Mutinerie à la prison de femmes.     L'histoire se passe dans une prison de femmes, au sud des Etats Unis. Cela fait deux jours, que les prisonnières, à majorités noires, ont pris le monopole du quartier de haute sécurité. Le personnel pénitenciers est débordés, mis à mal par ces femmes en furies. Le gouvernement décide d'envoyer un commando de retour d'un conflit au Kosovo. Six hommes triés sur le volet. Tous culminent à un mètre quatre vingt dix, pour cent, cent dix kilos. De vrais bêtes. Si le lieutenant Kane a une corpulence qui n'a rien a envié à ses troupes, il a en revanche un léger problème. Il a en effet de très petits attributs. Deux petites boules, et une toute petite queue, cinq centimètres. Ses soldats se moquent du lui, s'amusent avec lui sous la doche. Il n'est pas rare que l'un d'eux se retrouve les doigts plein de sperme après une petite branlette. Des photos humiliantes circulent sur sont compte, dans toute la caserne.   Les plus récentes, sont celles prises lors d'une campagne pacifiste en Afrique. On voit Kane en photo avec un jeune black d'environ dix sept ans. Ils sont nus tout les deux. La différence est flagrante. Le gamin a un engin de quinze centimètre qui pend entre ses jambes, avec des couilles de la grosseur d'une grosse orange. Le soldat de un mètre quatre vingt dix se sent un peu limité par rapport à se gosse de un mètre soixante. Sur le photo suivante , leurs queues est en érection. Là, c'est franchement risible. Avec deux  doigts, le jeune black tient la queue du soldat par le gland décalotté , en le tirant vers le haut. La sienne tient toute seule, bien dressée vers le ciel. La différence parait encore plus énorme. Il y a dix centimètres d'écart. Un autre jeux de photos montre Kane, toujours nu, assis, jambes écartées sur une énorme femme noire. On voit nettement les deux petites couilles entre ses cuisses. On voit la black tenir la queue entièrement décalottée, et en érection entre deux doigts. On voit aussi le gland maculé de sperme. Elle vient de lui taper une queue. le visage de la jeune noire regarde Kane en souriant. Celui-ci a les yeux fermés, la bouche légèrement ouverte. Il dot pousser un râle de plaisir. Sur l'autre cliché, on voit Kane lécher les doigts de la black. Elle lui fait gouter son sperme. Les dernières photos le montrent avec deux jeunes filles noires, et deux jeunes blacks. L'une d'elle le tire par les couilles, et le force à entrer sous une tente. Une sentinelle de garde, a tout vu  et tout entendu. Les quatre jeunes n'arrêtaient pas de rire. Kane a taillé des pipes, et s'est fait enculer une bonne partie de la nuit par les énormes bites des deux gamins. Le reste de la nuit, ce sont  les deux jeunes femmes qui se sont amusées avec lui. "Regarde sa petite quéquette comme elle est raide..oh..mais elle crache encore la vilaine...et moi, regarde la  boule que j'ai fait avec ses petites couillettes...entend le comme il couine...le pauvre.." Pendant toute la campagne, Kane va être le jouet sexuel de la tribu, surtout des filles et des femmes, plus vicieuse que les hommes. Elles n'hésitent pas à lui mettre un doigt au cul, ou d'autres objets beaucoup plus important. On l'entend souvent supplier, gueuler ou pleurer comme un gamin.   Tout est calme dans le quartier de haute sécurité. C'est a se demander si les détenues ne se sont pas évadées. -Allez, ordonne Kane, une bonne douche avant de dresser ces femelles. Le commando ne sais pas encore, que çà va être leur dernière mission. La douche terminé, les soldats passent une serviette autour de leur taille, cherchent à retrouver leurs habits dans la buée que dégage l'eau chaude. Ils ne sont plus là. D'un coup, un cri inhumain traverse la salle de douche. -Yaaaaoooooouuuiiiiilllllllleeeeeeeee........aaaaiiieieieiieieieeeeeeee.......h aaaaaaaaa......haaaaaa.....haaaaa.  Une énorme black a saisit un soldat par les couilles, et le tire hors de la pièce. D'autres femmes rappliquent en poussant des cris, dans une cohue indescriptible. Les soldats essaient tant bien que mal de s'organiser. Un jeune roumain part après une black, jusque au bureau du secrétariat. -Attend que je te chope, connasse, dit-il Le soldat saute  par dessus le bureau, et attrape la jeune femme par un bras. La détenue glisse sous la table, tandis que le soldat se trouve allongé sur le bureau. La prisonnière a à portée de main, les couilles du soldat. Calmement, elle dénoue la serviette et découvre les attributs de l'homme. Elle prend la queue dans sa main, la décalotte, et commence à le branler, jusqu'à ce qu'elle atteigne des mensurations dantesques.  -Ah, mais la salope veut jouer, hein?  Elle est en manque de mâles, c'est çà? Doucement, la main progresse entre les jambes du soldat, fait rouler les couilles entre ses doigts, puis.. -Aie...hé,molo...aieee...aaaaaiiiiieeeeee.....aaaaiiiiiiiieeeee....aiiiieeeee.....haaaa.. .haaaaaaa..... La caresse s'est transformé en torture. Le jeune soldat hurle de douleur, fait un demi tour sur la table pour se retrouver sur le dos, les couilles prisent dans la main de la détenue, la bite en érection. C'est alors qu'arrive une autre détenue, Rita, une naine, munit d'un scalpel. Elle fait courir la lame sur la bite du soldat. Celui-ci se soulève et voit l'arme. -Nooonnnn....qu'est-ce que tu vas faire..pas çà....ne me coupe pas les couilles......aiiieeee..aiiieeeeee..... La naine regarde l'homme en souriant, forme une énorme boule avec les couilles, et coupe au ras du ventre. L'homme hurle de douleur, s'écroule au sol, et perd connaissance. Il ne se réveillera plus. -Regardez cette belle queue, et ces belles couilles, jubile la petite femme. Dans un bureau tout proche, c'est l'infirmière qui est prise par deux prisonnières. Elle est entièrement nue sur le sol, jambes écartées. Une détenue s'occupe ardemment de sa son clitoris, complètement sorti du capuchon, et de sa chatte pleine de mouille. L'autre, roule le bout des seins entre ses doigts. L'infirmière gémit de plaisir sous l'assaut des deux femmes. -Ah..oui...chattez moi...que c'est bon de se faire doigter....oui...ah...hou...bien sur mon bouton...hou...hou..   Gina est assise à cheval sur le ventre d'un autre membre du commando, dos à lui. Elle a devant elle, les couilles offertes. Elle prend un testicule en étau, et le gifle, ce qui arrache un cri de douleur à la jeune recrue. -Haaaiiiiieeeeeeeee.......aaaaiiiiiiiiiieeeeeeoooooouuuuuuiieiee....  Elle renouvelle plusieurs fois le traitement, jusqu'à ce que les couilles soient toutes enfle. Le jeune homme se tord sur le sol, essaie de rouler sur lui même pour se dégager. Mais la grosse black est maitre de la situation. Elle s'attaque maintenant à la queue, qu'elle décalotte, et qu'elle lacère des se ongles. Le gland devient rouge sang. -Aiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeee.......aaaaaaiiiiiiiieeeeeeeeee......ooouuuuuuuuui iiiieeeeeee.......aiiiiieeee....... Le soldat s'évanouit. Un autre militaire est au prise avec la doyenne des détenues. Avec ses jambes, elle fait une clé au cou du soldat qui se trouve à genoux, la tête plaquée au sol,  la croupe bien cambrée. Son anatomie est facilement accessible. La jeune black soulève la serviette, lui caresse les fesses, glisse une main entre ses cuisses et tire violemment les couilles en arrière. -Haa...lâche çà cri le jeune homme...salope...ha...tu me fais maaaaallllll....aaaaiiiiieeeeee...... Bizarrement, le soldat a une soudaine érection. Sa queue atteint allègrement les vingt deux centimètres. -Hé..Rita, dit la détenue, j'ai un truc pour toi. La naine tortionnaire arrive, saisit le calibre, le décalotte entièrement, et le tire en arrière. Elle caresse le gland violacé. Elle sort son scalpel, et décapite la queue, à la hauteur du frein. Un cri terrible traverse le couloir, devenu celui de la mort. Rita frotte le gland contre son Jean, et regagne se cellule pour le mettre en bonne place. Seul le soldat Kane est épargné. Les détenus ont décidés de la garder pour animer leur soirées. Chacune leurs tours, elles s'amusent avec sa petite bite, et se petites couillettes. Elles organisent même des combats, qui oppose Kane aux plus jeunes détenus. Le pauvre hurle de douleur, fini en larmes malgré ses prières. Après, deux jeunes filles l'emmènent dans leur cellule, pour jouer avec ses petits attributs. Elles arrivent parfois à faire doubler le volume de ses testicules. Pour faire grossir le diamètre de la quéquette, elles enfoncent un objet dans le méat. Les hurlements du pauvre soldat traverse la prison.