Bataille maritale Par Counselor Un mari et sa femme s'affrontent pour le contrôle de leurs rapports amoureux J'ai pu aider le jeune homme a rédiger son histoire de la façon la plus fidèle à la réalité. La voici avec ses propres mots. Mon épouse est une jeune femme moderne. Elle pense qu'elle peut faire tout ce qui lui passe par la tête. C'est sans doute à cause de cette confiance en elle que je l'ai remarquée la première fois. Bien sûr, le fait qu'elle soit mignonne avec des jolis cheveux blonds descendant jusqu'aux épaules et que je sois porté sur les blondes n'a rien arrangé. Elle s'appelle Barbara et encore aujourd'hui elle m'excite toujours autant. Quand nous nous sommes mariés, je savais que c'était le plus grand évènement de ma vie. Elle a l'esprit de compétition et me défiait déjà avant notre mariage. Elle essayait de me battre au gin rami et au tennis. Je gagnais pratiquement toujours au cartes, mais au tennis, comme elle s'entraînait beaucoup, elle gagnait le plus souvent. Environ deux ans après notre mariage, nous nous amusions à un petit jeu sexy : chacun essayait d'embrasser l'oreille de l'autre. Finalement, je la tenais si serrée qu'elle ne pouvait plus bouger et je lui embrassais l'oreille et lui soufflait dedans jusqu'à ce qu'elle fût vraiment excitée. Après ça, elle me dit : "Cette fois, tu m'as eu, mais un jour c'est moi qui te tiendrai, t'embrasserai l'oreille et soufflerai dedans. Ca sera le jour de ma grande victoire." Elle rit. J'aimais bien son rire; c'était plus un petit rire qu'un grand éclat de rire. Je ris aussi et lui dis : "Ca sera un sacré jour.", mais je n'appréciais pas sa remarque. C'était comme si elle contestait ma condition de mâle. Je savais qu'elle faisait régulièrement de l'exercice physique, car elle se levait tôt et allait au centre de gym alors que j'étais encore couché. Elle commença aussi à prendre des cours de self-défense en fin d'après-midi en revenant du travail. J'essayais aussi de m'entretenir, mais mes journées de travail étaient très longues et quand je rentrais tard le soir, j'étais trop fatigué pour faire autre chose que lire ou regarder la télévision. Environ six mois plus tard, après avoir fait l'amour, elle me dit : "Quand je te battrai, c'est moi qui serais dessus quand nous ferons l'amour.". Je savais qu'elle n'avait pas oublié cet objectif, mais j'étais assez confiant. Alors, je n'y ai plus trop pensé. Quelques mois plus tard, le vendredi avant le jour de la fête du travail, elle me dit : "Ce weekend, je vais te battre à la lutte, pas pour te faire mal, juste doucement et pour s'amuser.". Je lui dit : "Qui va s'amuser ?" "Tous les deux." "Quand ?" "Demain." "Et pourquoi pas maintenant ?" "Non, demain ça sera bien." L'attitude de petit coq de ma femme était agaçante. Elle allait avoir ce qu'elle méritait. Je n'avais plus qu'à attendre le lendemain. Le lendemain, elle me dit : "T'es prêt à te faire battre ?" "Non." "Prêt ou pas, j'arrive." Elle se jeta sur moi. Je n'étais pas préparé, mais je réussis à rester debout. Elle m'attrapa la jambe de devant et faillit me faire tomber, mais je me dégageai et nous retrouvâmes face à face. "Attends une seconde." lui dis-je. "Je veux enlever ma chemise." C'était juste pour gagner du temps. Je voulais reprendre mes esprits et réfléchir à ce que j'allais faire. Lentement, très lentement, j'enlevais ma chemise. C'était tellement absurde. Je luttais avec une créature superbe et très féminine. La fille de mes rêves essayait de me battre. J'aurais dû être en train de l'enlacer et de la serrer dans mes bras, pas en train d'essayer de me défendre contre ses assauts. Je lui dis : "C'est ridicule. Faisons l'amour." "D'accord, mais d'abord je veux te battre." "Pourquoi ?" "Juste pour voir si je peux. Juste pour voir ce que tu feras." Elle revint vers moi et je fus obligé de me battre. Elle était très habile et rapide. Elle essaya de m'attraper une jambe, puis ma tête, puis de nouveau une jambe. Tout ce que je pouvais faire, c'était me défendre. Après m'être dégagé plusieurs fois, j'essayai de passer à l'attaque, mais j'avançai trop ma jambe. Avec une vitesse digne d'un champion olympique de lutte, elle attrapa ma jambe droite, la leva et me fit tomber. Dans ma chute, je pus