MEMOIRES DE LILLIPUTIENS Partie 4 par Hminus 1 Une poupée de perdue, 10 de retrouvées. Natacha venait donc de s'ajouter à la sinistre liste des victimes de notre petite famille. Nous étions si nombreux à notre naissance ; Nous n'étions plus que 3 à présent : Stan, Anna et moi-même, face à 5 géantes échauffées par quelques bouteilles de bon vin, et ne se comportant plus que comme des monstres assoiffés de plaisirs cruels. Christiane, qui normalement aurait du mettre un terme à cette escalade de cruauté, ne résista même pas au plaisir de sentir les petits os de notre pauvre s?ur fraîchement morte s'écraser sous son terrible pied. C'est à peine si elle fut dégoûtée lorsqu'elle dut s'essuyer le pied ensuite avec un torchon. Entre temps, Valérie s'était saisie de moi, et m'avait coincée le cou entre 2 de ses doigts de pieds, le second et le troisième, de telle façon, que ma tête dépassait au-dessus de ses orteils, et le reste de mon corps pendant dessous. Je vais te faire comme à Natacha ! je vais te broyer entre mes doigts de pieds ! commença t-elle en les recroquevillant d'emblée. Mon ange gardien qui m'avait préservé jusqu'ici ne put rien faire pour s'opposer à l'étreinte formidable des orteils de la belle adolescente. Valérie ne sentait pas sa force, ou bien avait-elle pris goût au plaisir de la destruction ; A peine commençais-je à retrouver quelque plaisir à humer la puissante moiteur puante de ses colossaux doigts de pieds, qu'elle me tordit le cou et me cassa quelque chose au niveau de l'épaule droite. Je ressentis un craquement, suivi d'une douleur insoutenable. Aaahhh ! fit-elle juste après avoir ressenti elle même ma fracture entre ses orteils cruels. Elle amena son pied devant son visage, et c'est tout en me regardant avec une expression diabolique, que Valérie recroquevilla à nouveau ses doigts de pieds sur ma poitrine si vulnérable et qu'elle poursuivi sa ?uvre destructrice ; Il y eut un autre craquement, une autre douleur, son troisième orteil acheva mon épaule droite, comme ça, juste pour jouer, jouir du plaisir de ressentir une autre fracture se produire sous sa force implacable. Non, pas ça.réussis-je à faire à cette belle fille sans pitié. C'est Lara qui me délivra, mais le mal était fait. Pas lui, fit-elle à Valérie, puis elle me déposa sur le canapé. Je ne sentais plus mon bras droit, et chaque mouvement de la tête s'accompagnait d'un véritable supplice ; Comment serai-je soigné, réparé ? Je sens que les pois-chiches commencent à agir fit Monique qui se tenait le ventre. Ouais moi aussi ! ajouta Valérie, si on faisait un concours de pet, hein ? Tiens j'ai une idée, continua t-elle, c'est Stan qui va dire celle d'entre nous qui aura fait le plus gros pet, le plus puant ! Oui super ! fit Yasmina, allez Stan dans le trou ! Oui dans le trou ! renchérit Valérie, qui s'emparait déjà de mon frère et l'installait à sa place Christiane me prit et me mit dans le trou avant de la même chaise. Honneur aux garçon ! tu seras aux premières loges pour regarder ton frère qui se délectera de nos précieuses flatulences ! me dit-elle en m'installant dans la chaise percée, face à Stan qui manifestait à sa manière Sa petite voix, prononçant des jurons amusait tout le monde, ne faisait qu'exciter davantage toutes ces dames et demoiselles, même Lara rigolait de bon c?ur. Vite j'en ai un, fit Valérie qui se précipita sur la chaise. Elle s'assit sans ménagement sur Stan, tandis que Christiane finissait à peine de m'installer. La grande gamine se pencha un peu arrière, leva et écarta ses grosses jambes en posant ses pieds sur les épaules de Christiane qui était à genoux devant la chaise. Ainsi tout le monde, à commencer par moi, put profiter du spectacle terrifiant de voir la tête de Stan en direct sous son gros anus. Son trou s'ouvrit démesurément, et