Vaincu par Norma, 2ème partie - Reddition sans condition par escribe1@live.fr (traduction de "Losing to Norma - Total surrender", de looner11@web.de) ============================ = 2ème partie = = Reddition sans condition = ============================ Quand ma belle-mère était partie pour deux ou trois jours en nous souhaitant : "amusez-vous bien !", je n'étais pas vraiment sûr que cela serait réellement le cas. Norma était d'une envoutante beauté, mais semblait prendre un malin plaisir à m'humilier. Et elle ne s'en était pas privée. Mes sentiments envers Norma étaient pour le moins ambigüs : d'un côté j'étais attiré par son corps de rêve, et d'un autre côté je détestais son comportement dominateur envers moi. J'entrai dans la cuisine quand j'entendis sa voix : "que dirais-tu d'aller dîner en ville ?" J'acceptai car j'étais affamé. Nous retournâmes chacun dans nos chambres afin de nous habiller pour sortir. Je mis un jeans et juste une chemise, car bien qu'il fut déjà huit heures du soir, il faisait encore chaud dehors. Norma avait également mis un jeans et une chemise blanche, dont le décolleté mettait en valeur ses seins parfaits. Quand elle me rejoignit en descendant les escaliers, je tâchai d'éviter de regarder sa poitrine, de peur qu'elle s'aperçoive de mon trouble. Comment allai-je pouvoir passer le reste de la soirée en face d'elle sans la dévorer des yeux ? Comme ma belle-mère quelques instants auparavant, elle était pieds nus. Arrivée devant la penderie, elle prit ses sandales à talons aiguille et les enfila. En la regardant je réalisai que j'avais commis une grave erreur en acceptant de sortir avec Norma. Cela me serait difficile de ne pas l'admirer, elle et son corps superbe, et à côté de ça elle ne manquerait aucune occasion de m'humilier. Et le pire était que je ne pouvais absolument rien y faire. Mais finalement cela ne se passa pas au début comme je l'avais redouté. Sur le chemin du restaurant nous eûmes une discussion agréable, en plaisantant et riant de bon coeur. Norma était devenue sympatique et j'appréciais sa compagnie. Au restaurant nous nous installâmes à une table bien placée et commandâmes le repas. Nous nous amusâmes beaucoup à observer et commenter le comportement des autres clients. Je commençai à vraiment apprécier Norma. Ce fut un peu avant la fin du dîner que Norma dit : "nous nous sommes affrontés au boules, qui est un jeu d'adresse, et à la natation, une épreuve sportive. Que dirais-tu d'une épreuve d'intelligence ?" Je fus stupéfait. Je ne comprenais pas pourquoi elle avait eu besoin de remettre ça sur le tapis. Nous avions passé jusque là une agréable soirée et maintenant tout était fichu : elle venait de détruire toute cette bonne ambiance, et elle le savait très bien. Et il y avait autre chose : je ne voulais plus l'affronter. Je ne voulais plus perdre contre Norma une fois de plus. "A quoi pensez-vous," demandai-je d'une voix blanche. D'un ton très ironique elle répondit : "je te propose une partie d'échecs. Si tu ne peux pas me battre en sports, tu devrais au moins me battre avec ton intelligence supérieure de mâle." Mon visage vira au rouge. Maintenant j'étais vraiment en colère, mais j'essayai de me calmer. Cette fois elle avait commis une grave erreur : elle ne le savait pas, mais je faisais partie de l'équipe d'échecs de mon université, et j'étais plutôt bon. Aussi acceptai-je. Nous finîmes le dîner sans plus parler. Nous voulions tous les deux rentrer à la maison le plus vite possible. Durant tout ce temps je réfléchissais à la manière dont je pouvais rendre cette future défaite la plus humiliante possible pour Norma. Je voulais me venger de tout ce qu'elle m'avait fait subir. Sur le chemin du retour, je suggérai