Une belle-mère dominatrice, 1ère partie, par escribe1@live.fr traduction de "Stepmom: Chapter 1" de The Timid Freshman ======================================================== = 1ère partie = = Un jeune homme est dominé par sa nouvelle belle-mère = ======================================================== Joël lança sa main sur le réveil, mettant fin au hurlement strident de la sonnerie. Il s'étira les bras en bâillant puis s'assit, ouvrant et fermant les yeux pour essayer de chasser le sommeil. Baissant son regard, il put constater que son sexe était déjà bien réveillé, lui. Il sourit à l'avance, pensant à la façon dont il allait calmer cette érection matinale. Soulevant le matelas, il sortit une des revues pornographiques qu'il cachait à cet endroit. Il la passa sous la ceinture de son pyjama, puis se leva en enfilant un T-shirt, essayant de dissimuler au mieux la bosse provoquée par son membre dressé ainsi que le magazine. Il s'avança discrètement vers la porte et jeta un coup d'oeil dans le couloir. Il regarda d'abord à gauche, puis à droite, s'assurant que sa belle-mère n'était pas dans les environs. Sa belle-mère... A peu près un mois et demi auparavant, le père de Joël avait rencontré Dana et en était immédiatement tombé amoureux. Tout était alors allé extrêmement vite, et la tournure des évènements avait totalement pris Joël par surprise. Avant qu'il ne comprenne ce qu'il était en train de se passer, son père s'était remarié : Joël avait donc une nouvelle belle-mère, et son père et lui avaient tous deux quitté leur ancien appartement pour emménager dans la maison de Dana. Joël ne comprenait toujours pas ce qui était passé par la tête de son père. Bien sûr, Dana était une belle femme : malgré ses 39 ans, elle avait encore les formes d'une jeune femme, une silhouette sans défaut, les pommettes saillantes, ainsi que des cheveux blond platiné. Et elle s'arrangeait toujours pour laisser entrevoir sa généreuse poitrine sous ses vêtements. Joël ne pouvait nier le pouvoir de séduction de Dana, ou plutôt son allure sexy, comme il serait plus juste de dire. Cependant il désapprouvait ce mariage. Après tout, comment pouvait-on réellement connaître quelqu'un après seulement un mois ? Comment son père avait-il pu remplacer sa mère si facilement en aussi peu de temps ? Du coup, le courant n'était jamais bien passé entre Joël et Dana. Bien entendu, il n'y avait jamais eu de réelles altercations entre eux, mais leurs relations étaient le plus souvent froides, voire glacées. Alors qu'il vérifiait si elle n'était pas là dans le couloir, il pensa qu'il ne souhaiterait certainement pas qu'elle le surprenne en compagnie d'un magazine pornographique. Après s'être assuré encore une fois qu'elle n'était pas en vue, il se précipita pour parcourir la courte distance qui le séparait de la salle de bains, puis ferma la porte derrière lui. Impatient de commencer son activité matinale et clandestine, il s'approcha de la cuvette des toilettes sans faire de bruit sur la pointe des pieds, baissa son bas de pyjama ainsi que son slip, et s'assit, ouvrant d'une main le magazine sur ses genoux et saisissant son sexe de son autre main. Lentement, il commença à travailler son membre de bas en haut, savourant cet instant tout en fixant avidement les photos de filles dénudées et aguichantes. Soudain, juste au moment où il allait déplier le poster central, la porte s'ouvrit. Emettant un juron, Joël réalisa trop tard qu'il n'avait pas refermé à clé derrière lui ! Il n'avait jamais pris cette peine auparavant car quand il habitait seul avec son père, celui-ci prévenait toujours avant d'entrer quelque part. Comme cela ne faisait que deux semaines qu'ils avaient emménagé chez Dana, Joël n'avait pas encore eu le temps de changer ses habitudes... Dana s'engouffra dans la pièce. Elle était déjà habillée : elle portait une ravissante robe légère, multicolore, dotée d'un décolleté plongeant qui mettait en valeur sa superbe poitrine. Ses cheveux blonds tombaient en cascade le long de son cou, et elle était apparemment en train de mettre ses boucles d'oreille. Elle s'arrêta net quand elle aperçut Joël en flagrant délit de plaisir solitaire. Joël se mit à paniquer, essayant de masquer son entrejambes en posant le magazine dessus. "Bon sang, mais qu'est-ce que tu fous ?" demanda-t-elle. "Et toi, qu'est-ce que tu fous ?" rétorqua-t-il, "on ne t'a jamais appris à