Comment je suis devenu la soubrette de Madame Murray - 5ème partie, par escribe1@live.fr (traduction libre de "Mrs Murray's maid: Part 5" de Vivianne) ============================= = 5ème partie = = De nouvelles instructions = ============================= Tremblant d'émotion, je me tenais ainsi debout devant l'entrée de la chambre de Diane, me demandant pourquoi je n'avais pas le courage de m'enfuir d'ici, quelles qu'en soient les conséquences. Mais avant de prendre la moindre décision dans ce sens, je découvris alors que j'étais vraiment dans le pétrin ! En effet, quand Elaine ouvrit la porte de la petite chambre, je reconnus Kiaya Mates assise sur le lit, et qui se leva tranquillement en nous voyant arriver. Kiaya était une très bonne amie d'Elaine, du même âge qu'elle. C'était la fille de Judy Mates, une autre voisine, avec qui j'étais sorti l'année précédente durant quelques mois, en profitant des périodes d'absence de mon épouse, souvent en déplacements professionnels : Judy était beaucoup plus âgée que moi, mais elle était encore très bien conservée, et j'avais eu tout de suite le béguin pour elle. Et maintenant sa fille, Kiaya, avait sûrement été mise au courant de ma situation par Madame Murray, ce qui n'arrangeait pas mes affaires ! Kiaya sortit nonchalamment de la chambre en souriant, puis Madame Murray me lâcha le bras et disparut également, me laissant seul en compagnie d'Elaine. Mon coeur se mit à battre la chamade lorsque je découvris ce qui était posé sur le lit. Elaine, savourant ma surprise, me dit en souriant : "maintenant enlève tous tes vêtements, et habille-toi en vitesse avec ce qu'on t'a préparé sur le lit. Et quand je dis en vitesse, c'est en vitesse !" Je n'arrivais plus à mettre de l'ordre dans mes idées, alors que je gardais les yeux fixés sur le lit. J'entendis Elaine sortir en claquant la porte derrière elle, et je restai ainsi immobile, les bras ballants : sur le matelas étaient posés une paire de collants d'une couleur grisâtre, une jupe, une paire de souliers plats et un T-shirt immense ! Je ne saurais dire combien de temps je restai ainsi immobile, à fixer des yeux ce tas de vêtements ridicules, jusqu'à ce que je réalise pleinement qu'ils m'étaient destinés ! Soudain j'entendis la porte s'ouvrir et Elaine s'écria : "ne reste pas planté là comme un imbécile, déshabille-toi et enfile ces collants !" Puis elle claqua à nouveau la porte. Maintenant, non seulement j'avais le coeur qui battait la chamade, mais je sentis mon visage virer au rouge cramoisi, quand je réalisai qu'en plus ces collants avaient déjà certainement été portés par une des filles de Madame Murray ! En effet, ils semblaient usagés, et pour le vérifier je m'approchai pour les sentir : j'en eus la confirmation en reconnaissant le parfum de Diane. Reposant les collants, j'enlevais le peu de vêtements que je portais et me retrouvai ainsi nu, me sentant un peu perdu, mais, et cela fut une énorme surprise pour moi, en même temps également excité ! Ces bas avaient été portés par Diane, cette superbe créature, et je les tenais maintenant dans les mains ! Ils semblaient doués d'une vie propre alors que je les levai à la hauteur de mon menton : ils étaient très longs et touchaient le parquet. La déformation du tissu permettait presque de deviner les formes du corps qui avait habité ces collants. Je sentis le sang affluer à mon visage, tous les évènements de cette journée m'avaient donné le vertige, mais de nouveau, à ma grande surprise et sans que je puisse comprendre pourquoi, je sentis mon pénis se redresser. Je découvris que sentir entre mes doigts cette matière soyeuse m'excitait, et j'eus du mal à retenir mon souffle quand je m'assis sur le lit afin d'enfiler les collants. Ils étaient si fins qu'au début j'eus peur de les déchirer, car je n'avais aucune idée de la manière correcte de les mettre. J'avais toujours admiré les jambes des femmes