Nadege 1 Je n'arrive pas à bouger mes bras, ils sont solidement attachés au radiateur. Mes jambes sont maintenues écartées par une barre en métal, je suis assis sur un sol froid. Mes yeux pleurent, je ne peux rien voir. Je ne peux crier, un slip féminin étouffe mes hurlements. Mes testicules ne sont que douleur. Je commence à retrouver mes esprits, mes larmes s'estompent. Si seulement je pouvais palper mes testicules. Je reprends mon souffle. Je suis nu, attaché dans ma cuisine, seul. Je force mes liens, sans succès. Nadège m'avait promis une nuit pleine de surprise, mais là. ********** Quelques heures plus tôt. L'amie de ma fille m'avait dragué toute la soirée, elle est superbe, 1m55, des seins volumineux pour une femme qui n'aura 18 ans que dans quinze jours. Nous avions quitté la fête vers onze heures, Daphné ma fille avait souris et m'avait dit à l'oreille : - Papa, Nadège est une mante religieuse, tu vas goûter au péché et tu vas devenir accro, tu es foutu ! Enfin, il faut bien des masos pour que nous puissions jouer avec eux. Je suis plutôt du genre soumis dans mes rapports, très rares, avec les femmes, mais que ma fille me parle ainsi, qu'elle connaisse si bien mes faiblesses m'étonnèrent. A 17 ans elle ne connaissait pas la vie, et puis je me sentais flatté de passer la nuit avec une femme jeune certes, mais si belle. Nadège désirait une nuit d'amour ? Pourquoi pas, mon coté macho ressortait et mon sexe se dressa dans mon pantalon. Nadège me fit un joli sourire, referma sa main sur la mienne et m'entraîna dans la rue. Je fis monter Nadège dans ma voiture, et le chemin de ma maison. En cours de route, je sentis sa main faire glisser la tirette de ma braguette, elle sortit mon sexe. Je la vis faire une moue. Mon sexe n'est pas très long, à peine 11cm, mais qu'une femme de son age ait cette réaction m'humilia profondément. Sa main sortit mon sexe et mes testicules du pantalon. Ses doigts s'enroulèrent autour de ma verge et elle serra très fort. Heureusement, nous arrivions. Je garais la voiture près de la maison. - Nous sommes arrivés, dis-je. Je voulu rentrer mon sexe dans le pantalon mais Nadège me sourit : - Reste comme cela, je veux voir ton désir ! - Mais si. - Si quelqu'un te vois ? Tu as honte de ton sexe, n'est-ce pas ? Je m'attendais à mieux, c'est vrai ! Tu as envie d'une nuit pleine de surprises ? Alors suis moi ! Elle était sortie de la voiture, je jetais un coup d'?il inquiet aux alentours et sorti à mon tour. Je la rejoignais sur le trottoir. Elle me demanda du feu, je lui allumais sa cigarette, elle tira quelques bouffées, et me sourit à nouveau. Je sentis ses doigts s'emparer de mes testicules, fermement. Soudain elle se dirigea vers la maison, me tirant par mes bourses, comme par une laisse. Je n'osai imaginer la rencontre avec des voisins. Heureusement la cinquantaine de mètres furent vite parcourus. Mes yeux s'attardaient sur sa minijupe en skaï et surtout sur ses jolies sandales, aux talons hauts et carrés. Mon sexe malgré la situation était toujours en érection. Je sortis les clés de ma poche, Nadège se tourna vers moi, me tendit son autre main. Aussitôt je lui donnais les clés. Elle avait décidé de mener les choses, cela ne me dérangeait pas, j'aimais parfois lire des livres de domination féminine, cela me mettait toujours dans un état d'excitation incroyable. Dans l'entrée, je refermais la porte, elle lâcha mon sexe. Je n'osais pas bouger. Elle me tendit sa veste. - Ne restes pas planté comme un idiot, déshabilles-toi et rejoins moi au salon ! Elle se dirigea vers le salon, elle connaissait parfaitement la maison pour la fréquenter quasi quotidiennement. Je posais sa veste, un peu dépassé par l'assurance de la jeune femme, je me dévêtais rapidement et la rejoignis. Elle s'était assise sur le canapé. - Mets toi à genoux, là ! Son doigt m'indiquait, la moquette devant elle. Sa voix