Rencontre avec deux championnes de lutte Je suis Stéphane, de Lyon (bobo69internet@yahoo.fr), fan de ballbusting et de cbt (cock ball torture), et je cherche à rencontrer le plus souvent possible des femmes, qui pour différentes raisons, apprécient maltraiter un homme à cet endroit. En cherchant sur internet, notamment sur les sites thevalkyrie et thequeensamazons, j'ai trouvé l'adresse mail d'une jf (que j'appellerai A. à sa demande), spécialisée en lutte, à qui j'ai écrit pour lui parler de mes envies. Elle m'a répondu rapidement pour me dire qu'elle pratiquait aussi ce que je recherchais : coups de pied, de genoux et de poing dans les parties, serrages et étirements inclus, "pas gentiment", avait-elle précisé, ce qui allait s'avérer être tout a fait exact ... Elle avait promis de me "dérouiller les couilles", là non plus, elle n'avait pas menti. Elle m'a également proposé de venir avec une amie à elle (que j'appellerai V.), également lutteuse, en disant que "cela serait plus sympa pour toi d'avoir deux filles qui s'acharnent sur tes couilles... Nous y mettrions plus d'énergie a deux"... Au départ, j'ai hésité devant le coût, mais finalement je n'ai pas résisté. Comme je me suis construit des accessoires, je lui ai proposé par mail de les apporter, en lui montrant des photos où je les porte. Il y a sur la photo notamment un étau en plastique, tout simple, composé de deux plaques de plexiglas, avec deux grosses vis papillon, une de chaque cote, permettant facilement et avec un minimum d'effort, d'appliquer une force intense et permanente sur les couilles. Réponse très favorable : "J'adore l'étau en plexi, je te le ferais subir... J'aime être sadique avec les hommes !!" Le rendez-vous fut pris pour le lundi 20 juin (2005), au Novotel de Gerland, dans Lyon. Le jour même, on s'est recontacté pour confirmer, et quand je lui ai demandé comment elle voyait la séance, elle me répondit : "mais comme on a dit par mail, on va te torturer les couilles, V. et moi, il n'y a pas de problème !". Et elle me donne le no de chambre "505" en me disant de "me préparer a subir". A cause des embouteillages lyonnais, j'arrive dix minutes en retard, je rentre discrètement dans l'hôtel, je prends l'ascenseur et me retrouve devant la porte, en hésitant encore un peu. Je frappe, A. que je reconnais me demande si c'est bien moi, et je rentre dans la chambre. A. et V. sont là, très musclées toutes les deux, habillées comme pour une séance de fitness, elles sont prêtes. Tout est sens dessus dessous, le lit et tous les meubles ont été mis de coté, pour placer un tatami au centre de l'unique pièce. C'est visiblement là que ça va se passer. Elles sont souriantes toutes les deux, mais ont l'air décidées à y aller. - Montre-nous d'abord les accessoires que tu as apportés, dit A.. Je sors de mon sac les deux étaux, une des sangles, de la ficelle, les coton-tiges, en leur redonnant les détails : - L'étau en plexi est pour compresser les couilles, en serrant les vis a la main. Même bien serré, on peut toujours saisir les deux plaquettes entre les mains et serrer encore plus fort. Dès qu'on relâche, l'étau revient en position, bloqué par les vis. L'étau en bois, plus costaud mais pas transparent, permet une fois qu'il est en place, de le poser sur un support comme le sol, une table ou une chaise, et de mettre des poids importants dessus : bien solide, on peut monter sur les couilles, si c'est progressif, de tout son poids. L'avantage est que les couilles ne peuvent pas s'échapper, alors que sans étau, elles glissent et sont difficiles a atteindre et a maintenir. Mes couilles étant plutôt petites et le sac qui les contient plutôt resserré, il vaut mieux les attacher ensemble pour les faire ressortir et les faire passer plus facilement entre les deux plaques. C'est valable également pour les coups, sinon, elles ont tendance à se planquer et c'est dur de les viser. - Bien. Et les sangles ? demande V.. - C'est normalement pour attacher les jambes écartées, c'est plus pratique, mais là, vu la chambre, on