lorsqu'elles étaient ainsi gainées de nylon, mais je n'avais jamais imaginé que cela pouvait être aussi compliqué d'enfiler ce genre de choses ! Je regrettai alors amèrement de ne pas m'être plus intéressé à leur manière de faire. Mais je devais bien me lancer, et aussi commençai-je par mettre tout d'abord mon pied dans la jambe droite. Pour l'enfiler, je pointai en avant mes orteils, comme j'avais vu plusieurs filles le faire. Mais je rencontrai de la résistance, et je m'aperçus plus tard qu'en forçant j'avais filé le collant à cet endroit. J'ai des longues jambes, et je chausse un bon 43, aussi fus-je surpris d'avoir réussi finalement à enfiler totalement ma jambe droite. Quand je commençai à enfiler lentement mon autre jambe, je ressentis comme un choc électrique ! Cette fine matière que je revêtais me donnait l'impression que l'on me caressait et m'embrassait doucement la peau ! Une fois que j'eus enfilé les deux jambes, je continuai pendant quelques instant à ajuster le haut des collants autour de mes hanches, de façon à ce qu'il épouse parfaitement le dessin de mes fesses et de mon entrejambes. Mon sexe se mit à réagir immédiatement, sans tenir compte de toute l'humiliation et la confusion que je pouvais ressentir à cet instant. Je venais d'enfiler des collants féminins pour la première fois de ma vie, et soudain je ressentis une immense honte et avec ma main gauche je pressai vers le bas mon pénis récalcitrant. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit à nouveau et Elaine me cria en me regardant : "QU'EST-CE QUE TU FOUS, BON DIEU ! ALLEZ, DEPECHE-TOI LA BONNICHE, ON N'A PAS QUE CA A FAIRE !" Puis elle repartit. Mon dieu, comme les mots peuvent être cruels ! Maintenant elle m'appelait sa bonniche ! J'avais honte, je me demandai ce qui se passerait si quelqu'un de ma connaissance apprenait ce qui était en train de m'arriver... Dire que cette fille me détestait, j'aurais vraiment tout fait pour ne jamais me retrouver ainsi entre ses pattes. Mais j'étais maintenant à sa merci, debout dans la chambre de sa soeur Diane et revêtu de ses collants, avec une énorme érection, et effrayé par tout ce qu'Elaine pouvait encore me faire subir ! Aussi enfilai-je aussi vite que je pus mes pieds dans les souliers noirs. J'avais une sensation de tièdeur autour de mes pieds recouverts de nylon, et ceux-ci glissèrent sans résistance dans les chaussures. J'enfilai ensuite la jupe qui se révéla être extrêmement serrée et courte, car elle n'arrivait pas plus bas qu'à la moitié de mes cuisses. En mettant la jupe, je passai mes deux mains sur mes fesses, et la sensation de douceur sur ma peau eut un effet immédiat sur mon sexe, qui se raidit à nouveau ! Je fis passer mes mains sur le nylon, et cela m'excita tellement que je compris alors ce que pouvait ressentir une fille lorsque vous lui caressiez le derrière à travers une telle matière. Puis, un peu honteux, je me demandai si d'autre gars comme moi pouvaient également ressentir du plaisir en se passant les mains sur leurs fesses gainées de nylon... Et si c'était quelqu'un d'autre qui me caressait ainsi ? Le plaisir ne serait-il pas encore plus fort ? Tout à coup je me sentis penaud d'avoir toutes ces pensées coupables, et je passai sur moi le long T-shirt. Cependant il n'était pas aussi long que je ne l'aurais espéré, et je suis sûr qu'avec une jupe aussi courte on pouvait voir mes fesses si je devais me pencher en avant ! J'ouvris lentement la porte de la chambre en m'attendant à tomber sur quelqu'un, mais il n'y avait personne dans le couloir. J'allai dans la cuisine et, regardant le sol, j'aperçus une bassine remplie d'eau savonneuse ainsi qu'une grosse éponge posée à côté. "Très bien, mon cher ! Ou devrais-je dire ma chère ? Je vais commencer par t'expliquer en quoi consiste ton nouveau travail," entendis-je dire derrière moi Madame Murray. Je me retournai pour lui faire face, mais elle