Strip bar Vous �tes nouveau, vous. Je sens ces choses l� , me dit un inconnu en s'asseyant � ma gauche. C'�tait un homme lambda d'une quarantaine d'ann�es, plut�t grand, et poss�dant un embonpoint prononc�. Il portait un costume noir miteux, tachet� de curieuses t�ches � quelques endroits. Tout dans son attitude et son habillement semblait brut, except� sa chevelure ch�tain parsem�e de filaments argent�s �tonnamment bien entretenue. Il �tait accoud� au bar, ses deux mains jointes, sa t�te pos�e dessus, il souriait aux gens, en saluait certains. Il semblait �tre un habitu� du lieu. Il paraissait �tre de ces gens rustres mais sociables qui embarrassent les autres de leur humour lourd mais qui sont � leur aise partout. Il portait � son poignet gauche une montre «� Rollex� » avec 2 «� l� ». Ce d�tail au lieu de m'amuser, me g�na. Mais il faut l'avouer, il convenait parfaitement avec le lieu. Les murs �taient tapiss�s d'une fausse boiserie bordeaux mis�reuse. Des n�ons bleu et rose fuschia les parcouraient donnant � la pi�ce une allure de karaok�. La lumi�re �tait tamis�e. De rares hommes, souvent seuls, �taient avachis sur leurs tables et buvaient de l'alcool. J'avais fait expr�s de venir en pleine journ�e. Je craignais que la bo�te de strip-tease soit bond�e. J'avais honte d'�tre l� , assis au milieu de ces tocards, � regarder d'un �il concupiscent de pauvres filles, qui pour certaines, avaient pr�s de la moiti� de mon �ge. Leur fra�che beaut� tranchait avec la laideur du lieu. Je me sentais � deux doigt de m'en aller. Oui en effet, c'est la premi�re fois que je me rends dans ce genre d'endroit. Je vous avais dit que je sentais ces choses l� , j'ai un don, r�pondit-il l'air fier, en tapotant de l'index de sa main gauche l'immense excroissance qui lui servait de nez. Je ne r�pondis pas et me focalisais sur l'incroyable spectacle qui se d�roulait autour de moi. De sublimes cr�atures moul�es dans d'ind�cents v�tements d�ambulaient de ci del� , l'air aguicheur. Mon regard s'arr�ta sur une sublime petite brune aux �normes seins perch�e sur des talons de 15 cm qui d'une main caressait la joue d'un homme hypnotis� et de l'autre soulageait son porte feuille en retirant d�licatement des billets dor�s, sans que celui-ci n'�mette une objection. Je vois que monsieur a du go�t, me dit l'inconnu en me crachant la r�pugnante fum�e de son cigare au visage. Pardon? Je vois que vous matez Bella, la brune aux gros seins l� -bas, demandez lui un strip en priv�, vous le regretterez pas, croyez moi. Ha! Elle a l'air grande comme �a, pas vrai? Perch�e sur ses escabeaux. Regardez comme c'est grand, merde alors. Comment les nanas font pour marcher avec? Mais bon, c'est clair que c'est excitant. ��a a un petit c�t� coquin, presque cochon, v'trouvez pas� ? Bah vous voyez Bella, elle est petite en fait, 1m55 max. Mais moi j'adore �a, les petites. ��a me fait penser � des petites coll�giennes. Je suis pas un pervers hein. J'aime pas les coll�giennes. Mais les femmes enfants �a me fait bander. Excusez mon anglais. Et puis quand elles sont petites, elles sont moins lourdes aussi. C'est math�matique. Et c'est plus facile pour les faire valdinguer, enfin vous avez compris quoi. Il mima l'acte sexuel, en faisant d'obsc�nes va et vient avec son gros bassin. Et il �clata de rire. Embarrass� par la vulgarit� de cet inconnu manifestement atteint de diarrh�e verbale, je n'eus comme r�ponse qu'un sourire g�n�. Ayant compris que je ne partageais pas son go�t pour la grossi�ret�, son fou rire laissa place � un raclement de gorge. Mais comme je sentais que son regard ne me quittait pas, j'ai compris qu'il ne comptait pas en finir l� . Vous savez comment j'ai su que vous �tiez un bleu? D�tes moi ... Vous �tes pas � l'aise, vous �tes tout raide, et pas raide comme on aimerait l'�tre si vous voyez ce que je veux dire. Faut vous l�chez un peu, mon vieux. Oui, s�rement... Vous �tes venu pour quoi? Pour mater comme un pauvre gars ou pour passer dans le feu de l'action? Je suis venu uniquement par curiosit� vous savez, je n'ai rien pr�vu. Et vous avez