m'était inconnue, sure d'elle, sévère. Je ne reconnaissais pas l'adolescente presque timide que je voyais fréquenter Daphné. Je m'agenouillais devant elle. Elle se pencha en avant et ses mains saisirent ma tête. Elle posa ses lèvres sur les miennes, elle me fit un baiser merveilleux. Ma main droite s'était pose sur sa jupe que je caressais. La langue de Nadège fouillait ma bouche, je peinais à trouver mon souffle. Soudain elle me relâcha, je parti en arrière. Elle en profita pour me saisir, à nouveau, mes bourses. Cette fois elle les serra, fortement, je poussais un cri. - Maintenant, mon petit bonhomme, tu fais ce que je te dis ! J'aime voir les hommes me désirer mais c'est moi qui fixe les règles ! Compris ? Pour ponctuer sa question, sa main écrasa mes bourses. - Oui . - Oui Mademoiselle Nadège ! Tu me parles avec respect, tu me vouvoies, JE commande, tu obéis ! - Oui. Oui Mademoiselle Nadège. Etre commandé par une femme ne m'a jamais gêné, mais être dominé par une jeune femme qui aurait pu être ma fille, m'excitais au plus au point. Elle relâcha mes bourses et redressa sa jambe, l'approcha de mon visage. - Ne perds plus de vu mes pieds, tu baisses les yeux en ma présence, embrasses les, embrasses mes sandales, nettoies mes talons, mes semelles ! Sa voix s'était accéléré, mais toujours ferme, autoritaire. Je baisais ses doigts de pieds, les lanières de ses sandales, puis je léchais talon et semelle. Elle me présenta son autre pied, je recommençais ma besogne. Celle- ci achevée, elle posa son pied au sol, je sentais son regard sur moi mais je n'osais plus lever mes yeux. Je me rappelais les propos de Daphné « Il faut bien des masos pour que nous puissions jouer avec eux ! ». Depuis une demi heure, je n'étais plus guidé que par mon désir, par mon sexe, je me faisais humilier par une gamine ! Sa main jouait à me faire mal et je la remerciais, ma fille faisait-elle pareil avec ses amants ? La voix de Nadège me tira de mes pensées. - A quatre pattes, attends-moi ! Je m'exécutais. Je la vis se lever, ses jambes frôlèrent mon visage. L'une de ses sandales écrasa ma main droite. Je l'entendis sortir de la pièce, puis plus rien pendant un long moment. Enfin sa voix retentit : - Esclave, viens à la cuisine, à quatre pattes ! Le mot était lâché, mais je ne me révoltais pas, au contraire je me précipitais vers la cuisine. Je vis les pieds de Nadège, je m'arrêtais. Elle me lança devant moi une paire de bottines, une dizaine de centimètres de talons fins. - Tu les reconnais, esclave ? - Oui, Mademoiselle Nadège ! Ceux sont les bottines de Daph... de Mademoiselle Daphné. - Lèches ! J'avais de moi-même placé ma fille au rang de Nadège ! Je ne pouvais concevoir ce que cela pouvait impliquer. Je baissais la tête et léchais frénétiquement, prosterné les bottines de ma filles. Nadège se plaça derrière moi, je sentis un objet froid s'insinuer entre mes fesses offertes. Instinctivement je me redressais, cela provoqua la colère de Nadège. - Imbécile, qui t'as dit d'arrêter de lécher les bottines de ta fille ? Debout, regardes moi ! Un sourire cruel illuminait son visage. - Ecartes tes jambes ! J'obéissais. Je ne vis pas le coup partir. Sa jambe se leva d'un coup, rapide, puissant. Son pied s'écrasa sur mon entre- jambe. Je la regardais, surpris, la douleur monta en moi, vive, intense, terrible. Je m'effondrais devant Nadège. Mais déjà sa main m'avait saisi par les cheveux, elle me tirait et je me faisais tant bien que mal glisser vers le radiateur. Elle me lâcha. Je posais mes mains sur mes testicules, je respirais difficilement, je ne pouvais parler. Je voulais arrêter le jeu. J'étais assis devant le radiateur, elle poussa mes épaules contre la fonte froide. Je restais à essayer de reprendre mon souffle. Elle s'empara de cordes qu'elle avait trouvé je ne sais ou. Mais oui tout était prémédité, Nadège et Daphné avait prémédité leur