Comment je suis devenu la soubrette de Madame Murray - 6ème partie, par escribe1@live.fr (traduction libre de "Mrs Murray's maid: Part 6" de Vivianne) =============== = 6ème partie = = Une leçon = =============== J'avais réglé le réveil à 6 heures, pour ne pas arriver en retard chez Madame Murray. Je crus que la sonnerie allait me briser les oreilles, tellement j'avais mal au crâne. Je me levai péniblement, en pestant à la fois contre ma terrible voisine et contre tout l'alcool que j'avais ingurgité la veille. Je restai sous la douche durant un bon quart d'heure pour essayer de me réveiller, puis m'habillai en vitesse. Madame Murray n'avait pas précisé la tenue dans laquelle elle souhaitait que je me présente, aussi préférai-je ne pas prendre de risque en choisissant le même style que la veille, c'est-à-dire un T-shirt et des tennis, et enfilai un jeans à la place du short, car les matinées commençaient à être fraîches. Je pris un bon café pour me réveiller totalement, puis deux aspirines pour me faire passer ma migraine. Il était déjà presque 7 heures et quart, et à cette heure-là ce n'était pas la peine d'essayer de téléphoner au bureau pour prévenir de mon absence, aussi me dépêchai-je de sortir pour aller frapper à la porte de Madame Murray. Celle-ci vint m'ouvrir immédiatement, puis je la suivis dans le couloir jusqu'à sa chambre, où elle m'indiqua sur son lit une paire de collants couleur pêche, qui, contrairement à la veille, semblaient parfaitement neufs. Elle m'ordonna de me changer, puis de la rejoindre ensuite dans la cuisine. Je commençai donc à me déshabiller une fois qu'elle fut sortie de la chambre. Cette fois-ci il n'y avait ni jupe, ni T-shirt, ni chaussures sur le lit, et je me retrouvai donc entièrement nu à l'exception des collants que j'enfilai vite, sans ressentir la moindre excitation comme la veille. Me retrouver dans une telle tenue n'était pas très réconfortant, et le seul point positif était que ces collants étaient dotés d'un renfort au niveau de l'entrejambes, comme une sorte de culotte intégrée, ce qui me permettait au moins de dissimuler un peu mes parties génitales ! Je sortis ensuite de la chambre pour retrouver Madame Murray dans la cuisine, qui était assise à côté de la table, le dos à la fenêtre. Elle me fit signe de m'asseoir en indiquant la chaise en face d'elle. Il était à peine 7 heures et demie, et j'avais encore l'esprit embrumé par l'alcool, sans parler de la terrible migraine qui me martelait le crâne. Madame Murray se pencha en avant au-dessus de la table pour se rapprocher de moi, et commença par me passer un sacré savon ! "Les hommes comme toi, vous êtes tous les mêmes ! Vous n'êtes que des bêtes lubriques ! Tu ferais mieux de commencer à expier tes fautes et toutes tes pensées perverses que tu as pu avoir, que ce soit envers les femmes ou même les jeunes filles ! J'ai eu une bonne éducation, moi, toi par contre cela te ferait le plus grand bien d'apprendre les bonnes manières." Je me sentis totalement humilié, assis là face à elle, pendant qu'elle me ridiculisait et m'insultait. C'était une femme intelligente, et elle savait utiliser les mots adaptés pour me rabaisser encore plus. Toutes ses injures me blessaient terriblement, et je sentis mon ventre se nouer sous l'effet de la honte. Mes espoirs d'amélioration s'éloignaient chaque jour un peu plus ! Cette dame me tenait vraiment par les couilles ! Et elle semblait maintenant se délecter de ma vexation, car elle eut du mal à réprimer un sourire qui apparaissait sur ses lèvres. Et dire que j'avais trouvé auparavant cette voisine plutôt amicale, et que j'admirais même sa manière de mener son foyer ! J'avais bien changé d'opinion. Mes tempes battirent encore plus lorsqu'elle reprit sa diatribe : "tu es une véritable insulte envers les femmes, une espèce de connard prétentieux et arrogant ! Un malhonnête ! Tu es l'exemple parfait de toute la bassesse du genre masculin ! Tu vas devoir corriger ton attitude, et apprendre à respecter les femmes !" Tous ces mots résonnaient dans mon crâne encore embrumé par l'alcool. De plus, mes pauvres fesses me faisaient souffrir l'enfer à cause de l'épouvantable correction que Diane m'avait infligée la veille, et j'avais encore des cloques sur la peau. Et dire que tout ce que j'avais fait pour mériter un traitement aussi cruel avait été de retirer ces satanés hauts talons de 10 centimètres qui me brisaient les pieds ! Alors que j'avais par