s'anima de terribles secousses qui ébranlèrent la tête de mon frère de la plus abominable manière. Il lui fallut subir en direct le fracas assourdissant de cette brise anale, et ne plus respirer que la puanteur humiliante déversée de force sur lui. J'étais bien placé aussi pour subir cette vague infâme de méthane et ?ufs pourris, mais oubliant ma propre douleur je goûtais cependant au plaisir de regarder l'expression enragée de Stan contraint de subir ce qui était pour lui la pire des humiliations. D'ailleurs ses vociférations n'échappèrent pas Valérie. Oh ! Désolée petit monsieur, je ne me rappelais plus que vous étiez là, lui dit-elle pour le ridiculiser totalement, et ce faisant, elle s'attarda sur lui, jouant de son anus visqueux sur sa tête qu'il essayait de dégager en vain. Et tandis que mon frère redoublait d'injures, la grosse gamine le réduisit au silence sous un second pet, bien gras, bien puant, des plus dégradant. Oh ! je suis vraiment désolée, voilà que ça me reprend ! Mais quelle étrange idée avez-vous eu petit monsieur de vous installer à cet endroit ! Toutes rigolaient à sa tordre des moqueries de Valérie à l'encontre de mon frère outragé et révolté. A mon tour ! fit Yasmina qui remplaça rapidement Valérie sur la chaise. Stan se remettait à peine de sa première peine, qu'il se retrouvait déjà sous un autre anus. La belle Arabe prit la même position que Valérie, mettant elle aussi ses pieds sur les épaules de Christiane, puis déversa sur Stan un monstrueux pet, qui lui fit courber la tête et lui arracha une terrible grimace de colère. Je profitais de cette nouvelle occasion pour me rincer l'?il de la fantastique chatte de Yasmina qui me surplombait, mon épaule douloureuse se complétant d'une autre douleur, elle bien plus agréable. Monique, Christiane et même Lara s'essayèrent à cet exercice utilisant ainsi Stan pour stimuler leur anus et goûter au ravissement de péter et souiller un petit être vivant et vulnérable. J'ai encore envie ! fit Valérie. Celle là était vraiment infatigable ; Et voilà qu'elle se rasseyait, reposant un de ses pieds puants sur l'épaule de Christiane, et jouant à lui faire sentir l'autre et le lui collant contre le visage. Ainsi Stan dut subir un autre pet, une humiliation de plus, la plus dégradante à supporter, notamment parce que Valérie était bien plus jeune que nous. En plus ce pet sentait vraiment la merde toute proche, c'en était effrayant, et Stan fit l'erreur de pencher sa tête en arrière comme pour guetter un étron qui allait venir. Du coup, il se retrouva coincé dans cette position lorsque l'anus se re contracta, et ses cris de rages se retrouvèrent un peu étouffés. Tout le monde s'amusait follement de la fureur de mon frère ainsi ridiculisé, et plus il s'énervait, plus Valérie prenait plaisir à anéantir sa fierté. Elle abandonna le ton précieux et moqueur, contre un autre beaucoup plus blessant : Qu'est-ce qu-il a le petit nain, il est pas content ? fit Valérie en gloussant de plaisir. Stan était toujours coincé la tête en arrière, son visage écrasé sous l'anus humide et pestilentiel de la gamine, ses efforts pour se dégager et ses hurlements étouffés devenant de plus en plus pathétiques. Léches mon cul qui pue, pauvre nain ! lui fit-elle en réponse à ses braillements indistincts. Hhhuummmppfff.va t-en salope...salope.sale petite sa.. Pouvait-on entendre d'en dessous l'anus de Valérie. La méchante gamine lui répondit par un horrible pet, dont le bruit abjecte couvrit complètement les insultes enragées de mon frère. Elle lui péta dessus sans bouger son fessier d'un millimètre, laissant la pression du gaz abominable se jouer du petit bouchon que constituait sa tête. J'étais toujours dans le trou voisin, à 5 centimètres de Stan, dont les jambes cognaient furieusement contre les miennes, je pus