Sandi : Le “porté” Par David Sullivan Sandi 6 Je la voyais assiste seule à une table au fond du bar. Son visage charmant était entouré d’une chevelure blond doré qui descendait sir ses épaules. Je demandais qui elle était à Fred, le patron du bar . Il me répondit qu’il ne l’avait jamais vue avant et qu’elle était seule. Il me dit aussi que plusieurs gars avaient essayé de lui parler mais que ca ne les avait mené nulle part. Qu’importe, pensais-je, qui ne tente rien n’a rien. Je m’approchais de sa table et me présentais. Je luis dit que je m’appelais Jacques Robert. Elle me répondit que son nom était Sandi et que c’était son vingt et unième anniversaire. Je lui offrit un verre, elle me détailla de la tête aux pieds ( je mesure 1.75 m) et accepta. Je m’assis en face d’elle. Elle commanda un jus de fruit quand la serveuse vint vers nous. Elle était vêtue d’un survêtement assez ample ce qui fait que je ne pouvais pas voir comment elle était faite, excepté le fait qu’elle avait de beaux seins. Elle paraissait un peu grosse d’ailleurs aussi mais étant donné que j’aime les femmes avec une forte poitrine, cela pouvait m’aller. Nous avons parlé pendant un moment de cosses et d’autres quand elle me demanda si j’aimais les filles athlétiques. Je lui répondis que je n’en n’avais jamais connu et que de toutes façons l’athlétisme chez les femmes c’était de la frime. Les femmes étaient plus faibles et plus lentes que les hommes. Elles étaient seulement capables de jouer au golf et au tennis et étaient trop pisseuses pour les sports de combat.Je lui dit que les femmes bodybuilders voulaient toutes être des hommes. Elle se contenta de sourire et dit que j’avais probablement raison. Le sujet ne revint jamais pendant tout le temps de la conversation; Je lui demandais finalement de venir chez moi pour un dernier verre avant de se coucher et elle dit que sa maison était à peine à 1 mile et qu’elle avait une surprise pour moi si je voulais la voir. J’aquiècais et nous quittames le bar. A l’extérieur je la vis mieux : elle mesurait dans les 1,65 m et était un peu trop costaud pour mon goût. Mais je le dis qu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras et elle avait réellement de gros seins. Nous allâmes chez elle chacun dans notre voiture. Quand nous arrivames à sa maison, je lui demandais si elle avait un petit ami. Elle me parla d’un gars nommé Brad qui avait vécu avec elle. Elle me dit qu’il avait été sévèrement blessé et était à l’hôpital. Nous étions dans son living room bien meublé quand je lui parlais de la surprise. Elle me dit qu’elle se trouvait dans la pièce à coté, et elle ajouta d’une voix sexy qu’elle passait la première. Je devais attendre 5 minutes avant d’entrer et me sentir “bien détendu” en entrant. Après son départ je me mis en caleçon. Je savais que j’allais aimer sa “surprise” J’entrais dans la pièce sombre. Les 5 minutes d’attente m’avaient donné une érection anticipée. J’étais surpris par la sensation du sol : c’était réellement doux. Cela ressemblait plus à un tapis de gymnastique qu’à un vrai tapis. La lumière s’alluma brusquement et je vis que la pièce était totalement vide, le sol et les murs couverts de tapis de gymnastique. Il y avait aussi une grande télévision sur un support accroché au mur, légèrement inclinée vers le bas. J’entendis la porte se fermer derrière moi. Sandi s’écria “surprise!”. Je me retournais. elle portait toujours son survêtement. “Qu’est-ce qui se passe?” dis-je. “Je pensais que tu voudrais voir ma salle de confirmation” répondit-elle. Je lui jetais “Qu’est-ce que c’est une confirmation?”