raison, je ne suis pas � l'aise. J'ai m�me assez honte d'�tre ici, mais je me suis dit que �a ferait une exp�rience... C'est pas en restant assis � regarder les aut' que �a vous fera une exp�rience, mon gars. D�barrassez-vous de vos scrupules. Faut pas avoir piti� de ces filles. Au d�but j'�tais comme vous, je me disais, merde c'est quand m�me un sale boulot de devoir exciter des pauvres gars � longueur de journ�e. Mais elles aiment �a, croyez moi. Elles aiment �a, faire bander des mecs et leur prendre leurs thunes. Si elles voulaient, elles pourraient faire un autre boulot. Un boulot normal, quoi. Mais non, elles restent l� , parce qu'elles adorent �a, je vous le dis. Une fois, j'en ai surpris en train de parler. Vous savez ce qu'elles disaient? Elles se vantaient d'avoir soutirer tant d'argent � tel client, et de le rendre accroc. Ha! C'est pas des saintes, ces petites l� . Alors faut en profiter. Mettez vous en une sur le n�ud, vous le regretterez pas. C'est pas des pucelles, elles ont v�cu. Elles connaissent le corps de l'homme mieux que lui m�me le conna�t. En un coup d'oeil, elles savent quel est votre vice, et elle l'utilise contre vous, pour tout vous prendre. Elles en ont vu des hommes... Faut �tre prudent avec ces petites poules, faut pas trop faire le canard, faut que d�s le d�but vous posiez les limites, tu me fais �a, je te donne �a, pas plus, point barre. Sinon elles vont tout vous prendre. Je sais de quoi je parle. Moi je viens, je me vide, je paie, je repars. Elles sont l� pour �a, faut pas vous g�ner mon vieux. Mais... vous «vider», c'est � dire? C'est interdit, non? Il �clata de rire. Ah ouais, effectivement, t'es vraiment un bleu. Oh, tu sais, c'est comme les salons de massage des chinois, tu sais tr�s bien qu'en donnant un billet bleu en plus, c'est pas ton dos que les petites vont masser... Bah ici c'est pareil mais en plus cher, tu paies 50 euros, t'as le droit � un strip priv�, tu donnes plus, t'as le droit � la totale... Y'en a qui font plus de choses que d'autres d'ailleurs... Des trucs que t'oserais pas demander � ta femme, si tu vois ce que je veux dire. Comment �a? Ah, �a. Tu m'as pas l'air port� sur ces choses l� , petit. Si un jour, t'as besoin d'un conseil, tu viendras me voir, je te r�pondrai. Mais c'est pas des choses qui se disent comme �a, tu vois. Son air myst�rieux titilla mon attention. Ah bah tiens, en parlant de trucs que t'oserais pas demander � ta femme... Dit-il en d�signant du menton une �poustouflante cr�ature. Venait d'appara�tre dans la pi�ce une immense jeune femme noire qui semblait sortir d'un dessin de Boris Vallejo. Elle devait faire plus d'1m80 et �tait juch�e en plus sur des bottes tr�s moulantes en cuir noires aux talons transparents de 15 centim�tres. Tout dans sa physionomie �tait �poustouflant. Le corps tout en courbes f�minines mais � la musculature �tonnamment dessin�e. Les l�vres pulpeuses et marqu�e sublim�es par un gloss rose framboise. Plusieurs parties de son corps semblaient avoir �t� refaites: le nez qui �tait long et �trangement fin, les pommettes tr�s hautes et tr�s saillantes, et la poitrine, qui, �tait absolument �norme. Elle avait pour coiffure un tissage de couleur noir, qui lui faisait des cheveux d'indienne et qui tombait jusqu'au milieu de son dos. Elle portait des bagues en or blanc � tous les doigts sans exception, et des bracelets clout�s style s/m couleur argent aux poignets. Elle portait une mini combinaison ultra moulante en cuir noir qui finissait en mini short, et dont le d�collet� laissait apercevoir son immense poitrine brune. Sa combinaison lui collait tellement au corps qu'on pouvait presque compter ses abdominaux dessin�s tels une armure. Sa cambrure �tait vertigineuse et �tait d'autant plus marqu�e par une large ceinture de cuir. Elles portaient de faux ongles tr�s longs et rectangulaires, des faux cils et des lentilles vertes qui magnifiaient son regard de biche. Elle �tait tellement maquill�e qu'elle semblait avoir �t� retouch�e � l'aide d'un logiciel photo. Sa peau �tait parfaite sans d�faut, uniforme. Elle