voir en très gros plan son visage déformé par la haine d'être contraint à tant d'humiliation, je pus voir le sphincter s'ouvrir à nouveau et déverser avec joie son lot de gaz chargés de suintements annonciateurs de quelque chose d'horrible à venir. Cela sortait et se répandait sur Stan, et tandis que ça sortait toujours, Stan, lui, pénétrais de force dans l'ouverture béante qui l'accueillait. Le jeu devenait de plus en plus crade. Valérie jouissait de la pire façon, accompagnant les contractions et les dilatations de son cul par des «  Aaahhh » de pure jubilation. Christiane devenait hystérique, et comme Yasmina et Monique, elle en réclamait. Toujours en très gros plan, je ne loupais pas une miette de ce spectacle indescriptible, qui m'excitait comme je ne l'avais jamais été, ne me lassant pas de voir la tête de mon frère de plus en plus enragé coulisser dans le cul de la grosse gamine au gré de ses mouvements de sphincter. Ca avait déjà pas mal suinté ; des matières plus ou moins liquides, Stan en était couvert et imprégné, et cela facilitait d'autant plus le glissement de sa tête dans le cul de la grosse gamine. Eh le nain, si tu me lèches pas humblement, je vais t'emmerder ! fit-elle en partant d'un grand éclat de rire. Oh oui vas-y, emmerdes-le Valérie ! implora Christiane qui n'y tenait plus. Ouais je sens que ça vient ! Eh le nain je vais te chier dessus si ça te dérange pas ! ajouta Valérie avec un gloussement à vous faire frissonner. La dessus il y eu un autre pet horrible qui agita en tous sens la tête de Stan, nous l'entendîmes tous hurler de rage, tout en s'étouffant et en toussant, tandis que toutes se re tordaient de rire. Jamais je lécherai ton sale cul..Sale..Salope.Sale petite salope.. Hhhuummmppfff..Jamais je.. Mon frère fulminait de plus en plus lorsque l'anus s'ouvrit bien plus et une avalanche de matières marron et visqueuses giclèrent et le recouvrirent pendant plusieurs secondes. Il venait de toucher le fond de l'abaissement le plus pitoyable, il était toujours prisonnier dans le cul de cette gamine qui lui chiait carrément dessus, jouissant de son honneur complètement annihilé. Alors on t'entend plus ! Eh le nain tu dis plus rien ? Valérie prenait vraiment son pied. Stan se débattait comme il pouvait dans cette souillure abominable, sa tête toujours dépendante de cet anus qui ne cessait de jouer à l'étreindre de plus en plus puissamment, puis il y eu comme un silence, et alors tous la virent s'affaisser lentement, tandis que l'anus s'ouvrait démesurément. Ciel ! Valérie commençait à chier pour de vrai ; Sans même délester une de ses fesses, elle expulsait lentement un énorme étron qui progressivement tassait mon frère au fond de son siège. Je levais la tête pour voir le visage de Valérie, elle ne pouvait pas faire ça ! Mais mon champ de vision était bouché par son énorme chatte qui me surplombait ; D'ailleurs au moment où je levais la tête, son sexe s'entrouvrait et je restais figé par la surprise de recevoir en plein sur le visage un filet d'urine chaude et puante. Je baissais vivement la tête continuant de recevoir quelques grosses goûtes. L'étron continuait de sortir, inexorablement, la tête de Stan été penchée de force en arrière, son visage était encastré dans la merde dense qui s'était quand même répandue jusque sur ses épaules. Sans forcer, Valérie était simplement entrain de l'écrabouiller sous son excrément compact. Stan étant attaché sur son siège centré sous le trou, il dut subir la pression colossale et s'effacer sous l'expulsion de l'étron de Valérie. Son cou craqua quand sa tête dépassa l'angle maximum d'inclinaison vers l'arrière, puis l'ensemble de sa poitrine et de son dos émirent une horrible série de craquements, révélateurs de multiples fractures de sa cage thoracique et sa colonne vertébrale. Valérie