l'entraîner au sol avec moi, si bien que nous retrouvâmes à genoux face à face, mais elle tenait toujours ma jambe et la tirait. J'essayai de me dégager, mais elle avança ses épaules vers moi tout en continuant à tirer ma jambe, ce qui me fit basculer sur le dos. Avant que je puisse me retourner, elle était sur moi appuyant de tout son poids. Elle avait vraiment acquis des techniques de lutte. Elle déplaça son corps de façon à ce qu'il se retrouve en travers du mien et qu'il repose de tout son poids sur mes épaules. Ses bras m'entouraient une épaule, si bien que je ne pouvais m'accrocher à rien pour essayer de me retourner. Je me débattais dans tous les sens, mais elle déplaçait le poids de son corps pour contrer mes mouvements. Ensuite, j'essayai de m'arc-bouter, mais au bout d'un moment ma nuque ne pouvait plus tenir. Je m'effondrai. "Tu es immobilisé." "Non." Je savais que je l'étais, mais je levai rapidement mon épaule gauche pour qu'elle se décolle du sol. Elle déplaça son corps sur cette épaule, si bien que je la relaissai tomber et que je soulevai l'autre. De nouveau, elle déplaça son corps, mais cette fois en répartissant le poids entre les deux épaules. Elle me tenait. Je maintins encore mes épaules décollées, mais finalement je dus céder. "Je t'accorde cette manche, mais tu n'as pas gagné le match, car nous n'avons pas fixé les règles." Elle se leva, sourit, puis rigola. Je pouvais voir qu'elle était excitée. "Première manche pour moi." Elle contracta son biceps qui se gonfla sous sa peau douce et elle me serra dans ses bras et m'embrassa. Ensuite, avant que j'aie pu réagir, elle se recula et se mit en garde. "Attends. J'ai besoin de récupérer." Je me retournai et respirai profondément à plusieurs reprises. Tout s'était passé si vite que j'étais un peu perdu. Je savais qu'il fallait que je réagisse tout de suite. Je décidai d'attaquer, à fond. Dès que nous fûmes en positon, je me lançai à l'attaque. Je plaçai mes bras autour d'elle et la poussai vers l'arrière en glissant mon talon derrière sa jambe ce qui la fit tomber. J'essayai de plaquer ses épaules au sol, mais j'oubliai de placer mon corps en travers du sien, si bien qu'elle put m'entourer le ventre avec ses jambes. Elle attrapa et tira si brutalement sur mon bras droit que je tombai à sa gauche. Elle serra ses jambes encore plus sur mon ventre, conforta sa prise de mon bras droit, puis la déplaça vers ma main droite et me tordit très douloureusement le petit doigt. Elle accentua la pression sur mon petit doigt et força mon poignet à remonter jusque dans mon dos entre les épaules. Elle me tenait en même temps par le ciseau de ses jambes et par le blocage de mon bras. Je me mis à paniquer et me débattai dans tous les sens aussi fort que je le pouvais. Elle serra encore ses jambes et je commençai à avoir du mal à respirer. Mais le pire, c'était la douleur dans le bras. J'avais peur qu'elle me le casse. "Aïe !" "T'abandonnes ?" "Deuxième manche pour toi." Elle se leva, contracta encore son biceps et dit "Quand tu veux." Je ne me relevai pas complètement, je laissai mes mains sur mes genoux, en essayant de reprendre mon souffle et de réfléchir à la suite. Nous nous battions depuis cinq ou six minutes, mais j'étais déjà rincé. De plus, mon esprit était confus et je n'arrivais plus à réfléchir. J'essayais d'élaborer une tactique, mais je n'avais rien trouvé quand nous recommençâmes. Elle s'approcha et je reculai en essayant de me défendre, mais c'était en vain. Je le savais, mais le pire, c'est qu'elle aussi le savait. Il fallait que je repasse à l'offensive. J'essayai de lui attraper la tête, mais elle me contra en m'attrapant la jambe gauche, me jeta par terre et retomba sur moi. Cette fois, mon bras droit était libre, mais elle m'attrapa le poignet gauche et me le bloqua. J'essayais de la repousser et de me retourner, mais elle résistait à tous mes efforts. Je continuais à me battre, mais je faiblissais de plus en plus. Elle desserra sa prise et se plaça sur ma poitrine, ses mains bloquant mes poignets au sol et ses genoux plaquant mes épaules. Elle respirait bruyamment, transpirait, mais était réjouie d'excitation. Elle se pencha et m'embrassa sur la bouche. Puis elle se glissa sur le côté pour embrasser