La soumission de Norbert Sylvie, trente cinq ans, regarde par la fenêtre son amant Marcus, un jeune black de vingt deux ans s'éloigner. Ils viennent de passer deux heures à faire l'amour. Marcus s'assied sur la murette du parc, et fini d'ajuster son survêt, juste quand Norbert, le mari de Sylvie, rentre de son footing, simplement vêtue d'un short et d'un juste corps. "Ouf" ils ont eu chaud. Mais Norbert a un doute. Il s'avance vers Marcus, et s'engage une violente altercation entre les deux hommes. Norbert bouscule Marcus à plusieurs reprises. Mais le jeune black n'est pas du genre à se laisser faire. D'un geste rapide, il envoie une main entre les jambes de Norbert, et lui saisit les couilles. -Aieeeeeeeiiiiiiiiooooooouuuuuuu.....haaaaaaaaaaaaaa.....hoooouuuuuu...hoooouuu .... Norbert essaie de dégager la main de son agresseur, en vain. Marcus tire les bourses dans tous les sens. A tel point, que Norbert ressemble à un pantin désarticilé. -Aieeeeeeeee....oooiiiiiiiooooouuuuuueeeee...aiiiiiiieeeeeee... Norbert commence a fléchir sur ses jambes. da sa main libre, Marcus le prend par le cou, et le couche sur la murette. La main a sorti les attributs en dehors du short. Les testicules roulent entre les doigts de Marcus. La bite, entièrement décalottée, n'est pas épargnée non plus. -Aiiiiieeeeee.....noooooonnnn....assez......noooonnnnn...pluuuuussss.....aiiiie ee.... Jugeant que son adversaire avait son compte, Marcus lâche sa victime, lance un regard vers la fenêtre de sa maitresse, et tourne les talons. Sylvie lui fait bravo avec le pouce, et lui envoie un baiser. Norbert git allongé sur le mur, une jambe dans le vide, la main sur son sexe endolori. Malgré la douleur, il se relève péniblement, remonte son short, et rentre chez lui. -Alors mon chéri, dit Sylvie, çà va, tu as l'air fatigué. -Un peu, bégaie Norbert, ignorant que son épouse a tout vu. Je vais prendre une douche. Au bout de dix minutes, Sylvie rejoint son mari à la salle de bains, pour constater les dégâts. -Je viens t'essuyer le dos, dit-elle. Mon dieu...mes tes couilles sont bien grosses! -Je me suis tombé, se défend Norbert. -Et le bout de ton fifre, il est tout rouge, poursuit-elle, ce n'est pas du à une chute çà, c'est quoi? Norbert baisse la tête,  évoque sa rencontre et sa mésaventure d'avec Marcus. -Il t'a attrapé ton petit oiseau? On peut pas mettre de la pommade à cet endroit. Tu vas être obligé de  rester en tee short, et que ta queue soit bien décalottée pour que çà guérisse plus vite. En plus, il y a  ma mère qui arrive demain. -Oh non, pas Jeanne, elle est trop méchante. -Mais non, répond Sylvie. La dernière fois, elle t'a mis une raclée parce que tu n'étais pas sage. Tu vas  voir comme elle va bien te soigner. Surtout que ce sera facile. Ta quéquette et tes noisettes seront  accessible. En plus, on ne pourra pas faire l'amour. Je vais demandé à Marcus qu'il vienne s'installer ici  pendant quelques jours. Il pourra me niquer toute la nuit. Toi, tu coucheras avec maman. Soumis, Norbert accepte la proposition de sa femme. Le lendemain, Sylvie donne un tee short à son époux. Dans la nuit, le prépuce a recouvert le gland. Sylvie s'avance de son mari et lui saisit le membre. -Fait voir mon chéri que je te décalotte le sifflet, voilà, comme çà. Si çà se reproduit, pense à demander à  ta belle maman de te décalotter, d'autant plus, qu'elle aime bien les bites. C'est vrai que le tee short est un  peu court, ce sera plus facile pour t'attraper. Dis salaud..mais tu bandes, polisson. C'est à ce moment qu'on sonne à la porte. Sans doute Jeanne. Sylvie se précipite d'aller ouvrir. -Bonjour man, çà va, contente de te voir, bisous. -Bonjour mes enfants, moi aussi j'avais hâte de venir. Jeanne est une femme d'une soixantaine d'années, frisant les quatre vingt dix kilos. Norbert en a une peur bleu, depuis qu'elle l'avait mis tout nu, pour lui donner une fessée devant sa femme. Ce jour là, il pleurait comme un gamin, surtout quand les gifles lui attrapait les bourses. Jeanne s'approche pour embrasser son gendre, qui aussitôt porte ses mains devant ses attributs. -Tu as peur, dit-elle, tu sais bien que si je veux te les choper, je te les choperai. Après le repas du soir, les conversations s'orientent vite vers le sexe. La mère et la fille n'ont rien a se cacher. -Alors ma chérie, demande Jeanne, tes amours vont bien? Qui c'est qui te niques en ce moment. -C'est Marcus, mon jeune voisin, répond Sylvie. Il me tire deux ou trois fois par semaine. Quel étalon.  Chéri s'il te plait, tu nous sert le café? Norbert obéit. Gêné, il tire sur son tee short pour cacher ce qui peut l'être. Il pose le plateau sur la table basse. Soudain, il est happé par le bras musclé de sa belle mère. Celle-ci le couche de force sur ses genoux, et envoie une main entre ses jambes. -Aie..aie..ouillle...couine Norbert. -Tiens, çà faisait un moment que je t'avais pas pris par les couilles. Putain, c'est vrai qu'elle son enfle. Tu te  souviens comme j'ai fais pleurer ton oiseau la dernière fois. Comme je t'ai vidé les couilles, c'était bon hein?  