poussa un long « Aaahhh » de pure satisfaction lorsqu'elle perçut l'écrasement de Stan sous sa merde, toutes les autres retenaient leur respiration devant ce spectacle effroyable et hallucinant. Le corps de Stan avait disparu sous le trou, l'étron continuait de sortir et de l'écraser. Il y eut une autre série de craquements, plus ou moins étouffés sous la masse de la merde, sans doute son bassin venait-il de s'aplatir à son tour, tandis que l'excrément commençait à se répandre autour du corps écrabouillé de mon frère. Enfin cela cessa, l'anus gigantesque se referma, laissant une énorme masse marron à la place de Stan qui gisait quelque part dessous. Valérie se leva, contente d'elle. Ben ! On le voit plus ! fit-elle amusée, tu es emmerdé le nain ? Qui m'essuie maintenant ? demanda t-elle en se tournant vers Anna qui n'osait regarder tout ça depuis la table basse où elle était restée. La gamine s'en saisit puis elle revint vers la chaise ; Elle se mit au- dessus de Christiane qui, assise par terre devant la chaise, regardait l'excrément de Valérie sous lequel gisait toujours mon frère. Alors Valérie posa un pied sur l'épaule de Christiane et commença à se torcher avec ma s?ur, elle avait calé son cul juste au-dessus de la tête de Christiane, qui regardait cela comme une folle en gémissant. Valérie prit son temps et fit aller et venir ma s?ur profondément dans sa raie sans se soucier de ses pleurs, elle utilisa toute la surface du corps d'Anna pour décrasser son cul, et prit sa petite tête en dernier pour finir de nettoyer son anus. Après cela, avec un grand sourire elle donna ma s?ur à Christiane, qui constata que la pauvre était couverte de restes de matières marron des plus puantes, puis se produisit quelque chose d'inattendu, révélateur du nouveau rapport de force qui s'était modifié en faveur de Valérie. Celle-ci attrapa la tête de Christiane par les cheveux, et elle lui colla carrément sa raie sur le visage et finit de s'essuyer avec, puis elle leva une jambe et sans libérer Christiane elle lui envoya en direct dans les sinus un bon pet, accompagné des dernières matières fécales restées dans son colon. Valérie la lâcha enfin, et la laissa s'affaler sur la moquette et se mettre à chialer de honte. La belle adolescente triomphante la regardait de toute sa hauteur, elle choisit de regagner le canapé, mais comme Christiane était sur son chemin, elle marcha sur elle, écrasant un de ses gros seins sous son pied nu, et arrachant de la pauvre Christiane un cri de douleur qui se termina en sanglots. Valérie se vautra sur le canapé après avoir remis sa culotte et son sweat. Monique apporte moi l'autre nain, je veux pas dormir toute seule, demanda t- elle comme un ordre, puis elle se fit apporter une couverture et un coussin. La gamine me fit un gros baiser, et me glissa dans sa culotte, ma tête atterrissant dans sa raie, pile à l'endroit la plus odorant. Bonne nuit lèche-cul, t'as toute la nuit pour finir de me laver ! Vu les dommages qu'elle m'avait infligé, je fus bien contraint de rester dans cette difficile position, et tandis qu'elle dormait déjà, je pris mon parti de cohabiter toute la nuit avec son trou odorant, lui prodiguant de temps à autre quelques respectueux coup de langue. Le réveil fut douloureux pour les unes, heureux pour les autres. A commencer par moi-même qui fut joyeusement tiré des limbes par un coup de tonnerre anal, en provenance direct du ventre de ma nouvelle déesse, je veux parler de Valérie. J'avais dormi toute la nuit la tête coincée dans sa raie, et jusqu'au petit matin mon visage n'avait pas quitté son orifice odorant et moite. D'ailleurs pour la remercier de cette première gâterie de la journée je m'appliquais à lui lécher l'anus, en appuyant bien avec ma petite langue, et je fus récompensé : Aaahhh ! petit lèche-cul