. “ C’est la salle ou je confirme le fait que les trous du cul chauvinistes mâles dans ton genre ne sont que de de flasques queues chétives. Elle commençait à m’emmerder. J’avais espéré le trouver à l’horizontale en entrant dans la pièce et maintenant elle me servait de la merde féministe. “ Eh bien tu peux confirmer tes foutaises à quelqu’un d’autre. Je me casse salope” Elle se tenait contre la porte en souriant légèrement. Je cherchais une autre porte, il n’y ne avait pas. “Ecoute Sandi, je croyais qu’on allait s’amuser tous les deux. Tout ce que tu veux me donner c’est de la merde, tu me fais chier! Je ne veux pas te faire de mal alors écarte toi de mon chemin.” “Bouges-moi” dit-elle “Vas-y, tu es un gars costaud et moi je suis une fille à chichi”. Elle me fatiguait. Je l’attrapais par le devant de son survêtement et la tirais de devant la porte. Sauf que ca n’avait pas marché. Elle n’avait pas bougé quand j’avais tiré. Elle me gifla alors que j’essayais de la tirer à nouveau. “Bouges bon Dieu, bouges!” J’étais furieux! Cette salope me cherchait. “Ca ne me fais rien de frapper une femme, je l’ai déjà fait plein de fois” Elle restait simplement la en souriant. Je la frappais à coup de poing aussi fort que je pouvais à l’estomac. Je criais de douleur quand ma main s’est cassée. Elle me regarda et dit : “Jacques, je sais que tu aimes frapper les femmes. Ton vrai problème c’est que tu as battu ma mère la semaine dernière. Je t’ai amené ici uniquement pour être sur que tu ne toucheras plus jamais une autre femme aussi longtemps que tu vivras. Avant cela, laisse moi te parler de Brad” Ma main me faisait si mal que je pouvais difficilement le supporter. Elle devait porter une armure de métal bizarre sous son survêtement. J’essayais de trouver un moyen de m’en aller mais pour une raison inconnue, le ton de sa voix m’a poussé à écouter. “Brad était mon animal domestique, il a vécu ici un certain temps. Tout s’est bien passé un moment mais il a commis une faute la semaine dernière. Quand je lui ai dit que ma mère s’était fait battre il a répondu qu’elle l’avait sûrement mérité. Il a bien sur essayé de s’excuser, mais il avait déconné. je ne laisse jamais mes animaux déconner. De toutes façon, j’étais fatiguée de lui. Maintenant regarde” Et elle alluma la télé avec la télécommande qu’elle tenait à la main. L’image montrait la pièce ou nous étions. Soudain, un corps nu vola depuis la porte et s’écrasa lourdement sur le sol. Quelqu’un entra. Je réalisais que c’était Sandi. Elle portait un short et un tee-shirt qui montraient son corps incroyable. ce que j’avais pris pour de la graisse sous son survêtement était couche sur couche de muscles. elle avait le physique le plus incroyable que j’avais jamais vu! Il n’y avait aucun doute sur sa féminité avec ces gros seins hauts sur son thorax et sas courbes. Mais ses courbes étaient faites de muscles et non de graisse. Ses muscles étaient si massifs qu’on aurait cru qu’ils allaient exploser. Elle marcha vers Brad et le pris par les cheveux et le souleva sans effort sur ses pieds. Il mesurait environ 5 cm de plus que Sandi mais il avait l’air pale et maigre à coté de la fille musculeuse. Son corps n’était à l’évidence pas de taille contre la force brute de l’amazone. Ses bras et ses jambes avaient l’air d’allumettes en comparaison avec les membres noueux de muscles de Sandi. Son torse était une squelette comparé à la poitrine au dos et à l’abdomen recouverts d’une musculature épaisse. Je regardais Sandi craintivement comprenant que ce qui avait cassé ma main n’était pas autre chose que ses abdominaux solides comme du roc. Elle avait une moue de connivence sur son beau visage. Elle vit la peur dans mes yeux et elle aimait cela. “Regarde le show Jacques, à moins que tu ne veuille commencer notre