Mémoires de Lilliputiens Partie 3 par Hminus 1 Retrouvailles Christiane semblait manquer d'inspiration, ses chaises percées l'avaient comblé pendant quelques semaines, mais voilà qu'elle se plaignait à Lara de n'être plus autant excitée qu'au début, lorsqu'elle nous installait dans nos petits trous et s'asseyait ainsi sur nous. Ce n'est pas pour autant que nous fument délaissés, loin de là ; La journée, lorsque Christiane était partie à son bureau et que nous demeurions seuls avec Lara, bien souvent elle se laissait baiser et sniffer ses adorables pieds moites par moi-même, tandis qu'Anna passait des heures entre ses grosses cuisses à lécher tendrement sa gigantesque chatte humide. Et le soir venu Christiane à son tour jouait avec ses petites poupées vivantes, qu'elle aimait souiller à sa manière ; Mais c'est comme si le c?ur n'y était plus. Alors il fut décidé d'apporter du nouveau. Lara proposa d'inviter Monique notre ancienne éducatrice, et Yasmina la grande maghrébine qui paraît-il se préparait à son tour au métier d'éducatrice. Christiane approuva gaiement cette idée, surtout lorsque Lara lui raconta certaines choses qui s'étaient passées au foyer entre nous, Monique et Yasmina. Ainsi débarquèrent-elles le vendredi soir d'après, manifestement réjouies de nous revoir. Anna et moi-même partagions ce plaisir, évidemment Stan et Natacha un peu moins, tant ils se doutaient que se serait une longue soirée de vilaines réjouissances qui s'annonçait ! Au premier coup de sonnette je m'étais laissé tomber au niveau 0, puis avait couru comme un fou jusqu'à la porte d'entrée, suivi de près par Anna ; s'agissait d'être là quand les belles se déchausseraient ! Monique n'avait pas changé, elle avait toujours son look d'intellectuelle paumée, avec ses longs cheveux noirs bouclés et ses petites lunettes rondes ; elle portait un t-shirt ample et un pantalon qui s'arrêtait à la moitié de ses puissants mollets restés blancs malgré l'été. Et elle avait à ses grands pieds des chaussures bateau bleu marine. Tandis qu'elle embrassait Lara et Christiane, Yasmina entra à son tour. La belle Arabe était habillée sport, t-shirt Nike, short et baskets dans lesquelles ses grands pieds mats étaient nus. Je ne compris pas tout de suite pourquoi on ne refermait pas la porte. Puis je vis une troisième personne attendant en retrait toujours sur le palier. Ciel ! c'était Valérie, la jeune Valérie qui avait écrasé Youri sous son terrifiant pied crade et puant ! Christiane aussi ne semblait pas au courant, mais au fur et à mesure que Monique lui chuchotait quelque chose à l'oreille concernant probablement Valérie, son visage s'éclairait franchement d'un large sourire. La grande gamine avait plus que jamais son air sauvage et indompté ; Qui avait pris l'initiative de la retrouver et de l'amener ? Cela n'était-il pas plutôt risqué ? J'entrevoyais qu'il s'agissait là d'un risque voulu par Monique, désireuse d'apporter quelque chose de fort à cette charmante soirée. Ainsi la porte se referma enfin derrière une Valérie plutôt sur la défensive, vêtue à son image, c'est à dire d'un sweater miteux, d'une jupe assez courte et très quelconque et des vieilles tennis qu'elle avait déjà au foyer. Son beau visage rond caché derrière une imposante tignasse blonde s'anima enfin lorsqu'elle nous aperçut au sol. Cependant Monique ne la laissa pas s'intéresser à nous tout de suite, il fallait faire d'abord les présentations. Yasmina et Valérie, commença t-elle, je vous présente Christiane, notre directrice, qui a eu la gentillesse de recueillir nos petits amis chez elle. Christiane, voici donc Yasmina une future éducatrice de talent !  ..et Valérie, à cause de qui nos petits lutins ont du être transférés ici ! Hum ! fit Christiane en s'approchant de Valérie pour l'embrasser, j'espère que tu ne vas pas faire un carnage ce soir ! Christiane avait dit cela en souriant, Valérie se décrispa un peu, puis elle se retourna pour nous surplomber et fit mine d'aplatir Anna sous sa tennis en imitant le rugissement d'un fauve enragé. Cela fit tomber la tension, nos cinq géantes rigolèrent devant nos mines terrifiées, puis Lara emmena Monique vers la chambre pour aller dénicher Stan et Natacha. Pendant ce temps Yasmina et Valérie restées dans l'entrée s'intéressèrent enfin à nous. La belle Arabe se déchaussait d'un pied tout en me regardant avec une expression provocante, lentement elle extirpait son puissant pied, tandis que Valérie s'était déjà saisie d'Anna. Tu me dis bonjour Igor ? me fit Yasmina tout en positionnant son immense pied au-dessus de moi. Tu me dis bonjour Anna ? fit Valérie à son tour, dont la main qui tenait Anna avait disparu entre ses cuisses sous sa jupe. Les deux filles rigolèrent de bon c?ur, et d'un coup Yasmina me terrassa sous son pied, je me retrouvais étalé sur la moquette et méchamment plaqué, mon visage encastré comme il se doit sous ses orteils. Allez, sniffe bien mon pied qui a transpiré toute la journée spécialement pour toi, fit-elle en commençant à me frictionner durement sous ses doigts de pieds prodigieusement puants. Elle ne t'a pas trop manqué ma grosse chatte puante ? demanda à son tour Valérie qui forçait déjà ma s?ur à s'imprégner de l'odeur probablement effrayante d'une culotte que j'imaginais négligée. Mais pour l'instant j'avais fort à faire, à savoir retrouver avec plaisir cet immense pied dont la moiteur si dense se répandait vite sur moi. Je me mis sans tarder à le renifler à m'en exploser les poumons, tout en déposant des dizaines de baisers d'adoration sous le second orteil qui m'écrasait le visage sans pitié. Yasmina me libéra rapidement, elle voulait à son tour dire bonjour à sa manière à Anna qu'elle récupéra de la main de Valérie. Celle-ci me surplomba à son tour. Mais c'est mon petit lèche-cul que je vois par terre à mes pieds, fit-elle avec cette expression inquiétante d'une gamine sans scrupule, prête à tuer juste pour s'amuser. Sais-tu faire aussi bien les pompes que ton frère ? Allez mets toi en position ! Un peu inquiet ,malgré que Christiane regardait tout cela avec un évident intérêt, je me mis en position pour faire des pompes, entre les deux pieds chaussés de Valérie. Je vis son talon gauche sortir de sa tennis, et perçus immédiatement une puissante odeur de pied, du genre qu'on n'oublie pas. Si c'était possible cela s'amplifia encore alors que la grande gamine positionnait son pied au-dessus de moi tandis que j'effectuais une extension. Le contact fut franc, de la position haute je me retrouvais instantanément et misérablement plaqué, les bras en croix, priant à voix haute pour ne pas me retrouver écrabouillé comme le fut Youri sous ce même pied. Alors lèche-cul ! y a un problème ? y sont où tes ptits muscles ? Ma tête s'était retrouvée encastrée de force entre le gros orteil et son voisin, en très gros plan j'avais l'extrémité crasseuse et puante de ce second doigt de pied qui m'écrasait la tempe, et dont l'ongle long me faisait horriblement souffrir. Souffrir et jouir, il faut le dire, j'avais une terrible érection, cette humiliation que Valérie m'infligeait m'excitait terriblement, pouvait-elle imaginer ô combien j'appréciais qu'elle me maltraite ainsi ? Je faisais la maximum pour essayer de remonter, sachant que c'était perdu d'avance, mais sachant surtout que cela devait l'exciter de sentir mes petits bras tenter l'impossible sous son pied puant. Et quelle puanteur délicieuse, ce pied si jeune et pourtant aussi grand que moi, exhalait une pestilence que Valérie savait irrespirable et cela renforçait son plaisir de m'humilier totalement. J'étais