Moshi Une adolescente tabasse et domine son cousin Mon nom est Moshi, je vous écris depuis la maison de ma tante. Je suis venu ici pour passer plusieurs semaines de vacances. Mon cousin Yokito a dès mon arrivée, commencé à me harceler sexuellement, n’hésitant pas à me montrer son pénis en érection, que je trouve d’ailleurs de taille fort modeste. Je n’aime pas son arrogance alors je l’ai défié dans un combat. Il a d’abord souri, il a seize ans, deux ans de plus que moi, il est musclé et pèse environ quinze kilos de plus que moi. Il ne comprend pas qu’une adolescente le défie et semble perplexe devant mon insistance. Pourtant il accepte préférant une victoire facile plutôt que d’être dénoncé pour exhibitionnisme auprès de sa mère. Je lui indique que de plus s’il gagne, je ferai durant le reste de mon séjour tout ce qu’il désire. Il sourit, n’envisageant meme pas que si je gagne, j’en ferai mon esclave. Je me suis déjà battue avec des garçons, je n’ai jamais perdu. En fait, je prends un grand plaisir à les battre, à les humilier, et s’ils sont plus âgés que moi j’adore. Je veux juste leur prouver que les Filles sont supérieures aux garçons. Le bruit que je préfère est le son que fait le poing d’une fille s’enfonçant dans le ventre d’un garçon. J’aime voir ces males surpris de la douleur que nous sommes capables de leur infliger, de voir leurs yeux terrorisés lorsqu’une main féminine serre et broie leurs couilles. Yokito s’approche de moi pour me saisir, j’en profite, esquive et le laisse s’affaler. Je bondis, saisis ses cheveux, le relève. D’une jambe, j’écarte ses jambes, il est surpris de ma rapidité de ma tactique. Il ne voit pas arriver un coup de genou dans ses testicules. Il a bondit en l’air, s’est replié en deux, mon genou percute son visage. Il tombe, hurlant de douleur. Je décide de m’amuser avec lui, de le ridiculiser et de détruire ce qui lui sert de cerveau. J’écarte sa main de son sexe qu’il tente, maladroitement, de protéger. Je lui retourne son bras dans le dos. J’appuie dessus longuement, l’obligeant à m’implorer d’arrêter. Je le relâche, lui impose d’autres positions, un ciseau de mes jambes lui broie sa tête, je regarde ses yeux rouler de terreur malgré la vision si proche de mon sexe adolescent, je ne porte pas de culotte sous ma minijupe. Je le relève et le place tremblant près du mur, je prends mon élan et ma jambe frappe son torse. Il est envoyé, groggy, contre le mur. Ma main saisit son cou et le maintien contre le mur. Perverse, je frappe tout à tour son ventre et son pubis de mon autre poing. Il est à demi inconscient, et pleure, gémissant lorsque je daigne le relâcher. Il se plie en deux, se tenant son estomac douloureux, grognant. J’en profite pour lui bloquer sa tête dans mon bras, je le force à me suivre courbé, dans le jardin. Il trébuche dans le chemin gravillonné et nous tombons. Bien sur, je me relève en un éclair et je lui décoche un coup de pied dans les cotes. Il tombe en arrière, bras et jambes écartés, totalement à ma merci. Je vois dans les yeux de mon cousin, la peur, il a compris que j’étais plus forte et que j’allais lui donner la raclée de sa vie. Je me laisse tomber sur sa cage thoracique, lui coupant sa respiration. Je prends son nez entre deux doigts et secoue sa tête de gauche à droite Pas trop déçu, cousin, d’avoir été ridiculisé par moi, une jeune fille ? Tu ne recommenceras plus à me montrer ton pénis, sans mon accord, OK ? Sauf bien sur si tu veux être encore battu par ta petite cousine ! Il jure aussitôt que plus jamais il ne recommencera. Il s’excuse, implore mon pardon pour m’avoir agressé. Il ne veut surtout plus que mes muscles ne le tabassent. Les hommes sont des minables, quelques gifles et les voilà prêts à ramper devant moi, j’adore ça ! Pourtant, je dois m’assurer de sa sincérité. J’agrippe fermement ses testicules et je serre, il crie, je serre encore plus fort, il crie. Je lui ordonne alors de se déshabiller, il n’hésite pas en un éclair mon cousin est nu devant moi. Cette fois c’est marrant, il semble gêné d’être nu à mes pieds, il masque son sexe avec ses mains. Il pleure, j’aime ce moment ou l’homme sait qu’il va vivre encore des moments