petite fête tout de suite”. Je tremblais de peur en me tournant à nouveau vers la télé. Sandi souleva Brad de terre d’une seule main en tenant sa gorge dans une poigne d’acier. Les énormes muscles de son bras et de son épaule gonflèrent d’une puissance incroyable tandis qu’elle soulevait l’homme adulte à bout de bras. Son visage était bleu car la poigne qui broyait sa gorge coupait complètement l’arrivée de l’air. Soudain, elle lança Brad contre le mur. Il le heurta et s’écroula par terre et ne bougea plus. Elle le souleva sans effort au-dessus de sa tête et le jeta à terre. Elle le souleva à nouveau et l’envoya dans le mur, encore et encore. Il saignait du nez, sa poitrine était meurtrie et avait changé de couleur et un oeil s’était fermé alors que l’amazone continuait sadiquement de l’écraser contre les murs capitonnés. Il était détruit systématiquement alors que Sandi continuait de le lancer dans le mur. Son bras gauche le heurta sous un mauvais angle et cassa comme une brindille. Au lieu de prendre pitié, elle continua son assaut implacable. Elle le leva au dessus d’elle et fracassa son dos dur sa cuisse relevée, dure comme du granit. Elle se mit à cheval sur lui et pilonna son visage avec dix redoutables coups de poings. Son visage se désintégra et se transforma en hamburger. Elle se releva , se tenant au dessus de lui, du sang de son visage broyé coulait de ses poings. L’image devint soudain noire. Je me retournais vers Sandi. Elle avait retiré son survêtement et était simplement vêtue d’un short et d’un corsage. Dans la réalité, elle paraissait encore plus formidable que sur la cassette. Elle attachait ses cheveux en une queue de cheval à l’aide d’un élastique. Ce faisant, les muscles de ses bras se contractaient et gonflaient énormément. Ses gros seins saillaient fièrement de sa poitrine très musclée. Son abdomen était plat et couvert de couches de muscles solides comme de la pierre. Ma main cassée le prouvait. Ses jambes étaient des piliers de puissance. Elle avait de gros mollets ciselés,. Ses cuisses étaient tout simplement d’énormes paquets de muscles. Elle marcha lentement vers moi avec une grimace sadique. J’étais effrayé. “C’est ton tour Jacques. Ce que j’ai fait à Brad n’est rien comparé à ce que je te réserve. Je l’ai vite fini. Je vais te mettre en morceaux lentement, je vais prolonger ta torture, je vais te faire mal pendant des heures. Je vais te dominer en utilisant seulement mes gros muscles. Je n’ai pas besoin de fouets ou de cuir ou de toute cette merde, tout ce dont j’ai besoin, c’est ca”. Elle contracta ses bras massifs. Ses biceps et ses triceps devinrent des montagnes de puissance saillante. “Ils font 44 cm, Jacques, 44 cm de ma puissance et de ta douleur. Mes muscles vont mettre ton corps pathétique en morceaux, petite merde chétive” Je battis en retraite. Je savais que je ne pourrais pas rivaliser avec sa puissance. Cette jeune fille avait plus de force musculaire que je n’en n’avais jamais vu, chez un homme ou chez une femme. Et elle allait l’utiliser pour me faire mordre la poussière. Je n’avais jamais été aussi effrayé que je l’étais à ce moment la. Je suais comme un porc. J’avais du mal à respirer. Elle s’en rendit compte et rit de ma peur. “J’aime quand je fais peur aux hommes, c’est plus drôle”. Je continuais de reculer jusqu’à ce que je heurte le mur. Elle avança tout doucement vers moi, sa musculature incroyable tendue pour l’action. Je tombais à genoux, sanglotant de peur. “Non, Sandi, non, s’il te plaît”, priais-je. Elle attrapa mes cheveux et me tira sur mes pieds. Elle me tint contre le mur en pressant sur ma poitrine avec sa main droite. Je pouvais voir la profonde vallée entre ses seins