Le Ranch des Gladiatrices. lvanduvan@net-up.com Aube Saine Je livre ce récit qui m’est parvenu sous pli confidentiel en espérant qu’il donnera satisfaction à quelques lecteurs et lectrices des récits déposés chez Diana The Valkyrie. Je ne sais pas si Gonzalès donnera une suite à cette confession. Aube Le Ranch des Gladiatrices. "Gonzo! Viens vite !" C’est ma mère qui m’appelle en criant depuis la salle commune. Je me nomme Gonzalès. Il n’y a que deux jours que je suis arrivé de l’internat où j’étudie et je suis déjà indispensable à ma mère Mercédès! Je suis en train de regarder avec avidité une des vidéos numériques que j’ai sélectionnée dans la vidéothèque familiale. Pendant mes semaines d'absence de nombreux et récents DVD de fabrication maison sont venus gonfler le stock déjà important. L’enregistrement que j’ai choisi à partir de sa référence déroule à ce moment devant mes yeux exorbités un combat entre ma tante, la soeur aînée de mon père, et une femme de race noire très puissante dont la peau n’est cependant pas très foncée. L’affrontement entre les deux lutteuses a lieu dans la cage qui est installée à l’intérieur du grand hangar situé au fond de la cour du ranch. Les adversaires sont nues et portent aux pieds les légères et souples chaussures en peau de chevreau dont les courtes tiges sont lacées sur la cheville. Ce n’est pas pour moi une surprise puisque c’est « l’uniforme" traditionnel de combat dans le ring du ranch, cette sorte de cage close de grillage avec un sol de terre battue. La lutte est violente et l’assaut en cours est particulièrement vicieux, les deux adversaires s’étant empoignées par les sexes et les seins. Je suis au paroxysme de mon excitation sexuelle. Ma verge en érection dépasse de dessous mon short et je la roule sur ma cuisse en étant proche de l’éjaculation! Sans aucun complexe, et comme soulagé du repos obligé par cet entracte, je me rends auprès de ma mère avec mon "triomphe" cramoisi tendu devant moi! Ma mère est devant son ordinateur qui est en route avec sa WebCam en fonction. Mais son écran est tout bleu et elle demande à son interlocutrice de patienter un moment parce qu’il y a une panne d’image. La cause de son appel est l’incident en cours. A l’aide de trois ou quatre manipulations je parviens à ramener l’image du correspondant sur l’écran. Il s’agit d’une femme rousse que l’on voit en buste topless et qui semble à première vue être assez puissante. L’image n’est pas suffisamment précise pour bien la détailler, et elle peut avoir aussi bien 35 ans que 55 ans! Elle a une chevelure plutôt courte et ses seins doivent avoir été trafiqués tant ils sont ronds et fermes. Les petites tapes de côté qu’elle leur porte ne les faisant ni bouger ni même vibrer d’un iota! Lorsque maman lui dit que le problème est résolu, la rousse se lance dans un torrent d’insultes plus abjectes les unes que les autres. Ma mère n’est pas en reste et ses réponses ne sont pas faites de fleurs non plus! Tout en lançant ses invectives elle se masse ses seins dénudés car elle aussi est topless. Je les laisse à leurs invectives sachant qu’elles font partie d’un rituel de provocation qui devrait les amener prochainement à s’affronter dans un combat acharné, violent, sanglant et surtout d’une brutalité sexuelle qui est l’apanage des luttes "maison"! L’altercation ou tout au moins l’ambiance de celle-ci et l’attitude des deux femmes ne sont pas faites pour calmer l’ébullition de ma libido. Ma mère Mercédès est maintenant âgée de 42 ans, elle mesure 1,77 m et pèse près de 75 kg. Elle a la peau colorée des mexicaines et ses cheveux sont très noirs. Comme tous les membres de la famille c’est une excellente lutteuse qui est particulièrement sensuelle et sadique dans ses attaques. Je retourne à ma chambre devant mon poste de TV pour visionner la suite du combat de tante Carmen contre sa noire ennemie nommée Jasmina. Carmen est âgée de 50 ans. Elle mesure 1,75m pour un poids de 80kg. Comme ma mère elle a le type mexicain avec un corps puissamment musclé, beaucoup plus que celui