Stephane "Je suis Stephane, de Lyon, adepte de punitions réelles au niveau des parties genitales, assez fortes mais sans blessures. Dans ma recherche de rencontres si possible non vénales, je me promenai en aout dernier à Villeurbanne, en cherchant à croiser un groupe de filles à qui j'aurais proposé de me maltraiter les couilles dans la rue ou chez elles. Je roule doucement, et je vois une jf de type arabe, la vingtaine, assez grande, en jean moulant, en train d'attendre le bus. Elle est seule, je decide de l'aborder, je me gare devant l'abri bus : - Bonjour - (un temps) Bonjour (elle m'examine froidement de la tete aux pieds) - Bonjour, ecoutez, je ne sais pas comment vous dire ca, mais je vous trouve tre belle, j'aime les femmes de type oriental, elles ont souvent du caractere, et j'aime les femmes autoritaires Elle sourit, flattee. Je poursuis : - En fait, je suis soumis, je vais etre honnete, j'aime bien prendre des couops dans les parties intimes, la verite. Je sais que certaines jfs aiment ca, que c'est un fantasme, et certaines le font vraiment. Est-ce que ca vous interesse ? Elle me regarde étonnée, regarde mon pantalon, et sans rien me dire, decroche son portable et appelle quelqu'un, en parlant arabe, que je ne comprends pas. Je ne sais pas quoi faire, je ne sais meme pas si elle a compris ce que j'ai dit. Je lui fait un signe qui veut dire 'Alors ?', elle repondit en mettant son doigt sur sa bouche, puis me montre le sol. Comme je ne bouge pas, elle insiste avec son doigt, tout en continuant à parler de façon animée à la personne qu bout du fil. Je comprends qu'elle veut que je m'agenouille, ce que je fais. Je regarde autout de moi, personne ne passe, mais dans les immeubles autour, il y a peut-etre des personnes qui observent, je me sens pas bien. Elle désigne ma braguette et fait signe d'ouvrir. J'hésite, mais elle fronce les yeux, alors j'obeis, je sors ma verge à moitie tendue et mes bourses. Elle fait la moue, visiblement pas contente, et toujours par signe me dit d'ecarter les jambes. Elle s'approche un peu, et sans prévenir, m'envoie un coup bien ajusté dans les couilles. Visiblement satisfaite du resultat, je comprends qu'elle commente ce qu'elle vient de faire au telephone. J'en profite pour dire que je peux etre puni par plusieurs personnes en meme temps, ce qui semble l'interesser puisqu'elle daigne enfin m'adresser la parole : - ah oui ? Elle semble poser une question à une certaine Yasmina, et continue : - Eh bien on va voir ca tout de suite ! Laisse ta voiture, on va dans l'immeuble blanc, de l'autre cote du parc, en face. Et t'as pas interet à te defiler ! Et commence par fermer ta braguette, je veux pas qu'on nous voie comme ca ! Je n'en ai aucune envie. Ca fait longtemps que je n'ai pas ete maltraite sur les couilles, et j'aurais accepté n'importe quoi. Mais je n'etais quand meme pas rassure pour autant ! Nous traversons le parc, pendant qu'elle m'interroge sur ce que j'ai deja subi. Je lui reponds : tapes, coups, compressions, etirements, serrages manuels ou mécaniques, coton-tiges dans le canal urinaire, ball-busting, etc ... Elle me fait detailler chaque punition. Nous arrivons au 2eme etage de l'immeuble en question, et elle sonne à une porte, qui s'ouvre de suite. Une jf ouvre, que la jeune femme salue en l'appelant Yasmina, et celle-ci sourit vicieusement en me voyant. J'apprends indirectement que la jf du bus s'appelle Aicha, mais elles ne parlent qu'en arabe, visiblement je n'ai rien à dire. L'autre semble lui raconter le detail des punitions que je subis habituellement. Yasmina ouvre de grands yeux, semblant surprise, mais cela l'amuse beaucoup. Aicha me pousse par les épaules vers le salon, me fait deshabiller et agenouiller au milieu de l'espace. Je pense que je vais me prendre des coups de pieds. Pendant ce temps, Yasmina s'est précipitée vers le téléphone, et passe deux appels ou je l'entends discuter fiévreusement. Toute excitee, elle revient vers nous. Elles commentent mes attributs, enfin j'imagine. Elles semblent se moquer de moi, et reflechir sur la facon dont elles vont proceder. Aicha me dit : - On va jouer au jeu des traductions : on va te dire un mot en arabe, visiblement tu ne comprends rien, et tu dois trouver le mot en francais. tu peux poser des question. Apres chaque question, tu peux donner ton mot, si ce n'est pas bon, tu auras un coup dans tes couilles. Et si vraiment tu n'y es pas du tout, tu en auras plusieurs ! t'as compris la regle ? Je bredouillle un Oui, en avalant ma salive. Elle me met un bon coup en plein dans les couilles. - Trop bon..., dit Yasmina, qui a observe toute la scene. - Je t'ai mis un coup, parce que tu n'as pas parle