et les épaisse couches de muscles pectoraux en dessous. Elle pressa plus fort. J’avais des difficultés à respirer alors qu’elle pressait ma poitrine. Je pris son bras pour essayer de diminuer la pression. Ses muscles énormes étaient comme de l’acier sous ma poigne. J’étais aussi impuissant qu’un enfant comparé à elle. “Un peu plus apeuré, Jacques? C’est ce que j’espère. Maintenant voila juste un peu de douleur. Tu connaîtra bien pire. C’est juste un petit échantillon”. Elle me donna un coup de poing dans la cage thoracique. Je sentis un craquement. Je hurlais de douleur. “Oh mon Dieu, A l’aide” me mis-je à gémir. Son coup unique était comme si j’avais été heurté par une massue. Elle continua à me tenir contre le mur. Elle me riait au visage alors que je pleurais de douleur. “Pauvre bébé, je ne connais pas ma force. Je te promets que je ne ferais jamais plus mal.” elle me perfora d’un autre coup. Je gémis d’agonie alors que mes viscères semblaient exploser. “Oh non, je ne t’ai pas encore fait mal? Je suis si désolée. Voila, laisse moi t’arranger ca” Sandi me frappa encore, cette fois à l’estomac. Je vis son poing s’enfoncer profondément dans mon abdomen. Elle me lâcha et je m’écroulais sur le sol, avec des haut-le-coeur. Elle me laissa quelques minutes de répit et m’allongea sur le dos. je la suppliais d’arrêter, des larmes coulaient sur mon visage, j’implorais sa pitié. “OK, Jacques, j’arrête, tu as eu ta leçon. Laisse moi t’aider”. Elle me palpait les cotes avec sa main. Je me crispais de douleur lorsqu’elle trouva ma cote cassée. “Excuse-moi, mon coeur, ca doit vraiment faire mal”. Elle me donna un coup de poing deux fois aussi fort juste sur la cote. Je gémis alors que quelques cotes se cassèrent sous son coup puissant. Sandi rit à nouveau, se réjouissant sadiquement de mon état. J’étais plié en deux par l’horrible douleur. Elle se baissa et arracha mon caleçon. Elle me mit sur mes pieds sans effort et me poussa à nouveau contre le mur. “Tu penses encore que les femmes sont trop faibles et trop pisseuses pour les sports de contact? On dirait que nous avons un petit contact. Qu’est ce que tu en penses?”. Elle rit de son jeu de mots et de ma douleur. La douleur de ses coups au corps était terrible. Je pleurais des larmes d’agonie et d’humiliation alors que j’étais incapable d’empêcher cette amazone de faire ce qu’elle avait envie. Je ne pouvais pas rivaliser avec sa force incroyable. Elle me frappa encore dans les cotes. Je hurlais de douleur. Cela la fit sourire. “Pauvre Jacques. Battu par une simple fille. Incapable d’arrêter cela!”. Elle me donna un coup de poing comme un marteau pilon dans le plexus solaire. Je sentis mes viscères s’arracher alors que son poing me broyait. Je crachait du sang de mes blessures internes. Son bras musculeux qui me tenait debout m’empêcha de tomber à terre. Elle m’envoya un autre coup à l’estomac comme un coup de tonnerre. Elle prit mes testicules et les écrasa vicieusement. “Ca fait mal, Jacques? La petite Sandi est trop pour toi? Elle relâcha sa pression et me donna un autre coup au plexus. “Oh mon Dieu ca fait mal” pleurais-je,” S’il te plaît, Sandi, arrête. Tu es trop forte. Je ne peux plus l’endurer”.”Je n’ai pas encore commencé, c’est juste l’échauffement”, répondit la fille musclée sadique. Pour le prouver, elle me frappa deux fois encore dans mon torse déjà broyé. Je perdis connaissance sous ses coups. Une fois encore, elle me laissa me remettre jusqu’à ce que je m’éveille. Sandi revint et attrapa ma main cassée et me remis sur mes pieds. Je hurlais à nouveau de douleur alors qu’elle broyait ma main cassée dans sa poigne d’acier. “Pleure minable! Hurles pendant que je te détruis. J’aime entendre les cris des hommes faibles pendant que mes muscles les massacrent.”