Vaincu par Norma, 5ème partie - Devenir sa propriété par escribe1@live.fr (traduction de "Losing to Norma - Becoming her property", de looner11@web.de) ======================== = 5ème partie = = Devenir sa propriété = ======================== Allongé sur mon lit, je songeais à tout ce qui venait de m'arriver ces deux derniers jours. Norma m'avait amené à un état de totale soumission envers elle. J'étais devenu son serviteur et en très peu de temps elle m'avait même fait apprécier ce rôle : j'étais en fait devenu amoureux de cette femme dominatrice. J'en étais venu à adorer faire des choses très humiliantes telles que baiser et lécher ses adorables petits pieds. Et maintenant elle me renvoyait comme si rien de tout cela n'était arrivé. J'avais des sentiments très profonds pour Norma. Ne pouvant supporter plus longtemps cette situation, je décidai de retourner la voir et la supplier de me reprendre à son service. Je frappai à sa porte et attendis. "Entre," l'entendis-je répondre. Quand je pénétrai dans la chambre, je vis Norma allongée sur le ventre, en train de lire sur le lit. Elle était toujours en sous-vêtements et j'avais une superbe vue sur son magnifique postérieur. Ses pieds nus se balançaient au-dessus de ses fesses. Quand elle me regarda et constata dans quel état psychologique je me trouvais, un sourire malicieux éclaira son visage. Je tombai à genoux face à elle. Levant les yeux vers Norma, je vis son sourire, ses douces épaules et ses pieds en train de s'agiter tranquillement derrière elle. "S'il vous plaît, reprenez-moi à votre service. Je vous en supplie. Je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me renvoyez pas. Je n'arrive pas à supporter l'idée de ne plus jamais vous embrasser les pieds. Pitié, reprenez- moi comme serviteur." Je la suppliai ainsi, les yeux remplis de larmes, et à travers mes pleurs je vis le sourire moqueur de Norma et ses adorables petits pieds. "Tu crois que je n'ai que ça à faire, de jouer comme ça avec les garçons ?" dit-elle. "C'est vrai, on s'est un peu amusé ensemble, mais maintenant c'est fini. Retourne dans ta chambre et laisse-moi tranquille avec tes histoires de gamins," continua-t-elle d'une voix glaciale. J'étais totalement désespéré. Secoué de sanglots, je me retrouvai maintenant allongé sur le sol, aux pieds de cette femme sans pitié. "Je vous en supplie, laissez-moi encore être votre serviteur. Vous savez bien que cela était plus qu'un jeu pour moi. Ne me rejettez pas, je ne pourrai pas le supporter. Je ferai tout ce que vous voulez. Je vous appartiens. Vous pouvez exiger de moi ce que vous voulez." Soudain je sentis son pied sur mon cou me pousser contre le sol. La chaleur de son pied et son poids sur ma nuque me calmèrent immédiatement et je me sentis rassuré. "Très bien, discutons un peu de tes demandes," dit-elle en se dirigeant vers le fauteuil. Je la suivis en rampant. Norma m'utilisa alors comme repose-pieds, les posant sur mes épaules. "Attention, je veux que tu sois bien conscient qu'à partir de maintenant ce n'est plus un jeu. Si tu veux être mon esclave, tu devras devenir ma propriété et exécuter tous mes ordres sans discuter. Je pourrai te faire tout ce que je veux, et ton seul but dans la vie sera de me servir. Est-ce que tu acceptes ?" demanda-t-elle. "Oui, j'accepte. Je ferai tout ce que vous voudrez," répondis-je, tellement heureux qu'elle veuille bien me reprendre à son service. "Bien. A partir de maintenant tu m'appelleras Maîtresse lorsque nous sommes seuls, et Madame en présence d'autres personnes. Tu as compris ?" "Oui Maîtresse," dis-je docilement. Norma retourna vers le lit, s'allongea et m'ordonna de m'occuper de ses pieds, mais ce fut différent des autres fois : ma Maîtresse semblait être excitée par la situation et passa son temps à pousser la plante de ses pieds sur mon visage avec délectation. Après un moment elle m'ordonna de me relever. Elle m'agrippa par les cheveux, me tira vers elle puis passa ses jambes autour de mon cou. Elle exerça alors une tendre mais néanmoins ferme étreinte qui poussa mes lèvres contre son