de souffrance entre mes mains. Je sais que maintenant il fera n’importe quoi, meme le plus repoussant, juste parce que je le veux ! Il me regarde, de ma hauteur je me moque de lui. Je me sais mignonne, je vois son sexe qui se dresse, il aime voir mon string sous ma minijupe. Je glisse mon pied sur son sexe, le flatte, l’écrase, le tord entre deux orteils. Je décide de d’asseoir mon joli petit cul sur sa poitrine. Je place mes pieds de part et d’autre de son sexe, il tente de se tordre pour se donner du plaisir. Son corps tremble de plaisir, moi d’une main je lui tire ses cheveux, de l’autre je serre, au niveau du nombril, son ventre, il frémit. Son pénis pistonne entre mes pieds, il éjacule, en criant car ma main s’abat sur ses testicules. Je me redresse sans attendre la fin de son orgasme, je pose mon pied sur son ventre : Tu es un minable ! Je vais devoir te punir pour avoir osé jouir sans MON autorisation ! ! Tu veux être puni par une petite fille ? Non, Moshi, Noooooooon..... C’est génial, je me suis relevé au-dessus de son corps nu, pleurnichant et terrifié à l’idée d’être châtié par moi. Je le saisi par les cheveux, il se lève, je me place derrière lui et passe ma main entre ses cuisses, saisi ses testicules et les tire en arrière. Il hurle, mon autre main s’empare de son pénis. Il bande, je suis surprise. Mais je comprends tout de suite que je pourrai le battre, l’humilier, il aime ça, son masochisme ressort pour ma gloire. Tu aimes être battu par une fille, ton bout de viande le prouve ! ! ! ! Et moi j’aime m’acharner sur des males de ton espèce. Il me regarde, défait, soumis. Je recule. Jambes écartées, mains sur les hanches, j’ordonne à mon esclave : Retournes contre le mur ! Je le regarde, obéir, tête baissée, totalement soumis. Il se positionne, je plaque d’une main son sexe raidi contre son ventre, laissant ses testicules exposés, offerts à mes caprices. Mon poing refermé s’abat sur ses testicules, deux fois, trois fois. Je n’en ai pas fini avec lui. Enlève Tes mains, offre-moi tes couilles. Je vois la terreur dans ses yeux, m’empare à nouveau de ses testicules et les serre. Il cri, longuement, la peur et la douleur s’entremêlent. Mes coups sont terribles, je m’acharne jusqu'à ce qu’il se plie et tombe à genoux devant moi. Une gifle forte l’envoie valser sur le sol. Mes pieds frappent son corps, il tente d’échapper aux coups en rampant sur le gazon. Voir ce corps délicieux à ma merci redouble mes forces. Je sens en moi le plaisir de le dominer, comme à chaque fois mon bas-ventre est humide. D’un ordre bref, j’ordonne à Yokito de se mettre sur le dos, jambes écartées, bras le long de son corps. La vision de mon corps provoque une réaction toute masculine, a présent je sais que son sexe est dur en mon honneur, plus pour m’agresser. Cher cousin, il est temps que tu soulages ta Princesse, je t’explique, je vais m’asseoir sur ton visage et tu lècheras ce sexe qui t’as battu et humilié, tu vas le récompenser. Moi je m’occuperai des tes couilles, je les serre pour te guider, si tu fais mal ton travail je les pulvérise, mais si tu es bon je ne serrerai que légèrement ! Compris ? Oui... Oui, Moshi... Je soulève ma jupe, retire mon slip que je pose sur son sexe dressé. Puis, je m’installe confortablement sur mon esclave. Je m’empare de ses couilles, commence à les serrer. La langue de Yokito s’active, désordonné, oubliant mon clitoris. Je serre les œufs fragiles, il s’applique. Je passe de merveilleux moments, jouissant à de nombreuses reprises. Yokito lèche, suce divinement mon sexe. Moi je serre ses testicules fortement, terriblement. C’est plus fort que moi, sentir ce grand corps frissonner juste parce que j’écrase ses couilles, déclenche des vagues de plaisirs intenses dans mon corps. Plus le plaisir monte et plus je serre, à ce cercle vicieux, je suis l’unique gagnante. Lorsque je le libère, je me relève, ses yeux sont vides, perdus dans un autre monde, je récupère mon slip souillé de son sperme. Je souris, rayonnante, brandissant le trophée de mon ultime victoire sur mon cousin. Vivement demain, cousin, nous allons passer des vacances merveilleuses ! Traduit librement par elricnec@aol.com