terrassé et imprégné de force ! Elle me laissa remonter peu à peu, millimètre par millimètre, presque jusqu'au maximum de l'extension de mes bras, puis elle me re plaqua dans la même position. Et juste après elle me retourna sur le dos, seulement avec son pied, puis me colla ses orteils sur le visage et commença à jouer avec ma tête en l'encastrant tour à tour entre chaque orteils. hum ça sent bon ! y a même à manger hein ! me fit-elle, m'écrasant le visage au fond de chaque interstice d'entre tous ses doigts de pied horriblement moites et crasseux. Allez lèches moi bien, là où c'est le plus odorant, oui comme ça ! faisait- elle, alors qu'avec bonheur je goûtais sans retenue la précieuse sueur puante de ses orteils sans pitié. Cela cessa malheureusement, Lara et Monique revenaient avec Natacha et Stan, il fut décidé que tout le monde allait s'installer au séjour, ce qui était effectivement plus commode que de rester dans l'entrée. Anna me raconta qu'elle avait retrouvé avec grand plaisir la chatte géante de Yasmina, je la croyais volontiers tant ses longs cheveux blonds étaient tout collés et dépeignés. On nous avait déposé tous quatre sur la table basse du salon, tandis que ces dames et demoiselles prenaient place ; Yasmina et Valérie dans le canapé, Monique s'étant adjugée un fauteuil, tandis que Christiane et Lara s'affairaient en cuisine. Je n'avais pas encore dit bonjour à ma façon à Monique, aussi profitai-je de ce temps mort pour sauter à terre et me dirigeai vers elle, enfin vers ses pieds. Elle ne s'était pas déchaussée, je décidai alors de me positionner entre ses pieds et la regardai fixement avec une expression exigeante ; mon ancienne éducatrice comprit vite mon souhait. Mon pauvre Igor ! je t'avais oublié fit-elle, tandis que je regardais à présent sa chaussure avec insistance. Elle me faisait sadiquement patienter, peu importe, je m'étais déjà dirigé vers sa cheville nue que je baisais goulûment. Je l'avais presque prise dans mes bras et y déposais 1000 baisers, sachant que le meilleur était à venir. Monique daigna enfin extirper son talon de sa timberland, je l'accueilli par une autre cascade de tendres baisers d'amour, suivant sa lente sortie de la chaussure. Enfin ça devenait excitant, je retrouvais les premières odeurs de mon adolescence, à l'identique de cette première fois où Monique avait imprégné mon lit en l'écrasant sous son pied nu. Par bonheur son pied avait divinement transpiré dans cette chaussure mal ventilée, elle me fit le plaisir de le poser à côté de sa chaussure, incliné en arrière si bien qu'elle me l'offrait entièrement, y compris la plante et le dessous de ses longs orteils. Ah. ses doigts de pieds, si grands, si généreux, aux ongles puissants et naturels, ses terribles doigts de pied pour lesquels je me serais fait bien plus petit encore, afin de passer ma vie sous eux. Je m'étais agenouillé dessous et les sniffait religieusement, ils étaient à moi tout seul. Puis je décidais de baiser leur face supérieure en finissant par leur ongle ; hum comme j'étais heureux et surtout douloureusement excité ; Monique se leva au-dessus de moi, tout en me basculant sur le dos du bout de son pied. Maintenant je vais t'écraser petit sniffeur, tu vas périr écrabouillé sous mon pied, et ton corps aplati sentira son odeur jusqu'à la fin des temps ! La dessus elle joignit le geste à la parole et elle commença effectivement à sérieusement m'écraser sous son terrible pied, tout en me malaxant méchamment la tête entre ses orteils surpuissants ; Enfin elle me libéra rapidement, et ça y étais j'avais retrouvé tous mes pieds adorés. Pendant ce temps Christiane et Lara était revenues au salon, elle finissaient de servir l'apéritif, quant à Yasmina, elle avait quitté le canapé pour s'asseoir sur une chaise