entrejambes. A nouveau elle m'expliqua exactement ce qu'elle attendait de moi : comment je devais utiliser ma langue et mes lèvres pour la satisfaire. Après un long moment elle finit par jouir, et elle me repoussa ensuite avec ses pieds. Je m'endormis ainsi aux pieds de ma Maîtresse, heureux qu'elle m'ait repris à son service. Je me réveillai avec un de ses pieds sur mon cou et l'autre en face de mon visage. Quand Norma se réveilla à son tour, elle me donna un petit coup de pied et demanda son petit déjeuner. Elle semblait m'ignorer complètement, un petit coup de pied et un ordre bref avaient suffi, comme si c'était pour elle la chose la plus naturelle au monde. Je me dépêchai et lui servis son petit déjeuner après quelques instants. Norma vérifia que tout était bien en place sur le plateau, puis elle m'ordonna de nettoyer la maison en attendant que ma belle-mère revienne. Quand celle-ci rentra dans la maison, j'entendis du premier étage Norma l'accueillir chaleureusement. Je savais que cela allait être une situation très embarassante quand ma belle-mère s'apercevrait de ce qui était arrivé à mon visage. J'avais vraiment une sale tête, mais je ne pouvais pas non plus le cacher, aussi pris-je mon courage à deux mains et descendis-je. Je lui dis bonjour, et comme prévu elle me demanda avec inquiétude : "oh Marc, qu'as-tu fait à ton visage ?" "Je... Heu... Je..." bégayai-je, incapable de dire la vérité. C'était trop humiliant, surtout devant ma belle-mère, mais Norma vint à mon secours. "Nous avons fait un petit match de boxe au gymnase, en ville. Et devine qui a gagné ?" dit-elle en souriant. "Mais pourquoi vous êtes-vous battus ?" s'inquiéta ma belle-mère, étonnée. "Hé bien, tout d'abord nous avons fait un match de lutte dans le jardin, et je l'ai complètement écrasé. Mais tu sais comment sont ces garçons : il ne supportait pas d'avoir perdu contre une fille, aussi voulut-il une revanche. Mais avec le match de boxe je lui ai vraiment démontré qui était le sexe fort," dit Norma avec satisfaction. "Oh Norma, n'y avait-il pas un autre moyen de le remettre à sa place ?" demanda ma belle-mère. "Oui bien sûr, mais c'était bien plus amusant comme ça," conclut Norma, et les deux femmes éclatèrent de rire. "Je te l'avais dit qu'elle savait s'y prendre avec les hommes," me rappela ma belle-mère. "Apporte-nous à boire, nous allons sur la terrasse," ordonna Norma en sortant de la cuisine. Ma belle-mère la suivit, sans prendre le temps de se changer. Pendant que je leur servais les boissons, ma belle-mère dit : "quel dommage, il ne reste maintenant plus que quelques jours de vacances." "Au fait," ajouta Norma avec désinvolture, "Marc a décidé de ne pas retourner à l'école." Je fus estomaqué, car nous n'avions pas discuté de cela auparavant. Je vis la mine surprise de ma belle-mère. Nous regardâmes tous deux Norma avec attention. "Après notre match de lutte, il a dû faire quelques corvées pour moi et il a vraiment eu l'air d'apprécier ça. Aussi lui ai-je parlé de l'école de majordomes qui n'est pas loin de chez moi. Marc a été enthousiasmé par cette idée, et je lui ai proposé de le loger à partir de la rentrée pour pouvoir suivre les cours. Je connais très bien la directrice de l'établissement, c'est une très bonne amie et elle le prendra en cours d'année si je lui demande." "Penses-tu vraiment que cela soit une bonne décision, Marc ?" me demanda ma belle-mère, sceptique. Norma me jeta un regard sévère, et je réalisai alors que ma Maîtresse était en train de prendre possession de ma vie. Comme j'étais devenu sa propriété, je n'étais plus autorisé à prendre mes propres décisions. "Je suis sûr que c'est la bonne décision," confirmai-je. Ma belle-mère haussa les épaules : "si c'est ce que tu veux, c'est ton choix. Bon, je monte me changer et me débarrasser de ces vêtements inconfortables." Elle se leva. "Marc, serais-tu assez gentil pour me masser les pieds ?" me demanda Norma d'une voix douce. Je compris que ce n'était pas vraiment une question et je m'agenouillai à ses pieds immédiatement. "Tu me l'as vraiment changé," remarqua