semblait douce comme du velours ce qui contrastait avec sa musculature �paisse stri�e de larges veines parcourant ses bras puissants et ses jambes nues sportives. J'�tais souffl� � la vue de cette v�ritable amazone des temps modernes. Qui est ce? L'inconnu pouffa de rire. Merde alors. On dirait que t'as vu la vierge Marie. Mais je te comprends. J'�tais pareil quand j'ai vu Crystal la premi�re fois. Je me suis dit: Putain, c'est un �tre humain �a?. Elle est extraordinaire, pas vrai? A la base c'est pas mon genre, ce genre de femmes. Moi j'aime quand elles font naturel, mignon. ��a m'excite trop les femmes enfants. Mais je crois te l'avoir d�j� dit. D�s que j'ai vu Crystal, je me suis dit, faut que je l'essaie. C'est elle qu'est venu vers moi, elle a du sentir qu'elle pouvait me pigeonner. Putain, qu'est ce qu'elle �tait bonne. Elle �tait habill�e comme un cow boy mais version nana. Genre santiags, mini short en jean d�chir�, d�bardeur blanc moulant avec un d�collet� ahurissant, chapeau de cow boy. J'�tais hypnotis�, je lui ai propos� un strip priv�. Oh mon dieu, apr�s avoir crach�, je rebandais d�j� . Alors je lui ai demand� un rendez vous plus priv�, si tu vois ce que je veux dire... Oh mon gars, elle m'a pigeonn� comme jamais. J'�tais devenu accroc, tous les jours je venais la voir, j'en pouvais plus. L'argent de poche de mes gosses passait dans sa poche, j'ai honte de le dire, mais elle me rendait vraiment fou. Mais y'a pas longtemps, j'ai arr�t� de cracher des thunes, pas parce que je voulais pas, mais parce que j'avais vraiment plus une thune, alors elle m'a l�ch�... Tant pis ou tant mieux je sais pas. En tout cas je te la conseille, mais fais attention � toi. Me dit il l'air nostalgique. Ce discours, au lieu de me repousser, m'attira davantage vers cette intrigante cr�ature. Pourquoi avez vous dit «des trucs que t'oserais pas demander � ta femme» en parlant de Crystal? Lui demandai-je. Ah parce que, Crystal est .. sp�ciale. Il me fit un clin d'oeil. Comment �a? Tu verras. Regarde �a, elle a tellement de mecs � ses pieds qu'elle se permet de recaler des clients. Je t'ai dit que ces nanas �taient pas � plaindre. Un homme visiblement subjugu� par sa beaut� venait d'accoster Crystal en lui proposant un strip priv�. Cette cr�ature juch�e sur ses talons hauts le d�passait de plus d'une t�te. Pour toute r�ponse elle lui sourit et poursuivit son chemin. Il la rattrapa, et lui proposa un suppl�ment, l'air suppliant. «� S'il te pla�t, je te donne ce que tu veux. Pourquoi tu veux plus de moi?» lui demanda t-il. «Parce que t'as plus rien mon chou. Reviens me voir quand t'auras les moyens pour m'avoir.» Lui r�pondit-elle en lui tapotant la joue. Sa voix profonde et basse, m'excita. La sc�ne se r�p�ta avec 2 autres hommes, mais Crystal ne semblait pas disposer � travailler. Tout d'un coup, son regard croisa le mien. Inexplicablement, je rougis et d�tournai les yeux. J'�tais impressionn�e par la prestance de ce personnage hors-norme. Je crois que tu lui as tap� dans l'oeil. Merde, t'as de la chance toi, ou de la poisse, c'est selon le point de vue. Bon je te laisse. Profite bien tant que tu le peux... Une main vint d�licatement se poser sur mon �paule, et un parfum sucr� et exotique vint absorber mes pens�es. Salut mon chou, t'es nouveau? Crystal vint s'asseoir � ma droite. Elle �tait encore plus belle et plus extraordinaire de pr�s. Je sentis une chaleur m'envahir. J'�tais on ne peut plus embarrass� et me sentait tout petit � ses c�t�s. Oui ... T'es mignon, t'es tout g�n� quand je te parle. Je te fais peur? Dit-elle en me caressant l'�paule. Non pas du tout, je vous trouve superbe. Elle sourit, laissant apercevoir une rang�e de dents blanches parfaites. T'es chou... Alors, tu m'offres pas un verre? Heu, si bien s�r que voulez vous? Comme d'habitude, dit elle d'une voix suave au barman. Et toi, tu bois pas? Me demanda t-elle. Heu, je n'ai pas l'habitude de boire. Tu vas pas me laisser boire toute seule, mon chou... Tu lui mets la m�me chose que moi, ajouta t-elle au barman. Vous �tes vraiment belle, dis je encore