est à l'?uvre dés la matin, j'aime bien. Je devinais que ma s?ur avait passé la nuit dans la culotte de Yasmina, qui commentait à son tour son présent plaisir. Moi aussi, ma petite amie s'occupe déjà de moi, je te dis pas comment je suis entrain de la mouiller ! répondit-elle à Valérie. A côté de cela il y avait de la tension dans l'air ; Christiane en avait après tout le monde, enfin surtout après Lara et Monique, pourtant peu impliquées dans les horreurs de la veille. C'est qu'il fallait nettoyer, et évacuer ce qui devait l'être, un vrai cauchemar. Bref, il n'y eut de petit déjeuner pour personne et toutes furent priées de partir, y compris Lara. Nous nous retrouvions donc Anna et moi, seuls avec Christiane, affligée par ce bilan attristant. Christiane ne nous toucha plus, du moins pour assouvir ses petits plaisirs, jusqu'à ce jour où débarquèrent chez nous de vieilles connaissances. Quelle ne fut pas notre surprise en effet de revoir nos ravisseurs du cirque russe, ce couple qui nous avait enlevé à l'enfer du cirque aux monstres, pour ensuite se faire confisquer nos petites personne à peine arrivé à Orly. Que venaient-ils donc faire chez Christiane ? Nous ne le sûmes jamais vraiment ; toujours est-il que notre maîtresse nous laissa aux soins de ce couple de scientifiques. Je dis « scientifiques » car nous fûmes installés dans une sorte d'impressionnant laboratoire, et je crus comprendre que l'on s'appliqua à trouver la raison génétique de notre petite taille. Peu après il y eut une cassure dans ma propre histoire, quelque chose d'incompréhensible pour mon esprit simple, qui me fut tant bien que mal expliqué : On avait reproduit plein de frères à mon image, on les avait fait « pousser » bien plus vite que la nature le fait elle-même, et paraît-il qu'on en avait fait à plusieurs échelles différentes (du ½ au 1/50ème) ; Mais le plus dur à admettre est pour moi-même : Je n'étais plus moi, mais l'un de mes frères ! J'étais Igor 2 en quelques sortes, Igor « 1 » n'ayant pas survécu à ses fractures. C'est vrai que mon épaule et mon cou étaient intacts. Je demandais à voir mes frères, mais cela me fut refusé, tout juste puis-je en deviner les formes à travers les hublots d'armoires à congélation de diverses tailles, correspondant aux différentes échelles des autres Igor. Tout ceci était troublant, voir irrationnel, mais je n'eus pas d'autre choix que de l'admettre. C'est Christiane qui me récupéra peu après ma « seconde naissance » et qui m'expliqua qu'elle avait passé un marché avec les gens du labo : En échange de mon premier « moi » qu'elle leur avait donné à fin d'analyses et expériences, elle demandait une part des autres copies de moi-même qu'on appelait aussi des clowns ou quelque chose comme ça. Mon petit lèche-cul de retour enfin ! Valérie était chez Christiane. Christiane, je le compris bien vite, était devenue complètement soumise à cette éternelle grosse gamine qui s'était invitée de façon permanente chez elle. On m'expliqua qu'il s'était passé presque 2 ans depuis cette fameuse soirée, en effet Valérie avait un peu changé ; elle devait avoir dans les 18ans à présent. Elle était toujours aussi belle, mais d'une beauté naturelle et cachée derrière un look destroy effrayant, complété d'un aspect crade et négligé, à l'image de son jean élimé, sale et déchiré. Elle était vautrée dans le canapé, mâchouillant un chewing-gum, elle laissa tomber une de ses jambes du canapé, jusqu'à ce que son pied se pose sur la moquette. Déchausses moi la vieille ! fit-elle à Christiane (qui devait avoir à peine 40ans). Et cette dernière de s'activer sans protester et d'enlever presque avec adoration la vieille tennis pourrie du pied de Valérie. C'est bon, tu dégages maintenant ! lui fit-elle, en la poussant du bout du pied. J'avais été déposé près de son