me cria immédiatement dessus : "baisse la tête ! Ne me regarde jamais plus dans les yeux et ne te risque pas à m'adresser la parole, à moins que moi ou une de mes filles ne te l'ayons explicitement demandé ! Et ceci aussi bien chez moi qu'à l'extérieur ! EST-CE CLAIR ?" La gorge serrée, je tremblais devant le son de sa voix en attendant la suite de ses instructions : "nous allons mettre au point un planning précis que tu devras suivre scrupuleusement afin d'organiser tes nouvelles tâches ici. Rassure-toi, je m'arrangerai pour que cette activité ne vienne pas interférer avec ta vie professionnelle. Et tu ferais mieux de te faire tout de suite à l'idée que tu devras passer beaucoup de temps ici, car je ne suis pas prête à te rendre ta liberté ! Et sois certain que JE NE TOLERERAI aucun écart de ta part, ni absence non autorisée, ni retard !" Quel genre de femme était-elle pour exiger tout cela, pensai-je avec désespoir. Comment pouvais-je me sortir de cette situation ? Je commençai à douter des conseils de Sandra. Cela n'allait pas s'arranger tout seul comme elle l'avait suggéré, et je pensai tout à coup à Cal : jamais il n'aurait accepté de se retrouver dans une telle situation ! Je me sentais réellement comme une mauviette, comparé à Cal ! Un homme puissant comme lui aurait sûrement pris le dessus avec n'importe quelle femme, et n'aurait jamais accepté de se travestir et se faire maltraiter ainsi ! Mon dieu, j'étais vraiment tombé bien bas ! "EST-CE QUE TU M'AS COMPRISE, Victor ? ou plutôt Victoria, devrais-je dire," aboya Madame Murray. "Ou... Ou... Oui !" murmurai-je d'une voix presque inaudible. "TRES BIEN ! Maintenant approche-toi de ce seau et mets-toi à genoux !" Comme un automate je me dirigeai vers le récipient et m'agenouillai à côté. "Hé bien, Victor, qu'est-ce que tu fais ainsi à genoux ?" Je reconnus la voix de Jill Haller ! J'étais mortifié : toute la famille s'était-elle donnée rendez-vous pour savourer ma descente aux enfers ? Jill Haller était une cousine d'Elaine d'une trentaine d'années. Je l'avais vue souvent chez Madame Murray, et c'était également une femme superbe, le genre de fille qui vous font vous retourner dans la rue. Elle mesurait près d'un mètre 75, avec un corps fin et elancé, les yeux gris et de long cheveux brun foncé qui tombaient sur ses épaules. Ses sourcils étaient perpétuellement levés, comme si elle cherchait toujours à vous poser une question, ce qui lui donnait une expression un peu intimidante. Apparemment Madame Murray l'avait informée de ma situation. Elle se tenait debout à côté de moi, vêtue d'une jolie jupe en cuir, de bas beiges et d'une chemise blanche. Jill était institutrice, mais elle avait apparemment réussi à se libérer cet après-midi pour venir profiter de la fête qui se donnait ici à mes dépens ! Madame Murray reprit la parole : "Victoria, je dois m'absenter un moment. Jill va s'occuper de toi jusqu'au retour de Diane cet après-midi. Arrange-toi pour bien faire tout ce qu'elle te dit, comme une brave soubrette ! Et si Jill et Diane me font un rapport positif de ton travail, alors tu pourras être fier d'avoir franchi une première étape dans tes nouvelles responsabilités !" Puis sur ces mots elle partit. Devoir passer à quatre pattes l'éponge sur le sol de la cuisine, sous le regard moqueur de Jill, me paraissait déjà être terriblement humiliant, mais je n'étais pas au bout de mes surprises... Au moment de prendre l'éponge à la main, Jill me dit : "tsss tsss, non pas comme ça, attends." Elle prit alors une sorte de bandeau élastique, me le passa autour du crâne et coinça l'éponge sur mon front. Je dus alors commencer ainsi mon travail d'une manière particulièrement humiliante et inefficace ! Je ne voyais pas grand chose et de plus l'eau savonneuse coulait partout sur mon visage et ma poitrine. A genoux, je devais me contorsionner pour passer avec le front l'éponge sur le sol, et