Vaincu par Norma, 4ème partie - Humiliation en public par escribe1@live.fr (traduction de "Losing to Norma - Humiliated in public", de looner11@web.de) ===================== = 4ème partie = = Humilié en public = ===================== Allongé sur mon lit, je ne pus trouver le sommeil avant un long moment. Mon premier jour en tant que serviteur de Norma avait été très troublant pour moi. Bien sûr, il y avait ce sentiment d'humiliation extrême après avoir été battu à la lutte, obligé de me mettre nu et de lui embrasser les pieds, mais à côté de cela il y avait cette étrange excitation que je ressentais devant toutes ces situations. Je pensais qu'en constatant ma réaction Norma se serait moquée de moi, mais elle n'en n'avait rien fait, et elle ne m'avait même pas adressé son petit sourire ironique. Elle semblait comprendre ces réactions sexuelles bizarres que j'avais face à elle. Elle avait même paru apprécier mon érection quand je lui baisais les pieds. Plus je la servais, plus j'appréciais cette position de soumission envers Norma, et plus j'admirais ma nouvelle Maîtresse. J'imaginais déjà le petit déjeuner que j'allais lui servir : peut-être allait-elle m'ordonner encore une fois de lui embrasser ses magnifiques petits pieds... C'était une pensée très excitante pour moi. Le lendemain matin, à neuf heures précises je tapai à sa porte, le plateau à la main. "Entre, mon garçon," l'entendis-je dire. Elle semblait être de mauvaise humeur. J'entrai dans sa chambre en ouvrant la porte, puis la refermai derrière moi en la repoussant du pied. Cependant mon geste fut un peu trop brusque, ce qui fit claquer violemment la porte. "Qu'est-ce que tu fous, espèce d'imbécile ?" dit-elle, furieuse. "Je suis désolé, ce n'est pas facile avec un plateau dans les m..." Elle me coupa d'un ton sec : "je t'ai déjà dit que je ne voulais plus entendre tes excuses minables. Je vais t'apprendre à bien te comporter en présence de ta Maîtresse." Norma se leva du lit et se saisit de la cravache posée sur la table de nuit. "Pose le plateau et va te mettre debout au milieu de la chambre," ordonna-t-elle. J'obéis immédiatement. "Déshabille- toi entièrement, et reste debout avec les mains derrière la tête." De nouveau j'obéis. Elle commença à passer doucement le bout de sa cravache sur mes tétons dressés, ce qui eut pour effet de me provoquer une érection de plus en plus importante. Et je ne pouvais rien faire contre ça... C'était une sensation troublante et très excitante de se trouver ainsi nu, devant ma belle Maîtresse. J'étais totalement sous son contrôle à présent. Quand elle tourna lentement autour de moi, je ne pouvais qu'entendre le cliquetis des talons aiguille de ses sandales : je n'osais surtout pas tourner la tête pour essayer de la regarder. "Tu vas recevoir vingt coups sur les fesses. Ne bouge pas pendant ta punition. Si tu essayes d'éviter un coup, je t'en donnerai dix de plus," dit-elle d'une voix sévère. Puis elle se rapprocha de moi, prit fermement dans sa main mon membre dressé et continua avec ce ton moqueur que je détestais tant : "considère ça comme un défi que tu dois relever, en essayant de supporter la douleur sans te plaindre. Peut-être arriveras-tu enfin à gagner au moins cette épreuve face à moi !" Après s'être reculée derrière moi, elle m'infligea les trois premiers coups, en frappant très fort. J'avais déjà les larmes aux yeux, mais je tentai d'encaisser ma punition sans réagir. Durant les trois coups suivants je me mis à gémir de plus en plus fort, et des larmes commençèrent à couler sur mes joues. Je savais déjà que je n'allais pas pouvoir résister encore très longtemps. Norma revint se placer devant moi pour me dire : "tu pleures déjà, mon chou ? Est-ce que la méchante dame t'a fait mal ?" Son ton mielleux et son sourire moqueur me donnèrent le courage de tenir le coup. Je souhaitais réellement endurer ma punition sans craquer, car je ne voulais