Une belle-mère dominatrice, 2ème partie, par escribe1@live.fr traduction de "Stepmom: Chapter 2" de The Timid Freshman ===================================================== = 2ème partie = = De nouvelles règles imposées à la maison par Dana = ===================================================== Joël marchait lentement vers la porte d'entrée, son esprit envahi d'émotions troublantes et contradictoires. Il ressentait en même temps plusieurs sensations qui le tiraillaient de manière opposée : colère et excitation, peur et attirance, tout cela mêlé à un abject sentiment de honte. Sa nouvelle belle-mère, Dana, l'avait complètement humilié, et elle l'avait même agressé sexuellement dans la salle de bains ce matin, avant qu'il parte à l'université. Et maintenant il s'apprêtait à se retrouver face à elle à nouveau. Elle lui avait donné l'ordre de rentrer directement après les cours, et il était trop effrayé pour imaginer lui désobéir. Sa seule solution était de se plaindre à son père. Quand il apprendrait ce que Dana lui avait fait, la façon ignoble dont elle avait traité son fils, il serait certainement outré. Après un coup pareil il ne pourrait que divorcer, et Joël ne serait plus obligé de cotoyer à nouveau cette terrible mégère (bien qu'elle fût incroyablement sexy, reconnaissait-il à contre-coeur). Déglutissant avec peine, il s'arrêta sous le porche. Sa main trembla d'émotion quand il la leva pour atteindre la poignée. La porte s'ouvrit avant même qu'il ne la toucha. Dana était debout dans l'entrée, le fixant d'un air froid, sans laisser apparaître la moindre émotion. A la place de la robe légère qu'elle portait lorsqu'elle l'avait masturbé, ce matin au-dessus du lavabo, elle avait enfilé un peignoir tout aussi coloré, ces teintes vives contrastant avec son attitude glaciale. Ses cheveux tirés en arrière accentuaient encore son air sévère. "Toi," dit-elle d'un ton ferme. "File dans le salon. Tout de suite." Incapable de soutenir son regard, il baissa la tête et acquiesca de la tête, puis passa sans un mot à côté d'elle pour traverser la salle à manger. Il s'assit nerveusement sur le canapé et commença à attendre, le temps paraissant s'écouler au ralenti. Est-ce que son père était déjà rentré ? Quand Joël aurait-il l'occasion de lui dire ce que Dana lui avait fait ? Après quelques minutes, elle entra enfin dans la pièce, fixant Joël du regard. Il resta assis silencieusement, baissant les yeux devant lui, les mains s'agitant nerveusement sur ses jambes. "Retire tes mains de tes genoux," siffla-t-elle, "est-ce que tu cherches à te toucher à nouveau ?" "Non !" répondit-il, posant immédiatement ses mains à côté de lui. "Ne me parle pas sur ce ton, Joël," dit-elle d'un ton moqueur, puis elle fit glisser son kimono qui tomba doucement à ses pieds. Joël écarquilla les yeux quand il s'aperçut qu'elle n'avait en-dessous rien d'autre que des sous- vêtements noirs. Sur le torse elle portait une sorte de corset qui contenait tant bien que mal son opulente poitrine. Interloqué, le regard de Joël passa alternativement des seins généreux de Dana à ses cuisses gaînées de bas noirs, eux-mêmes attachés à sa petite culotte par des porte-jaretelles. Joël n'eut que quelques instants pour saisir tous les détails de cette scène, et avant qu'il ne puisse comprendre tout ce qu'il était en train de voir, Dana vint planter sans l'ombre d'une hésitation son pied entre ses cuisses. Son talon se posa sur le canapé, pendant que ses orteils appuyaient sur son sexe. Héberlué, Joël fixa des yeux le pied de Dana. "Regarde-moi !" ordonna-t-elle. Effrayé, il leva les yeux vers elle. "Tu ne me diras plus jamais 'non'," continua-t-elle, "tu diras 'non madame', ou 'oui madame'. Et tu me vouvoieras. Tu as compris ?" Abasourdi, il acquiesca de la tête. Se penchant en avant, Dana accentua la pression entre les jambes de Joël, commençant à appuyer douloureusement avec ses orteils sur les testicules du jeune homme. "Compris ?" répéta-t-elle. "Oui Madame," répondit-il sous la pression douloureuse du pied de Dana. Elle approuva doucement de la tête et releva un peu son pied, tout en laissant ses orteils posés sur son sexe. Elle appuyait juste assez pour lui faire comprendre qu'elle était prête à le punir à nouveau s'il s'aventurait à lui donner une réponse inappropriée. Malgré cette menace, Joël réussit à retrouver un peu de sa voix. Il prit une