l'air de rien : "et si nous rendions le jeu plus intéressant ? Le perdant pourrait servir le petit déjeuner au vainqueur." "D'accord pour toi. Mais pour moi, tu m'as déjà servi le petit déjeuner. Et si tu me faisais un massage des pieds après la partie si tu perds ?" Quelle étrange idée, mais comme j'étais absolument sûr de gagner, je n'attachai pas plus d'importance que ça à sa suggestion. "D'accord, faisons comme ça," dis-je. Arrivés à la maison nous allâmes directement au salon et prîmes place autour de la petite table sur laquelle se trouvait l'échiquier. Norma croisa les jambes et commença à faire balancer ses sandales à talon aiguille. Je me surpris à regarder ses petits pieds magnifiques. La peau y semblait très douce, et ses ongles vernis de rouge attiraient irrésistiblement mon regard. Je me forçai à me concentrer sur la partie. Je ne voulais pas finir cette soirée à lui masser ses petits pieds. Je la laissai commencer. Très vite après quelques coups je réalisai qu'elle avait pris l'initiative de la partie : elle m'attaquait sans cesse et je devais me défendre. Elle prit rapidement le contrôle du centre de l'échiquier et commença à dominer les coups. Je fis tout ce que je pus pour éviter la défaite, mais c'était sans espoir. Enfin elle se mit à la chasse de mon roi, et après quelques instants je dus admettre que c'était inutile de résister plus longtemps. Je dus abandonner. "Couche ton roi aux pieds de la reine," dit-elle. Je savais que c'était le signe conventionnel pour indiquer que l'on abandonnait la partie, aussi fis-je comme elle me l'avait demandé. "Maintenant mets-toi à genoux et masse-moi les pieds," ordonna-t-elle d'un ton sec. De nouveau elle me parlait comme si j'étais son valet. Cela me mit en colère, mais j'avais perdu la partie, et je devais bien respecter ma parole. Je m'agenouillai devant elle, retirai sa sandale droite et commençai à lui masser le pied. Norma posa son pied gauche sur ma cuisse et je sentis le talon pointu de sa sandale piquer ma peau. Cela me faisait un peu mal, mais je ne dis rien. Norma m'indiquait exactement de quelle manière je devais lui masser le pied. Elle s'exprimait d'une voix autoritaire et ne cherchait pas à me demander mon avis, elle ordonnait tout simplement. Je lui obéis sans résister, en espérant ainsi mettre fin à cette situation humiliante le plus rapidement possible. Mais ce n'était pas la seule raison... Quand je touchais son pied je pouvais sentir sa peau lisse et tendre. Suivant ses ordres, je dus masser ses orteils ainsi que la plante de ses pieds. Et je commençai à apprécier ça... C'est alors que je sentis une bosse gonfler sous mon pantalon, entre mes jambes. J'étais plutôt soulagé d'avoir mis un jeans à la place de mon jogging, car j'aurais été alors incapable de cacher mon érection, et cela va sans dire que je ne voulais surtout pas que Norma s'aperçoive de mon excitation provoquée par cette séance de massage. Après environ un quart d'heure elle retira son pied de mes mains et le posa au-dessus de mes genoux. Je retins mon souffle, car elle avait mis la plante de son pied exactement sur mon membre gonflé. Avait-elle remarqué mon érection ? Lentement je levai les yeux pour regarder son visage, mais elle ne manifesta aucune réaction. Puis elle me tapota doucement la poitrine avec son autre pied. Elle me faisait ainsi comprendre que je devais maintenant m'en occuper. Je retirai sa seconde sandale et commençai à lui masser son pied gauche. J'appréciais de toucher ainsi sa peau et de sentir son autre pied nu sur ma jambe, aussi m'appliquai-je afin de lui prodiguer un bon massage. Après une vingtaine de minutes elle leva son pied droit sous mon menton et me releva ainsi la tête, afin que je la