ailleurs parfaitement travaillé dans la chambre de sa mère. Sa réaction humiliante et extrêmement sévère me paraissait totalement disproportionnée par rapport à la nature de la faute ! Non seulement elle m'avait insulté, mais elle m'avait de plus roué de coups en me fouettant le derrière avec sa cravache. Et à présent j'avais énormément de mal à rester assis dans ma chaise, ajoutant encore à mon inconfort. Et même la sensation plutôt agréable et douce que procuraient d'ordinaire ces satanés collants ne m'apportait maintenant qu'irritations supplémentaires. J'étais à bout, excédé, furieux envers Madame Murray et ses filles, mais que pouvais-je faire ? Rien, rien du tout ! J'étais à sa merci, et je dépendais totalement de son bon vouloir ! Je n'avais plus qu'à attendre la suite en retenant mon souffle. "Et encore, Victor, je ne sais pas tout ce que tu as pu faire dans ta vie. Il te manque des règles pour te cadrer !" Je sentis mon espoir renaître quand je l'entendis m'appeler avec mon prénom masculin, Victor. "Victor, tu dois accepter le fait que c'est ton subconscient qui t'a guidé pour choisir tous ces magazines pornos sur les travestis ! Inconsciemment, tu cherchais à faire pardonner ton attitude de mâle égoïste, et pour te racheter tu souhaitais revêtir l'habit de celles que tu as insultées, c'est-à-dire les femmes !" "M-Mais..." essayai-je d'intervenir. Soudain, avec la rapidité d'un félin, elle se rapprocha de moi en se penchant au-dessus de la table et me délivra une gifle magistrale du revers de la main gauche, si forte qu'elle me fit tomber de la chaise. Avant que je ne puisse reprendre mes esprits et me relever, je la vis foncer vers moi pour planter la semelle de ses chaussures sur ma mâchoire et mon cou, pressant ma tête si fortement contre le sol que je me mis à pleurer de douleur, comme la veille avec Diane ! "Est-ce que je ne t'ai pas déjà dit de ne jamais parler sans que l'on ne t'en donne la permission ?" cria-t-elle. Mais j'étais incapable de répondre, même si elle avait légèrement relâché la pression de son pied. Puis elle appuya de nouveau, ajoutant : "ne refais plus jamais cette erreur avec moi !" Elle me saisit alors par les cheveux et me tira pour me relever, m'ordonnant de me rasseoir sur la chaise. La machoire douloureuse, j'obéis et attendis, restant assis docilement, pendant qu'elle restait debout face à moi, me toisant d'un air furieux pendant une bonne minute. Elle fit alors quelque chose qui me prit totalement au dépourvu : elle se mit à me gifler avec des allers-retours de ses deux mains ! D'un côté elle me frappait du revers de sa main gauche puis de la paume de sa main droite, puis inversement elle utilisait le revers de sa main droite suivi de la paume de sa main gauche. Même si elle ne frappait pas fort, les coups portaient tout de même : ma tête partait dans un sens puis l'autre comme un métronome. Madame Murray continua pendant si longtemps que je finis par prendre le rythme. Elle avait un petit sourire en coin, et alternait la force des coups, quelquefois plus forts, quelquefois plus doux. J'avais l'impression que mes joues étaient en train de rôtir dans un four. Je sentis des larmes de douleur et de honte couler de mes yeux et glisser le long de mes joues. Mais le pire de tout, à ma grande surprise et contre toute attente, c'est que je sentis mon sexe se dresser ! J'avais une terrible érection ! Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, car cette situation était terrible pour moi, et contre mon gré mon membre réagissait de manière imprévue à l'attitude orgueilleuse et dominatrice de Madame Murray ! Ca n'a pas de sens, me dis-je tout en sentant mon pénis se comprimer contre la ceinture de mes collants. Elle s'arrêta enfin de me saouler de coups, et reprit la parole : "Victor, es-tu prêt enfin à accepter ton destin ? Tu as le droit de répondre !" "Heu... Oui, Madame Murray," lâchai-je, les joues en feu. "Hé bien, à partir de maintenant tu t'adresseras à moi de manière plus formelle ! Victoria, à chaque fois que tu devras me parler tu m'appeleras Maîtresse !" Contre ma volonté, mon membre se redressa encore plus dans une excitation perverse que je n'arrivais pas à contrôler. Hélas, Madame Murray ne tarda pas à se rendre compte de mon état, mes collants ne cachant pas grand-chose. Cela n'allait certainement pas contribuer à améliorer ma situation, et je suis sûr qu'elle pensa exactement à la même chose quand elle remarqua