de ma mère mais elle est lourde et moins souple qu’elle. Jasmina son adversaire qui peut avoir entre 35 et 40 ans ne doit mesurer que 1,70 tout au plus et peser de 65 à 70kg mais de vrais kilos de muscles! Carmen a une poitrine plus volumineuse que celle de Jasmina avec des seins moins fermes. Mais chez les deux adversaires les mamelons sont hors moyenne tant ils sont longs et épais! Elles ont toutes les deux des sexes épilés ce qui permet d’admirer les vulves ouvertes sur des chairs dégoulinantes de sucs charnels et surtout d’être émerveillé par les clitoris qui saillent à la jonction des lèvres épaisses en ayant repoussé les capuchons qui ne servent maintenant que d’écharpes aux fantastiques bijoux! J’enlève mon short pour être totalement libre et je recule l'enregistrement de quelques instants. Le combat recommence alors que les deux ennemies sont debout, toutes ensanglantées du visage et du haut du corps, elles s’acharnent à porter de violents coups de poings à la poitrine de l'adversaire. Elles ne cherchent pas à se protéger, elles ne sont soucieuses que d’atteindre leur cible et d’écraser les volumes mammaires de l’autre. Les masses charnelles s'aplatissent sur les poitrines, se déforment et gonflent sous les coups répétés. La vision des deux corps en action est séduisante. Les mouvements des muscles sous les peaux, leurs contractions et élongations sont à la fois harmonieux et des plus érotiques. Pour moi il n’est de beau corps qu’athlétique et puissant qui se dévoile dans un exploit musculaire violent! Je suis particulièrement gâté par le spectacle de ces deux femmes dont les corps en sueur sont devenus brillants ce qui met encore plus en valeur la sinuosité des fibres et des canaux sanguins qui courent sur les membres. Comme les combattantes fatiguent, elles se rapprochent insidieusement l’une de l’autre. C’est maintenant, alors que la noire est collée le dos à la grille de la cage, et que les deux corps sont presque en contact qu’elles se saisissent simultanément et comme d’un commun accord du sein droit de l’ennemie avec la main gauche pendant que la droite va se saisir de la masse charnue de la vulve avant de trouver le clitoris et le pincer dans les serres des ongles acérés pour le tirer, le tordre et l’étirer! Jasmina parvient à se décoller du grillage et à repousser un peu tante Carmen. Puis à son tour elle la fait se tourner le dos à la paroi et de toute sa puissance elle s’acharne à martyriser le clitoris de la mexicaine. Elle appui son torse sur la poitrine de ma tante et elle recule ses jambes pour se mettre hors de portée des griffes de Carmen. J’ai sous les yeux le dos et surtout les fesses magnifiques de la femme noire! Et quelles fesses elle a ! Un splendide cul de noire, JLo malgré sa parfaite cambrure est largement battue ! Soudain sur l’écran apparaît en gros plan les deux bas de corps au niveau des hanches et des mains qui fouillent les sexes! C’est là une spécialité de mon cousin Ramon qui parvient à l’aide d’une caméra mobile à saisir les détails les plus cachés, les plus intimes et les plus secrets des corps en lutte! J’ai une vue très nette des doigts de Jasmina qui ont emprisonné le clitoris de tante Carmen. L’organe, d’un rose échauffé et luisant, ressemble à un gros nerf d’une dizaine de millimètres de diamètre et d’une longueur de 40 mm environ, terminé par une tête ronde. Il semble vibrer sous les gros doigts noirs qui le tirent comme pour l’allonger encore plus en le vrillant sur lui-même. Et puis les doigts se mettent en ergot pour griffer la chair fragile. La caméra prend le son de tout près et l’on entend une sorte de frottement un peu cloacaux en même temps que les gémissements mélangés de douleur et de plaisir! Je devine que Ramon essaie de trouver l’assaut de la main de Carmen sur le sexe de Jasmina par un mouvement erratique de la caméra. Puis celle-ci vient un instant se focaliser sur les fesses de la noire. On voit parfaitement les contractions saccadées qui correspondent aux secousses du bassin. Tentative de défense ou participation