Nathalie "Ma première expérience de ball busting s'est passée en colonie de vacances, à Royan, dans une école de voile. Il y avait à peu près autant de filles que de garçons, de 12 à 16 ans , et nous étions encadrés par des jeunes qui pour la plupart venaient de passer leur BAFA. La colonie était située en bord de mer, et nous disposions d'une grande plage privée, avec un local pour ranger les bateaux. Dans la journée, nous sortions en optimistes,ces petits bateaux presque carrés pour enfants. Le soir, des jeux mixtes étaient organisés, du genre ballon-prisonnier, alors que les dortoirs étaient séparés filles-garçons. Une monitrice que je trouvais sublime arbitrait le plus souvent ces jeux, et avait l'habitude de répéter bien fort aux filles qu'elles ne devaient pas donner des coups dans les "bouboules" des garçons, parce que même si ça permettait de gagner, ça pouvait faire très mal ... A force de le répéter, certaines filles finissaient pas ne plus penser qu'à ça, et s'amusaient évidemment à en donner de temps à autre, en se faisant gronder très légèrement par la monitrice. Aucune fille ne m'en avait encore donné, jusqu'à ce que je remarque une fille brune,plus petite que moi mais très décidée, que visiblement la chose amusait bien. J'en profitais pour essayer d'être le plus possible sur son chemin. Je n'ai pas tardé à avoir les premiers coups, pas toujours bien ajustés. Mais je pense qu'elle compris ma tactique au bout d'un moment, peut-être parce que je ne me protègeais pas les parties autant que les autres. Je la vis sourire, et à ce passage-là, elle prit le temps de bien ajuster, et le coup parti. Je me suis retrouvé par terre, le ventre en feu. Son visage montra d'abord le remords, puis lorsque je lui fis un clin d'oeil alors qu'elle était penchée sur moi, elle réalisa que je l'avais volontairement cherché ... Elle s'excusa, mais d'une façon qui voulait dire : toi, tu l'as cherché, maintenant tu l'as eu, tant pis pour tes "bouboules" ... Le jeu repris et je sortis du terrain jusqu'à la fin de la partie, pour récupérer. Puis vint le repas, qui se passa normalement. Le soir venu, je cherchais à nouveau un moyen pour l'approcher, je la retrouvais avec des copines sur l'escalier menant au dortoir des filles, au dernier étage. Le dortoir des garçons était juste en dessous, chacun prenait l'étage entier, avec un grand escalier de chaque côté. Je l'entendis parler à ces copines en me désignant, je pense qu'elle leur racontais ce qui s'était passé dans l'après-midi. Elles se moquèrent de moi, et la brune dit très fort pour tout le monde "ici, commence le dortoir des filles,les garçons dehors, ou gare aux bouboules !". A nouveau, elles se mirent à rire, et celle dont j'appris un peu plus tard qu'elle s'appelait Nathalie me regarda droit dans les yeux, comme pour mieux souligner l'invitation. J'attendis une heure avant de monter, il n'était pas loin d'être l'heure de se coucher, mais j'avais peur, je ne savais pas ce qu'il fallait que je fasse. Je sortis par le même escalier qu'avant, et au moment ou je montais l'escalier, j'entendis la porte du dortoir des filles se fermer : elles devaient m'attendre. J'ouvris la porte, et me retrouvais devant plusieurs filles, cinq ou six, les mêmes que tout à l'heure sur l'escalier, dont Nathalie, visiblement excitée. J'étais très nerveux. Nathalie dit alors : "Mais on t'avait bien dit que les garçons ne devaient pas monter ici! Tu cherches à perdre tes bouboules ou quoi ? Bon, tu l'as cherché ! Eh, les copines on va lui apprendre à respecter les règles ! Sylvie et Noémie, tenez-le et mettez-le à genoux, on va rigoler !" Je n'avais aucune intention de me défendre, mais quand je me suis senti tenu par les épaules et en position agenouillée, je commençais à regretter cette idée. En plus j'étais dans un dortoir qui m'était évidemment interdit, si je me faisais prendre, j'étais mal. Les premiers coups de Nathalie ne me firent pas très mal, parce que mal ajustés. Elle s'en aperçu très vite, vexée de mal viser. Il faut dire que pour l'encourager à y aller plus fort, je faisais celui qui ne sentait rien, et qui n'avait pas peur. Elle demanda alors à ses deux aides de me baisser le jogging, dont je dus enlever une jambe, avant d'être remis en position, de force. Là, les choses changèrent, Nathalie adopta un nouveau rythme, et m'aligna une bonne série de coups très bien placés, ayant une visibilité totale, et gagnant en adresse à chaque coup. Elle alternait gros et petit coup, avec ou sans élan, et s'amusait énormément à me voir souffrir : "Oh ! Ca fait mal, hein ! Pauves petites bouboules ! Tu as mal ? Eh bien, c'est pas fini, tu vas voir". En même temps, je sentais qu'elle me ménageait, pour que le jeu dure plus longtemps. Je bandais mollement. Ensuite elle invita ses copines à l'imiter : "Eh, les filles, chacune son tour lui met deux coups, allez !" Une seule fille se présenta tout de suite, celle qui depuis le début déjà avait l'air fascinée par mes parties. On m'avait finalement aussi enlevé mon slip. Même encouragée par Nathalie, elle aussi fut un peu trop douce au début, mais rapidement elle gagnit en assurance et moi en douleur. Le mouvement était lancé, d'autres filles ont alors décidé de participer, certaines avaient vraiement envie, ça se voyait, d'autres, plus timides, l'ont fait pour faire comme tout le monde, et pour qu'on ne dise pas qu'elles n'avaient osé. Puis ce fut à nouveau le tour de Nathalie, impatiente de reprendre. C'est à ce moment-là, entouré de filles excitées, que j'aperçus une ombre par le hubleau de la porte du dortoir. Ce devait être un adulte, à cause de la hauteur du hubleau : je fus paralysé l'espace d'une seconde, lorsque je reconnus la monitrice de ballon-prisonnier. Je décidai en un instant de ne rien dire, mais au contraire d'afficher un sourire : mon idée était que la monitrice voie que je n'étais pas martyrisé contre mon gré. Elle dut le voir,car elle ne rentra pas. La séance continua donc, avec une spectatrice qui ne savait pas que quelqu'un dans le dortoir l'avais vue. Plus tard, je compris mieux les mouvements de sa tête que je perçevais en la regardant discrètement par le hubleau : je pense qu'elle s'est caressée devant cette scène. Elle ne voulait pas interrompre la séance, et en même temps elle ne voulait sans doute pas avoir de problème. J'ai eu pendant tout ce temps-là le secret espoir qu'elle rentre dans le dortoir, pour participer ou pour encourager peut-être, mais malheureusement c'est resté un rêve qui me hante encore aujourd'hui... J'ai donc fini la journée avec les couilles en petits morceaux, mais ravi, même si du coup, je ne pus pas faire de bateau pendant deux jours. La monitrice ne posa aucune question quand je lui demandis d'être dispensé de sortie..."