. Elle passa derrière moi et me fit une clé , toujours en broyant ma main. Elle leva mon bras et me conduit jusqu’à un mur. “J’ai capitonné les murs pour pouvoir faire ca plusieurs fois au lieu d’une seule”. Elle me pris l’arrière des cheveux et me cogna le visage dans le mur. Elle fit cela six fois,. Elle s’arrêtait entre chaque pour me dire que la prochaine serait plus forte. J’étais incapable d’arrêter la torture, cette jeune amazone m’avait sous le contrôle de sa musculature. Mon nez se cassa à la seconde fois. Le sang giclait. Chaque fois elle levait mon bras plus haut et serrait sa poigne sur ma main. Finalement, elle me laissa choir à genoux. Elle avait gardé sa pince sur ma main ruinée. “Dis au revoir à ton épaule”, m’avertit-elle cruellement. “Non, Non, s’yil te plaît”. Je l’entendis avoir un rire étouffé tandis qu’elle levait mon bras tout droit et plaçait son avant bras formidable dans mon épaule. Je sentis les tendons de la coiffe des rotateurs s’arracher comme du papier sous la force de son fracas. La douleur de l’assaut de ses muscles me fit perdre à nouveau connaissance. Je m’éveillais dans un bain de mon sang. C’était l’agonie totale. Sandi me fit rouler sur mon dos. Elle avait retiré son corsage, exposant sa poitrine. “Prêt pour le 2ème round?” claironna-t-elle “moi, je le suis”. Elle s’assit sur mon ventre avec ses genoux enfoncés dans mes aisselles. Je regardais son corps fantastique à travers mes yeux troublés de larmes et de sang. “Assez” soufflais-je “S’il te plaît assez. Tues-moi si tu veux , mais arrête de me faire mal”. elle se pencha et mit mon visage ensanglanté contre sa poitrine. Elle frottait sa grosse poitrine ferme contre mon visage en disant “si, plus, plus de douleur Jacques, beaucoup plus. J’ai du plaisir à voir des hommes souffrir, et j’ai encore plus de plaisir à leur infliger leur souffrance. C’est drôle de se battre avec un homme et de le pousser à la soumission. Mais c’est encore plus drôle de torturer un homme que l’on a battu. je t’ai battu, maintenant je vais te torturer. Je suis une vraie amazone, les hommes sont faits pour mon plaisir. J’aime leur souffrance et leur agonie. Sandi me sourit gentiment et me donna un coup de poing dans la bouche. En me tenant encore par les cheveux elle me frappa sous l’oeil gauche. je sentis ma pommette se fracasser sous le coup. Elle relâcha mes cheveux et attrapa mes testicules dans sa main. Elle commença à presser et relâcher mes testicules alternativement. Je hurlais et je gémissais tandis qu’elle broyait mes testicules sans pitié. Elle tenait ma main contre ses seins pendant ce temps. “Souffres, souffres, sens la douleur de ma force dominatrice, prends conscience qu’une femme est entrain de te détruire” cracha la jeune sadique. Je devins totalement incohérent à force de douleur. Chaque fois que j’allais sombrer dans l’inconscience, elle s’adoucissait juste assez pour me donner un léger répits. Finalement, après ce qui me parut être des heures, je perdis connaissance. Je me réveillais longtemps après en souffrant terriblement. Sandi m’avait battu et torturé au point que la mort aurait été la bienvenue. J’étais encore dans la pièce. la porte était ouverte, mais du fait de mes blessures horribles je ne pouvais pas m’échapper. Je perdis à nouveau connaissance rapidement. Quand je me réveillais la seconde fois, la fille musculeuse était revenue. Elle s’était lavée de mon sang et s’était changée pour un bas de bikini. “Oh la la, tu es sale. Tu devrais apprendre à mieux prendre soin de toi!”