à l’attaque? Enfin elle revient se placer tout près des doigts de Jasmina qui masturbent le clitoris de Carmen... C’est tellement fort, violent, sadique, vicieux et cruel mais aussi sensuel que mes instincts sexuels ne peuvent résister à l’érotisme d’une telle image. J’ai d’ailleurs mis en arrêt sur image pour pouvoir en jouir tout à loisir et sans vergogne. J’ai empoigné d’une main ma bitte gonflée et tendue à son maximum. J’ai mouillé abondamment de salive les doigts de mon autre main et je roule dans cette moiteur le gland apoplectique qui brûle, qui frémit, qui souffre et qui finit par éjaculer à grands jets le sperme bouillant qui le remplit! Alors c’est une série de geysers qui volent devant mon corps à-demi allongé et qui s’en vont souiller de mon foutre la table basse qui se trouve entre moi et l’écran. Mon sang cogne dans ma tête, mes oreilles bourdonnent et mon regard s’est noyé dans les images qui tournent dans mon esprit. Ma respiration sifflante finit par s’apaiser et mon coeur retrouve son rythme à peu près normal. Alors je fait le repère du point d’arrêt de lecture et je suspend à nouveau le déroulement de la vidéo pour aller prendre un rafraîchissement et retrouver tous mes esprits. Mais avant je saisis une serviette dans le tiroir de ma commode et je nettoie mes saloperies! Dans la salle ma mère est toujours en relation avec sa nouvelle ennemie. Elle a retroussé sa courte jupe et déplacé sur un côté le bord de son slip. Tout en continuant à malaxer ses seins de sa main gauche elle a enfilé les doigts de sa main droite dans le gouffre de sa chatte et elle se pistonne à grands coups. En passant derrière le PC, pour ne pas interférer dans son champ, je remarque son visage tendu, ses pommettes en feu et ses yeux un peu vitreux. Elle est en train de dire à la rouquine qu’elle est impatiente de lui sucer le clito avant de le couper avec ses dents pour le donner à bouffer aux cochons! De la cuisine j’entends sa correspondante lui dire qu’elle lui chiera dans la gueule et qu’elle lui fera nettoyer son cul avec sa langue! Les respirations des deux interlocutrices sont accélérées et leurs voix sont devenues rocailleuses. Je les devine tout près de l’orgasme car c’est certainement à ce stade qu’elles veulent se conduire pour trouver à la fois le plaisir libérateur et la sensation d’avoir gagné une manche du combat avec la future adversaire! Tout en buvant un jus de fruit frais je suis venu m’adosser au chambranle de la porte et je contemple ma mère qui commence à vibrer sur son siège. Ses mains sont maintenant déchaînées. Comme l'autre femme elle ne parle plus, elle gémit et roucoule du fond de sa gorge l’orgasme qui monte et qui finit par éclater au moment où elle se tend comme un arc en criant un hurlement de bête en assouvissement! J’en bande à nouveau! Chez moi c’est incontrôlable, la sexualité est communicative! En me masturbant je m’approche de l’ordinateur en prenant soin de ne pas entrer dans le champ de la WebCam. Sur l’écran je vois la rousse les yeux fermés et serrés qui est secouée de tremblements et qui éructe des onomatopées pour moi indéchiffrables mais qui doivent être l’expression de sa propre jouissance. J’entends à côté de moi ma mère émettre un profond gémissement de satisfaction ou de soulagement. Je sais qu’elle va reprendre ses esprits, alors je passe derrière le PC. Elle me voit dès qu’elle rouvre les yeux et elle me fait une grimace de connivence. A la suite de quoi elle donne rendez-vous à sa rivale pour un combat au ranch le samedi suivant. Elle la prévient que l’affrontement sera filmé et le DVD mis sur le marché confidentiel où elle a trouvé celui qui l’a amenée à prendre contact. Ensuite de quoi elle coupe la communication après avoir obtenu une réponse affirmative de la rousse. Je la félicite pour son agressivité, je l’encourage à bien s'entraîner pour bien baiser la salope de rouquine et je retourne à ma chambre pour continuer à visionner le combat entre tante Carmen et la noire Jasmina. Je remet ma TV en route et je reprend la lecture