pas lui donner une raison supplémentaire de m'humilier encore plus. Mais Norma brisa sans effort cette belle volonté : il lui suffit juste de trois nouveaux coups. Je n'étais plus capable de supporter une telle douleur. Je tombai à terre et me prosternai à ses pieds, pleurant tel un enfant et lui implorant sa pitié. "Pitié, arrêtez, je n'en peux plus. Je ferai tout ce que vous voudrez, mais par pitié arrêtez de me battre." Elle me répondit d'un ton glacial : "tu as essayé d'éviter un coup, donc tu as mérité d'en recevoir dix supplémentaires. Ca veut dire qu'il t'en reste encore vingt-et-un. Allez, maintenant remets-toi debout et cesse tes stupides jérémiades." J'obéis, mais après deux coups j'étais de nouveau à terre, la suppliant à ses pieds. Je n'en pouvais plus. Après m'avoir laissé me traîner à ses pieds pendant un moment, elle suggéra : "il y aurait bien une possibilité pour toi d'éviter le reste de ta punition. Tu n'as qu'à te battre contre moi pour ça. Si tu gagnes, je t'épargnerai les coups de cravache qui te restent." Je levai les yeux vers Norma : "mais on s'est déjà battu, et vous avez gagné !" répondis-je avec frustration. "Oui, mais cette fois je pensais à un match de boxe. Un vrai combat sur un ring, avec un arbitre et tout..." expliqua-t-elle. J'étais abasourdi. Un match de boxe était une chose beaucoup plus sérieuse qu'une simple lutte. Est-ce que je voulais réellement prendre le risque de perdre à nouveau contre Norma dans un match de boxe, en présence en plus d'une tierce personne (l'arbitre en l'occurrence) qui risquait d'assister à mon éventuelle défaite face à cette femme ? Bien sûr, je pouvais peut-être aussi gagner, mais... "Pense aux dix-neuf coups de cravache qui te restent," dit Norma en me tirant des mes réflexions, et elle avait raison. Je n'avais pas le choix. Je n'étais pas capable d'endurer le reste de la punition. Aussi acceptai-je. "Nous nous battrons ce soir au club de gym du coin. Mais d'ici là tu devras faire le ménage dans la maison," continua Norma. Je commençai mes corvées pendant qu'elle prenait son petit déjeuner. Après son repas elle quitta la maison sans un mot. Durant tout le reste de la journée, je ne fis que penser à ce combat qui m'attendait. Est-ce qu'elle serait réellement capable de me battre à la boxe ? J'avais un peu d'expérience dans ce sport, même si je ne l'appréciais pas vraiment, car j'avais appris quelques bases à l'école. De plus nous ne mélangions pas les filles et les garçons durant les cours. Notre professeur nous avait expliqué qu'il y avait un grande différence entre les hommes et les femmes, et que même des femmes très bien entraînées à la boxe pouvaient avoir des difficultés à battre des hommes presque débutants. J'espérais qu'il avait raison. Quand Norma revint à la maison, elle m'ordonna de lui servir un verre, pendant qu'elle allait se mettre en maillot de bain. Je lui servis sa boisson sur la terrasse, puis elle m'ordonna de lui masser les pieds. Pendant que je m'exécutais, je jetai un coup d'oeil à la dérobée sur son corps. Elle était sportive et semblait parfaitement en forme, mais ne paraissait pas avoir suivi un entraînement particulier à la boxe. Ses bras et ses épaules n'étaient pas si musclés que ça. Finalement ce n'était qu'une femme et je commençai à devenir de plus en plus confiant pour le match à venir. Peut-être était-elle plus rapide et habile que moi, mais elle n'aurait certainement pas la force nécessaire pour me mettre hors de combat et résister durant tout le match. Quand le soir arriva, nous allâmes nous changer dans nos chambres. Norma m'ordonna de ne porter qu'un slip blanc et des baskets durant le combat, et rien d'autre. Je mis ces vêtements ainsi qu'une serviette dans mon sac de sport. Pour aller au gymnase j'avais enfilé un jeans et un T-shirt. Norma portait une chemise courte qui laissait apparaître son ventre parfait, une mini-jupe et des