mon érection : cela ne pouvait que la conforter dans son attitude dominatrice qu'elle affichait devant moi ! Tout ce que je voulais était de suivre ses ordres sans broncher pour éviter qu'elle ne porte plainte et aille ruiner ma réputation, mais cette excitation coupable sembla la rendre encore plus furieuse, et le pire était que je comprenais sa réaction. "Espèce d'obsédé, non mais tu t'es vu ? Tu ne peux même pas te contrôler, sale petit vicieux !" cracha-t-elle. Sans même réfléchir, je me mis à la supplier : "pardonnez-moi, je n'y peux rien, c'est totalement indépendant de ma volonté, je vous en prie, pardonnez-moi !" "Compte là-dessus ! Pas question de laisser passer ça ! Tu vas le regretter !" répondit-elle. Des larmes de honte commencèrent à couler de mes yeux déjà rougis par la séance de gifles. J'étais complèrement à sa merci ! Me tirant par l'oreille, elle me fit sortir de la cuisine puis prendre le couloir pour arriver dans la salle de bains, qui était située entre la chambre de Diane, à gauche, et celle de Madame Murray à droite. Elle avait beau être plus petite que moi, elle me contrôlait parfaitement en me tordant méchamment l'oreille. Arrivés devant la douche, elle me lâcha enfin et me poussa sans ménagement dans la cabine. "Victoria, mets-toi face à moi, les mains dans le dos, et écarte les jambes !" ordonna-t-elle. J'obéis, et elle saisit alors le pommeau de douche en l'orientant vers mon entrejambes, et tourna le robinet d'eau froide. "Ne bouge pas, et baisse les yeux !" cria-t-elle par-dessus le bruit du jet d'eau qui venait s'écraser sur mes parties génitales. Sans dire un mot, elle continua ainsi de me viser à l'aine, ce qui eut pour effet de vite calmer l'ardeur de mon sexe : sous le jet glacé il se ratatina rapidement dans sa cage de nylon. Au bout de quelques minutes, elle sembla enfin satisfaite et ferma l'arrivée d'eau, puis me dit : "tu vas t'essuyer, puis tu mettras ces collants à sécher. Tu trouveras des affaires de rechange dans ma chambre, à côté. Ensuite tu viendra te présenter directement dans le salon où nous t'attendrons." Elle avait dit "nous" : faisait-elle allusion à ses filles, ou bien y aurait-il d'autres personnes présentes ? Mais bien sûr je n'étais pas autorisé à poser la moindre question. Avec un petit sourire satisfait elle sortit de la salle de bains, me laissant seul dans la douche, tremblant de froid et les collants totalement trempés. Je me dépêchai de les enlever pour m'essuyer, et au bout d'un moment je réussis à me réchauffer. Un fois complètement sec, j'essorai les collants et les posai sur un séchoir, puis passai la tête par la porte entrebaillée de la salle de bains. Personne ! Je filai vite dans la chambre de Madame Murray, totalement nu, et m'approchai de son grand lit. Sur la couette blanche, je découvris alors une paire de superbes collants transparents roses. De la dentelle blanche venait décorer le haut des jambes ainsi que la ceinture. J'étais sûr que ces collants appartenaient à Madame Murray, et même qu'elles les avait portés personnellement ! Cela me troubla énormément. Jamais je n'aurais imaginé auparavant contempler ainsi des sous-vêtements féminins avec la perspective de les porter ! Malgré ma récente douche glacée, quand je pris les collants entre mes doigts, ce fut comme si je recevais une décharge électrique ! Bien sûr, j'en avais déjà touchés, mais toujours pour aider une femme à les retirer ! Mais maintenant je les avais dans mes mains, attendant patiemment que je les enfile sur mes jambes et mes fesses tremblantes d'émotion. En fait tout mon corps était maintenant parcouru par un grand frisson, troublé par le fait que ces collants aient été portés par Madame Murray. Je fus à nouveau très ému en passant le tissu soyeux sur mes jambes, et la souplesse du nylon me permit d'enfiler les collants jusqu'en haut, malgré la différence de taille entre Madame Murray et moi. Je finis par ajuster le haut autour de ma taille et de mes fesses ; mon pénis, en dépit de ce qu'il venait de subir, se remit à se dresser contre sa paroi de nylon. Réalisant tout d'un coup que j'étais en train de porter des sous- vêtements féminins, ma fierté masculine fut encore une fois ébranlée. A peine quelques jours plus tôt, j'étais un homme libre et sûr de moi, un homme à femmes. Et je me retrouvais maintenant dans la chambre de Madame Murray, vêtu de ses propres collants qu'elle avait elle-même portés ! Je me dirigeai vers le