je me retrouvai bientôt trempé de la tête aux pieds. Malgré la difficulté de ma tâche, j'essayai de faire de mon mieux pour finir de nettoyer le sol de la cuisine, pendant que Jill se tenait debout derrière moi, m'ordonnant de temps en temps de me dépêcher en me donnant des coups de pieds au derrière. Elle alternait cruellement les coups modérés et violents sur mes fesses totalement exposées à travers le nylon de mes collants, la jupe étant bien trop courte pour venir cacher quoi que ce soit ! A un moment elle promena le bout de sa chaussure le long de la raie de mes fesses, et je l'entendis dire : ""ho, zut, tu as filé tes collants !" Je pus sentir à cet instant qu'effectivement de l'air pénétrait maintenant le long de mes fesses. Quelques minutes plus tard, alors que je plongeais ma tête dans le seau pour remettre du liquide sur l'éponge, je sentis de nouveau la pointe de sa chaussure se positionner exactement sur mon anus, désormais à l'air libre, et cela me provoqua un frisson qui remonta le long de ma colonne vertébrale. Elle profitait de façon honteuse de la situation, et je me demandai ce qu'aurait dit Madame Murray en voyant cela, et si elle l'aurait toléré. J'aurais tellement aimé le rapporter à Madame Murray, mais pour l'instant je ne pouvais rien faire d'autre que de me taire et de faire mon travail du mieux que je pouvais. La cuisine n'était pas très grande, mais elle avait vraiment besoin d'être nettoyée. Probablement personne ne l'avait lavée depuis plusieurs jours, et il y avait eu sûrement beaucoup de passage avec notamment des bottes de cheval bien crottées. Je fis vraiment de mon mieux pour essayer de rendre le sol impeccable. Jill pendant ce temps ne disait pas un mot, ce qui me rendait la tâche encore plus ingrate : si encore elle m'avait encouragé ou au moins donné un signe de satisfaction devant mes efforts, j'aurais certainement été reconnaissant, mais non, elle ne laissait rien paraître. Je voulais désespérément montrer à Madame Murray que j'étais capable de bien travailler, c'était une question d'orgueil... Orgueil, mon oeil ! En fait je savais bien que j'étais tout simplement effrayé, et que j'avais peur de ne pas la satisfaire ! Finalement je finis de nettoyer toute la surface de la pièce, et je n'entendis même pas que Diane était rentrée. Je m'en rendis compte en écoutant les deux cousines discuter dans le couloir, puis sans se donner la peine de revenir dans la cuisine Jill quitta la maison, et Diane apparut sur le seuil de la porte. Elle paraissait extrêmement en colère. Toujours à genoux, je levai les yeux vers elle, et je me sentis à ce moment vraiment misérable, totalement trempé, l'éponge dégoulinant sur mon front et vêtu d'habits féminins ! "MAIS, CE SONT MES COLLANTS, BON DIEU !" hurla-t-elle. "ENLEVE-MOI CA IMMEDIATEMENT ET RANGE TOUT !" ordonna-t-elle. Je me levai avec difficulté, courbatu après avoir passé tant de temps à genoux. J'allai vider le seau puis le rinçai, pendant que Diane restait derrière moi pour me surveiller. Elle m'emmena ensuite dans la salle de bains et me donna une paire de collants beiges. Elle m'ordonna de les échanger avec ceux que je portais, tout en gardant le reste de ma tenue. Pendant une dizaine de minutes j'essayai de m'essuyer de mon mieux, j'enlevai ma paire de collants trempés pour les mettre à sécher sur un cintre, puis m'appliquai à enfiler ceux que Diane m'avait donnés. Ceux-ci n'avaient apparemment jamais été portés, mais ils étaient aussi longs que les premiers, et leur matière soyeuse m'excita immédiatement dès que j'y glissai mes jambes. Je pensai qu'ils appartenaient probablement à Diane ou à Linda, et mon sexe se mit à se dresser à cette pensée, ce que j'essayai de cacher en tirant sur mon T-shirt. Si Diane voyait cette bosse au milieu de ma jupe, je n'osais imaginer quelle serait sa réaction. Diane m'attendait dans le couloir quand je sortis de la salle