du DVD là où je l’avais suspendue. Je retrouve un court instant les doigts de la noire sur le clitoris de la blanche avant que la caméra change de plan et que l’on retrouve les deux ennemies "en pied" toujours dans la même prise. Là, d’un violent effort Carmen repousse un peu Jasmina qui doit agripper ses ongles à sa proie compte tenu du hurlement de bête blessée que pousse ma tante. Mais cette dernière s’est suffisamment dégagée pour lever brutalement son genou droit dans la vulve de son ennemie qu’elle vient tout juste de lâcher. Et comme la noire ne fait aucun geste pour relâcher sa prise, ma tante renouvelle une, puis deux fois le même coup de genou ce qui fait gémir Jasmina et l’oblige à s’éloigner. Dès qu’elles sont séparées les deux adversaires descendent simultanément leurs mains à leurs vulves endolories. Carmen descend un genou à terre tandis que Jasmina se contente de se plier en deux en restant debout. Mais Jasmina prend l’initiative très rapidement. Comme en un flash elle s’approche de ma tante et se met en devoir de lui envoyer de violents coups de pieds à la tête en cherchant de toute évidence à atteindre le visage. Les coups sont puissants et rapidement distribués. Carmen tente de se protéger avec ses mains et en se tournant d’un côté ou de l’autre. Mais elle est toujours le dos à la grille ce qui lui donne peu de dégagement. S’offrant aux coups elle réussit à se saisir d’un pied de Jasmina et en se relevant subitement elle la précipite le dos au sol. Alors à son tour elle se lance dans un bombardement à coup de semelle du visage mais aussi des seins de la noire. Evidemment pour se libérer celle-ci s’empare du pied qui la martyrise et maintenant les deux femmes se retrouvent assises sue la terre battue, côte à côte et vis à vis. Chacune ayant sa hanche droite contre celle de l’autre. Elles s’empoignent à la fois par les cheveux et par les seins et se mettent à se secouer pour chercher à prendre le desssus. A tour de rôle elles remplacent la saisie des seins par des coups au visage. Et comme tout ce carnage ne leur apporte pas grand chose, c’est ma tante Carmen qui tente une attaque sur la vulve de Jasmina. Les deux ennemies se retrouvent alors à moitié assises et tournées vers l’autre avec leur main droite à nouveau à l’assaut du vagin, des lèvres gonflées et dégoulinantes et aussi bien sur du clitoris qu’elles ont retrouvé! Elles n’ont pas lâché les prises de chevelure. Les mains s'agitent sur les cibles sensibles. Mais maintenant elles sont trop éloignées du bord de la cage pour que Ramon puisse faire un gros plan instructif sur les assauts. Subitement tout semble changer d’aspect! Elles approchent leurs visages et simultanément elles écartent leurs cuisses. Leurs bouches se rejoignent et entre leurs lèvres écartées et quelque peu sanglantes on voit pointer les langues qui s’attaquent avant que les bouches se referment jointes un baiser charnel et vivace. Pendant ce temps elles ont enfoncé leurs doigts dans la chatte de la rivale et se lancent dans une masturbation qui devient bien vite infernale. Il semble que ce ne sont pas seulement les doigts mais en réalité toute la main ou bien le poing qui est enfoncé dans le sexe de l’ennemie soudainement devenue partenaire ou alors adversaire sexuelle! Des mouvements des bras et des poignets il est facile de déduire que les deux femmes sont engagées maintenant dans un combat sexuel et que le but apparent est de faire jouir l’autre la première pour profiter de son trouble émotionnel et trouver l’attaque finale! Bras noir dans le ventre blanc et bras blanc dans le ventre noir, elles pompent à une allure soutenue sans désemparer. Au bout d’un bon moment toutes les deux commencent à se tortiller et à geindre. Soit que les grognements sont dus aux efforts, soit qu’ils relèvent de l’arrivée progressive et irrésistible de la jouissance! Je me surprend à pomper moi aussi sur ma bitte à la cadence des lutteuses. En quelque sorte je suis en train de les accompagner dans le plaisir sexuel et je me sens presque inépuisable! J’ai