miroir à côté de la commode pour voir à quoi je pouvais ressembler dans une telle tenue. J'étais en pleine forme physique, malgré tous les récents évènements, et je dus admettre que les collants délicats s'ajustaient parfaitement à mon derrière et le mettaient en valeur! A cet instant j'entendis plusieurs voix venir du salon, situé non loin de la chambre. Ce n'était manifestement pas les filles de Madame Murray, et je devins subitement nerveux en me demandant qui cela pouvait être... Je sortis de la chambre et suivis le couloir pour arriver au salon, et là je n'en crus pas mes yeux : trois dames étaient confortablement assises en train de discuter ! Tout d'abord il y avait Jill Haller, de retour dans la maison, et puis bien sûr Madame Murray. Mais la troisième, à mon grand désarroi, était... Judy Mates ! La femme avec qui j'étais sorti quelques mois auparavant ! Je me sentis totalement perdu et désemparé devant cette présence à laquelle je ne m'étais pas du tout attendu, et j'étais tellement intimidé que j'eus l'impression que les jambes allaient se dérober sous moi. En me voyant apparaître ainsi, les trois dames éclatèrent de rire. J'eus l'impression que ces rires venaient vriller mes tympans ! "Ho mon dieu," s'étouffa Madame Mates, "regardez-moi ce travelo !" J'étais atterré de devoir rester là, debout, vêtu uniquement de collants, face à cette femme qui m'avait dans le passé considéré comme un vrai homme. "Ne reste pas planté là, connard !" aboya Jill, "rapproche-toi de nous pour qu'on admire de plus près notre bel Apollon ! Ou bien devrait-on dire notre petite Victoria ?" Je pénétrai dans la pièce, les jambes flageollantes. Je sentais le tapis épais sous mes pieds et j'eus du mal à ne pas m'étaler de tout mon long devant ces femmes qui hurlaient de rire en se moquant de mon allure empruntée, nu dans dans mes collants. J'étais tellement humilié que j'eus de nouveau envie de pleurer. "Allez, mon gros, bouge un peu ton joli cul !" cria Judy. Elle était morte de rire et elle avait du mal à reprendre son sérieux. Rempli de honte, je me mis à avancer en dodelinant exagérément du derrière, comme si j'étais une danseuse de peep-show. Dans mon désespoir j'espérais qu'en y mettant un peu d'humour, je pourrais au moins sauver la face devant Judy en lui laissant penser que tout cela n'était qu'une plaisanterie. Mais je vis alors l'expression sévère du visage de Madame Murray, et cela m'ôta d'un coup toute envie d'en faire trop. "Il a intérêt à se calmer !" s'énerva Madame Murray, se relevant de son canapé. "Viens voir un peu par ici," me dit en ricanant Jill, puis elle pointa du doigt le sol devant ses pieds. Sans qu'elle ait besoin d'en dire plus, je me dépêchai de m'agenouiller devant elle, mon visage se retrouvant au niveau de ses genoux. Elle portait des bas gris, et malgré moi je ne pus m'empêcher d'admirer ses belles jambes élégantes. "Ho, comme c'est mignon," commenta Judy en se rapprochant de Jill, "il n'y a pas de plus beau spectacle que de voir un homme fort et puissant s'agenouiller devant une dame ! N'est-ce pas Victoria ?" A ce moment un silence pesant s'installa la pièce. "Est-ce que tu apprécies mes chaussures, Victoria ?" murmura tout à coup Jill d'un ton rauque. J'eus l'impression qu'elle était excitée par ma position humiliante devant elle. Je baissai instinctivement les yeux, pour découvrir qu'elle portait une paire de bottines noires à hauts talons. "Pourquoi ne nous montres-tu pas ton admiration pour de si belles chaussures ?" Ca y est, je comprenais enfin où elle voulait en venir ! Non, pas ici, pas maintenant ! Elle voulait que je vénère ses bottines, et en plus devant les deux autres ! Quelle humiliation ! Cela n'avait-il donc pas de fin ? Je levai timidement les yeux vers Madame Murray en espérant sans trop y croire une intervention de sa part. Mais son expression sévère me fit comprendre que si jamais elle devait réagir, ce serait plutôt pour me faire obéir ! Balayant les derniers restes de fierté que je pouvais encore ressentir, je baissai lentement ma tête pour vivre mon premier acte véritable de soumission en public face à une femme. Tout en me maudissant d'être aussi faible, je posai mes lèvres sur la pointe de ses bottines et commençai à les baiser. "Arrête, pas comme ça ! Je veux que tu les lèches ! D'abord la chaussure droite ! Commence par le talon, et pars bien du sol pour remonter ensuite, sans oublier un seul millimètre carré !" A suivre...