stup�fait par son atypique beaut�. Merci mon chou. Me r�pondit-elle comme si je venais de lui dire une banalit�. Alors t'es venu pourquoi? Pour regarder ou pour t'amuser... Elle posa sa main sur l'int�rieur de ma cuisse. En regardant bien, je remarquais que sa m�choire �tait tr�s marqu�e, mais je ne la trouvais pas moins belle pour autant. Elle commen�a � caresser ma cuisse. Je me sentis durcir, ce qui me fit rougir. Je suis venu par curiosit�, sans but pr�cis... Laisse moi te guider... En restant assis, tu rates le meilleur ici, mon chou. Me susurra t-elle � l'oreille en caressant plus �nerg�tiquement ma cuisse. Je posai ma main sur la sienne pour qu'elle arr�te, ayant peur que mon �rection s'amplifie et se voit. T'es encore tout timide, c'est mignon. Allez bois un peu, tu vas voir c'est bon. Elle prit le verre et me fit boire. N'osant pas retirer le verre de ma bouche, je bus toute la boisson p�tillante qu'elle faisait �couler dans ma bouche. Qu'est ce que c'est? Dis-je en me raclant la gorge. Du Dom Perignon, mon chou. Combien �a va me co�ter? T'inqui�te pas, chou... Bois encore... Dit-elle en portant � ma bouche son verre � elle. Encore une fois je n'osai pas retirer le verre de ma bouche. Je suis pas habitu� � boire de l'alcool, je ne crois pas que ce soit une bonne id�e de me faire boire autant. Mais si, c'est une bonne id�e, c'est pour que tu te d�tendes. Pour te faire passer un bon moment... Tu viens? O� �a? Elle sourit, me prit la main, et m'emmena dans une salle � l'arri�re du club. Je me sentais bien. J'�tais hypnotis� par le mouvement de balancier que faisaient ses fesses lorsqu'elle d�ambulait sur ses talons. Je crois d'ailleurs ne m'�tre jamais senti aussi bien. Elle me guida dans une pi�ce rouge sombre et m'assit sur un fauteuil au milieu de la pi�ce. Je me laissai faire. J'arrive, chou. Je me pr�pare. Je n'arrivais plus � penser, je n'avais aucune id�e de ce qui allait se passer et je m'en fichais. Apr�s 5 minutes qui me parurent 10 secondes, Crystal revint dans la pi�ce. J'�tais souffl�. Elle portait des escarpins rouges � talons aiguilles, une mini jupe en cuir noir, et rien en haut. Tout dans son physique �tait parfait. Sa musculature puissante, presque masculine, pire, bestiale, �tait magnifi�e par ses seins ronds, lourds, parfaits. Elle s'avan�a, vers moi, f�line. Et commen�a � danser, lentement et doucement. Faisant onduler ses magnifiques fesses � 2 centim�tres de mon visage. Elle s'assit � califourchon sur ma jambe gauche et mima l'acte sexuel en frottant son entre jambe sur ma cuisse gauche. Malgr� la petite taille de mon p�nis, on pouvait voir au niveau du haut de ma cuisse gauche, une bosse gonfler au rythme des frottements de Crystal sur ma jambe. Elle prit ma t�te et l'enfouit entre ses immenses seins. C'�tait moelleux, chaud et doux, son d�licieux parfum m'ensorcelait. Tu aimes mes seins? Ils font pas trop pouffe? Euh, non, non, ils sont sublimes. Ils sont parfaits. Merci! C'est un de mes clients pr�f�r�s qui me les a pay�s. Il les appelle «mes obus» car � chaque fois que je lui mets sous le nez, il explose. Mon dieu, j'imagine oui. Tu sais mon chou, en te voyant, j'ai tout de suite su que t'�tais pour moi. Ah oui, comment �a? Dis-je l'esprit ailleurs. J'ai vu que tu parlais avec Sam, mon chou. Il a d� te le dire. Dit elle en me masturbant � travers mon pantalon. Ses mains �taient incroyablement longues et grandes. Elles les faisaient passer lentement mais fermement sur le long de mon p�nis. Je pouvais voir les muscles et les veines de son bras entier danser sous sa peau d'�b�ne transparente. Ma respiration s'acc�l�ra et je me retins de g�mir. Il ne m'a rien dit, dis-je entre deux g�missements r�prim�s. De toute fa�on, je sais que tu es pour moi. Tu vas aimer. Je le sens. Dit-elle en passant sa langue sur mes l�vres. Je ne pus r�primer un g�missement. Tu vois que t'aimes. Je peux faire de toi ce que je veux, pas vrai? Oui, c'est vrai, dis-je difficilement. Je sentais que �a montait. Quand elle sentit que j'�tais sur le point de jouir, elle enleva sa main de mon entrejambe