tongs. Elle avait plutôt l'air d'une adolescente ce soir-là. Durant notre trajet vers le gymnase j'étais assez calme. Norma semblait être de très bonne humeur. Puis elle se mit à me décrire ce qu'elle allait me faire sur le ring, et je commençai à me sentir de plus en plus inquiet et mal à l'aise. Quand nous arrivâmes au club, Norma parla au gars de l'entrée, puis nous pénétrâmes dans le bâtiment. Je découvris une immense salle remplie de gens. Quelques-uns faisaient des exercices de boxe, d'autres portaient des poids, etc. Et au milieu de cette salle se trouvait le ring de boxe. J'étais absolument atterré et restai sans voix pendant un moment. Elle ne voulait quand même pas que l'on se batte devant tout ce monde ? Quand je regardai Norma, je réalisai qu'elle était en train de m'observer et semblait savourer ma réaction. "Ne soit pas effrayé par le public. Tu vas adorer perdre contre moi ce soir, comme tu l'as adoré durant notre petit match de lutte. Rappelle-toi !" dit-elle d'un ton mielleux et moqueur. Effectivement je me rappelais de mon excitation après ma défaite, et je me souvenais également de l'érection que cela avait entraîné chez moi. "Allons nous changer et commençons le combat," conclut-elle, puis elle se dirigea vers les vestiaires. Dans le vestiaire des hommes j'enfilai mon slip blanc et mes baskets, comme elle me l'avait ordonné. Il m'était impossible de cacher une éventuelle érection dans une telle tenue ! J'essayai de me calmer et de me préparer pour le combat, puis sortis enfin du vestiaire. Ce que je vis alors me laissa sans voix. Norma paradait dans la salle telle une déesse : elle n'était vêtue que d'un string noir et d'un soutien-gorge sans bretelles. Une paire de bottines de boxe à ses pieds venait compléter cette tenue. Tous les gars de la salle avaient les yeux rivés sur elle et commencèrent à s'approcher du ring. Tout le monde voulait voir le match à présent. Je dus fendre la foule qui commençait à s'agglutiner pour atteindre le ring et y monter. Il y avait au moins cinquante personnes autour de nous. Quand je pénétrai sur le ring je vis Norma qui m'attendait en souriant. L'arbitre nous demanda si nous étions prêts, et donna alors le départ du premier round. Je savais que Norma était plus rapide que moi, aussi me concentrai-je d'abord sur ma défense. J'en eus vite la confirmation, car je reçus tout de suite trois premiers coups dans mes gants, sans que je puisse les voir arriver, puis elle me frappa encore plus fort. J'essayai de placer un direct, puis un second mais elle contre-attaqua et je sentis son poing exploser mon oeil gauche. Je reculai en tentant de me défendre contre ses attaques qui redoublaient d'intensité. Je dus attendre ainsi la fin du round sans pouvoir répliquer, encaissant de nouveaux coups. Je savais pourtant que je devais la frapper si je voulais avoir une chance de gagner, mais elle ne me laissait aucun répit et semblait déceler la moindre des failles dans ma défense. Je décidai donc d'être plus agressif à la prochaine manche. Au début du second round Norma plaça une série de crochets et de directs que je contrai avec difficulté. Sous cette avalanche de coups, j'étais incapable de placer des contres, mais heureusement j'arrivais à arrêter toutes ses attaques avec mes gants. A la première occasion je réussis à décocher un direct qui sembla la surprendre, mais je n'arrivai pas à atteindre son visage. Elle fut à nouveau capable de contrer mon deuxième direct et cette fois elle en profita pour me toucher au visage, avec force. Après avoir reçu trois coups dans la tête, je reculai en titubant vers les cordes. Norma continua à m'attaquer, me poussant ainsi vers un coin du ring. J'étais étourdi par les coups et n'étais plus capable de réagir efficacement à ses attaques, me contentant de protéger mon visage avec les gants. Quand Norma s'aperçut qu'elle n'arrivait plus à atteindre le haut de mon corps, elle