de bains. Elle m'informa avec un air dédaigneux que Jill avait trouvé mon travail dans la cuisine déplorable. J'étais indigné par cette remarque, car ce n'est pas en nettoyant le sol avec une éponge fixée sur la tête que l'on pouvait faire du bon nettoyage ! Elle aurait pu manifester au moins un peu plus de compréhension : j'aurais bien aimé voir Diane à l'oeuvre dans les mêmes conditions, elle n'aurait certainement pas fait mieux. J'avais l'impression d'être totalement ridicule. Diane tenait une paire d'escarpins aux talons vertigineux dans sa main : "enlève tes chaussures et mets-moi ça !" Je déglutis avec difficulté : jamais je n'aurais pu imaginer que l'on me demande de faire une chose pareille ! Ces talons faisaient au moins une dizaine de centimètres : mon dieu, comment allais-je pouvoir travailler correctement avec ça aux pieds ? Mais je n'avais guère le choix. J'obéis puis je suivis Diane vers la plus grande des chambres, qui était celle de Madame Murray, en essayant tant bien que mal de garder l'équilibre. Elle me donna du cirage et un chiffon, puis m'ordonna d'astiquer tous les meubles, ainsi que le parquet. Il me semblait que pour le sol c'était absolument inutile, et même la mauvaise façon de procéder : comme c'était la fille de Madame Murray avec laquelle je pensais être en meilleurs termes, je trouvai le courage pour prendre la parole et lui en faire la remarque. Mais j'avais à peine dit trois mots qu'elle me gifla si violemment que ma tête partit en arrière ! J'en avais les larmes aux yeux, et ma joue resta ensuite douloureuse durant plusieurs minutes. "Tu commences mal avec moi, ma petite bonniche ! Fais ce qu'on te demande sans discuter," me cracha-t-elle, puis elle disparut. Bonniche... Mon dieu, que ce mot me faisait mal ! Resté seul, je n'avais plus qu'à me mettre à l'ouvrage. Je cirai conscieusement tous les meubles de la chambre, puis une fois terminé je m'attaquai au parquet, latte après latte. Epuisé, je décidai de jeter un coup d'oeil par la fenêtre et je vis Diane allongée sur un transat, vêtue de son petit maillot de bain jaune qu'elle mettait d'habitude lorsqu'elle prenait le soleil, comme aujourd'hui. Je l'avais souvent aperçue de chez moi dans cette tenue, et cela m'avait toujours fait de l'effet : d'ailleurs je ne tardai pas à sentir mon pénis se redresser à l'intérieur de mes collants, se pressant contre la trame fine du nylon. Je me permis alors de faire une petite pause dans mon travail, pendant que je contemplais la jeune fille durant un moment. Mon regard vagabonda ensuite vers ma maison, et je palis en pensant à ce qui était en train de m'arriver. Aussi me décidai-je à me remettre à l'ouvrage, pour ne pas risquer d'aggraver ma situation. J'essayais de m'habituer à mes nouvelles chaussures, mais au bout d'un moment je n'en puis plus, et je les enlevai pour donner un peu de répit à mes pauvres pieds endoloris. Pendant plusieurs minutes je continuai ainsi à cirer le parquet, à quatre pattes, sans chaussures aux pieds. Je m'appliquai de mon mieux en espérant faire une meilleure impression à Diane qu'à Jill Haller un peu plus tôt dans la cuisine. Tout à coup j'entendis un cri derrière moi : "MAIS BON DIEU QU'EST-CE QUE TU FOUS ?" A quatre pattes, je tournai la tête pour m'apercevoir que Diane, toujours vêtue de son bikini jaune, était debout dans l'entrée de la chambre, l'air furieux. "Qui t'as dit d'enlever tes chaussures ? Espèce de crétin !" siffla-t-elle. Abasourdi, j'essayais de reprendre mes esprits lorsque j'entendis un sifflement dans l'air qui se termina par un claquement et une douleur aigüe sur mes fesses, à travers le nylon de mes collants ! Diane devait avoir prévu son coup, car elle tenait à la main une cravache, et elle avait apparemment bien l'intention de s'en servir ! Et effectivement, ici, dans la chambre de sa mère, elle m'infligea une des flagellations la plus douloureuse de toute ma