et se leva. Tu veux que je continue mon chou? Oui s'il vous pla�t. Vous me rendez fou. Elle �clata d'un rire rauque. Et qu'est ce que j'ai en �change mon chou? Tout ce que vous voulez. Mais tu sais tr�s bien ce que je veux... Totalement hypnotis�, je sortis de ma poche mon porte feuille. Je l'ouvris et en sortit deux billets de 50 euros. Elle me sourit, les prit, et les mit dans la mini poche de sa mini jupe. C'est pas assez mon b�b�. Tu veux pas que je sois la plus belle? Vous l'�tes d�j� ... Faut bien que je m'entretienne, mon chou. Le maquillage, les v�tements, les accessoires, les bijoux, c'est beaucoup d'argent... Vous avez raison. Sans r�fl�chir, je sortis de mon portefeuille encore deux billets de 50 euros, tout ce qui me restait, elle me les prit sans un merci, ce qui me fit durcir davantage. C'est toujours pas assez mon chou. Je n'ai plus rien, je vous le jure, dis-je en lui montrant l'int�rieur vide de mon portefeuille. Alors tu vas me faire plaisir autrement, ok? Tout ce que vous voulez mademoiselle. Elle baissa d�licatement sa mini jupe. Je d�glutis. Tout ce que je veux? Hum... J'aime quand tu me parles comme �a mon chou. Elle enleva sa jupe et j'aper�us sous son string une immense bosse, longue et large. Le choc. Une transsexuelle? Comment se fait il que je n'ai pas senti son p�nis lorsqu'elle se frottait contre moi? T'en as jamais vu d'aussi grosse, je suis s�re. Dit-elle d'un air suave. Honteusement, je me rendis compte que son �norme organe m'excitait. Tu vas me faire plaisir maintenant d'accord? L'esprit d�connect� par la surprise, je ne r�pondis rien et me laissai faire. Crystal me caressa la joue, puis les l�vres et passa son index dans ma bouche. T'as jamais suc� toi, je le sens. Je vais t'apprendre mon chou, t'inqui�te pas. Elle sortit de son string son �norme p�nis circoncis et frotta son gland sur ma bouche. Son sexe ne contrastait en rien d'avec son corps, il ressemblait � un de ses muscles, veineux, puissant, noir, si vivant. T'as une bouche de suceuse, tu le sais? Je rougis de honte. Elle me gifla violemment. Ma joue devint douloureuse. Ouvre la bouche plus grand. M'ordonna t-elle l'air s�v�re. Je m'ex�cutai. Elle enfon�a la totalit� de son sexe dans ma bouche, si bien que son gland se trouvait dans mon �sophage. T'inqui�te pas, je sais y faire. Elle prit ma t�te et la cala brusquement sur son pubis imberbe. Son p�nis m'�touffait je n'arrivais plus � respirer. Elle me maintint dans cette position une dizaine de seconde. T'aimes �a quand je t'�touffe avec ma bite, pas vrai? Je sentis mes yeux larmoyants. Je suffoquais. Et elle se retira brusquement. Je le sens que t'aimes �a, regarde, tu bandes encore, petite pute, dit-elle en remettant son gland dans ma bouche. T'as rien � faire, tu gardes la bouche ouverte je m'occupe du reste. T'as pas int�r�t � mettre les dents. Crystal enfon�a encore une fois la totalit� de son p�nis dans ma bouche et fit de violents va et vient. T'as vraiment une bouche de suceuse toi! Putain, t'es vraiment une petite salope! Me dit-elle en g�missant comme un homme. Sa voix avait tout perdu de sa f�minit�. «Avoue que tu kiffes �tre la pute d'un black!» me r�p�tait-elle. Les violents va et vient me rendaient groggy. Je ne comprenais plus rien de ce qu'il se passait. J'avais du mal � respirer, l'air rentrait dans mes poumons au rythme des coups de bassin de Crystal. Je sentais ma salive d�gouliner le long de mon menton et des larmes s'�couler de mes yeux. Je devais �tre affreux � voir. Elle me d�fon�ait litt�ralement la bouche. Je sentais seulement son �norme p�nis se gonfler dans ma gorge et le r�pugnant bruit que ma bave d�goulinante �mettait lors de ces rapides all�es et venues dans ma bouche. Putain tellement tu kiffes �a, tu baves comme un chien! Salope! Vocif�ra Crystal en poussant de forts g�missements. J'avais l'impression de ne plus avoir affaire � la m�me personne. La sublime cr�ature qui me faisait boire du Dom Perignon s'�tait transform�e en black dominateur. Son �locution �tudi�e, lente, douce et suave �tait devenue abrupte violente et vulgaire