ma belle-mère en éclatant de rire, avant de disparaître dans la maison. Norma s'installa pour profiter de son massage. Plus tard, Norma et ma belle-mère décidèrent de jouer au tennis sur le court à côté du jardin, pendant que je nettoyais la maison. Quand elles eurent fini, Norma m'appela pour que je vienne porter leur sac de sport. Je suivis les deux dames sur le chemin de retour vers la maison, et je compris d'après leur conversation que Norma avait gagné. Norma la taquinait un peu à ce sujet, et je remarquai que cela irritait ma belle-mère, même si elle n'en laissait rien paraître. "Tu aurais même perdu contre Marc," continua Norma. "Je sais que je gagnerais contre lui, parce qu'on a déjà joué ensemble," répondit ma belle-mère, faisant glisser ses pieds en dehors de ses chaussures de tennis. "Et qu'est-ce que ça donnerait à la lutte ?" suggéra Norma, en ajoutant : "je l'ai déjà battu." "C'est une bonne idée ! Je suis d'humeur à botter le cul de n'importe qui. Viens Marc, descendons sur la pelouse et voyons qui est le plus fort," me défia-t-elle. Quand je commençai à la suivre avec réticence, Norma me retint quelques instants et me dit à voix basse : "si tu gagnes tu auras une récompense, mais si tu perds tu recevras de nouveau la cravache." Je regardai ma belle-mère qui avait déjà dépassé la piscine. Elle était absolument magnifique. Sa jupe de tennis mettait en valeur ses longues jambes musclées. Elle portait encore à ses pieds des courtes chaussettes de tennis blanches. Ses longs cheveux blonds étaient rassemblés en queue de cheval. Elle s'arrêta au milieu de la pelouse et retira son T-shirt, ne portant plus en haut que son soutien-gorge de sport. "Tu es prêt, mon petit beau-fils ?" demanda-t-elle. J'opinai. Elle attaqua la première. Elle n'était pas aussi expérimentée que Norma, mais elle était plus grande qu'elle et très agressive. Après quelques instants où nous cherchâmes à nous pousser et nous tirer l'un et l'autre, elle réussit à me faire perdre l'équilibre et nous tombâmes tous deux à terre. J'essayai de rester au-dessus d'elle, mais elle passa ses jambes autour de mon corps et commença à serrer. Je pus sentir son énorme puissance musculaire, mais je fus capable de résister au début. Je n'arrivais pas à me libérer de son étreinte, et plus je subissais cette prise en ciseaux, plus je m'affaiblissais. A la fin je commençai à haleter, et elle put facilement me pousser sur le dos et s'asseoir sur ma poitrine. "Est-ce que tu abandonnes ?" demanda-t-elle. Je refusai. Je savais que ce serait difficile pour moi de la repousser, mais je voulais essayer quand même après cette courte pause. "Ne sois pas stupide, tu as perdu," dit-elle, installée dans sa position de supériorité. Je vis son sourire confiant et sentis la chaleur de ses pieds contre mes flancs. Après un court moment j'essayai de toutes mes forces de me dégager de son emprise, mais sans succès. Puis tout à coup je lui donnai un grand coup de pied dans le dos, sans le faire exprès. Je m'excusai immédiatement, mais elle se mit tout de même en colère. Elle me retourna pour me mettre sur le ventre en me tordant le bras, puis je sentis son genou appuyer très fort entre mes omoplates. Comme elle tordait encore plus mon bras, je hurlai de douleur et la suppliai d'arrêter. "Je pense qu'il ne l'a vraiment pas fait exprès," intervint Norma pour essayer de calmer cette furie. Ma belle-mère me remit sur le dos et se releva. Debout à côté de ma tête, elle posa un pied sur ma gorge, m'étouffant. C'était une position très humiliante pour admettre ma défaite, mais je savais que c'était fini. En voyant Norma je tentai de résister une dernière fois, mais ma belle-mère appuya encore plus avec son pied, ce qui me fit abandonner. A nouveau je me sentais excité par cette humiliation et la vue de cette femme supérieure me dominant de sa hauteur. Ma belle-mère et Norma revinrent s'installer sur la terrasse et s'allongèrent dans leur fauteuil. "Quand tu nous auras apporté à boire, tu devrais masser les pieds de la gagnante," me dit Norma en souriant, et j'obéis