commença à me frapper au ventre. Ses coups me firent très mal et j'eus la respiration coupée, aussi baissai-je ma défense. A ce moment-là elle m'envoya un uppercut au menton, puis deux autres coups suivirent sur ma pauvre tête déjà bien sonnée. Je sentis mes genoux flancher et je m'écroulai en arrière dans les cordes. Je levai à nouveau mes gants devant moi, mais je savais que je ne serais plus capable d'encaisser encore beaucoup de coups. Je sentis d'autres attaques dans mes gants et mon ventre. Norma semblait prendre maintenant l'affaire très au sérieux et ne me laissait aucun répit. Mais heureusement le gong retentit, annonçant la fin du round. Quand Norma me tourna le dos pour retourner dans son coin, je tombai à genoux. Je vis cette magnifique femme qui venait de me soûler de coups traverser le ring en agitant son derrière. La foule applaudit quand Norma prit la pose en gonflant ses biceps. Comment une femme aussi menue pouvait- elle me battre à la boxe ? Malgré ma fatigue, je débutai le troisième round en essayant de la frapper. Mais, comme j'aurais pu le prévoir, elle reprit l'initiative du combat après seulement quelques secondes. Je dus subir de nombreux coups avant de me retrouver encore acculé dans un coin. Elle m'envoya deux puissants directs dans le ventre, ce qui me coupa à nouveau la respiration. Je dus baisser ma garde et me retrouvai ainsi sans défense. Je reçus deux directs au visage. Tout devint noir autour de moi et je m'écroulai sur Norma qui continuait à me frapper le ventre. L'arbitre arrêta alors le combat et quand Norma recula je tombai sur le tapis, au pied de ma victorieuse adversaire. Je repris conscience quand Norma me retourna sur le dos avec son pied. Puis elle prit la pose au-dessus de moi, gonflant ses biceps et mettant un pied sur ma poitrine, sous les acclamations de la foule. Petit à petit je réalisai la situation dans laquelle j'étais. Cette belle amazone venait de me corriger devant une cinquantaine de personnes, et maintenant elle savourait sa victoire en posant son pied botté sur sa victime. Je levai mes yeux vers la belle gagnante, et je ne pus m'empêcher d'admirer son corps parfait. Norma me sourit, leva le bout de sa bottine vers mon visage et ordonna : "tu as perdu, baise ma botte !" Pendant que je m'exécutai, je sentis mon sexe gonfler. Le slip ne pouvait cacher cette érection, et en quelques secondes une grosse bosse apparut, visible par tout le monde. Norma était toujours debout au-dessus de moi avec un sourire aux lèvres, savourant visiblement ma réaction devant sa domination. "Remets-toi debout et suis-moi," m'ordonna-t-elle. Je marchai derrière elle jusqu'aux vestiaires. Je me retrouvais dans la même situation qu'après notre combat de la veille : je la suivais, la tête baissée de honte, et je ne pouvais détacher mon regard de son derrière se trémoussant au rythme de sa démarche. Mais il y avait aujourd'hui une différence de taille, car tout un tas de gens avaient assisté à ma défaite et mon humiliation, et, encore pire, tout le monde avait dû remarquer mon érection. Une fois arrivé dans le vestiaire je me dépêchai de prendre une douche et de me rhabiller. Je voulais quitter cet endroit le plus vite possible. Quand je passai devant le miroir je fus choqué par la vision de mon visage tuméfié. J'allais garder des traces de ses coups pendant plusieurs jours. Quand j'eus terminé je vins attendre Norma devant la porte du vestiaire pour femmes. J'étais au centre de tous les regards, et j'étais très gêné par cette situation embarrassante. Quand nous fûmes rentrés à la maison, Norma m'amena dans ma chambre et m'ordonna de me mettre nu et de m'allonger sur le lit, sur le dos. Elle retira ensuite ses sandales et s'assit sur mon ventre. J'étais à nouveau très excité par cette position, et je me demandai ce qu'elle avait l'intention de faire. Norma glissa légèrement en arrière, et ses fesses vinrent