regarde. "Est-ce que tu aimes masser mes pieds ?" demanda-t- elle. Quelle question déstabilisante ! Je ne pouvais admettre devant elle que j'avais adoré ça. Mais si je répondais non, elle pouvait alors me demander d'où venait mon érection si elle l'avait remarquée, et ça, je ne voulais vraiment pas ! Aussi essayai-je de me lever sans répondre. "Stop !" Sa voix sévère me fit m'arrêter dans mon mouvement. Réclamait-elle une réponse ? Avait-elle noté mon érection et voulait-elle m'humilier encore plus ? Alors que je levais un regard anxieux vers elle, elle me sourit en retour et dit d'une voix douce : "s'il te plait, remets-moi mes chaussures." J'étais soulagé et fis ce qu'elle m'avait demandé. Pendant que je relaçais les sandales sur ses adorables petits pieds, elle continua : "jusqu'à maintenant tu as perdu face à moi dans tous nos duels, même en sports. Penses-tu qu'il y a un domaine où tu pourrais gagner ?" Je ne voulais pas continuer sur ce terrain, aussi me relevai-je pour me diriger vers la porte. "On pourrait se battre," dis-je en plaisantant. Mais quand je passai la porte je ne pus en croire mes oreilles : "d'accord, battons-nous," répondit-elle. Elle se leva à son tour et vint me rejoindre. "Vous ne pouvez..." commençai-je à dire, mais elle me coupa : "quel est le problème ? Tu m'as défiée à la lutte, et j'ai accepté. Aurais-tu peur ?" "Non, non mais..." dis-je mais elle m'interrompit à nouveau. "Alors d'accord, on luttera l'un contre l'autre demain après le petit déjeuner. Aujourd'hui je suis trop fatiguée," et sur ces paroles elle sortit de la pièce en me laissant totalement abasourdi dans le salon. Pensait-elle réellement qu'elle pouvait me battre à la lutte ? D'accord, elle était sportive et en pleine forme, mais elle était plus petite que moi et j'étais sûr d'être bien plus fort qu'elle. Cependant, je n'aimais pas cette idée d'avoir à me battre contre elle, mais je n'avais pas le choix : elle avait raison, c'est moi qui l'avais défiée. Quand j'allai pour me coucher, j'entendis Norma m'appeler de sa chambre : "s'il te plait, Marc, viens voir. Il faut qu'on parle." En entrant dans la pièce je découvris Norma en sous-vêtements, allongée sur le ventre, en train de lire sur le lit. Ses cheveux étaient détachés et tombaient au-dessus de la peau douce et bronzée de ses épaules. Ses fesses étaient superbement mises en valeur par un string sexy. J'avais une vue directe sur la plante de ses pieds qu'elle balançait nonchalamment au-dessus de son magnifique derrière. Je ne pouvais détacher mes yeux de ses pieds en mouvement. "J'ai réfléchi au sujet des règles pour notre combat de demain. Est-ce que tu es d'accord pour lutter jusqu'à ce qu'un des deux demande grâce ? Le premier qui gagne trois fois sera le vainqueur. Et le perdant sera le serviteur du gagnant jusqu'au retour de ta mère. Es-tu d'accord ou bien as-tu peur de l'enjeu ?" J'étais surpris, mais je ne voulais surtout pas lui montrer que j'hésitais, aussi acceptai-je immédiatement. "Qu'est-ce que tu dirais de me masser à nouveau les pieds ?" me demanda-t-elle avec un sourire moqueur. Elle devait avoir remarqué mon regard attiré par ses pieds. J'ignorai sa question et me retournai pour quitter la chambre. "Peut-être est-ce ta dernière chance de caresser mes jolis pieds avec tes mains. Si tu deviens mon serviteur, c'est avec ta langue que tu devras t'en occuper." Je me dépêchai de quitter la chambre de Norma. Quand je rentrai dans la mienne, mon esprit était dans une complète confusion. Je me demandais pourquoi elle cherchait ainsi constamment la confrontation avec moi. Savourait-elle réellement ces humiliations qu'elle m'infligeait ? Mais elle ne pouvait quand même pas espérer gagner à la lutte contre