coup et les cordes avaient été placées dans la chambre de ma fille à l'avance. Nadège pris l'un de mes bras le souleva et l'attacha au radiateur, elle fit pareil avec l'autre. Il ne lui avait pas fallut plus d'une minute pour m'immobiliser. Elle s'empara alors d'une barre en métal avec des sortes de menottes à chaque bout, elle écarta mes jambes et les attacha. Evidement, si un tel instrument se trouvait là, la préméditation était évidente. Je pris peur. Je voulu parler. - Mademoiselle. - Tais-toi, je ne fais que commencer ! Je la vis se pencher, se tortiller, enlever sa petite culotte. Elle me la présenta devant les yeux, elle était noire, de belles dentelles, je vis la marque, Chantal T. Elle la plaqua sur mon nez, la merveilleuse odeur que j'inhalais apaisa instantanément mes inquiétudes. Je suis sensible aux odeurs corporelles des femmes et celle-ci était superbe. Elle compris mon émoi. Mon sexe se réveillait timidement. J'avais du mal à comprendre la finalité de la situation, que voulait-elle, et Daphné ? - Assez profité, pervers ! Ouvres la bouche ! Une fois encore j'obéissais, je comprenais qu'être manipulé par une femme, par Nadège devait être ce que j'attendais depuis toujours. Oui j'obéissais mais j'obéirai encore, parce qu'elle le voulait, parce que j'aimais cela ! Elle enfonça sa culotte dans ma bouche, et sourit ; Elle s'empara d'un gros bout de sparadrap et le posa sur mes lèvres. - Comme cela je n'entendrais pas tes cris ! Elle se plaçât entre mes jambes, et commençât à jouer avec mon pénis du bout de sa sandale. Avec technique elle ne mit guère de temps à me faire bander ! Son jeu dura un long moment, c'était très bon, toutes mes appréhensions avaient disparu, je commençais à trouver le jeu plaisant. - Regardes-moi, chien ! Je levais mes yeux vers cette superbe créature, elle enleva son chemisier, et je vis ses seins fièrement dressés dans un soutien-gorge noir. - Je peux te faire bander quand je veux, esclave, je peux te faire débander quand je veux ! OK, esclave ? J'acquiesçais de la tête. Un voile noir couvrit mes yeux, une douleur incroyable s'était emparée de mon bas ventre. Nadège avait écrasé fortement de sa semelle l'un de mes testicules ! Le cri s'étouffa dans le bâillon. Je bougeais dans mes liens, en vain. Je tentais de déplacer mes fesses, mais je sentis aussitôt la sandale de Nadège appuyer sur mon testicule. Je me tétanisais des larmes coulaient sur mes joues, ma respiration était difficile. Nadège se recula, relevant son étreinte. - Tu vois, fini de bander ! Ahahah. Je la vis aller au frigo, se servir une bière, je peinais a retrouver mon souffle. Elle s'assit à table. -Tu m'amuses, dit-elle, tu te demandes ce qui se passe. Ne t'inquiètes pas j'ai à peine appuyé, tu vas vite retrouver ta forme ! Effectivement, la douleur était à présent supportable, elle bu une gorgée de bière et se releva, vint vers moi et se pencha. - Tu veux que j'enlève mon soutien-gorge ? Je ne savais que penser, que faire. Je ne bougeais plus, apeuré. Elle me gifla fortement. - Je t'ai posé une question ! Tu veux que j'enlève mon soutien-gorge ? Je ne sais pas pourquoi, mais je fis signe non de la tête Elle se redressa. - Tant pis pour toi, regardes-moi ! Je levais le visage, elle me sourit, je compris qu'elle aimait ce jeu. Je sentis sa sandale redonner vie à mon membre. Elle me parlait, m'expliquant que toute la nuit je subirai ce traitement, plaisir, douleur. Elle rigolait en me disant que chaque fois elle écraserait plus fort mes testicules. Elle du voir la terreur dans mes yeux. - Tu as peur, c'est normal, mais tu dois souffrir, j'ai une nuit pour briser toute volonté en toi ! Sa semelle se fit impitoyable, mon sexe encore dressé quelques secondes plus tôt reçu une nouvelle décharge de douleur, plus vive, plus importante que la première, je me raidissais dans mes liens. J'entendis Nadège éclater de rire. Elle