Vaincu par Norma, 3ème partie - Sous son emprise par escribe1@live.fr (traduction de "Losing to Norma - Under her spell", de looner11@web.de) ==================== = 3ème partie = = Sous son emprise = ==================== Je n'arrivais toujours pas à y croire. Bien sûr, je connaissais l'enjeu du combat avant de commencer, et j'avais envisagé la possibilité de perdre contre cette femme plus petite que moi. Mais ce qu'elle m'avait fait subir était absolument dégradant. Jamais dans mes pires cauchemars je n'avais imaginé pouvoir être humilié à ce point. Mais elle n'en avait pas fini avec moi. J'étais dans une situation pitoyable, à la mesure de l'étendue de ma défaite contre elle. Norma marchait d'un pas conquérant dans le jardin, faisant gigoter fièrement son magnifique derrière. Elle était terriblement attirante et provoquante. Je la suivis docilement, nu comme un ver comme elle me l'avait ordonné. Mon membre dressé se balançait devant moi, ce qui me faisait baisser la tête de honte. Bien qu'elle m'ait monstrueusement humilié, malgré moi j'étais pourtant excité, au point d'avoir une érection ! Tout en marchant je ne pus m'empêcher de fixer son postérieur. Cela me rappela comment elle l'avait utilisé pour m'étouffer durant notre combat. Puis mon regard glissa sur ses jambes musclées. J'étais stupéfait par la facilité avec laquelle elle m'avait maîtrisé, rien qu'avec la puissance de ses jambes. Et enfin ses adorables petits pieds. Non seulement elle les avait utilisés pour m'étrangler et me frapper au visage, mais en plus elle m'avait forcé à les embrasser à plusieurs reprises. Ma joue gauche était encore toute enflée et me faisait terriblement mal. Je me rappelais également de son pied posé sur ma poitrine quand elle s'était tenue debout, victorieuse au-dessus de moi. Quand nous arrivâmes sur la terrasse, elle se retourna vers moi. Gêné, je ne fus pas capable de soutenir son regard. Elle se saisit fermement de mon sexe, comme s'il s'agissait du geste le plus naturel du monde. Je ne bougeai pas d'un pouce, retenant mon souffle. "Tu feras un bon serviteur. Je l'ai su dès que je t'ai vu pour la première fois. N'essaye pas de résister à ton trouble, obéis-moi sans réfléchir et tu verras, tu te sentiras mieux." Elle me parlait ainsi presque avec gentillesse, pendant qu'elle caressait délicatement mon membre raidi. Cela me surprit, car je m'attendais à des moqueries de sa part ou d'autres genres d'humiliations, et du coup je sentais ma dernière résistance fondre sous ses mains douces. Elle lâcha enfin mon sexe, et son ton changea : "remets ton slip, mais rien d'autre. Ensuite tu m'apporteras une boisson, tu feras la vaisselle et tu nettoieras la cuisine. Je monte me changer pour mettre mon maillot de bain. Dépêche-toi, je n'aime pas attendre." Je fis ce qu'elle m'avait demandé. Tout d'abord je préparai un verre, afin que je puisse le lui servir dès qu'elle arriverait. Mais je ne l'entendis pas sortir, aussi commença-t-elle à attendre près de la piscine sans que je ne m'en aperçoive. Quand tout à coup je la vis par la fenêtre, déjà installée dans son transat, je pris peur. Je me dépêchai de prendre son verre pour lui apporter, mais dans ma précipitation je le renversai, et il fallu donc en préparer un autre. Hélas la bouteille était vide maintenant, et je dus aller en chercher une à la cave. Quand je revins, je faillis entrer en collision avec Norma : elle semblait très en colère et avança vers moi lentement. Je reculai craintivement jusqu'à ce que mon dos touche le mur derrière moi. "Je suis désolé, Norma. Je ne vous avais pas entendu sortir, et puis après j'ai fait tomber le verre. J'apporte..." Elle me coupa en lançant son genou entre mes jambes. Je m'effondrai en pleurant de douleur. Etendu à ses pieds, je l'entendis me dire : "je ne veux plus t'entendre donner ainsi des excuses pitoyables. Apporte-moi mon verre et ne me fais plus jamais attendre." J'étais à peine capable de marcher, mais je me