moi ! J'étais beaucoup plus grand et fort que Norma, et bien plus lourd. Même si elle faisait du judo ou un truc comme ça, elle avait pris un énorme risque en me défiant. Je me voyais déjà en train de l'écraser enfin ; si je gagnais elle serait alors à mes ordres, et je pourrais lui rendre toutes les humiliations qu'elle m'avait fait subir. Mais bien sûr il fallait que j'évite l'erreur de la sous-estimer. Le lendemain matin je fus réveillé par un bruit de plongeon dans la piscine. Il faisait déjà chaud et quand je regardai à travers la fenêtre je vis Norma en train de nager. Cela me rappela alors la lutte qui nous attendait, et je me sentis immédiatement mal à l'aise. Et si je perdais ? J'étais sûr de ne pouvoir supporter une telle honte. Mais c'était à moi de lui donner une bonne leçon qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Je pris une douche, enfilai un short blanc et un T-shirt et descendis les escaliers. Norma était déjà en train de prendre son petit déjeuner. Elle portait un peignoir blanc qui était suffisamment court pour montrer une grande partie de ses magnifiques jambes. Ses cheveux étaient défaits et encore mouillés. "Profite de tes dernières minutes en tant qu'homme libre. Je vais m'habiller et après on pourra commencer à se battre," me dit-elle en se levant avant de monter dans sa chambre. L'estomac noué, j'étais incapable d'avaler mon petit déjeuner, aussi me contentai-je de boire un verre d'eau. Quand elle réapparut, je fus stupéfait : bien que je l'eusse déjà vue dans plusieurs tenues sexy, celle-ci surpassait tout ce que j'aurais pu imaginer. Elle portait un mini-short et le haut d'un bikini en dentelle noire. Ses cheveux étaient attachés à l'arrière en queue de cheval, et à ses pieds elle avait mis ses sandales noires à talon aiguille. "Allons-y," dit-elle, et je la suivis. Pendant que je marchais derrière elle, je pus admirer brièvement ses fesses : elles étaient réellement magnifiques, serrées dans son short minuscule. A chacun de ses pas je pouvais les voir se tortiller d'un côté puis de l'autre. De nouveau de me sentis mal à l'aise et mes jambes se mirent à flageoller. Je n'arrivais pas à m'imaginer en train de me battre contre cette superbe femme. Je me forçai à détacher mes yeux de ses fesses. Remontant mon regard je vis la peau satinée de son dos et ses fines épaules. Sa queue de cheval se balançait au rythme de ses pas. Elle descendit jusqu'au jardin. Avant d'arriver sur l'herbe elle s'arrêta et retira ses chaussures. Une fois pieds nus elle se remit en route pour atteindre le milieu de la pelouse et se retourna pour me faire face. "Allez, viens ici pour prendre ta raclée, mon petit," dit-elle avec un air de défi. Nous tournâmes l'un autour de l'autre, et j'étais très concentré. J'essayais de ne pas la sous-estimer, et j'avais raison : quand je tentai de l'attraper, elle me fit une sorte de prise de judo. Elle était très rapide et efficace, mais j'étais attentif. Je trébuchai en arrière, cependant je réussis à rester debout. Puis elle tenta une attaque que je parvins à contrer, mais sans réussir à maîtriser totalement son élan. Nous tombâmes tous deux à terre, Norma avec moi. Aussi vite que possible j'essayai de lui saisir la main, mais Norma fut plus rapide et plus habile que moi. Avant que je ne puisse l'en empêcher elle était sur mon torse, pressant à terre le haut de mon corps. Pour moi ce n'était pas encore inquiétant. Bien sûr elle se trouvait maintenant dans une position avantageuse, mais je pensais qu'elle n'arriverait jamais à me forcer à me rendre. C'était plus sur le plan psychologique que cette situation me faisait du mal. Norma, cette femme sexy, arrogante, qui prenait un malin plaisir à m'humilier, s'était