pied, et bien que distant de 50 centimètres environ j'étais déjà submergé par sa divine odeur de transpiration ; Comme il était beau, comme il était terrifiant, avec ses longs orteils que je devinais impatients de m'imprégner de leur puanteur envoûtante. De moi-même, je m'en approchais et me mis sans attendre à baiser son petit orteil à l'ongle atrophié. Puis je glissais mon nez entre celui-ci et son voisin, pris une longue inspiration, et passa ainsi de suite de doigts de pied en doigts de pied jusqu'à son gros orteil à l'ongle toujours aussi long, et effrayant. Valérie eut la gentillesse de lever légèrement son pied, et je pus ainsi glisser ma tête sous son grand second orteil qu'elle reposa sur moi sans m'écraser. Quel bonheur ! Je déposais de minuscules baisers d'adoration sous son doigt de pied si moite, je m'enivrais de l'énorme odeur ambiante, me régalait de ce point de vue privilégié, dévorant du regard chaque détail de la face inférieure des longs orteils, le pli à la jointure des phalanges, dont les muscles pouvaient me broyer sans forcer, les petites particules de crasse incrustées dans les pores humides de cette transpiration si odorante.Hhhhuummmhhhhh quel bonheur, quelle douloureuse excitation. Autant cette fille sans inhibition méprisait Christiane, autant elle semblait m'apprécier. Ainsi quitta t-elle son jean, puis elle m'approcha entre ses cuisses, jusqu'à sa culotte. Oh la la, quelle culotte ! Une culotte en coton blanc, portée depuis plusieurs jours assurément, aux fortes senteurs complexes, et contre laquelle Valérie me frottait doucement le visage. Regardes la l'autre, me fit-elle parlant de Christiane, regardes comme elle aimerait bien être à ta place ! Christiane n'en perdait pas une miette en effet, bien qu'étant restée à distance respectueuse du canapé. Valérie continua de se caresser ainsi avec moi à travers le tissu de sa culotte encore quelques minutes. Puis elle la quitta, et m'introduisit sans préliminaires la tête entre ses jeunes lèvres. Territoire réservé à mon petit lécheur ! ajouta t-elle probablement en narguant la pauvre Christiane qui en gémissait. En attendant j'étais au paradis ! Le paradis des odeurs ; Un jeune clitoris déjà humide m'était offert, je me mis à le lécher sans attendre, amassant au passage quelques restes d'urine, de cette divine pluie dorée dont Valérie m'avait gratifié dans une autre vie. Je respirais tout cela à plein poumons, cette odeur d'urine, mêlée à d'autres odeurs de transpiration et de secrétions non évacuées, c'était crade, c'était dense, je m'en imprégnais du mieux que je pouvais. Valérie me défit de mon pantalon, elle avait deviné ma petite érection, cela sembla l'amuser. Elle me pressa le pénis d'un doigt, tout en amplifiant la pression de son clitoris contre mon visage. Le sérieux allait commencer ! En fait elle changea d'idée et décida de me glisser la tête à l'entrée de son vagin, puis jusqu'aux épaules et elle s'arrangea pour que ma petite queue en érection touche son clitoris. Alors je devins fou d'excitation, j'avais tout pour mourir de plaisir, un moment de pur bonheur en vue ; je fus comblé. Valérie réussit à se masturber de tout mon corps dans son jeune sexe serré, tout en me faisant une masturbation géante de mon sexe contre son clitoris. C'était fabuleux. Je baignais dans ses fluides, elle mouillait, tant elle-même devait jouir du contact appuyé de ma petite queue dure contre son gros clitoris, tant elle devait apprécier mes gestes frénétiques qu'elle réprimait à volonté d'une contraction, tant elle devait savourer le plaisir de me savoir à moitié noyé dans ses secrétions odorantes. Je donnais volontiers de puissant coups de bassin pour écraser mon petit pénis raidi contre son clitoris durci lui aussi, nous oeuvrions en harmonie, chacun à sa manière. Ca devenait