ne peut pas les utiliser, il n'y a rien pour les accrocher. - Dommage, dit A., mais on fera autrement : comme on est deux, l'une te tiendra pendant que l'autre te frappera, c'est pas un souci. Elle sourit, et apprécie visiblement de mettre au point ma future correction. V. me demande de me déshabiller. A. veut immédiatement tester ma résistance. - Bon, assez parlé, on va tout de suite voir ce que tu supportes, par mail c'est facile de dire qu'on est résistant, là on va vraiment savoir. Et sans me laisser le temps de respirer, elle me plaque debout contre le mur, empoigne mes couilles à pleines mains, et se met à les serrer et les tordre. Les muscles de ses mains, ses bras et ses épaules sont impressionnants. Je me mets à gémir et je sens qu'elle me broie progressivement et implacablement les testicules, tout en observant tranquillement ma réaction : - Ca va, pas très résistant, mais on va voir ca un peu plus en détail. Tiens, V., occupe-toi de lui. Elle va chercher la ficelle pendant que V. s'aligne et décide de voir comment je supporte les coups de genoux. Elle est encore plus musclée qu'A., et avec une grande facilité, enchaîne les remontées de genoux dans mes parties, qui dégustent. A. termine son noeud et s'approche pour me le passer autour des couilles. Je dois me déshabiller entièrement, je leur ai apporté des gants de ménage très doux pour qu'elles puissent me frapper sans hésiter à me toucher. Elles me font mettre à quatre pattes et je dois les suivre, parce qu'elles tirent sur la ficelle. Puis elles font passer la ficelle entre mes jambes, et tirent fortement en arrière sans que j'aie le droit de reculer. Visiblement, à quatre pattes, je suis dans une bonne position pour au moins l'une d'entre elle, qui me met un série de coups de pied par derrière. Je crois reconnaître V.. Certains coups atteignent complètement leur objectif, et je suis projeté en avant par la douleur. - Mets-toi debout, on va s'amuser autrement, dit A., en se plaçant derrière moi, alors que V. me fait face. Brusquement je prends un coup par derrière, bien visé, et V. en envoie un par devant. Comme dans un mouvement mécanique bien huilé, elles enchaînent les coups à tour de rôle, sans faire de pause. A chaque coup je bouge, mes couilles me brûlent, mais je garde les jambes écartées. Elles en profitent pendant plusieurs minutes, intensifiant la force par moment, en s'encourageant mutuellement : - T'as vu, il aime ça, le ballbusting ! - Oui, on va y aller plus fort encore ! Régulièrement, entre deux épreuves, A. reprend les "choses en main", c'est le cas de le dire, elle préfère broyer avec ses mains puissantes, contrairement à V. qui préfère donner coups de pied et coups de genoux répétés. J'ai beau avoir très mal, j'aimerais que ça dure des heures. Puis A. décide de passer à l'épreuve de l'étau : - Viens, passe-lui l'étau, on va voir comment ça se met et comment il supporte ! V. dévisse alors l'étau d'un cote, pendant qu'A. me serre les burnes à fond, puis prend la ficelle et la tire pour faire passer les couilles entre les deux plaquettes. Après quelques essais pour bien les placer sans qu'elles puissent s'échapper, mes couilles se retrouvent à la merci de ces deux femmes musclées qui n'ont naturellement aucun mal a serrer chacune la vis papillon qui est de leur côté. La douleur s'intensifie, devient atroce, elles continuent : - hm, je crois que ça commence à faire son effet ! - oui, elles sont bien aplaties, là, on va continuer encore un peu... Personne n'était jamais allé aussi vite et aussi loin, je demande grâce en disant que je ne peux pas supporter cela longtemps. Ma reddition a l'air de leur plaire. Mais A. loin de renoncer, décide de me faire comparer l'étau avec la force de ses propres mains, et dès l'étau enlevé, j'ai droit immédiatement à une compression tout a fait manuelle, très forte : - Alors, tu vois, nous on a pas besoin d'étau, ça marche bien tout seul, c'est ça les amazones, on est des femmes fortes, pas besoin d'outils ou d'accessoires !!! Et elle dit vrai, a mains