immédiatement. Après lui avoir retiré ses chaussettes, je fis un long massage à ma belle-mère, qui sembla réellement l'apprécier en gémissant de plaisir de temps en temps. Après dîner, Norma et ma belle-mère discutèrent tranquillement pendant que je rangeais la cuisine. Tout à coup Norma entra dans la pièce et m'annonça : "je veux que tu sois dans ma chambre quand j'irai me coucher. Tu sais que la cravache t'attends," ajouta-t-elle d'une voix douce, tâtant mon membre à travers mon pantalon. Elle me laissa ainsi avec une grosse bosse entre les jambes, quand elle se redirigea vers la porte pour partir. Avant de sortir, elle se retourna vers moi à nouveau et ordonna d'un ton très autoritaire : "et je veux que tu sois nu, mon garçon." Puis elle partit retrouver ma belle-mère. Quand Norma entra dans sa chambre, j'étais déjà là à l'attendre, entièrement nu et agenouillé devant le pied du lit de ma Maîtresse. Un sourire apparut sur son visage quand elle m'ordonna de venir au milieu de la pièce. Prenant en main mon membre érigé, elle dit : "je voulais que tu opposes une bonne résistance à ta belle-mère, mais tu as été tellement pitoyable ! Tu es d'accord avec ça ?" "Oui, je suis d'accord. Je suis désolé, mais ses jambes étaient si fortes..." répondis-je pour essayer d'expliquer ma défaite. "Cette femme était trop forte pour toi ? Elle t'a écrasé ? Mon pauvre bébé," ironisa Norma d'un ton moqueur, tout en massant mon membre gonflé. "La prochaine fois tu te défendras mieux, n'est-ce pas ?" demanda-t-elle d'un ton plus dur maintenant, serrant mes testicules. "Oui, je le ferai," me dépêchai-je d'approuver. Alors elle se recula, saisit la cravache et commença à m'infliger ma punition. A chaque fois que je ne pouvais plus supporter la douleur, je tombais sur mes genoux, lui embrassant les pieds et suppliant sa clémence. A cinq reprises ma cruelle tortionnaire m'ordonna de me relever pour continuer à me frapper. Enfin elle s'arrêta, en me disant de me rhabiller. Elle s'allongea sur son lit et commença à lire, m'ordonnant pendant ce temps de m'occuper de ses magnifiques pieds. Je commençai à passer ma langue sur la plante de ses pieds, lorque j'entendis frapper à la porte. Je sautai immédiatement sur mes pieds, car je ne voulais pas que ma belle-mère me voit dans cette situation. Me jetant un regard courroucé, Norma ordonna : "remets-toi à genoux immédiatement. Je ne t'ai pas dit d'arrêter." J'obéis sans tarder et Norma donna l'autorisation d'entrer. Je continuai à lui lécher la plante des pieds, avec une sensation terrible qui me nouait l'estomac, quand ma belle-mère pénétra dans la pièce. Elle sembla choquée par le spectacle que j'offrais en vénérant ainsi les pieds de Norma. "Mais bon dieu, qu'est-ce que tu fais ?" "Est-ce que toi aussi tu ne fais pas ça avec tes petits amis ?" rétorqua Norma en souriant. "Bien sûr je les fait adorer mes pieds, mais c'est mon beau-fils et non ton petit ami," dit-elle, toujours en colère. "Je pensais qu'un futur majordome devait apprendre à s'occuper d'une femme supérieure, tu ne crois pas ?" demanda Norma, et avant que ma belle-mère ne puisse répondre, elle ajouta : "et d'ailleurs, il adore vraiment s'occuper de mes pieds. Regarde la bosse de son pantalon." Ma belle-mère ne sut pas quoi dire, aussi Norma lui demanda : "pourquoi étais-tu venue frapper à ma porte ?" Elle semblait toujours un peu étonnée, et elle répondit : "oh, je voulais demander si Marc pouvait venir me masser les pieds avant que j'aille me coucher." "Pas de problème," lui dit Norma, "je te l'envoie quand il en aura terminé avec moi." Dix minutes après j'entrai dans la chambre de ma belle-mère. Allongée sur son lit dans une pose lascive, elle ne portait rien d'autre qu'une lingerie sexy. J'étais si troublé que je n'osai pas la regarder en face. "Viens par ici, et occupe-toi bien de mes pieds. Et fais-le comme tu le faisais avec Norma," ordonna-t-elle. "Mais je ne peux pas faire ça. Je peux te masser les pieds avec mes mains si tu veux, mais je peux pas le faire avec ma langue !" répondis-je. Cette femme superbe