sérieux pour Valérie, sans précautions, elle amplifia méchamment sa pression de mon bas-ventre contre son clitoris, tout en me faisant coulisser de plus en plus furieusement. Ses contractions aussi se firent de plus en plus puissantes, elle m'écrasa plusieurs fois la poitrine, me faisant complètement expirer de force, elle me noya carrément, j'allais exploser de plaisir, tant son clito m'écrasait le sexe ; Je devenais fou, c'était trop intense, la puanteur de ses fluides, la puissance de ses étreintes répétées, ma queue écrasée contre son clito, je fis une terrible ruade de tout mon corps, et c'est Valérie qui devint folle. Elle poussa un cri de jouissance effrayant, et comme une réponse à mon puissant soubresaut, elle m'écrasa littéralement le visage au fond de son vagin, et suivi une terrible étreinte qui eut raison de ma poitrine et de mes épaules sans me laisser la moindre chance de lutter. Valérie poussa un autre cri, comme un hurlement de folie, et au moment où je lâchais moi-même ma semence elle me broya complètement non sans me submerger d'une vague de liquide épais. Elle poussa un long râle de satisfaction, puis elle me rejeta. Je respirais encore, mais avec terriblement de peine, par petits coups ;. Je souffrais de multiples fractures des épaules et des côtes, j'étais foutu. Je me vis passer furtivement sous le nez de Christiane, puis j'atterris sur la moquette, allongé sur le dos, entre les pieds de Valérie. Tu m'as bien contenté petit lécheur no 2, j'adore toujours sentir les petits os se briser en moi, ou son mon pied. Ainsi elle amena son pied sur moi, et me laissa le sniffer un peu, comme un ultime cadeau, puis son talon m'écrasa les 2 jambes, tandis que l'avant de son pied réduisait ma poitrine à rien du tout. Elle épargna ma tête, enfin je crois. C'est à partir de ce petit cadavre écrabouillé qu'on élabora petit lécheur no 3, détenteur à présent du vécu des petits lécheurs no 1 et 2. Il fallait paraît-il que le cerveau soit épargné et rapidement récupéré pour que la mémoire puisse être réutilisée par un autre clone. Il me fallut admettre que j'étais Igor no 3. Pourtant j'avais bien en mémoire mon histoire propre, de la petite enfance en Ukraine, à l'impitoyable Valérie qui m'avait aplati sous son divin pied comme un cafard, en passant par toute la période du foyer et ce douloureux souvenir d'une soirée follement cruelle chez Christiane. Il me fallut admettre que j'étais mort 2 fois déjà, en fait je me rappelais surtout de la seconde fois. Tout cela n'était pas évident à assimiler, pas plus que ma taille : Echelle 1/50ème m'a t-on confirmé au laboratoire avant que Christiane à présent absolument gigantesque vienne m'y chercher. Valérie squattais toujours l'appartement de Christiane, elle attendait sa nouvelle poupée de pied ferme. De pied ferme et de pied toujours aussi odorant. Et cette fois-ci je ne mesurais plus que 3,5 cm, et lorsqu'elle m'accueillit entre ses orteils et remit sa vieille tennis, mon corps minuscule n'eut pas trop de problèmes pour se trouver une petite place sous les longs doigts pieds de la belle Valérie. Est-ce bien utile que je précise cette chance inouïe, l'inespérée réalisation d'un fantasme absolu, bref un cadeau sans prix. Je me retrouvais invité sous les plus beaux et les plus merveilleusement odorants orteils du monde, invité à collecter comme une offrande sacrée leur précieuse transpiration si naturellement parfumée, invité à subir tous leurs caprices et jeux cruels. S'il existe un paradis des fétichistes des pieds, j'y étais assurément. Je choisis de me tourner sur le ventre et de prendre d'abord le temps de humer avec vénération la semelle de ce sanctuaire. Ici s'était déposé, depuis au moins 3 ans que je ne connaissais que ces vieilles tennis aux pieds de ma déesse, une énorme quantité de