avec l'accent de ces gens qui vivent dans les cit�s. En fait, elle semblait �tre devenue plus naturelle, comme cet adage le dit «Chassez le naturel, il revient au galop». Comme si derri�re Crystal la magnifique se cachait un banlieusard violent et autoritaire qui prenait son pied � tromper les hommes et les utiliser comme des vide couilles. J'avais vraiment du mal � croire que ces deux personnes ne faisaient qu'une. Elle m'avait d'abord charm�, s'�tait montr� on ne peut plus agr�able avec moi, m'avait mis � l'aise, avait gagn� ma confiance pour ensuite me brutaliser et m'utiliser comme un vulgaire trou. Je me sentais insignifiant et sale. Pourtant, malgr� ce brusque et extraordinaire changement, mon �rection �tait toujours aussi intense. Puis je repensais � tous ces hommes, dont Sam, qui couraient apr�s Crystal pour, je le croyais, obtenir ses faveurs. Et je pris conscience qu'ils couraient apr�s Crystal pour en fait lui servir de quelconque trou, de salope, de pigeon, et qu'ils donneraient cher pour �tre � ma place. En prenant conscience du pouvoir qu'elle poss�dait, je sentis mon excitation monter d'un cran. Putain quand je t'ai vu, j'ai tout de suite su que tu serais une bonne salope. Avec ton air d'abruti je savais que tu te laisserais faire, lan�a Crystal. Entre chacune de ces phrases, Crystal poussait un g�missement. Je ne sais pas si c'�tait �a ou le fait qu'elle ait tout de suite vu que j'�tais une «� lopette» qui m'excita le plus. A partir de maintenant tu vas devenir mon plan cul pr�f�r�! T'as compris? Tu vas tout avaler comme une bonne chienne! Salope! Putain je sens que �a monte! Putain! Et en disant �a, le bassin de Crystal fut prit de trois violents spasmes et cogna fougueusement � autant de reprises mon visage et je sentis s'�couler dans mon �sophage un abondant liquide douce�tre. Ses coups de bassins avaient �t� si puissants que je ne sentis plus mon visage. Crystal poussait � pr�sent de longs g�missements que je trouvai tellement excitants que j'�jaculai � peu pr�s en m�me temps qu'elle. T'as tout aval� comme une bonne chienne. C'est bien. Dit-elle essuyant son gland sur ma bouche. N'ayant pas compris ce qu'il venait de se passer, je ne bougeai plus. Elle fouilla dans ma poche, prit mon portable et tapota sur les touches. Je me fais biper. Comme �a j'ai ton num�ro. Quand j'aurai besoin de toi, je vais te siffler. A partir de maintenant tu vas �tre mon vide couille et mon pigeon attitr�. Demain tu reviens ici. Je sais que tu kiffes �tre ma pute, dit-elle en regardant d'un air narquois la t�che au niveau de mon entrejambe. Comme elle ne me rendait toujours pas mon portable et qu'elle continuait � le manipuler, je m'inqui�tai. Qu'est ce que vous fa�tes? Je prends les num�ros de ton r�pertoire, comme �a si tu viens pas, je vais leur envoyer la photo. Quelle photo? Dis-je en me sentant paniqu�. Celle l� . Crystal mit brusquement son �norme gland brun sur ma bouche et prit une photo. Voil� je me la suis envoy�e. A demain, salope. Apporte de l'argent. Dit-elle en s'en allant d'une d�marche f�line. J'�tais pi�g�. Et en y pensant, je sentis mon p�nis se durcir... Je ne me souviens pas bien de ce qu'il s'est pass� les 24 heures qui suivirent. J'�tais dans un �tat de veille et d'excitation. Je n'ai pas r�ussi � dormir. J'ai d� me toucher une vingtaine de fois durant ce laps de temps. Pourtant je suis tout ce qu'il y a d'h�t�rosexuel. Mais elle me rendait fou. Je repensais � Sam qui me disait de faire attention. Je me disais qu'il avait raison mais je m'en foutais. Succomber � la tentation �tait tellement bon. Alors, le lendemain comme pr�vu, je me rendis dans cette bo�te de strip-tease parisienne, craignant et esp�rant en m�me temps, retrouver Crystal... Je m'assis � la m�me place que la derni�re fois, et j'attendais, inquiet et excit� la suite des �v�nements. Mais pas de Crystal. Curieusement, son absence m'attrista. Une blonde filiforme et aux seins �normes me fit un clien d'oeil. Elle �tait v�tue d'une robe moulante transparente sous laquelle elle ne portait qu'un string. Je rougis. C'est