est là-bas, le long de la clôture, là où tu, hum... L'as jetée. Je pourrais aller la chercher, mais cela ne t'apprendrait pas ta leçon ! Mets-toi à quatre pattes et rampe jusque là !" Je ne pouvais croire que cette mignonne petite blonde allait me faire ramper à travers le court de tennis, sur mes mains et mes genoux ! J'envisageai de refuser, mais j'étais effrayé qu'elle recommence à m'infliger ses coups douloureux. Essayant d'ignorer les spectateurs de cette scène, je commençai à avancer à quatre pattes vers la raquette. Soudain je l'entendis dire : "je ferais mieux d'y aller avec toi, pour être sure que tu va bien le faire" et alors, croyez-moi ou non, je sentis son poids sur mon dos, et elle commença à me chevaucher comme si j'étais son poney ou quelque chose de ce genre. Les jeunes joueurs de basket étaient hilares. Je peux dire que ma cavalière eut son succès à cet instant-là. Elle se mit à agiter le poing en l'air en criant "allez, hue !" alors qu'elle me chevauchait. Après ce qui me parut des kilomètres, je parvins finalement à la raquette. "Maintenant, prends-la avec ta bouche et ramenons-là à ma mère" l'entendis-je dire au-dessus de moi. Je ne pouvais y croire. Elle allait me faire traverser le court de tennis avec une raquette entre les dents, chevauché par elle ! Elle a dû sentir à ce moment-là que je commençais à envisager de refuser, car elle se mit soudain à serrer ma poitrine avec ses jambes puissantes. La douleur était insupportable, surtout après les traitements qu'elle m'avait déjà fait subir. La facilité avec laquelle elle pouvait me faire mal était effrayante, et ce petit rappel avec ses jambes suffit à m'ôter toutes velléités de résistance. Je pris la raquette dans ma bouche et commençai à revenir vers la mère, portant la fille sur le dos, comme une bête de somme portant sa charge. Quand je fus à un mètre de la mère je levai la tête et vit qu'elle arborait sur les lèvres un sourire de fierté. "Toutes ces années de karaté ont vraiment été utiles, Carine ! C'était très impressionnant. Un instant auparavant il essayait de nous intimider, et maintenant tu l'as réduit à l'état de l'animal qu'il est ! Je suis si fière de toi !" Carine se pencha en avant et me dit : "Pose la raquette à côté des pieds de ma mère et ensuite embrasse-les, chien." Elle se mit alors à planter le talon d'une de ses tennis dans mes côtes : elle pouvait m'infliger de la douleur où elle le désirait. Je ne souhaitais pas risquer de renouveler cette expérience, alors je me résolus à poser la raquette et j'embrassai chacun des pieds de la mère, l'un après l'autre. La femme agée me sourit alors en me disant de la regarder. Puis son sourire de fierté qu'elle avait auparavant s'envola. A la place je découvris un visage d'une sévérité extrème, ne montrant aucune pitié pour la personne humiliée qui avait été forcée d'embrasser ses chaussures. "Que penses-tu de notre pouvoir sur toi maintenant ?" dit-elle, "Te rends-tu compte de la stupidité tu as eu de nous avoir manqué de respect ? Dis-moi comme tu es stupide." Je sentis alors la fille planter son autre talon dans mes testicules douloureuses. "Ma mère t'a donné un ordre ! Ne la fais pas attendre !" "Oui madame, je suis stupide" dis-je en murmurant, le plus bas possible. La fille se leva finalement de mon dos, se tourna vers sa mère et dit : "il n'a même pas la présence d'esprit de s'excuser. Je vais le laisser ramper pour partir. Allez, hors de notre vue, idiot !" Je repartis lentement à quatre pattes vers Christine, qui était en train de sangloter, ayant asssisté à toute mon humiliation. Puis je me relevai et nous commençâmes à partir ensemble. Christine répètait sans cesse : "ne dis plus rien, ne dis plus rien." Tout à coup j'entendis la blonde, ma tourmenteuse, crier : "COURS ! Je veux te voir courir hors d'ici !" Je me retournai et la regardai, et constatai qu'elle se mettait à se diriger vers moi à nouveau. Tout ce qui me vint à l'esprit fut la peur de me faire battre douloureusement, et je me mis alors à courir, forçant Christine à me suivre. Tout ce que je pus entendre furent les moqueries des jeunes basketteurs. Je me retournai une dernière fois et vit la mère que j'avais fais l'erreur d'importuner étreignant avec fierté sa fille, qui avait eu le pouvoir de me réduire à l'état d'animal.