assise sur moi. Pendant un court instant je ne bougeai plus et la regardai au-dessus de moi, puis tout d'un coup je tentai de toutes mes forces de l'expulser, mais elle était trop forte. Mes furieux efforts pour tenter de me délivrer étaient sans résultat, et même pire, épuisants. Quand j'arrêtai de me débattre pour reprendre mon souffle, je vis son sourire moqueur au-dessus de moi, et cela me rendit fou de rage. Elle profita de ma pause pour appuyer sur mes biceps avec ses genoux. Elle se mit à presser de toutes ses forces, ce qui provoqua une douleur terrible dans mes bras. J'arrivai à délivrer mon bras gauche, mais elle reposa avec rapidité son genou dessus. Cependant ce mouvement l'avait rendue un peu moins attentive, et je réussis à la projeter par-dessus ma tête. Immédiatement je me retournai pour l'attaquer. Par chance j'évitai son pied nu qui passa en sifflant à côté de ma tête, et me jetai sur elle pour la plaquer au sol. Alors que j'étais en train de me demander comment j'allai m'y prendre pour la faire abandonner, elle me prit par surprise. Avec une rapidité incroyable, elle souleva ses jambes et les passa autour de mon cou, puis me repoussa en arrière sans paraître fournir le moindre effort. Ses jambes étaient étonnament puissantes. Sans comprendre ce qui m'était arrivé, je me retrouvai sur le dos, avec Norma assise sur ma gorge, m'immobilisant avec ses jambes. Je poussai de toutes mes forces pour libérer mon cou de l'étau de sa prise, mais après quelques instants je réalisai que c'était inutile. Je tentai alors de tourner mon corps sur le côté, mais au moment où je pensais réussir à me libérer, elle reserra sa prise et me repoussa dans ma position de départ sur le dos. De nouveau j'haletai, à la recherche de mon souffle. J'essayai à nouveau de me tourner, avec le même résultat. Je réalisai alors qu'elle jouait juste au chat et à la souris avec moi et qu'elle était en train de m'épuiser. Puis tout d'un coup elle prit un air sérieux, et appuya encore plus sur mon cou, ce qui me fit abandonner immédiatement. "Je ne t'ai pas entendu. Parle fort et distinctement," ordonna-t-elle. "J'abandonne. Vous avez gagné," dis-je, toujours à la recherche d'air. Je la regardai se relever. C'était tellement humiliant de perdre face à cette jolie femme ! Je devais absolument la battre à la seconde manche, mais j'étais épuisé, alors qu'elle au contraire semblait m'attendre avec impatience pour recommencer le combat. Je me relevai et nous entamâmes la seconde manche. Le début fut la copie conforme du premier combat. Nous tombâmes tous les deux à terre et elle réussit à se mettre à califourchon sur moi. Elle s'attaqua de nouveau à mes pauvres biceps encore endoloris, et je sentis qu'elle était en train de gagner une nouvelle fois. Cela me faisait terriblement mal, et je ne sentais pratiquement plus de force dans mes bras. J'avais de plus en plus de difficultés à me débattre. Elle glissa en arrière, ramenant le long de mon corps mes bras devenus inutilisables, et enroula ses jambes autour des miennes. Avant que je ne puisse réaliser ce qu'elle était en train de faire, elle m'avait totalement immobilisé avec cette prise, et se mit à serrer de plus en plus fort. Après quelques instants je ne pus plus supporter cette douleur et lui dis à contrecoeur que j'abandonnais le combat. M'avouer vaincu dans cette position était vraiment humiliant pour moi, car le visage de Norma n'était qu'à quelques centimètres au-dessus de moi et son regard était rivé au mien. Elle contemplait avec son petit sourire moqueur mon visage se déformer à cause de la douleur. La belle combattante ne sembla pas remarquer que j'avais abandonné. Je commençai à vraiment souffrir. "Allez, c'est