toi le nouveau pigeon de Crystal? Pardon? Elle sourit malicieusement et passa du rouge � l�vre rouge vif sur sa bouche botox�e. J'ai vu la photo, dit elle en �clatant de rire. Je vis que le barman, semblant d'ailleurs �tre �galement un transsexuel, qui �coutait la conversation se retint de rire. Crystal avait elle pr�venu tout le monde? J'�tais devenu la ris�e de ces gens. Ces gens que la soci�t� pointe du doigt du fait de leur suppos� inf�riorit�. Avec honte, je pris conscience que cette id�e m'excita. Une odeur fruit�e m'assaillit. Crystal. Salut mon chou, dit elle en s'asseyant � c�t� de moi. Je sentis mon sang affluer rapidement � mes joues. Ce qui fit �clater de rire Crystal, la blonde et le barman. Crystal portait un magnifique manteau de fourrure marron beige et caramel, sous lequel son corps �tait moul� dans une mini robe rouge moulante, au d�collet� provoquant. Elle portait toujours autant de bagues, mais en or jaune cette fois ci, et des escarpins rouges. Elle avait un sac Gucci en cuir noir dans lequel �tait lov�e une boule de poil blanche. Bonjour mademoiselle, dis je timidement, vous �tes superbe. C'est du renard, dit elle en caressant son manteau. ��a a d� co�ter cher.. Ouais, ce manteau vaut bien plus que toi en tout cas. Je vous avais dit qu'hier ce gars m'a carr�ment pay� pour me sucer? Il bavait tellement il me voulait dans sa gorge. La blonde et le barman �clat�rent de rire. «Quel pigeon» dit la blonde en me regardant goguenarde. Au fait, hier t'as pas oubli� quelque chose? Me demanda de fa�on tr�s agressive Crystal. Je l'interrogeai du regard. Le Dom Perignon, tu crois que c'�tait gratuit salope? Mais je ... Essaie pas de nous escroquer, aboya la blonde. D�contenanc�, je sortis mon portefeuille que j'avais rempli pour satisfaire les besoins de Crystal. Combien �a co�te? Demandai-je. Crystal m'arracha mon portefeuille des mains et compta les billets. Il y avait exactement 1200 euros. 1200e. D�clara Crystal les bras crois�s. La blonde lui lan�a un regard complice. Il est vrai que j'avais pr�vu 1200 euros mais je comptais en d�penser que la moiti�. Je commen�ai � paniquer. Attendez, on a pris que 2 verres! Crystal me regarda f�rocement. Le m�me changement brutal qui s'�tait produit la veille s'op�ra. Crystal la magnifique avait disparu pour laisser place � un banlieusard extr�mement violent. Elle m'attrapa par la gorge. Je suffoquai. T'es en train de me manquer de respect l� ? J'essayai de r�pondre mais ma trach�e �tait comprim�e, je ne r�ussis qu'� �mettre de ridicules petits sons. Elle m'envoya une puissante droite. Ma t�te bourdonna plusieurs dizaines de secondes et lorsque je repris la ma�trise de mes sens, je me rendis compte que j'�tais � terre aux pieds d'un homme, certainement un client, hilare. J'en ai pas fini avec toi b�tard, me dit Crystal en me crachant dessus. Fou rire g�n�ral. J'entendais les rires des clients se m�ler � ceux des filles. Je sentis une chose visqueuse me l�cher la joue. Je me tournai vers elle et vit une minuscule boule de poil blanc aux yeux globuleux. Par r�flexe, je la repoussai. Tout d'un coup, je sentis une atroce douleur aigu� se fixer dans mon entre jambe pour ensuite se propager dans mon bas ventre puis dans mon corps entier. Je crois pouvoir dire avec certitude que je n'ai jamais eu aussi mal de toute ma vie. Crystal avait violemment appuy� le filiforme talon de son escarpin rouge Louboutin sur mes parties g�nitales. Je poussai un vif et long hurlement. Ferme ta gueule, salope, ferme ta gueule. Dit-elle en appuyant davantage son talon sur ma testicule droite. Des larmes jaillirent de mes yeux. Je sanglotais. Mon dieu, j'avais tellement mal. J'entendis des �clats de rire. Comment t'oses pousser New York comme �a? Elle vaut plus que toi et toute ta famille b�tard. Tout ce que tu m�rites c'est de l�cher sa merde. Fou rire g�n�ral. Je compris que «New York» �tait en fait le chihuahua blanc de Crystal. Je pleurai de douleur. Crystal retira son pied. J'en ai pas fini avec toi, salope. Encore prostr� par la douleur, je ne r�ussis pas � me relever. Si dans