. Elle avait apporté deux haltères de 25 kg et commença à faire des curls avec les poids. Les muscles de ses bras gonflèrent de puissance. La vue de ses bras énormes, de la lourde fonte, et de sa poitrine nue était stupéfiante. Même à travers la douleur, j’étais hypnotisé par la vue de la fille musculeuse alors qu’elle effectuait répétition après répétition avec les lourdes charges. Finalement, elle posa les poids et inspecta son travail. “Pas mal. Sens moi ca”. Elle fléchit ses bras massifs. Elle se pencha et mis ma main sur son bras. Il était comme de la pierre. Ses biceps étaient des montagnes de force pure. Je tremblais de peur en sentant les muscles merveilleux qui m’avaient broyé. Elle guida ma main jusqu’à son avant- bras. Les muscles de son avant-bras étaient aussi puissants que ses biceps. C’est le moment d’une petite démonstration de qui est le sexe faible, et qui est le sexe fort. Je me mis à pleurer. Je ne savais pas cequ’elle avait dans la tête mais peu m’importait. J’étais fini. Je ne pouvais plus supporter d’avantage. “Oh Sandi c’est toi? Tu as prouvé ta force. Je suis trop faible, tu es si forte. Assez, assez”. Je bégayais en implorant sa pitié. Elle se contenta de rire. Elle se pencha au dessus de men sexe et prit mon membre dans sa main. Elle commença à le caresser. Elle était très douce. Elle continua de me caresser et miraculeusement je durcis. Elle continua de me masturber jusqu’à ce que j’aie une érection complète. Elle frotta mon gland le long de sa formidable cuisse. Ton petit muscle d’amour parait chétif à coté de vrais muscles. Sandi contracta les muscles de sa cuisse. Je sentis leur puissance dure comme du granit à travers ma queue; “Oh c’est l’heure du boulot””. Elle mit soudain la base de mon sexe dans le creux de son bras. elle fléchit alors son avant-bras sur son bras de toute sa volonté. Son biceps et les muscles de son avant-bras écrasèrent ma queue avec une furie sauvage. Les muscles durs comme du granit de son bras broyaient ma bite en une pâte. Le sang ne pouvait pas s’échapper à cause de la pression. Je hurlais d’une frayeur mortelle pendant que Sandi continuait son abus sexuel sadique. Je l’entendis rire de plaisir alors que je hurlais de douleur et de terreur. Elle commença à me soulever tout en me broyant avec son bras musculeux. “Je devrais juste te l’arracher” dit elle alors que mes fesses se soulevaient du sol. Elle me regardait dans les yeux en maintenant sa prise sauvage. “C’est rigolo, j’aime la sensation de mes muscles qui écrasent ta bite misérable. arrête moi Conan, Empêche la petite fille de détruire ta virilité”. elle continua de me tourmenter verbalement tandis que son biceps fantastique écrasait ma queue. Mon gland était gonflé et bleu de tout le sang qu’i contenait. Elle le prit avec son autre main et le pressa aussi fort qu’elle put. Mes cris d’agonie doublèrent . Après au moins dix minutes de torture sexuelle Sandi finalement me relâcha. Elle se releva et toucha du pied mon membre ruiné. Mes cris la firent sourire. Elle se pencha et m’embrassa sur les lèvres. Avec une main elle posa ma main sur son gros Sein au téton dur. Avec l’autre elle me donna encore un coup sadiquement au thorax. Sandi se leva et fléchit ses bras merveilleux en une pose de victoire féminine absolue. Elle regarda mon corps battu avec un air de satisfaction. J’étais allongé, gémissant pitoyablement lorsqu’elle quitta la pièce. Sandi m’avait totalement battu et avait abusé de moi. Je ne l’avais jamais touchée depuis le coup qui m’avait brisé la main. Elle avait raison. Ses muscles fantastiques m’avaient complètement dominés d’une façon dont je n’aurais jamais cru aucune femme capable. Deux jours plus tard, je réussis à ramper hors de sa maison et à conduire ma voiture jusqu’à un hôpital.