bondit alors sur ses pieds. Cela me rappela l'instant durant notre combat où elle était devenue furieuse quand je lui avais fait mal. Je me sentis soudain minuscule et sans défense face à cette belle Amazone. "Ce que tu as fait pour Norma, tu peux tout aussi bien le faire pour moi. Tu peux le faire de ton plein gré, ou bien je te forcerai à le faire," menaça-t-elle. Je savais parfaitement qu'elle était capable d'obtenir de moi ce qu'elle voulait, aussi me mis-je immédiatement à genoux en baissant les yeux face à son regard impérieux. J'avais maintenant devant mon visage ses magnifiques pieds aux ongles vernis de rouge. "Baise mes pieds," ordonna-t-elle, et j'obéis. "Je veux sentir ta langue entre mes orteils." Elle semblait savourer maintenant mon humiliation, et c'en était vraiment une d'être obligé de lécher les pieds de ma belle-mère ! Après un moment elle se retourna et se dirigea vers le lit. Levant les yeux je vis ses jambes puissantes et son derrière adorable sous sa lingerie. Elle s'assit au bord du lit, posa un pied sur mon épaule et l'autre en plein sur mon visage. Dans cette position je dus m'occuper de ses pieds à l'aide de ma langue et de mes lèvres, et à nouveau cela fit de l'effet sur mon membre. Il y avait maintenant une grosse bosse dans mon pantalon, et ma belle-mère s'en aperçut avec un sourire moqueur. Ses pieds étaient plus grands que ceux de Norma, mais étaient très jolis également, et j'appréciai de les embrasser. Tout à coup elle m'agrippa par les cheveux et me tira vers elle. Je sentis ses jambes encercler ma nuque et mon visage se retrouva en face de son entrejambes. Elle me tira sur le lit et s'assit sur mon visage. Quand elle fit glisser sur le côté sa petite culotte, je sus ce que j'avais à faire. Je m'occupai de son clitoris de la façon dont elle me l'indiquait, mais cela ne sembla pas suffire à ma belle-mère. Elle se retourna en poussant mes bras sous ses genoux, et bloqua ma tête entre ses pieds. Obligé de lever mon regard, je vis son derrière trôner au-dessus de mon visage. Puis elle retira sa petite culotte, baissa ses fesses sur mon visage et tout devint alors sombre. Je trouvai son clitoris avec ma langue et commençai à le titiller. Ma belle-mère se mit à gémir et pressa encore plus fort ma tête contre le matelas avec son derrière. Ses mouvements devinrent alors de plus en plus saccadés. La tête bloquée par ses pieds, j'étais incapable de bouger. Elle frotta son sexe sur tout mon visage. Je n'étais plus vraiment en train de la lécher, mais elle m'utilisait maintenant comme un objet de plaisir. Sans se soucier de savoir si j'étais d'accord ou pas : de toute manière, je n'avais aucune chance de résister face à une femme aussi puissante et autoritaire. Quand elle eut joui, elle me repoussa avec son pied et me dis de la laisser seule. Je ne m'étais jamais senti aussi humilié de ma vie. Mon visage était couvert par sa liqueur, et douloureux après les frottements frénétiques de son sexe. Des larmes coulaient sur mes joues quand je sortis de sa chambre. La porte de Norma était ouverte, et elle m'appela avant que je n'atteigne la mienne. Je séchai mes larmes et entrai. "Oh, mais qu'est-ce qu'elle t'a fait, mon pauvre bébé ?" demanda Norma avec un mélange d'ironie et de pitié. Je tombai à genoux, secoué de sanglots, incapable de répondre. Après un moment je sentis le pied de ma Maîtresse sur ma nuque, et de nouveau cela me calma et me rasséréna. "Va te laver le visage, maintenant," ordonna-t-elle, "et après revient me voir." Quand je retournai dans sa chambre, Norma portait seulement le haut de ses sous-vêtements. Je pouvais voir son sexe quand elle s'approcha de moi. "Mets-toi à genoux," commanda-t-elle. "Tu dois d'habituer à servir toutes les femmes. En tant que domestique, tu dois me servir aussi bien que mes amies." J'approuvai de la tête. "Suis-moi, tu n'as pas terminé ton travail," dit-elle avec un sourire, se retourna et se dirigea vers le lit. J'admirai son superbe derrière s'agiter, à moitié voilé par sa nuisette. Puis je rampai vers le bas du lit de ma belle Maîtresse. FIN