bon, j'abandonne. Vous avez gagné. Laissez-moi," lui demandai-je. "Supplie-moi," demanda-t-elle tout en serrant encore plus sa prise. Je ne pouvais pas supporter une telle douleur plus longtemps ; mes yeux se remplirent de larmes. "Pitié, laissez-moi partir. Arrêtez, je vous en prie. Vous avez gagné. Je ferai ce que vous voudrez, mais, par pitié, arrêtez, j'ai mal !" dis-je en la suppliant. Elle me libéra enfin de l'étau de ses jambes, et s'assit sur mon ventre. "Ne pleure plus. Tu finiras par apprécier cette nouvelle situation. Fais-moi confiance," me dit Norma d'une voix douce. Puis elle se releva. "Finissons notre match, il reste encore une manche," ajouta-t-elle debout au-dessus de moi, les mains sur les hanches. Elle se dirigea ensuite vers le milieu de la pelouse pour m'attendre. En me relevant à mon tour, je pris conscience de la douleur qui irradiait de mes bras et de mes jambes. Je n'avais plus de forces, et je savais déjà que je n'avais aucune chance de battre cette petite furie. Au début de la troisième manche, elle me fit tomber avec une prise de judo. Elle sauta sur moi et tenta de me bloquer en me tordant le bras. Je réussis à libérer mon poignet, mais elle restait encore sur moi. Quand elle s'attaqua à nouveau à mes biceps, cela me rendit furieux. Je rassemblai toutes mes forces pour essayer de la désarçonner. J'avais presque réussi à me dégager de son étreinte, quand elle tourna tout à coup sur elle-même et s'assit sur ma poitrine, faisant face à mes jambes. J'avais été tellement surpris par ce mouvement que pendant un instant je ne sus plus quoi faire. Je regardai ses fesses qui étaient juste devant mon visage, et au-dessus sa queue de cheval en train de se balancer dans son dos. A nouveau je tentai de la faire partir, mais j'étais épuisé à présent. J'arrêtai mes efforts pour essayer de reprendre mon souffle, mais elle s'aperçut de ce court instant de répit, et en profita pour glisser en arrière en écartant ses jambes, de manière à ce que son derrière vienne s'appuyer contre ma gorge. Je luttai pour aspirer de l'air et cela me prit un long moment et beaucoup d'efforts pour respirer à nouveau. J'étais complètement perdu maintenant, et plus du tout capable de me défendre. Ma belle persécutrice sembla soudain réaliser ma défaite, et glissa à nouveau en arrière pour s'asseoir carrément sur mon visage. C'était incroyable. Cette superbe femme, plus petite que moi, s'était assise sur ma tête et je ne pouvais rien faire contre ça ! Mais bientôt cela fut pire : elle faufila sa main dans mon short et saisit fermement mes testicules. Cela n'était pas douloureux, mais elle me faisait ainsi comprendre sans aucune ambiguïté qui était aux commandes maintenant. Gardant la prise sur mes bourses, elle releva un peu ses fesses. Elles étaient à quelques centimètres de mon visage à présent. "Je pense qu'on peut conclure maintenant, non ?" dit-elle en frottant mon scrotum. Je n'osais même plus bouger, aussi dis-je : "d'accord. Vous avez gagné. On arrête." "Pas si vite, mon garçon. Tu vas dire haut et fort que tu abandonnes, et comme signe de ta reddition tu vas embrasser mon petit derrière," ordonna-t-elle. De nouveau un de ces trucs humiliants. Je détestais ça, mais tant qu'elle me tenait par mes boules, je n'avais aucune chance de résister et devais faire tout ce qu'elle voulait. "D'accord, je me rends. Vous êtes la plus forte." Puis je relevai ma tête pour embrasser ses fesses. A mon troisième baiser Norma se releva. Quand j'essayai de me remettre debout à mon tour, elle m'appuya sur la poitrine avec son pied droit et me repoussa à terre. "Tu es mon serviteur maintenant et tu devras obéir parfaitement à mes ordres. Autrement tu le regretteras. Compris ?" J'acquiesçai