nues, elle serre encore plus fort que l'étau, je gémis. Puis elle invente une nouvelle torture, les a-coups : elle serre brutalement très fort, puis relâche, puis ressert très fort, à un rythme rapide. - Tu vois ça, avec un étau, on peux pas le faire !!!! dit-elle en rigolant et en accélérant encore. Elle fait une pause, c'est a dire en fait qu'elle passe la main à V., qui reprend les coups à un rythme intense : coups de pied, coup de genou. Pas de pause pour mes couilles, heureusement que je suis résistant ... - Tiens, V., on va le mettre sur le dos. Je m'allonge, et reçois alors de la part de V. une longue série de coups. A. se met à genoux, et dès que V. arrête, reprends les compressions : - Elles vont finir par devenir violettes ! rigole-t-elle. On va essayer de mettre l'autre étau, le grand, celui pour piétiner les couilles. Mais le grand étau n'est pas pratique à poser, alors A. décide de s'en passer, et se relevant, elle se tient à V. pour me monter sur les couilles directement. Mais comme elles s'échappent un peu, la douleur n'est pas aussi forte que prévu. Je leur demande si elles accepteraient de me faire l'honneur de prendre chacune une couille à la main, et de serrer ensemble. Je n'ai pas fini ma phrase que mes couilles comment à chauffer entre deux mains extrêmement puissantes. La douleur est d'autant plus forte qu'elle est inégale, chacune serrant plus ou moins fort par moment. J'ai droit à nouveau à l'étau en plexi, et j'en profite pour demander de subir en même temps le sévice qu'on m'inflige souvent avec, le supplice des coton-tiges : j'aime me faire enfoncer lentement un ou plusieurs coton-tiges dans le canal urinaire (l'urètre), en tournant. Une fois le canal bien irrité par les frottements, on les réintroduit imbibés d'alcool, pour que ça brûle le conduit. Ca ne blesse pas du tout (sinon je ne ferais pas), mais c'est une douleur intense, qui vient de l'intérieur et irradie dans tout le pénis, et qui rend même la masturbation douloureuse. - Non, ça on t'avais dit, on ne le fais pas, dit A.. Mais j'obtiens l'autorisation de me le faire moi-même, pendant que l'étau continue à m'écraser progressivement les bourses. Il faut dire que les bourses s'habituent à la pression , et qu'il faut donc régulièrement remettre des tours. Toute la zone génitale est en feu. Pour finir, toujours au sol, je vais encore subir compressions douloureuses et coups de poing, ou l'une me maintient les cuisses écartées pendant que l'autre me frappe. L'heure est passée comme un éclair. Je me relève en regardant mes parties rouges et endolories, je me rhabille et remercie mes hôtesses pour le temps qu'elles ont bien voulu me consacrer. J'ai vraiment aimé et je le leur dit : - Merci beaucoup, j'ai vraiment apprécié prendre des coups, surtout par vous deux, et ensemble. - Enchantées que tu ais aimé cela, nous aussi, dit A.. Si tu passes à Paris, contacte-nous, on se ferait un plaisir de te faire resubir tout ça, pas de problème ! - Si ce n'était pas une question de moyens, ça serait très volontiers. J'espère pouvoir vous revoir. Nous nous quittons après avoir un peu discuté. A. connaît un autre homme qui aime subir ça. V. et elle trouvent que je suis plutôt résistant, et A. demande si j'aurais supporté plus fort. Je répond que ponctuellement ça aurait été possible, mais dans l'ensemble, c'était déjà très douloureux comme ça. Je leur dit que je regrette par contre énormément de ne pas avoir pensé à leur laisser une plage de temps, idéalement à la fin, où elles auraient elles-mêmes fixés le seuil de douleur à m'imposer. Ca m'aurait fait plaisir de leur offrir ça, et à priori il semble qu'elles auraient aimé profiter de l'occasion. Tant pis pour moi. Si une autre occasion se présente ... Je quitte l'hôtel, j'ai mal quand je marche, mais je sais déjà qu'il me faudra recommencer un jour, ne serait-ce que pour la lueur de plaisir que je voie dans les yeux de mes partenaires quand elles se défoulent ... Stéphane, de Lyon (bobo69internet@yahoo.fr). Please include email inside the story.