frapper avant d'entrer ?" "Pardon ?" répondit-elle en haussant le ton. "Je suis chez moi. Je peux aller où je veux chez moi, et je n'ai pas à frapper avant !" Joël n'avait pas envie de discuter avec elle, il voulait juste qu'elle le laisse tranquille. "Est-ce que je pourrais avoir un peu d'intimité, s'il te plaît ?" demanda-t-il en contenant tant bien que mal sa colère. "Dis-donc, est-ce que tu n'étais pas en train de te masturber, par hasard ?" demanda-t-elle, les mains sur les hanches. Joël ne savait pas quoi répondre. Elle ne pouvait quand même pas se montrer indiscrète à ce point ! Il déglutit. Entamer une discussion sur la masturbation avec sa belle-mère était bien la dernière chose qu'il désirait à cet instant. Dana profita de son silence gêné pour continuer à lui faire la morale. "Comment oses-tu te masturber dans ma maison, espèce de petit pervers !" le gronda-t-elle avec un air scandalisé. "Quoi ?" protesta-t-il. Mais pour qui se prenait-elle donc, pour oser lui faire la leçon ? Qu'est-ce qu'elle s'y connaissait dans l'éducation des adolescents ? "Quoi ?" répéta-t-il pour gagner du temps, ne sachant quoi répondre d'autre. Dana se précipita alors sur lui, faisant claquer ses talons aiguille sur le carrelage, jusqu'à se retrouver debout pratiquement entre ses jambes. Elle saisit brutalement la revue posée sur les genoux de Joël, exposant ainsi sans prévenir son sexe, qui était en train de rapetisser à vue d'oeil. "Qu'est-ce que c'est que cette cochonnerie ?" demanda-t-elle, alors que Joël couvrait maladroitement son entrejambes avec ses mains. Il essaya de se lever, mais elle le repoussa sur le siège avec sa main libre. "Tu te masturbais avec ça ?" s'enquit-elle. "Non," répondit-il instinctivement, essayant de regagner une contenance. Il fut complètement surpris par la gifle qu'elle lui donna soudainement. "Menteur !" siffla-t-elle. Elle ouvrit le magazine et laissa le poster central se déplier sous ses yeux. "Tu prenais ton plaisir en reluquant ces putes, espèce de sale petit pervers." Elle jeta un coup d'oeil sur la photo avec une moue de dédain. "Je ne comprends pas ce que tu peux trouver à ces grues. En plus ce sont presque des gamines." Joël n'essaya même pas de lui faire remarquer que les modèles qui posaient dans le magazine étaient en général plus âgés que lui. Il ne souhaitait plus qu'une chose à cet instant : s'échapper de cette situation et mettre le plus de distance entre Dana et lui. Elle commençait à lui faire réellement peur. Mais elle n'était apparemment pas disposée à le laisser tranquille. "Tu vas me montrer où tu caches toutes tes cochonneries, Joël," lui dit- elle. "Je veux voir tous les magazines porno que tu as planqués !" "Vas te faire foutre !" hurla-t-il, retrouvant soudain sa voix. "De quel droit tu me parles ainsi ? Je n'ai pas à t'obéir, tu n'es pas ma mère !" "Oh, là tu te trompes lourdement, mon ami," dit-elle d'un ton sévère, tirant sur le bras de Joël pour le forcer à se mettre debout. Celui-ci fut surpris par la force avec laquelle elle le projeta à travers la salle de bains. Trop tard, il réalisa qu'elle avait mis les pieds sur son pantalon de pyjama et son slip restés à terre, aussi s'étala-t-il par terre en se retrouvant intégralement nu à part son T-shirt. Hors de lui, mais gêné par sa position et de plus en plus inquiet devant la tournure prise par les évènements, il essaya de s'échapper en se dirigeant vers la porte. Mais Dana se révéla plus forte qu'il ne l'avait estimé. Sans effort apparent, elle agrippa son bras et le tordit dans son dos. Elle le fit tourner autour d'elle puis le poussa contre le lavabo, enfonçant sa jambe droite dans son dos pour compléter sa prise. Il était totalement immobilisé, prisonnier de ses bras puissants. "Lâche-moi !" grogna-t-il désespérément. "Oh, pas question," murmura-t-elle. Elle contrôlait maintenant parfaitement la situation. "Je ne peux tout simplement pas tolérer que tu me désobéisses ainsi, mon chou." "S'il te plaît," implora-t-il, les yeux embués de larmes. Il ne s'était jamais senti aussi gêné et impuissant de sa vie. "Je suis désolé, ça te va ?" "Non, ça ne me va pas," dit-elle avec un air moqueur. "J'ai bien peur que tu ne doives subir une petite punition." Elle poussa alors le torse du jeune homme en avant au-dessus du lavabo. Elle lâcha le poignet de Joël de sa main droite pour le saisir de nouveau immédiatement de sa main