grande inspiration, essayant de se calmer : "tu... Vous ne pouvez pas me faire ça," murmura-t-il. "Qu'est-ce qu'il y a mon chou ?" répondit-elle avec une trace d'amusement dans sa voix. "Je n'ai pas entendu." "J'ai dit que vous ne pouvez pas me faire ça," répéta-t-il d'un voix plus forte. Rassemblant encore un peu de courage, il ajouta : "mon père ne vous laissera pas faire." Dana éclata de rire. "Ton père ?", dit-elle, amusée. "A ta place, je ne compterais pas trop sur lui." Elle tourna la tête et regarda vers le couloir, du côté de leur chambre. "Chéri," appela-t-elle par-dessus son épaule, "pourrais-tu venir par ici, s'il te plaît ?" Joël la fixa des yeux, absourdi. Quel était ce nouveau jeu ? Est-ce que son père était réellement là, ou bien s'amusait-elle encore avec lui ? Et soudain il vit avec horreur la plus terrifiante des scènes à laquelle il lui avait été donné l'occasion d'assister. Son père arriva dans le salon en rampant à quatre pattes, les yeux fixés au sol devant lui. Alors que Joël le regardait, choqué et stupéfait, il s'avança vers Dana, et, s'inclinant devant elle, lui baisa les pieds. "Vous m'avez appelé Maîtresse ?" dit-il. "Oui, esclave," répondit-elle d'un ton détaché, comme s'il s'agissait de la chose la plus naturelle du monde. "Je voulais te demander quelque chose. Joël, ici présent, estime que je suis trop sévère avec lui. Qu'en penses-tu ?" Le père de Joël paraissait intérieurement tiraillé ; son visage reflétait à la fois l'humiliation et la peur. Enfin, sans même vérifier si Joël était effectivement présent ou non, il répondit avec résignation : "la Maîtresse a toujours raison." "Merci, chéri," dit-elle simplement, "tu peux retourner dans ta cage maintenant." "Papa !" appela Joël à voix basse, mais son père ne réagit pas, retournant d'où il venait en rampant. Lorsqu'il eut disparu de leur vue, Dana attira à nouveau l'attention de Joël en pressant doucement son pied entre ses jambes, ses orteils se tortillant sur son jeans. "Comme tu as pu le constater, ton père n'a aucune objection contre mes méthodes de discipline," dit-elle d'un ton cruel. "Et, d'ailleurs, je ne pense pas du tout être trop dure avec toi. Ce serait même le contraire," ajouta-t-elle, avançant son pied et observant avec amusement la bosse qui commençait à déformer le pantalon de Joël. "C'est plutôt toi qui a l'air de devenir trop dur !" Joël baissa son regard vers son entrejambes et s'aperçut tout à coup de son érection naissante. Le massage de ses parties intimes par les pieds de Dana, associé à la vision de ce corps voluptueux orné de lingerie fine, avait provoqué chez lui un désir qu'il ne pouvait plus contrôler. Il était totalement désespéré. Voir ainsi son père, sa principale référence dans sa vie, réduit à l'état de chien rampant et tremblant dépassait ce qu'il était capable d'appréhender. Il réalisa alors que Dana était trop forte pour lui. Il commençait à perdre tout espoir de se dresser contre elle, même si son pénis, lui, se dressait *pour* elle. "Debout," dit-elle tout à coup, retirant son pied et s'éloignant du canapé. Joël obéit docilement. Que pouvait-il faire d'autre ? "Enlève ton pantalon," ordonna-t-elle. Joël porta lentement ses mains à sa ceinture, puis hésita. "Tout de suite !" cria-t-elle soudain. Effrayé par la dureté de sa voix, il obéit, défaisant la fermeture éclair, déboutonnant le pantalon puis le laissant tomber à terre. "Maintenant le slip," dit-elle, savourant visiblement cette situation. Joël déglutit et obéit, son coeur battant la chamade. Son érection était à son maximum, et son sexe dressé était totalement exposé devant sa belle-mère. "Assieds-toi," dit-elle doucement. Joël se rassit sur le canapé, le corps parcouru de tics nerveux, les mains tremblantes. Sans dire un mot, Dana s'assit à côté de lui, et son coeur fit à nouveau des bonds. Elle se tourna face à lui, et prit son menton dans sa main droite, le forçant à la regarder dans les yeux. Avec sa main gauche elle se mit à caresser négligeamment la base du coup de Joël. Il étaient très près l'un de l'autre à présent. Joël était tout tremblant. "J'ai réfléchi à ce que tu m'as dit ce matin," commença-t-elle. Elle marqua une petite pause, puis continua : "j'ai été peut-être un peu trop impulsive avec toi. Les adolescents, après tout, doivent apprendre à gérer un afflux d'hormones. Se caresser le corps, faire monter la