assez fort. Ca t'apprendra. Yasmina, passe derriere, on va y aller. Yasmina me regarde, et fait le tour. - Comment on dit ... merci ? - Shoukran (c'est un des seuls mots que je connais avec bonjour) ! - bien ! dit-elle. Mais il faut que Yasmina s'entraine aussi un peu. Elle donne un ordre à Yasmina, qui doit voiloir dire de me frapper. Je recois u coup, faible, mal vise et Aicha s'en apercois. Elle s'enerve contre Yasmina. Brusquement, je recois un grand coup cette fois-ci, et tres bien visé. Je tombe sur le sol, les mains sur les couilles. - Ca c'est bien, Yasmina... dit Aicha. Aicha est sur le point de me proposer un autre mot, quand la sonnette resonne. Aicha va vers la porte, et Yasmina en profite pour passer devant moi et me lance, les yeux brillants : - Comment on dit ... Ami ? - Je ne sais pas ? - Sadiq !!!! ca tombe bien, non ? dit -elle et elle m'expedie un grand coup de pied dans les parties, qui m'envoie à nouveau au tapis. Elle a vite appris. Quand je me releve, je vois qui est venu sonner : il y a deux autres jfs, sans doute celles qui ont ete appellées tout a lh'eure au telephone. Aicha reprend la direction : - Toutes les deux dites bonjour à Stephane, et bonjour, chez lui, c'est un coup dans les couilles !! Allez !! Je recois deux coups assez mous, mais je fais bien semblant de ressentir la douleur, pour gagner un peu de temps. Comme je suis par terre, Aicha se rappelle que je lui ait parle de pietinement des couilles, et elle veut essayer. Elle me fait assoir par terre, les jambes ecartées. Elle apporte un livre et le place dessous, comme je lui avait indiqué. Du coup , les testicules reposent bien à plat sur le livre. - Bien, on va rigoler, on laisse tombre le jeu du dictionnaire pour l'instant, chacune d'entre nous va essayer de monter sur ... sur ... eh oui, sur tes couilles , mon pauvre !!!! Oh, ca va te faire bien mal, surtout Djamila, elle est un peu grosse Djamila. J'essaye la premiere .... Elle se place entre mes jambes, appuie son bras droit sur la table, et commence a monter sur un testicule avec sa jambe gauche : - Oh, c'est trop bon, ca, hum, je sens le testicule qui veut s'echapper ... La douleur commence a etre tres forte, elle appuie de plus en plus fort : - Oh, je le sens qui s'ecrase maintenant, tu m'a dit dans le parc que tu pouvais supporter tout mon poids, c'est ce que nous allons voir. Maintenant que tu l'as dit, on va aller jusqu'au bout, tant pis si tu tiens pas !!! Tout en continuant à se tenir sr le cote de la table, elle met son pied droit sur l'autre testicule, et commence à faire jouer son poids d'avant en arriere. Quand elle est sur les talons je ne sens pas grand chose, mais chaque fois qu'elle porte son poids sur ses orteils, elle m'ecrase complement les couilles. Je commence à gemir ... - Ah, c'est bien, là on voit que ca marche bien, ca, hein ? Tu voulais avoir mal ca y est, on y est !!!! Yasmina, à toi l'honneur ! Un pied sur chaque couille et tu ecrases bien ! - Je crois que moi je vais essayer sans chaussure, je sentirai mieux, dit Yasmina. Elle quitte ses chaussures et monte tout de suite sur les deux testicules. - Je les sens bien, cool !! Elles s'ecrasent bien sous mes pieds. Elles discutent entre elles aussi en arable, sans que e comprenne un seul mot. D'ailleurs je suis plutot occupe à resister à la douleur. Toutes les filles me passent dessus, encouragées par celles qui regardent. L'une des deux nouvelles, plutot fine, a l'impression de ne pas me faire assez mal, et decide de sautiller sur mes couilles, je gemis tres fort, je n'en peux plus. Aicha decide de repasser aux coups de pied, mais j'aurais les yeux masques, et chaque fille peut taper quand elle veut, par devant ou par derriere. La, j'ai eu vraiment tres mal pendant un bon quart d'heure ou ce jeu dure. On m'a aussi aggripe les couilles à la main, pour les serrer et les etirer, on m'a griffe le sexe, étiré, pendant que je prenais des coups de poing aux couilles, puis a nouveau des coups de pied pour finir. Je dis a Aicha que je n'en peux plus. Apres quelques coups que je devine etre de sa part, histoire de bien en profiter encore, Aicha m'enleve le bandeau: - Eh bien, tes couilles, elles ont bien pris !! Ca m'a fait du bien, tu peux revenir quand tu veux !!! Moi et mes copines, on te recevra !!! Mais on sera plus nombreuses la prochaine fois, et puis on tapera plus fort, ca sera encore plus drole !!!! Toi t'as bande, c'est donc que ca te plait aussi ! On s'est bien amusées, les filles ? Acquiescement general, elles ont eu l'air de bien apprecier ... Je prends conges de mes hotesses, les couilles en feu. Je compte bien retourner un jour ... Stephane Lyon, France, bobo69internet@yahoo.fr