de la tête. Elle alla se placer au milieu de la pelouse et ordonna : "rampe vers moi et viens baiser mes pieds." En dépit de mon état d'épuisement physique et mental, je refusai d'obéir : "écoutez Norma. D'accord, j'ai perdu le combat, et je suis prêt à effectuer des corvées pour vous comme préparer le petit déjeuner, vous servir des boissons, ce genre de choses. Mais je refuse de baiser vos pieds." Norma se dirigea vers moi et, avant que je ne puisse réagir, elle lança son pied nu vers mon visage. L'impact me fit chanceler en arrière, et ma vision s'obscurcit. Je n'eus pas le temps de me remettre de ce coup que déjà elle me mettait à terre en me tordant le bras dans mon dos. Sa jambe droite était sur mon ventre, et je sentais derrière moi sa jambe gauche pousser dans le creux de mon dos. Quand elle serra encore plus fort sa prise, je crus m'évanouir. La douleur était insoutenable, et j'eus peur que Norma me brise le bras. J'essayai de soulager ma peine et de libérer mon bras en soulevant mon corps et en tournant sur moi-même. Mais sans aucune pitié, Norma serra encore plus sa prise et me fit pleurer de douleur. Au même moment elle mit son mignon petit pied droit sur ma gorge et enfonça de nouveau sa jambe gauche dans mon dos. J'abandonnai immédiatement toute résistance et la suppliai d'arrêter. Elle relâcha un peu mon bras, mais j'avais toujours des difficultés à respirer, aussi essayai-je de repousser son pied de ma gorge à l'aide ma main libre. En réponse elle m'asséna un coup de pied terrible au visage : "ne touche jamais plus mes pieds sans ma permission," me menaça-t-elle d'un ton furieux. "Je suis désolé. Je ne vous toucherai plus jamais sans permission," reussis-je à articuler. "Maintenant, dis-moi que tu vas être mon serviteur et que tu obéiras à tous mes ordres," ordonna-t-elle. "Oui, je suis votre serviteur et je ferai tout ce que vous voulez," répondis-je. "Maintenant, embrasse mon pied," ordonna-t-elle, levant son pied gauche à quelques centimètres au-dessus de mon visage. Je relevai ma tête et commençai à baiser la plante de son pied. Quelle situation humiliante ! Perdre contre une jolie femme est une chose, mais être immobilisé et obligé d'embrasser ses pieds en est une autre. Bien que trouvant cet instant détestable, je me rendis compte que mon membre était en train de grossir et commençait à former une bosse dans mon pantalon. Toujours en train de l'embrasser, je sentis alors son autre pied se frotter contre mon membre excité. J'étais proche de l'éjaculation, mais heureusement elle arrêta ce petit jeu et remis le pied que j'embrassais sur ma poitrine en ordonnant : "enlève ton short et mets-toi à poil." Pendant que je m'exécutais, elle retourna au milieu de la pelouse. "Rampe vers moi et baise mes pieds," ordonna-t-elle d'une voix sévère. Cette fois j'obéis immédiatement. Rampant dans l'herbe, je sentais mon membre dressé se balancer entre mes jambes. Une fois arrivée devant elle, je baissai la tête et baisai ses pieds. Après un moment elle m'ordonna : "apporte mes chaussures." Je retournai vers les escaliers en rampant, pris ses sandales et les lui rapportai, toujours à quatre pattes. Je l'aidai alors à les enfiler. "Mets-toi debout et suis-moi maintenant, mon garçon," dit-elle en se dirigeant vers la maison. Je marchai à la suite de cette beauté qui m'avait vaincu. A nouveau je ne pus détacher mes yeux de ses fesses magnifiques, qui se tortillaient d'un côté puis de l'autre. Paradoxalement, je me retrouvais à la fois totalement humilié et excité. Norma venait de me forcer à me mettre nu et de la suivre tel un domestique, et j'étais maintenant docilement derrière elle, avec mon membre pointé en direction de son derrière... A suivre...