débrouillai tant bien que mal pour lui servir en vitesse son verre, puis je finis de nettoyer la cuisine. Quand je sortis, Norma était allongée sur un matelas gonflable, au milieu de la piscine. "Enlève ton slip et viens dans l'eau," ordonna-t-elle. J'obéis. "Va à mes pieds et pousse doucement le matelas à travers la piscine. Tout en faisant ça, tu m'embrasseras les pieds." Sur ces mots, elle se tourna sur le ventre pour savourer le soleil. Je poussai son matelas lentement, décrivant des cercles dans l'eau. Les pieds de ma belle maîtresse étaient allongées, la plante vers le haut, juste devant mes yeux. Je baissai ma tête et commençai à embrasser le milieu de la plante des pieds, puis descendis doucement vers ses orteils, pour remonter ensuite vers ses talons. J'essayai de la baiser tendrement et avec délicatesse, ce qui sembla la satisfaire. De nouveau mon sexe se mit à réagir, dès mes premiers baisers. Ainsi je passai un long moment à marcher dans l'eau avec mon membre en érection, embrassant avec dévotion les pieds de ma maîtresse. Quand elle en eut assez de prendre le soleil, elle me donna un petit coup de pied au visage pour me faire arrêter de les embrasser. Elle sortit de la piscine et je la suivis. Quand elle s'aperçut de mon érection, un large sourire apparut sur ses lèvres et elle se saisit de mon membre dressé. Tout en se mettant à me caresser lentement, elle me demanda d'une voix douce : "tu les adores tant que ça, mes pieds ?" J'étais trop embarassé pour lui répondre, aussi restai-je silencieux, la tête baissée. Alors elle descendit sa main le long de mon sexe et je la sentis se resserrer fermement sur mes testicules. "Allez, réponds," ordonna-t-elle. "Oui, j'adore vos pieds," admis-je enfin. "Mais ne t'inquiète pas pour ça, c'est même plutôt très bien ! Si tu exécutes toutes tes corvées parfaitement, je te récompenserai peut-être ce soir en te donnant l'autorisation de les baiser à nouveau. Maintenant tu vas faire le ménage, et ce soir tu me prépareras le dîner. Et tu as intérêt à ce que ce soit bon, car sinon tu seras sévèrement puni." Comme pour souligner ces derniers mots, elle se mit à serrer un peu plus fort mes testicules. Je commençai mon travail. A travers la fenêtre je pouvais voir Norma en train de bronzer près de la piscine. Pour la première fois depuis le départ de ma belle-mère, je commençais à apprécier cette situation et à accepter ce plaisir trouble qui montait en moi. J'exécutai toutes mes tâches ménagères en faisant de mon mieux, car je ne voulais pas décevoir ma Maîtresse. De temps à autre elle m'interrompait pour que je vienne lui servir une boisson ou lui prodiguer un massage. Au milieu de l'après-midi elle m'appela en dehors de la maison, et me dit que je devais travailler dans le jardin. Elle marcha devant moi, m'indiquant quel était le travail qu'elle attendait de moi. Je me mis à l'ouvrage, mais c'était très pénible car il faisait une chaleur étouffante, et il n'y avait pas d'ombre. Après avoir surveillé le début de mon travail, elle me dit : "il fait trop chaud pour moi ici, je retourne à la piscine. Travaille bien, et ne traîne pas. Tu me serviras le dîner à sept heures." Elle tourna les talons et se dirigea vers la piscine. En la regardant partir ainsi, je réalisai qu'elle m'impressionnait énormément. Comment une personne aussi jolie et féminine pouvait-elle être aussi puissante et dominatrice ? A nouveau je ressentis cet étrange plaisir d'être soumis ainsi à une si belle femme d'apparence si fragile. En fait, aussi étrange que cela puisse paraître, je commençais à trouver du plaisir dans cette situation. J'étais maintenant complétement sous son charme. Quand j'eus fini mon jardinage, je retournai vers la piscine. J'étais sale et en sueur, aussi Norma m'ordonna-t-elle d'aller prendre d'abord une douche. Quand je revins sur la terrasse, elle était assise sur une chaise à m'attendre, une cravache à la main. "Maintenant montre-moi ce que tu as