effleurer mon membre dressé. Elle était là, tranquillement assise sur moi, cette amazone qui venait juste de me mettre une raclée à la boxe sans aucune pitié, et qui maintenant me faisait frissonner d'excitation. Puis elle s'avança sur moi, venant s'asseoir sur mes épaules. J'avais le visage sous sa jupe à présent. Norma poussa mes bras au-dessus de moi, et je sentis le contact d'une corde avec laquelle elle lia mes mains à la tête de lit. Je n'essayai même pas de résister. Norma se remit ensuite sur mon ventre, se pencha sur moi et me murmura d'une voix douce : "maintenant tu vas recevoir dix-neuf coups de cravache. Laisse-toi faire. Sois fort, comme un homme. Fais-le pour moi. Tu es prêt ?" J'étais totalement abasourdi. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me batte à nouveau ! Je ne pus répondre, mais réussis tout de même à acquiescer faiblement de la tête. Après s'être relevée, Norma m'ordonna en reprenant une voix sévère : "tourne-toi sur le ventre, mon garçon," puis elle quitta la piéce. J'obéis et je la vis revenir avec sa cravache. Elle lia mes pieds au bas du lit avec une autre corde, ce qui m'immobilisa totalement. Elle ne m'infligea que quinze coups, mais même cela était trop pour moi. J'avais les fesses en feu et je pleurais comme un enfant. Enfin elle quitta la chambre en me laissant attaché. Quand elle revint après quelques minutes, j'avais réussi à me calmer un peu. Je sentis sa peau douce sur mon dos ainsi que la tiédeur de ses pieds sur mes flancs alors qu'elle s'asseyait sur moi afin de détacher la corde qui immobilisait mes bras. Puis elle libéra également mes pieds, et me dit en ne manifestant absolument aucune pitié envers moi : "suis-moi et arrête de pleurnicher." De nouveau je me mis à suivre cette femme superbe tel un chien derrière son maître. Encore une fois elle m'avait montré où était ma place. De toute ma vie, jamais je ne m'étais senti aussi inférieur à quelqu'un. Elle m'était supérieure dans tous les domaines. Nous entrâmes dans sa chambre, elle s'assit sur une chaise et posa ses pieds sur un tabouret. "Mets-toi à genoux et occupe-toi de mes pieds, mon garçon. Et tu as intérêt à bien t'appliquer, sinon je t'inflige le reste de ta punition. N'oublie pas qu'il manque encore quatre coups de cravache." Je me mis immédiatement à genoux, les mains dans le dos comme elle me l'avait appris, et commençai à passer ma langue et mes lèvres sur ses pieds en y mettant le plus de dévotion que je pouvais. Après une vingtaine de minutes son portable sonna. C'était ma belle-mère. J'étais si surpris que je m'arrêtai de lécher les pieds de Norma pour écouter la conversation. Norma ne toléra pas longtemps cette pause de ma part, et me donna un coup de pied au visage pour me faire comprendre que je devais continuer à m'occuper d'elle. Je me remis donc à l'ouvrage, et au bout d'un moment j'entendis Norma dire : "non, je crois qu'il est occupé en ce moment, mais je lui dirai que tu as appelé." En prononçant ces mots, elle appuya la plante de ses pieds sur mon visage avec un sourire espiègle. Elle semblait vraiment savourer mon humiliation. Puis elle raccrocha. "Ta belle-mère revient demain. Ton emploi d'esclave se termine maintenant. Tu peux retourner dans ta chambre." Je restai sans voix. Je n'arrivais pas à décider si c'était une bonne ou une mauvaise nouvelle pour moi. Je me levai comme elle me l'avait ordonné et me dirigeai vers la porte. Avant de franchir le seuil je me retournai et regardai cette femme superbe et dominatrice qui m'avait amené à me soumettre totalement en seulement deux jours. Ses adorables petits pieds étaient encore posés sur le tabouret où je les avais vénérés pendant la dernière demi-heure. "Dépêche-toi avant que je ne change d'avis," dit-elle avec son petit air moqueur. Je quittai vite la pièce, mais j'avais le coeur rempli de chagrin, et je savais bien que c'était un chagrin d'amour. A suivre...