percée dont elle commençait à percevoir l'utilité. Devant son expression des plus intéressée, Christiane la rejoignit. Ca te tenterait d'essayer, pas vrai ? avec Anna par exemple ? et Christiane récupéra ma petite s?ur qu'elle positionna dans le trou avant de la chaise. Allez ma belle, ajouta Christiane, écarte tes puissantes jambes que l'on voit tous notre petite Anna te contenter. Ma s?ur dépassait du trou de toute sa poitrine et sa tête ; Yasmina quittais sa culotte, elle se positionna précautionneusement au-dessus d'Anna et se laissa asseoir en écartant ses prodigieuses cuisses musclées. Sa chatte légèrement habillée de fins poils noirs s'entrebâilla un peu telle une plante carnivore et avec une lenteur infinie descendit autour de ma s?ur. C'était incroyablement érotique, ma jolie s?ur engloutie dans cette fabuleuse chatte, dont les grosses lèvres bien fermes semblaient vouloir l'avaler toute entière, cherchant à extirper son petit corps de poupée du trou pour la dévorer toute crue. Ma s?ur gigotait, jouait de ses mains et de sa bouche avec l'énorme clitoris de Yasmina ; Elle se frétillait comme un petit poisson pris au piège, et la jeune géante poussait de longs soupirs de plaisir ; puis elle contractait puissamment ses grosses lèvres, et ma s?ur se retrouvait soudain totalement immobilisée, ses frêles épaules forcées de se comprimer sous la force de l'étreinte incontrôlée. Yasmina eut son premier orgasme ; ce fut à la suite d'une terrible étreinte qui eu bien failli broyer ma s?ur, ses lèvres se relâchèrent complètement et un flot de liquide gluant se rua sur Anna, manquant de peu de la noyer. Yasmina avait poussé un long râle sauvage de pur plaisir, sa tête penchée en arrière nous dévoilait son puissant cou ; elle fermait les yeux de bonheur. Au plus grand plaisir de Christiane qui n'en loupait pas une miette, elle eut deux autres orgasmes tout aussi terrifiants, puis elle dut se résigner à libérer ma s?ur complètement épuisée et qui ne réagissait plus. La grande jeune fille se leva, puis posa un de ses grands pieds sur la chaise où était encore Anna, si bien que sa chatte s'entrouvrit et laissa couler un reste de secrétions. A la surprise générale, y compris celle de Yasmina elle-même, Christiane n'y tenant plus s'assit par terre sous elle et se mit à lui lécher avidement le sexe ; Sur que Christiane aurait bien aimé être à la place ma s?ur. Monique s'était à son tour dévêtue complètement, et follement excitée par cette scène torride, s'était dirigée vers Yasmina qu'elle se mis à embrasser sur la bouche, sans préambule. Elles se retrouvèrent toutes deux poitrine contre poitrine, et Christiane la directrice de la D.D.A.S.S, prise en sandwich sous leurs deux chattes. Voir Christiane, cette cadre dirigeante, coincée entre les fortes jambes de Monique et sous la chatte dégoulinante de la belle Arabe me donnait des frissons de plaisirs. Je ne loupais pas non plus le regard fasciné où perçait une pointe d'envie de Valérie, ni Lara qui se caressait dans le canapé avec Natacha. Enfin Monique se détacha de Yasmina, libérant ainsi Christiane ; J'essaierais bien le trou arrière, me fit-elle en me regardant ; Hein, qu'en penses-tu Igor ? ajouta t-elle avec un sourire bien vicieux. Et la-dessus Monique me prit dans sa main, et sans qu'il soit nécessaire de lui expliquer le maniement du mécanisme de la chaise, elle m'inséra parfaitement dans le logement prévu. Christiane était demeurée au sol, elle se mis à genoux et posa son menton sur l'assise de la chaise entre les genoux de Monique ; j'avais son large visage en face de moi, tandis qu'au-dessus le gros cul de Monique me tombait dessus. Ah.ses immenses fesses bien blanches qui contrastaient tant avec sa raie abondamment garnie de gros poils noirs, tout comme sa chatte presque