Mother - Daughter talk by M. C. Traduction libre par elricnec@aol.com Margaret rentre d'un shopping endiablé. Elle pénètre dans le salon et se fige. Là, assise devant la télé, se trouve Penny, âgée de 14 ans. A ses cotés se trouve, inanimés ses deux frères de 16 et 17 ans. Je vois que tu as encore mis une raclée à tes frères, ma chérie. Ce n'était pas de ma faute, répond-elle en souriant. Je regardais un film et ces deux imbéciles voulaient changer de chaîne pour regarder un match de foot. J'ai horreur du foot, alors j'ai du les calmer, ils sont si faibles, maman, même à deux contre moi ! Je te comprends mais nous devons parler toutes les deux. Margaret, se penche et saisit ses fils sous ses bras, les soulève et les porte sur leurs lits. Puis elle revient vers Penny. Penny, tu dois apprendre à contrôler ta force, notamment vis à vis de tes frères, ils sont si fragiles. Je suis désolé maman, j'oubli parfois ma force. C'est vrai, après tout ce ne sont que des garçons. Il faudra que ton père discute avec eux, leur apprenne à te considérer comme une femme, comment dire leur expliquer qu'à présent tu leur es supérieure et qu'ils te doivent respect et ....obéissance Je ne crois pas qu'il le fera, il y a quinze jours il m'a engueulé. Il ne le fera plus, chérie. Cela lui a pris une semaine pour pouvoir à nouveau s'asseoir sans coussin ! Je sais, dit-elle en rigolant, tu lui as donné une bonne leçon, il n'osait même plus me regarder dans les yeux. Je crois que la prochaine fois c'est moi qui le corrigerai ! Hé, doucement. Mais maman pourquoi les garçons ont tous peur de moi ? Tu sais, les garçons, comme tes frères, ou les hommes, comme ton père ont peur des femmes comme nous qui sommes plus fortes qu'eux. C'est un réflexe de macho. Mais papa n'est pas un macho, maman. Il l'était lorsque je l'ai rencontré. Je l'ai re-éduqué, c'est vrai je l'ai et je le bats. Parfois je lui écrase même ses petits abricots, il n'aime pas du tout, mais il se soumet car je suis plus forte que lui. Mais ne t'affoles pas, chérie, tu rencontreras un homme qui t'aimera parce que tu es puissante, et tu seras sa déesse. Merci, maman, est-ce que je peux aller au parc ? Oui si tu ne t'approches pas des garçons, tu as cassé le bras de Martin avant-hier et Richard est dans un sale état. Richard m'a insulté et Richard a pris sa défense. Je me suis défendue. Il a 16 ans, s'est cru plus fort que moi, et je l'ai giflé, puis j'ai saisi ses noisettes pour l'envoyer valser contre un arbre. Mesures ta force, j'ai parlé à sa mère, il est encore couché. Il souffre beaucoup. Bon j'y vais, au revoir maman. Tiens des sous pour t'acheter une glace. Penny est sorti, Margaret sourit, tout mon portrait pense-t-elle. Penny se dirige vers le parc, en route elle passe devant la maison de Richard. Elle sonne. Un homme ouvre, c'est le père de Richard, un homme grand et massif. - Bonjour, je voudrais voir Richard, je m'appelle Penny C'est toi la terreur ! Il ne veut pas te voir ! Penny n'est pas effrayé par la stature de l'homme, elle le saisit par l'encolure et le bouscule. Je veux voir Richard, dit-elle d'une voix qui n'attend aucune réponse. Penny s'engage dans les escaliers et arrive devant la chambre de Richard, elle toque et entre dans la pièce. En la voyant il se met à trembler. Que... fais-tu... ici ? Je viens voir comment tu vas. Elle s'assoit sur le lit, à ses cotés. Elle étend ses bras et l'attire vers elle. Elle embrasse alors Richard d'un long et fougueux baiser. Richard se détend, subjugué. Je suis désolé de t'avoir battu et humilié, mais je suis impulsive. Non Penny, tu es merveilleuse, tu as eu raison de me corriger, à présent je serai le plus gentil des garçons, je t'aime. Et le plus soumis, sinon... gare à tes noisettes ! Richard baisse les yeux, en signe de soumission. Mais déjà la main de Penny fouille dans son pyjama et s'empare des couilles du garçon, qui bande d'excitation. Je peux te les écraser, sans effort, je suis plus forte que toi, OK ? D'accord, tu es la plus forte. Je serai... soumis. Penny le relâche, et arbore un grand sourire. Tu peux sortir ? Oui, Penny. Alors debout, et je veux te voir d'abord complètement nu devant moi, ta CHEF ! Nous allons bien nous amuser tous les deux.