fait," dit-elle. Elle vérifia toutes les tâches que j'avais exécutées, et parut satisfaite de mon travail. Elle semblait même un peu déçue : "j'espérais devoir utiliser ma cravache sur toi ce soir, mais tu n'as fait aucune erreur. Je suppose que je vais devoir attendre une autre occasion." Je me dépêchai d'aller préparer le dîner et je fus tout juste prêt à sept heures. Le repas se déroula dans une ambiance plutôt décontractée, et nous discutâmes et rîmes beaucoup. Quand j'eus fini de débarrasser et de faire la vaisselle, elle m'appela auprès d'elle : "tu as bien travaillé aujourd'hui, aussi pour te récompenser je vais t'apprendre à prendre soin des pieds de ta Maîtresse. Tu vas d'abord prendre une douche, ensuite viens frapper à ma porte. Et rappelle-toi, je déteste attendre." Je me dépêchai de me doucher et de me rhabiller, puis j'allai me présenter devant sa porte. Je frappai : elle me dit d'entrer. Elle était en train de regarder par la fenêtre de sa chambre, me tournant le dos. Elle portait des sous-vêtements noirs qui mettaient en valeur ses douces épaules et son dos satiné. Ses fesses étaient superbes sous sa petite culotte de satin noir. Je pus admirer la plante de son adorable pied gauche quand elle le leva le long de sa jambe droite. Elle était absolument magnifique. Je me demandai une nouvelle fois comment une femme aussi mignonne avait pu me battre à la lutte. Elle se retourna vers moi et s'installa dans un fauteuil, m'ordonnant de me mettre à genoux devant elle. Elle mit ensuite son pied gauche sur mon épaule, puis posa son pied droit par-dessus. Faisant remonter lentement son pied droit jusqu'à son genou, elle dit : "s'occuper des pieds de sa Maîtresse est vraiment quelque chose de très important. C'est la façon la plus intime que tu auras de montrer ta soumission. Plus tu mettras de passion à vénérer mes pieds, plus tu prouveras ton obéissance." Tout en disant cela, elle redescendit lentement son pied le long de sa jambe pour se retrouver au-dessus de l'autre, sur mon épaule. Quand la plante de son adorable petit pied s'immobilisa devant mon visage, je ne pus résister plus longtemps et l'embrassai. Mais ce moment de plaisir ne dura pas longtemps : Norma poussa brutalement son pied en avant et me frappa le visage. Elle m'avait tapé très fort, et je tombai en arrière, étourdi par le coup. Quand je rouvris les yeux, Norma s'était mise debout, son pied posé sur ma poitrine : "tu ne dois plus jamais toucher mes pieds sans ma permission. Est-ce que c'est clair ?". Elle attendit ma réponse. "Je suis vraiment désolé. Je ne le referai jamais plus," répondis-je. Satisfaite, elle se rassit et m'ordonna de me remettre en position à ses pieds. Elle se mit alors à m'expliquer exactement comment m'occuper de ses pieds avec ma langue. Tout d'abord je dus lécher la plante de ses pieds avec le bout de ma langue. Ensuite elle me fit passer la langue entre ses orteils. Enfin je dus lécher à nouveau la plante de ses pieds, mais avec la langue entière cette fois-ci. Je faisais de mon mieux pour suivre ses ordres, en y mettant le plus de passion et de dévotion. Tout à coup elle me tapota doucement le visage avec son pied : je stoppai immédiatement, mais Norma m'ordonna de continuer, tout en jouant avec l'extrémité de son pied sur mon visage. Cela semblait l'amuser de me compliquer ainsi la tâche de lui baiser les pieds. Au bout d'un moment elle se leva, se dirigea vers son lit et s'allongea sur le ventre. Tout en lisant un magazine elle m'ordonna de continuer à lui masser les pieds avec ma langue. Je fis de nouveau tout mon possible pour montrer toute ma passion dans ces gestes, et elle parut satisfaite de ma prestation. Après de longues minutes passées à lui baiser ses magnifiques pieds, je l'entendis m'ordonner d'arrêter et d'aller dormir dans ma chambre. Avant que je ne parte de la chambre, elle ajouta avec un petit sourire : "tu me serviras demain le petit déjeuner à neuf heures, mon garçon." A suivre...