gauche, continuant à le maintenir immobilisé avec sa prise, incapable de se défendre. Elle le pressa contre le lavabo avec ses hanches. Elle leva alors sa main droite aussi haut qu'elle le put, puis la fit redescendre tel un élastique qu'on lâche, le frappant brutalement sur les fesses. Joël serra les dents de douleur. Elle était en train de le fesser ! Joël était un jeune homme, majeur, et il se retrouvait à subir une fessée des mains de sa belle-mère comme s'il n'était qu'un enfant ! Elle continua à frapper son derrière dénudé qui commençait à rougir. Immobilisé, il n'avait pas d'autre possibilité que de supporter la douleur sans pouvoir réagir, mais quand il baissa les yeux, honteux, il fut horrifié de constater que son pénis était en train de se redresser. Tout se passait comme si son corps, ignorant la honte, l'humiliation et la colère qui bouillonnaient dans son crâne, réalisait tout à coup la nature pleinement érotique de cette situation. Malgré tous les sentiments négatifs qu'il pouvait ressentir à ce moment, il ne pouvait s'empêcher d'être excité à l'idée d'être là, à demi-nu, totalement à la merci d'une superbe femme, qui plus est en train de le fesser à main nue ! Alors que toutes ces pensées se déchaînaient dans son esprit, Joël se retrouva avec une complète érection, son membre dressé au-dessus du lavabo. Il le fixa des yeux, en essayant de toutes ses forces de le faire revenir à la normale, mais c'était trop tard : Dana s'en était aperçu. "Mais dis donc, qu'est-ce que je vois là ?" demanda-t-elle, arrêtant tout à coup sa main au moment où elle reprenait son élan. Elle passa son bras libre autour de Joël, puis lui empoigna son pénis dressé. Il écarquilla les yeux lorsqu'elle se saisit de son membre : c'était la première fois qu'une femme le touchait dans son intimité. Cela n'était pas possible, c'était trop étrange, trop perturbant... Les mots qu'elle prononça le ramenèrent à la réalité : "est-ce que je te fais de l'effet ?" demanda-t-elle, serrant son sexe. "Non !" dit-il, les larmes commençant à couler sur ses joues. Il n'avait jamais été aussi embarassé de sa vie. "Menteur," siffla-t-elle à nouveau, tout en lui mordillant l'oreille. "Tu aimes ça, petit pervers. J'aurais dû deviner que ce n'étaient pas ces petites putes dans tes magazines qui t'excitaient réellement. Une vraie femme, mûre, c'est ça qui te fait vraiment fantasmer, n'est-ce-pas Joël ?" Sur ces mots, elle commença à aller et venir avec sa main sur son pénis, continuant ainsi l'ouvrage qu'il avait entamé avant qu'elle ne vienne l'interrompre. Joël n'en croyait pas ses yeux. Sa belle-mère était en train de l'humilier sans vergogne, et il n'avait aucune possibilité de l'en empêcher ! Même s'il ne pouvait nier le plaisir physique qu'elle était en train de lui procurer, cette situation était tellement bizarre qu'il aurait tout donné pour s'échapper de là. Mais il ne pouvait pas : il était prisonnier, et elle était en train de le masturber en l'amenant lentement à l'éjaculation. "Arrête, s'il te plaît," gémit-il. "Tu as un truc tout dur entre les jambes, Joël," murmura-t-elle, "et j'arrêterai quand il sera redevenu tout mou. Tu veux que je te laisse, ne t'inquiète pas, c'est ce que je vais faire, mais pas avant que tu n'aies joui. Tu as d'ailleurs intérêt à en profiter, tant que tu en as encore l'occasion." Il n'y avait pas d'échappatoire. Il avait beau se concentrer, le corps de Joël ne répondait qu'aux caresses de Dana. Elle avait la maîtrise totale de son pénis. Il n'eut pas d'autre choix que de rester ainsi, debout, alors qu'elle le pompait avec sa main, son esprit luttant sans espoir contre l'intense plaisir qui irradiait de son entrejambes. Finalement il ne put se retenir plus longtemps. Il éjacula dans le lavabo, faisant gicler de longs jets de sperme blanc et tiède, son corps secoué par les frissons de l'orgasme. Dana continua à le pomper jusqu'à ce que la dernière goutte de sperme ait été expulsée, puis elle le libéra enfin. Il s'effondra contre le lavabo, épuisé, les fesses douloureuses, humilié, effrayé, furieux. "Ne te masturbe plus jamais chez moi," dit-elle alors d'un ton glacial. "Maintenant va à ton cours. Je veux que tu rentres directement ce soir, ne traîne pas en route. On va établir ensemble quelques règles de vie que tu devras respecter ici." Sur ces mots elle sortit de la salle de bains, le laissant seul avec sa honte. A suivre...