mon oreille et souffler dedans. Elle se releva et dit en réprimant à peine un rire "C'est le jour de ma grande victoire. Maintenant, je crois que je vais te faire l'amour." Pour la première fois, je sentais la colère monter en moi. Elle me donna une nouvelle énergie pour me battre. Je me débattai, me tordai, me tournai, m'arc-boutai, dans un sens puis dans l'autre. Je la délogeai, mais elle se jeta en travers de mon corps, m'attrapa la nuque avec son bras et contra chacun de mes mouvements, et parvint a se tenir en équilibre si bien que le poids de son corps me maintenait sous elle. Je l'entendis rigoler tandis qu'elle sentait sa supériorité. Son rire me rendit encore plus furieux et déterminé. Je continuai à me battre, mais c'était en vain. En dépit de tous mes efforts, je restais plaqué au sol sur le dos. Elle prenait son pied à me contrôler sans même faire d'effort. Cela me donna une idée. Je me détendis pour me reprendre. Elle se détendit aussi et se tourna si bien que son dos se retrouva sur ma tête. C'était un moment de répit dont j'avais besoin. J'en profitai pour me reposer et respirer profondément. Tout à coup je m'aperçus qu'elle avait défait ma ceinture, ouvert ma braguette et descendu mon pantalon. Là, je paniquai. Elle m'avait peut-être mis par terre, mais il n'était pas question qu'elle m'abuse sexuellement. Je sentis une montée d'adrélanine tandis que je me débattai et que je parvins presque à me retourner, mais elle déplaça de nouveau son corps sur ma poitrine pour me maintenir au sol. "Ne résiste pas. Laisse moi te faire l'amour." Sa voix avait un timbre aigu. "Non!" Criai-je. Ma voix était tremblotante et j'espérais qu'elle ne le remarquerait pas. "Non." Répétai-je aussi calmement et fermement que je le pus. Je continuai à résister, pour la déséquilibrer et la faire tomber. "Putain! Arrête de te battre." Elle jurait rarement et la violence de sa voix me fit m'arrêter un moment. Je m'arrêtai, mais pas elle. Je sentis sa main descendre entre mes cuisses et je me débattai de plus belle. Mais, ça ne marcha pas. Sa main m'attrapa les couilles. Elles les tira et les serra. Cette fois-ci, j'arrêtai de me battre. Elle rapprocha son visage du mien et me dit d'une voix calme et douce, "Arrête de te battre. Reste tranquille. Détends toi et profites-en." Ces lèvres pressèrent fortement les miennes. Puis sa langue écarta mes lèvres, mais fut stoppée par mes dents. "Laisse moi entrer," murmura-t-elle tout en me serrant un peu les couilles. J'ouvrai la bouche et sa langue pénétra, parcourut, dégusta. C'était comme si le temps s'était arrêté et je flottais. Ma respiration s'accélérait alors que nous fusionnions. Finalement elle se retira, tourna ma tête sur le côté, et commença à m'embrasser l'oreille et à souffler dedans. Je revins à la réalité et essayai de ne pas la laisser faire, mais c'était très excitant. Je poussai un gémissement de plaisir. "Voilà. Laisse toi faire.". Elle tourna ma tête de l'autre côté et commença à souffler dans l'autre oreille. Je sentais sa main me toucher entre les jambes. Je me sentais de plus en plus excité, mais je ne voulais pas que ça se passe comme ça. Je gémis de nouveau, "Ohhh. Non. Non. Arrête. Attends. On n'a pas fini le combat. Je t'en prie. Attends, juste une minute." "Non, je ne m'arrête pas et tu ne peux rien faire pour m'arrêter. Alors, détends toi et profites-en." Ensuite je sentis qu'elle m'embrassa les tétons et me les mordilla. Quelque chose de bizarre semblait se nouer dans mon ventre. "Oh. S'il te plait. Oh." "Ca te fait de l'effet ?" "Je sais pas." Elle rit. "Beh tu sais plus où t'en es ?" Elle se redressa et se mit à genoux, puis, en tenant toujours mes couilles, descendit complètement mon pantalon et mon slip. Elle enleva ensuite avec une main sa culotte. Elle s'empara de mon pénis alors que j'étais toujours étendu, impuissant. Puis elle me prit en elle. "Sois calme. Reste tranquille." Je sentais son bassin s'enfoncer en moi et se retirer, sans arrêt. Je regardais un coin du plafond et j'essayais de me concentrer sur lui, sur n'importe quoi d'autre que ce qui m'arrivait. Je ne la laisserais pas arriver à ses fins, du moins pas comme ça. Mais, je ne maîtrisais plus mon corps. Il était soumis à ce rythme