pression... Puis se libérer en jouissant," finit-elle en murmurant. "Tu aimerais jouir même en ce moment, n'est-ce-pas ? Ne mens pas." Elle se pencha encore plus vers lui, son visage n'étant plus qu'à quelques centimètres du sien. Joël acquiesça, des larmes apparaissant dans ses yeux. "Oui Madame," répondit-il. "Je peux être très sévère," continua-t-elle, puis elle sourit. "Mais je peux être également gentille." Sans prévenir, elle prit son pénis dressé dans sa main droite et commença à le caresser très doucement avec le bout de ses doigts. Joël émit un soupir involontaire. C'était la sensation la plus excitante qu'il ait jamais vécu. Son corps entier, qui quelques instants auparavant tremblait de peur, frissonnait maintenant de plaisir alors que Dana jouait avec lui comme s'il n'était qu'un instrument entre ses mains, ses doigts dansant légèrement le long de son pénis et de son gland. Il baissa les yeux, comme pour vérifier que ce qu'il ressentait était réel. "Regarde-moi," dit-elle tout à coup, et les yeux de Joël revinrent se fixer aux siens. Elle le toisa droit dans les yeux, ne détournant pas un seul instant son regard. Elle commença à alterner ses caresses avec de douces pressions, augmentant le plaisir très progressivement. La masturbation brutale de ce matin n'avait rien à voir avec ce qu'il ressentait maintenant : c'était de l'extase, purement et simplement. Le plaisir submergeait tout, sa colère, sa peur. Il était totalement sous l'emprise de Dana, tel une marionnette entre ses mains. "Cette fois cela sera gratuit pour toi," dit-elle avec un sourire, tout en serrant plus fermement son sexe. "Un petit échantillon de ce que je sais faire, afin que tu puisses comprendre tous les avantages qu'il y a à bien me servir. Tu devras cependant gagner le droit de jouir pour la prochaine fois, mon chou. Je veux que tu me nettoies complètement ma cuisine, du sol au plafond. Tu m'as comprise ?" "Oui Madame," répondit-il dans un râle. Elle se pencha en avant, pressant ses lèvres contre les oreilles de Joël : "à partir de maintenant, tu m'obéiras sans jamais plus discuter, Joël," murmura-t-elle. "Compris ?" "Oui Madame." Le rythme des mouvements de Dana commença à augmenter. Sa main était totalement enroulée autour du sexe de Joël, le serrant de plus en plus fermement. "Je suis ta belle-mère, et j'attends de ta part une obéissance et un respect absolus. Compris ?" "Oui Madame," dit-il pour la troisième fois, plus fort, sa voix résonnant à travers la pièce, et soudain il sentit qu'il éjaculait. Son sperme jaillit en l'air, et des ondes de plaisir parcoururent son corps entier, provoquées par l'orgasme le plus intense qu'il ait jamais ressenti. Plusieurs jets suivirent l'explosion initiale, et Dana tapota doucement son pénis à chaque nouvelle émission. Finalement, Joël revint à la réalité, haletant, assis sur le canapé. Il prit conscience de la sueur qui coulait le long de son dos, de la semence qui était tombée sur ses cuisses. Et presque immédiatement resurgit dans son esprit la peur, l'humiliation et la honte. La peur, cependant, semblait s'estomper et il n'avait presque plus l'envie de résister. La domination de Dana sur lui était pratiquement complète. Dana se rassit confortablement sur le canapé, regardant à nouveau Joël droit dans les yeux. Il était trop terrifié pour regarder ailleurs. "A partir de maintenant," déclara-t-elle avec autorité, gardant toujours le pénis dressé de Joël en main, "tu n'auras le droit de jouir qu'avec ma permission. Si je découvre que tu t'es quand même masturbé, et, compte sur moi, j'arriverai à le savoir quoi qu'il arrive, alors tu seras sévèrement puni." Joël acquiesça de la tête, docilement. "Et, au fait, Joël," ajouta-t-elle, abandonnant son pénis et saisissant ses testicules avec sa main. Elle commença alors à les serrer, ajoutant d'une voix lourde de menace : "tu n'as pas encore subi une vraie punition de ma part. Et je ne pense pas que tu aimerais essayer, n'est-ce pas ?" "Non Madame," murmura-t-il, et Dana libéra ses testicules. "Va te nettoyer," dit-elle comme si rien n'était arrivé, se levant du canapé et reprenant son kimono. "Et quand tu auras fini, tu nettoieras ma cuisine." Joël s'entendit répondre automatiquement : "oui Madame". Il savait qu'il n'avait pas d'autre choix que d'obéir. Dana avait maintenant pris le contrôle total de son beau-fils. A suivre...