Tu veux que je te le fasse encore. -Oui...oui...mais s'il vous plait belle maman, ne me faite pas mal...aie... Jeanne mouille ses doigts, et frictionne le gland décalotté de son gendre. Bien sur le frein avec le majeur. Norbert se tord sur les genoux de sa belle mère. -Regarde le comme il se régale, dit Jeanne. Hein qu'elle te fait du bien la belle mère? -Oh oui...je vais jouir...allez-y...faites moi cracher. Sylvie assiste à la scène, toute excitée. Elle éclate de rire quand les jets de sperme jaillissent sur la moquette. -Hi hi hi, mon chéri, elle t'a encore fait pleurer ta siffle. Tu vas voir comme maman va te dégonfler les couilles. -Allez, poursuit Jeanne, au dodo maintenant. Tu veux que je le prenne avec moi Sylvie? -Ouais, super, répond la fille. J'appelle Marcus alors. J'ai tant besoin de coups de queues en ce moment. Allez,  bisous mon chéri, et ne t'effraie pas si tu entends crier ta petite femme cette nuit. Rejoint nous demain matin.  Marcus te donnera un gros biberon. Soumis, Norbert fait un signe affirmatif de la tête, et suit sa belle mère à la chambre. Effectivement, Sylvie va hurler de plaisir une bonne partie de la nuit. Elle va se faire prendre dans toutes les positions. Elle va se faire niquer, doigter, enculer, tailler des pipes, avant d s'assoupir dans les bras de son amant. Jeanne, elle, s'amuse avec son gendre. Elle l'a immobilisé sur le lit, d'une clé au ventre. Norbert est paralysé, jambes écartés, sexe à la merci de sa belle mère. Celle-ci a isolé un testicule, qu'elle vrille entre deux doigts, juste pour le faire couiner. Norbert se tord comme un ver,  ses jambes glissent sur le drap. Jeanne rit aux éclats. -Aieeee...hiiiiii.....hou...hou...gémit-il. -Oh, sourit Jeanne, c'est à peine si je te touche. Si tu avais vu ce que je faisais à mon mari alors, qu'est-ce- que tu   aurais dit. Je le faisais mettre à quatre pettes, lui tirais ses couilles en arrières, et formais une grosse boule avec.  Il était complètement paralysé. Après, je lui serrais un testicule, je lui mettais des gifles sur les bourses. Tu l'aurais  entendu gueuler le pauvre. Il pleurais comme un gamin en demandant pardon. Quand j'y pense., ce que peut faire une  femme à un homme quand elle le prend par les couilles. Oh..mais çà t'excite ce que je te raconte, ta queue est toute  raide, salaud. Tu as besoin d'être purger, tu veux que belle maman te tape une branlette? -Heu...oui...s'il vous plait...maintenant que je suis bien décalotté...comme hier..frottez bien au bas de mon gland.  Vous savez si bien le faire, juste avec un doigt. C'est si bon. Le matin, Sylvie entend des cris et des rires qui proviennent du salon. Elle jette un oeil par la porte entre ouverte. Elle voit passer Norbert, entièrement nue, une main devant le sexe, poursuivit par Jeanne. -Tu vas voir quand je vais t'attraper les prunes, connard, dit -elle. Tu veux pas prendre ton biberon? On va voir çà. - Non..non, se plaint Norbert, je veux pas tailler une pipe à l'amant de ma femme. Aie...aieeeeee.....iiiaaaaoooouuu.... -Cà y est, fait remarqué Sylvie, elle l'a chopé. En effet, Jeanne a passé une main entre les cuisses de Norbert, par derrière, et le tire par les couilles qui dépasse largement des fesses. -Tu te rappelle ce que j'ai fais à mon mari, gronde-t-elle. Tiens, prend çà. Clac..clac...clac... -Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee....pas çà....aieeeeeeeeeeeeee.....d'accord....j'obéirais...mais ne tapez plus mes noisettes... Jeanne tire Norbert par les couilles, jusqu'à la chambre de sa fille. Marcus est allongé sur le dos, son énorme bite dressée plafond attend d'être pomper. -Regarde comme elle est belle, sourit Jeanne, comme les couilles sont bien pleines. Tu auras plus faim après. Allez mon  chéri, suce lui le fifre. Jeanne force son gendre à se pencher sur le ventre de Marcus, et l'oblige à prendre le calibre. Ensuite, elle découvre le corps de sa fille, et glisse une main entre ses cuisses. -Mon dieu ma chérie, dit Jeanne, mais ta petite chatte est toute mouillée, toute rouge. Tu as du te le faire mettre toute la nuit  salope. Ton clitoris est encore tout décalotté. Tu veux que maman te le doigte? -Oh oui maman..s'il te plait...calme le ce salaud...si tu savais comme il a été polisson...tu sens comme il est dur...branle le... Jeanne pince le clitoris de Sylvie entre le pouce et l'index, et le doigte violemment avec le majeur de l'autre main. Sylvie hurle de plaisir en se tournant vers son mari. Celui-ci continue sa turlutte. Marcus râle de plaisir, se vide les couilles dans la bouche de Norbert. -Ha...vas-y mon bébé, c'est bon hein?.Avale tout..ha..et de bien nettoyer le gland après... Les larmes aux yeux, Norbert recrache le surplus de sperme, enroule sa langue autour du gland pour en nettoyer les dernières gouttes. -Allez, ordonne Jeanne. Sylvie, tu emmènes ton mari, je vais finir la matinée avec ton amant. Qu'on nous dérange pas. on  s'occupera de vous ce soir. Jeanne va hurler de plaisir une bonne partie de la matinée. Marcus lui, hurle de douleur quand Jeanne insiste un peu trop sur ses couilles.