les 5 secondes, tu t'es pas lev�, je te d�truis les couilles sale pute. Je puisai dans ce qu'il me restait de force pour me lever le plus rapidement possible. Comme la douleur s'�tait propag�e dans mes jambes, je ne r�ussis pas � me tenir debout accentuant la diff�rence notre diff�rence de taille, je me sentais encore plus minable. Elle m'attrapa par le col et m'amena dans la m�me pi�ce que la veille. Les larmes continuaient de couler de mes yeux. J'avais encore tellement mal. Mets toi � 4 pattes. M'ordonna t-elle en relevant sa mini robe. Je pris peur. Elle n'allait quand m�me pas me ... Pardon? M'oblige pas � me r�p�ter putain. Elle me gifla et je m'ex�cutai rapidement. Les larmes de douleur furent remplac�es par des larmes de honte quand je la sentis baisser f�rocement mon pantalon et mon cale�on. S'il vous plait, je vous en supplie, ne me fa�tes pas �a, psalmodiai-je. Pour toute r�ponse elle me fessa. T'es encore pucelle toi. Je vais te d�foncer ton trou du cul serr�, petite pute. Dit-elle violemment. Sa voix �tait redevenue celle qu'elle avait originellement. J'avais l'impression d'�tre sur le point de me faire prendre par un grand black � casquette. En y r�fl�chissant ce n'�tait pas qu'une impression. Sans m�me m'en rendre compte, je continuai de la supplier en pleurant. Je vous donnerais tout ce que vous voudrez, je vous en supplie ne me fa�tes pas �a. Pour toute r�ponse, je sentis une chose dure rentrer rapidement en moi. Je ne pus r�primer un g�missement de douleur. C'est comme si on m'�cartelait avec un b�ton de bois. Mon dieu, arr�tez, je vous en supplie. Ferme ta putain de gueule, salope! Dit elle en me donnant un violent coup de bassin. Une affreuse douleur me parcourait le bas du dos, tellement forte que j'en oubliais celle qu'avait subi mes testicules. T'es vraiment serr�e pour une salope toi. Tu kiffes sentir ma grosse bite noire dans ton cul flasque de blanc? Avoue? Putain. R�p�tait Crystal en g�missant. J'essayais de me d�gager, mais ses immenses mains manucur�es me maintenaient fermement par les hanches. Ses forts g�missements �taient rythm�s par ses violents coups de bassins. J'avais l'impression qu'elle me d�chirait de l'int�rieur. C'�tait un cercle vicieux. Plus je criais et g�missais de douleur, plus je la sentais se gonfler et durcir en moi, et donc plus je criais et g�missais de douleur. Crystal �tait en fait une vraie sadique. C'�tait m'humilier, me brutaliser, me faire du mal qui l'excitait. C'�tait comme si elle me pourfendait avec une �p�e. La douleur �tait inimaginable. A cet instant, tout ce que je voyais c'�tait le mur miteux, et le sol imbib� de mes larmes et de ma salive mais je pouvais ais�ment m'imaginer la sc�ne. Une magnifique cr�ature noire muscl�e � la poitrine immense prenant son pied � sodomiser violemment � l'aide de son incroyable p�nis un path�tique homme blanc g�missant et pleurant de douleur. Malgr� la douleur qui me tenaillait, en imaginant la sc�ne, je sentis avec honte mon p�nis se durcir. Dis le que t'es mon vide couille, dis le putain! M'ordonna t-elle en enfon�ant dans ma chair ses longs ongles manucur�s. Je suis votre vide couille, dis je en pleurant, la gorge nou�e. Je sentis les g�missements et les va et vient s'acc�l�rer. La douleur s'intensifia graduellement. Ses mouvements �taient tellement violents que dans la pi�ce r�sonnaient les claquements que son pubis faisaient en tapant mes fesses. Ses forts g�missements masqu�rent mes hurlements de douleur. Et tout d'un coup, plus rien. Crystal s'�tait retir�. Je sentis apr�s quelques secondes un liquide chaud et abondant sortir de moi. Je ne pus m'emp�cher de pleurer de douleur. Salope, t'as tes r�gles ou quoi? Dit en riant sadiquement Crystal. Elle essuya son p�nis sur mon visage. A demain, sale pute. Apporte de l'argent. Et elle s'en alla. Toujours � 4 pattes, je me retournai difficilement et aper�us derri�re moi une flaque de sperme rouge. Crystal m'avait litt�ralement fissur�. Apr�s une dizaine de minutes je r�ussis � me lever douloureusement. Et je me dis que... J'�tais press� d'�tre � demain.