la sensation de me joindre à ma tante et de branler Jasmina! Plus que cela même, je voudrais foutre ma lance à incendie dans sa fournaise pour l’éteindre de jouissance! Une courte séquence due au talent de Ramon nous entraîne au-delà de la grille pour visionner deux corps dont on ne voit pas les visages. Un homme debout derrière une femme qui doit être en train de la pistonner de derrière en lui tripotant le sexe par devant. Et à voir l’activité des deux corps il est évident qu’ils sont tout près de l’orgasme. Mais cet intermède est assez bref et on revient aux deux lutteuses à-demi affalées sur la terre de la cage et qui sont de plus en plus animées de convulsions qui sont accompagnées de gémissement et de feulements précurseurs de jouissance. J’avais pensé sans aucun doute que ma tante allait faire jouir la noire la première sans aucune difficulté! Je me suis trompé. Je vois Jasmina se redresser légèrement. Bien qu’elles n’ont pas rompu leur baiser, elle semble repousser imperceptiblement le buste de Carmen en arrière. Sa poussée insidieuse doit s’accompagner d’un travail buccal très efficace car ma tante commence à dodeliner sa tête de gauche à droite. Et c’est alors que l’impensable se produit, ma tante dégage sa bouche et dans une succession de spasmes fantastiques qui bouleversent tout son corps maintenant tendu elle hurle son « cri du loup" qui est la marque d’un formidable et puissant orgasme! Je suis surpris car je n’ai jamais vu jusqu’alors ma tante se faire dépasser dans une lutte sexuelle. Mais je n’en suis pas chagriné pour autant. Dans un certain sens cela met du sel dans la partie et me fournit un surplus de testostérone dans mon appareil génital! Je ne sais pas comment je résiste à une nouvelle éjaculation de foutre. Sans doute est-ce parce que Jasmina utilise la perte de contrôle de ma tante pour poursuivre aussitôt son action. Elle se dégage de Carmen qu’elle pousse à s’allonger sur le dos dans la terre humidifiée à cet endroit par leurs sécrétions. Ensuite elle s’allonge sur le corps sans réaction autre que la suite de spasmes post-orgasmiques qui continuent de le secouer. Mais toutefois elle se positionne tête-bêche. Elle enserre la tête de ma tante entre ses puissantes cuisses dont elle fait un collier bloqué par le croisement de ses chevilles. Puis elle se met à mâcher à pleines dents la vulve et le clitoris de son ennemie. Elle agit sans pitié, faisant hurler autant de peur que de douleur la femme blanche qui se trouve à sa merci. Carmen tente bien de se libérer en agitant pour venir frapper avec ses genoux sur le dos de son attaquante. Elle s’emploie aussi en tâtonnant avec ses doigts d’atteindre la vulve et l’anus de Jasmina. Mais à chaque semi-succès la noire accroît la pression de ses dents et sa morsure sur les organes, tendres et sensibilisés par toute l’action, de tante Carmen. Et voilà que l’impensable arrive! Ma tante, cette fantastique lutteuse si redoutée de toutes ses adversaires dans la cage du ranch, frappe sur les cuisses de Jasmina en signe d’abandon! La fameuse breteuse est vaincue pour la première fois de sa vie et de sa carrière! La première fois en public tout du moins! Jasmina a abandonné sa cruelle et douloureuse morsure. Mais elle n’en a pas fini pour autant, il lui faut maintenant atteindre à son tour la jouissance méritée et cela bien sur au dépens et avec l’aide de la vaincue. Elle se met à genoux, cuisses écartées de chaque côté du visage de ma tante. Elle dégage bien son sexe, écartant lentement ses lèvres épaisses à l’intérieur rose orangé. Puis elle met en évidence son clitoris d’un rose plus pâle. Un organe un peu moins long que celui de ma tante mais certainement plus épais. Ses doigts se glissent dans les chairs bulbeuses et toutes gorgées de liqueurs que l’on suppose odorantes. Elle se caresse langoureusement et lorsque se doigts sont parfaitement enduits de ses sucs elle commence à caresser son clitoris les faisant aller depuis la racine jusqu’à la pointe au rose vif et exacerbé. Sur son visage on lit le reflet de