vie. Elle se déchaîna sur mon pauvre derrière qui se boursoufla en quelques instants, et continua à me fouetter sans pitié alors que je la suppliais d'arrêter. Elle n'accepta de se calmer que quand elle constata que je venais d'éclater en sanglots. J'avais du mal à reprendre ma respiration, et je passais mes mains sur mes fesses devenues brûlantes pour essayer de calmer ma douleur ; je pouvais sentir sous le nylon les innombrables zébrures laissées par les coups de cravache. Tout à coup j'entendis Diane éclater de rire et m'ordonner : "allez, c'est bon maintenant, remets tes chaussures." Ravagé par la douleur et la peur, je n'arrivais pas à comprendre comment Diane, une aussi frêle jeune femme, avait pu m'infliger une correction d'une telle sévérité. Je pense que j'ai continué à pleurer pendant plusieurs minutes après qu'elle soit ressortie de la chambre en claquant la porte. Je ne pleurais pas tant de douleur à présent, mais plutôt d'humiliation. Cette humiliation était provoquée par quatre faits très précis dans mon esprit : premièrement, à cause de la tenue que j'étais obligé de porter. Deuxièmement : par mon rabaissement au rôle de domestique par Madame Murray. Troisièmement : parce qu'avant toute cette histoire j'avais été un homme sûr de moi face aux femmes, et que je me retrouvais maintenant humilié par elles. Et enfin quatrièmement à cause de la punition que je venais de subir de la part de la fille Murray qui pourtant était celle qui me paraissait a priori la plus sympathique ! J'étais désespéré, et j'avais besoin d'aide ! Je devais absolument trouver un moyen de me sortir de ce pétrin et de saisir ma chance à la première occasion. Ce soir j'allais téléphoner à Sandra. J'espérais vaguement qu'elle ait en tête quelques solutions de secours ! Et puis, c'était finalement la seule personne avec qui je pouvais discuter de tout ça. Mon dieu, j'étais vraiment dans de beaux draps... Complètement brisé par la flagellation que m'avait infligée Diane, je continuai à astiquer le parquet de la chambre, en prenant soin de garder mes chaussures aux pieds cette fois-ci. Le soir commença à tomber, et j'entendis à travers la porte de nombreux bruits de voix, m'indiquant que Madame Murray et ses filles étaient probablement rentrées dans la maison. Après un moment, la porte s'ouvrit et quelqu'un pénétra dans la chambre derrière moi. Je m'arrêtai instinctivement d'astiquer le sol, et me retournai pour voir qui était entré : c'était Madame Murray. "Baisse les yeux devant moi," ordonna-t-elle. J'obéis immédiatement, fixant le sol à ses pieds. Elle me demanda alors de lui montrer le résultat de mon travail, ce que je fis en lui indiquant les meubles ainsi que toutes les lattes que j'avais déjà cirées. Sa chambre était assez grande, aussi me restait-il encore une partie du parquet à terminer. "Bon, tu me termines ça pour ce soir, et quand tu auras fini tu viendras me retrouver dans le salon," me dit-elle en sortant de la chambre. Je passai ainsi encore une bonne heure à finir d'astiquer le sol. La nuit était maintenant totalement tombée, et j'avais dû allumer la lumière dans la chambre afin de terminer mon travail. Je me relevai, puis, en équilibre précaire à cause de mes talons vertigineux, je remis en place les différents meubles et tapis que j'avais déplacés pour finir de cirer le parquet. Je sortis ensuite dans le couloir pour arriver dans le salon. Madame Murray était installée dans le canapé, en train de regarder la télévision en compagnie de deux de ses filles, Cory et Linda. Je me présentai devant elle, les yeux baissés au sol, en prenant garde à ne pas me mettre devant le téléviseur. "Tu as fini ma chambre ?" demanda Madame Murray. "Oui Madame Murray," répondis-je sans lever les yeux. "J'irai vérifier tout à l'heure. En attendant, tu peux débarrasser la table de la salle à manger et faire la vaisselle." Je m'inclinai puis me dirigeai vers