insistant, suivait la volonté de Barbara plutôt que la mienne. Je serrais les dents. Faisant appel à toute ma volonté, je fis un ultime effort pour la rejeter, mais elle se maintenait et poursuivait son mouvement régulier d'aller retour. C'était comme si j'essayais de résister à un courant d'eau profonde. Ce fut d'abord mon corps qui s'abandonna en se laissant entraîner au rythme des mouvements de Barbara. Puis ma volonté lachâ. Elle avait conquis mon corps et mon esprit. "Oh! Oh! Oh!!! Oui! Non! Oui! Oui! Oui! Oh! Chérie! Chérie! Chérie." A ces mots, elle répondit, "Oui! Donne toi à moi! Tout à moi!" et elle rit de son triomphe. J'étais maintenant complètement transporté par le courant, par elle. Elle me prenait et je m'ouvrais comme je ne l'avais jamais fait auparavant. D'une certaine façon, cet abandon me libérait. Je m'abandonnais complètement, sans pudeur, comme un animal. Elle m'amenait vers des hauteurs incommensurables. Je pensais que j'allais mourir de plaisir. "Maintenant!" m'ordonna-t-elle et mon corps lui obéit. Peu après, je restais étendu sur le dos alors qu'elle m'enlaçait avec ses bras. Elle m'embrassa les yeux, le nez et la bouche. "Je t'aime tellement. J'ai adoré te prendre comme ça. J'ai bien aimé quand tu m'as résisté, mais ensuite, quand tu t'es abandonné, j'ai su qu'on était fait l'un pour l'autre. Ca a été l'expérience la plus excitante de ma vie, en te dominant, en te possédant. Tu sais que tu es toujours à moi et que tu ne pourras plus me résister maintenant ?" "J'imagine que non." Je savais qu'elle avait raison. Elle m'avait complètement possédé. "Comment tu te sens ?" "Bizarrement, j'ai perdu tout contrôle." "Bien sûr, puisque c'est moi qui te contrôle. ca te gêne d'être dominé par ta femme ?" "Pas du tout." "T'as aimé te faire prendre ?" "Qu'est ce que je peux dire ? Je sais pas." "Allez, t'as aimé, avoue!" "Non vraiment, je sais pas. C'était excitant, mais différent." "Bon, puisque tu sais pas, on le refera jusqu'à ce que tu saches." "Oh, je suis pas trop sûr." "T'auras pas ton mot à dire. T'as aimé. Je peux te le dire. Et je te referai l'amour comme ça chaque fois que j'en aurai envie et tu ne pourras pas m'en empêcher. En plus, c'est l'année de la femme. T'as vraiment de la chance d'avoir une femme qui aime le sexe." C'était apaisant d'être tenu dans ses bras. "Embrasse-moi pendant que je suis encore à toi". Elle m'embrassa, longuement, fortement, en enfonçant sa langue dans ma bouche. Soudain, je voulus lui dire comment ça avait été, "Je crois que j'ai beaucoup pris. Je pensais être un homme. Ce soir, quelque chose s'est passé. Tu pouvais me faire ce que tu voulais et je t'ai donné mon corps, mon esprit. Je ne l'avais jamais fait. Peut-être que je le referai, mais je ne sais pas encore." "T'inquiète pas. Tu le referas parce que c'est comme ça que je te veux." Je plissais les lèvres pour l'inviter à m'embrasser encore, ce qu'elle fit. Elle se redressa. "Quand as-tu su que tu étais en train de basculer ?" "Pas avant que ça n'arrive. J'ai lutté jusqu'à la fin. Et soudain, j'ai perdu le contrôle." "Vous les mecs, vous ne sentez pas les choses. Tu sais quand j'ai su ?" "Non." "Quand t'a ouvert la bouche et que j'ai introduit la langue. Tu ne m'avais jamais laissé faire ça avant." "Je ne pouvais pas faire autrement, tu me serrais les couilles." "Tu aurais pu résister plus. En plus, tu répondais. Je me disais 'Je le viole avec ma langue et il aime ça'. A partir de ce moment, j'ai su que tu allais être à moi et c'est ce qui s'est passé." Ceci s'est passé il y a trois ans. Nous avons fait souvent l'amour depuis, mais je n'ai plus jamais été dessus. Au début ça me dérangeait et on se disputait, mais comme Barbara disait, "T'as pas ton mot à dire." Elle avait raison, je n'avais rien à dire. En fait, je n'avais même plus envie d'en parler. Parfois, je fais semblant de vouloir être dessus et nous nous battons un petit peu ce qui pimente notre relation, mais je serais déçu qu'elle ne gagne pas. Vous voyez, quand c'est elle qui contrôle tout, toutes mes barrières disparaissent. Alors, je ne pense plus, je ne me soucie plus de rien, je ne fais plus que répondre à ces demandes. Et à chaque fois j'apprends à mieux lui répondre et à mieux la satisfaire.