l’intense satisfaction qui la gagne, ses yeux et sa bouche sont souriants. Son ventre respire en cadence avec ses caresses. Ses seins marqués de griffures et d’ecchymoses s’ornent de mamelons turgides et vibrants. Tout son corps est l’expression même de la sensualité. Sa chevelure noire, trempée de sueur qui lui colle au cou et sur les épaules, ses épaules aux deltoïdes puissants. Son torse épais qui s’étrécit sur une ceinture qui supporte des abdominaux bien dessinés. Ses hanches larges encadrant son ventre plat avec les cuisses écrasées sur elles-même et les mollets tordus de muscles secs. La peau luisante de sueur lui donne une aura incomparable et les petits ruisselets qui descendent depuis son front en traversant sa poitrine et son ventre sont des lignes qui guident vers le centre du plaisir. Tout, oui tout chez Jasmina en cet instant est sensualité! Je commence à sentir des élancements dans ma barre de chair en tumescence. Alors qu’elle descend sa vulve sur la bouche déjà accueillante de ma tante je ressens le désir presque irrépressible de fourrer ma bitte dans ce gouffre charnel! Ramon se révèle une fois de plus un expert de la caméra manuelle en réussissant un parfait gros plan des lèvres épaisses et mouillées de tante Carmen se saisissant pour le sucer du clitoris de la femme noire. Le gémissement de plaisir de Jasmina sous ce délicieux assaut est sans doute amplifié par la proximité de la caméra. C’est comme une plainte heureuse qui s’étale en longueur alors que Jasmina comme en début de transe se laisse doucement descendre en avant. Ses seins viennent reposer sur le ventre de Carmen avant de s’y écraser pour permettre à la bouche de la noire aux lèvres si sensuelles d’atteindre le calice de jouissance de son adversaire. J’ai repris la serviette de tout à l’heure que j’étale sur mes genoux et je laisse libre cours à mes mains pendant que mes yeux sont rivés sur l’écran où les deux femmes, ennemies il y a quelques instants avant sont devenues partenaires pour échanger ces attouchements où se mêlent les langues, les lèvres et maintenant les doigts pour se mener et conduire l’autre au sommet du plaisir. Lorsque que dans leurs orgasmes simultanés et partagés elles accèdent à la totale jouissance recherchée, il y a longtemps déjà que je me suis vidé de mon foutre et que je reste ainsi, avachi devant des images qui défilent devant mon cerveau disloqué de désir! je les vois se lever et étreindre leurs deux corps bardés de blessures et de terre humide enlevée du sol de terre battue collée par leur transpiration. L’image s’est éteinte sur l’écran devenu bleu qui me signale la fin du DVD. Mais je reste là sans plus aucune velléité de recherche d’un nouveau DVD parmi ceux qui ont été réalisés durant mes semaines d’absence à l’internat. Insidieusement mon cerveau se remet en route et mes pensées s’en vont rejoindre les quelques instants que j’ai volé à ma mère durant son entretien avec sa provocatrice rousse. Dans mon fantasme, ce rêve éveillé qui s’anime sous mes paupières, je vois le grand hangar, sa salle d’entrée où les spectateurs sont obligés comme les adversaires de se dévêtir totalement à l’exception des chaussures, ceci afin de protéger la sensibilité des plantes de pieds sur la terre battue et les cailloux ou graviers qui la parsèment. Cette règle d’être nus a été édictée avec le temps car dans les débuts des rencontres, il y avait eu des altercations entre spectateurs et même des interférences de ceux-ci à l’encontre des adversaires et cela avec des armes ou ce qui pouvait en faire office. Vient ensuite la grande pièce, toute nue à l’exception de la cage artisanale qui est bâtie en son centre. Il y a un éclairage naturel relatif par des verrières au plafond et il est plus concrétisé et centré sur la cage par des projecteurs électriques. Toujours en pensée, je vois déjà les gens nus, hommes et femmes mélangés à l’entour de la cage avec dans celle-ci ma mère Mercédés affrontant son ennemie rousse. Et bien évidemment je rêve encore de brutalité, de violence et de sexe !...