la salle à manger qui était attenante au salon. Tout y avait été laissé en l'état, les couverts, les verres, et les reliefs de leur repas dans les assiettes. Je fis donc la navette entre la cuisine et la salle à manger pour tout débarrasser. Comme je n'avais rien mangé depuis le matin, j'étais complètement affamé : surmontant mon dégoût et mettant de côté ma fierté, j'avalai discrètement dans la cuisine quelques restes du repas au fur et à mesure que je rangeais les assiettes. J'étais en train de faire la vaisselle lorsque j'entendis derrière moi Madame Murray entrer dans la cuisine. Du coin de l'oeil je la vis jeter quelque chose par terre, et elle me dit : "tiens, quand tu auras fini tu pourras remettre tes vêtements. Tu plieras avec soin ceux que tu portes en ce moment et tu poseras la pile sur la table de la cuisine. Tu pourras partir ensuite. Demain, sois là à 7 heures 15, et à l'heure bien sûr !" Les mains dans l'eau de vaisselle, j'eus envie de lui répondre qu'elle m'avait pourtant promis de faire en sorte de ne pas interférer avec ma vie professionnelle. Or, si elle voulait que je travaille pour elle le lendemain, j'allais devoir trouver une nouvelle excuse bidon pour rater encore un jour de travail ! Mais je n'osai rien dire, et de toute manière elle quitta la pièce sans attendre ma réponse. Une fois ma vaisselle terminée, je me retournai pour prendre mes vêtements qu'elle avait jetés en boule sur le carrelage de la cuisine. Je pus enfin enlever ces horribles chaussures à hauts talons : j'avais les orteils en feu, et des ampoules commençaient à apparaître au bout de mes pieds. Totalement démoralisé, j'enlevai ensuite mes collants, ma jupe et mon T-shirt pour revêtir mes habits normaux, puis comme indiqué j'en fis une pile soigneusement pliée pour la poser sur la table, à côté de laquelle je mis également ces chaussures qui m'avaient tant torturé. Je sortis de la cuisine le plus discrétement possible, de peur qu'on me rappelle pour un ordre quelconque, mais je ne rencontrai personne dans le couloir. En sortant sur le perron, j'inspirai un grand bol d'air frais, et je savourai à la fois ma liberté retrouvée, même si elle était temporaire, et le plaisir d'avoir enfin les pieds dans des chaussures confortables. Une fois rentré chez moi, je m'écroulai dans un fauteuil, totalement abattu. Ma situation me paraissait désespérée, et tout à coup je repensai à Sandra : peut-être pourrait-elle me suggérer une solution pour me sortir de cette situation qui semblait échapper à tout contrôle. Je lui téléphonai donc, et tombai tout de suite sur elle. Je lui racontai alors les évènements de la dernière journée, et elle-même parut très surprise de la vitesse à laquelle avaient évolué les choses pour moi ! Elle n'arrivait pas à croire qu'elles aient pu me forcer à me travestir, et fut choquée par la manière dont Jill Haller m'avait traité. Mais quand elle apprit la punition que m'avait infligée Diane, elle fut si surprise qu'elle ne put s'empêcher de rire ! Cela me fit mal au coeur quand elle s'exclama : "ha, j'aimerais bien rencontrer cette fille !" Après tout ce que je venais de lui raconter, elle savait certainement que j'aurais du mal à venir, mais elle m'invita tout de même à une soirée que Cal et elle organisaient le samedi suivant. "Essaye de venir, et ta petite Sandra te donnera quelques conseils !", raccrocha-t-elle en éclatant de rire. Ce coup de téléphone ne m'avait pas franchement remis en confiance, et c'est donc encore plus démoralisé et découragé que j'allai me coucher. Mais j'eus du mal à trouver le sommeil, ressassant toute une série de pensées négatives dans ma tête. J'avais l'impression d'être un insecte pris au piège dans la toile d'araignée de Madame Murray... A bout de nerf, je me relevai pour aller me servir plusieurs verres d'alcool, et en quelques instants je fus assez ivre pour aller m'écrouler dans mon lit. A suivre...