la précieuse moiteur secrétée par ses orteils terrifiants, ses orteils qui pouvaient m'écraser comme une fourmi. Je m'étourdissait des puissantes émanations de la semelle imbibée, pour la garder intacte, je n'osais la baiser ! Je tentais de me mettre à 4 pattes pour évaluer mon espace disponible, mon dos butta sous le second orteil, que Valérie étendit sur moi pour gentiment me remettre à ma place. Le tissu usé de la chaussure laissait passer quelques fragments de lumière, c'était suffisant pour apprécier la beauté du lieu, pour joindre aux plaisirs de sentir et toucher, le plaisir de contempler. Je me remis sur le dos, et c'est à cet instant que Valérie se mit à marcher. Alors je pus vivre l'expérience unique de vivre de l'intérieur le terrifiant mouvement de ses doigts de pieds écrasant leur semelle à chaque pas, sans qu'ils ne se soucient le moins du monde de mon existence si précaire, tout simplement Valérie choisit de me laisser vivre encore un peu sous ses orteils. Je suis sur qu'elle dut même apprécier le contacts de mes petites mains sous ses doigts de pieds, lorsqu'à chaque pas les terribles secousses et variations de volume disponible, m'obligeait à me cramponner comme je pouvais. Valérie me libéra bien trop tôt à mon goût. Elle semblait déçue : - Finalement je trouve que c'est trop petit comme réduction, fit-elle à Christiane. Celle-ci à plat ventre sur la moquette, face à moi et au pied nu de Valérie, implorait du regard la jeune fille de ne pas m'écraser tout de suite. Mais cette dernière ne voyait pas l'intérêt de continuer de jouer avec une si petite créature. Elle positionna son second orteil au-dessus de moi, alors que j'étais à 4 pattes. Je vais voir si je ressens quelque chose en l'écrabouillant comme ça ! dit- elle froidement. Je me préparait ainsi à la conclusion de cette éphémère 3ème vie, à peu prés persuadé, qu'il y en aurait bien d'autres à venir. Valérie recroquevilla son long doigt de pied lentement comme pour goûter au plaisir de jouir des bris de chacun de mes os un à un. Mon cou et ma colonne vertébrale cédèrent en premier, alors que l'étreinte me pliait carrément en deux. Jusqu'au bout je demeurais excité par tant de puissance, tant de force, de domination, jusqu'au bout je jouis de mes propres fractures, de sentir mon corps anéanti par un seul doigt de pied. J'étais cassé de partout, mais encore accroché à la vie par un mince fil. Je gisais sur la moquette, ma poitrine presque entièrement écrasée contre mes jambes que je ne sentais plus. Malgré cette pitoyable agonie je pus voir la masse terrifiante du talon de Valérie se placer sur moi. Je garde l'image de sa divine cheville et de sa jambe qui allait m'achever. Je réussis même à profiter de l'odeur de ce talon précisément positionné de façon à épargner ma petite tête, et je le regardais rejoindre le sol avec une infinie lenteur, achevant de me broyer sans peine ; Oui je pus voir tout cela en spectateur, en jouir jusqu'à la dernière seconde. 2 Epilogue Il y eut bien d'autres Igor, et bien d'autres filles bourreau, et bien d'autres odeurs. Certains Igor ne purent sauver leur tête et ainsi leur vécu, si bien qu'ils se terminèrent comme des branches mortes Je dois être Igor no 27. 27 comme le nombre d'années qui me sépare du jour de ma naissance, enfin celle du premier Igor. Je continue de vivre avec Anna, ou plutôt avec une de ce ses s?urs clonées. Nous ne sommes plus qu'au labo à présent, nous participons à des travaux passionnants sur la micro mécanique. Et puis il y a ces deux jolies stagiaires au labo, Mélissa la métisse et Muriel une grosse fille blonde au si joli minois ; Elles sont amies dans la vie, et je sais qu'elles projètent de nous « emprunter » pour un week-end. Vos commentaires et idées m'intéressent, n'hésitez pas à m'écrire Hminus75@hotmail.com