appuya plus fortement encore. En experte, Nadège écrasait mon second testicule sans pitié ! Elle fis roulait entre le carrelage et sa sandale la noisette livrée à son sadisme. Enfin elle arrêta. Je bandais mes muscles dans leurs liens, toujours en vain. Je suffoquais. Elle enleva le sparadrap de ma bouche, laissant le slip, néanmoins le surplus d'air fut suffisant. Mon corps tremblait de douleur. Je voyais Nadège siroter sa bière. Un long moment se passa, je me calmais. Nadège se leva. -Pipi ! Dit-elle Elle revint quelques instants plus tard, un verre à la main dont je devinais le contenu. Elle se dirigea vers moi, me retira le slip de la bouche. Je pris une grande bouffée d'air. - Bois, me dit-elle. Je ne bougeais pas, mais j'entendis son pied taper le sol en signe d'impatience. Instantanément, j'ouvris la bouche, mieux ça que de me faire écraser mes testicules. Je bu le verre offert, sans plaisir. Pourtant le goût ne me paru pas si désagréable, en d'autres circonstances, j'aurai apprécié, j'en suis sur. Nadège posa le verre et s'empara d'un tampon Jex et nettoya ma bouche et ma langue, puis elle remit le slip dans ma bouche. Elle reposa sa question : - Tu veux que j'enlève mon soutien-gorge ? Je fis « oui » de la tête Elle sourit, l'enleva, faisant jaillir des seins fermes et imposants. J'aurai voulu les embrasser, les téter, mais cette cruelle femelle faisait ça pour me tourmenter encore et encore. - Embrasses mon sein ! Son ordre me surpris, mais elle avait déjà posé son sein sur ma bouche, je ne pus que l'effleurer, le caresser du bout des lèvres. Le slip m'empêchait toute autre plaisir, elle le savait. Un nouvel espoir, une nouvelle humiliation. Sa sandale recommençait ses caresses sur mon pénis et bien sur je bandais, résigné car je savais que Nadège allait de nouveau écraser un de mes testicules et plus violement encore que les fois précédentes. - Tu vois, si je veux que tu bandes, tu bandes ! Si je veux que tu débandes, tu débandes ! Elle fit un brusque mouvement de pivot, se redressa, glissa sa sandale sous mon sexe dressé en son honneur, puis bien sur posa sa semelle sur mes bourses. Ainsi elle pouvait écraser simultanément les deux testicules ! Sa main releva mon visage, j'avais du mal à la voir, les larmes embrumaient ma vision, je gémissais. - Tu as mal, esclave ? . . . Tu ne réponds pas ? Bien, je pense que tu n'as pas mal, je vais donc lever ma jambe qui ne t'écrase pas, tout mon poids va donc. Tu devines. Mais oui tu devines. Je ne pu que gémir car Nadège avait joint le geste à la parole. La souffrance fut terrible, insupportable. Et ELLE, elle riait, se moquait de moi de ma virilité, des hommes. Mes bras me faisaient mal à tirer dans leurs liens, ma tête semblait exploser, plus rien ne semblait pouvoir arrêter le sadisme de Nadège. Les pensées se succèdent dans ma tête, si elle arrête je lui donne tout, ma maison, mes économies, tout. Je préfère devenir son esclave si c'est cela qu'elle veut. Daphné, au secours ! Nadège, pitié. Maman, pourquoi je ne suis pas une fille ! Je hais ses sandales et elle va me forcer à les lécher ! Je hais Daphné, elle et ses amies ! Hhhhhhhhhhmmm, pitié, pitié. Enfin Nadège reprend son équilibre et retire son pied de mes couilles. Je râle dans mon bâillon. Elle nettoie mes larmes, je vois son si beau visage. Elle me fait un signe de tête, je comprends, je me raidis mais hélas son pied a repris sa position. Je baisse la tête, asphyxié par la douleur, tétanisé par le stress. La pression ne dure que quelques instants mais elle est intense. Je n'en peux plus, je ne veux plus. Je veux dormir, oublier. - Esclave je vais prendre une douche, reprends des forces, je reviens continuer à jouer avec toi ! Ma tête s'agite, fait « non », je veux crier, mais je suis vaincu, je gémis à peine, brisé. J'entends Nadège s'éloigner, je pleure. *********** A suivre elricnec@aol.com