camouflée derrière une épaisse forêt odorante. Mais l'orifice circulaire qui s'abattait sur moi me figeait de terreur ; Je l'avais déjà pratiqué, je me rappelais avoir cru mourir en lui, à la fois écrasé et étouffé. Un massage du cuir chevelu pour mon petit Igor ? Monique aussi avait le goût de l'humiliation totale. Avant de sombrer dans les ténèbres je regardais jusqu'au dernier moment l'immonde orifice couronnés d'horribles hémorroïdes puantes et visqueuses, puis les poils me touchèrent la tête et les épaules, mon air se satura complètement de senteurs anales des plus dégradantes, et enfin mon crâne senti peser très lourdement sur lui le muscle circulaire si chaud et humide. Je fus méchamment tassé dans mon petit siège, tandis que Monique finissait de s'asseoir, et ajustait parfaitement ma petite tête sous son anus. Alors le massage salement dit, commença effectivement, Monique relâcha le muscle circulaire de son cul et le bourrelet puant glissa autour de la ma tête, puis elle le re contracta et mon crâne fut à nouveau repoussé vers le bas, me tassant toujours plus dans mon trou. Elle joua ainsi en experte avec son anus de multiples fois, suçant littéralement ma tête avec son trou puant, me forçant à subir cette humiliation incroyablement avilissante sans aucun égard pour moi. Mais comment ne pas l'avouer, même si j'étais terrifié, subir cette expérience honteuse était un véritable bonheur ; c'était si puissant, si fort, si érotique. Ses gros poils noirs que j'avais en très gros plan devant les yeux, dansaient et me chatouillaient le visage au rythme lent des contractions de l'anus gigantesque, il y avait ce terrifiant bruit de sussions lorsque le sphincter se refermait et chassait ma tête, et cette pestilence dont chaque millimètre carré de ma peau était saturé. Ma pauvre tête semblait en effet avoir récupéré toute la moiteur puante présente dans sa raie. Mais le meilleur était à venir, Monique non contente de m'humilier ainsi en m'imprégnant de force de sa puanteur anale, se mit à me péter dessus. Il faut imaginer un petit homme de 25cm à peine, dont la tête de 2,5cm de diamètre est prisonnière sous un anus plus gros qu'elle. Il faut imaginer cette femme gigantesque qui jouit littéralement de sentir le petit souffle haletant de sa victime miniature sous son anus terrifiant. J'essayais de bouger ma tête de toute mes forces tellement la pression de la dernière contraction m'avait tordu le cou, et il est évident que mes mouvements, si dérisoires furent-ils, submergèrent de plaisir Monique, alors n'y tenant plus, elle se laissa aller et me fit subir le comble de la dégradation, elle me noya dans un pet des plus horribles, bien sonore, à en crever mes petits tympans sensibles, avec une puissante vibration qui me secoua la tête à m'en rompre le cou, et ce gaz chaud et irrespirable qu'elle m'insuffla de force dans tout le corps. Comme cela ne suffisait pas, ma tête pénétra à moitié dans son rectum, une horrible hémorroïde m'écrasa presque le nez lorsque tout cela se re contracta, et alors Monique eut un puissant frisson de jouissance qui eut pour effet de me secouer encore davantage comme une poupée désarticulée. Je l'entendis pousser un long soupir de pur plaisir. Je restais ainsi avec la tête prise dans cet étau circulaire et vivant pendant une éternité, cherchant de l'air molécule par molécule, jusqu'à ce que Monique me re pète dessus. J'étais tout occupé à inspirer un peu d'air lorsque cela arriva ; Mes petits poumons furent gonflés instantanément par la gigantesque flatulence. Ma tête avait beau faire bouchon dans le rectum, c'est une chance qu'elle ne fut pas fracassée par la puissance et la pression colossale de ce pet. L'anus de mon éducatrice s'était tellement ouvert que ma tête y pénétra toute seule, et sans un troisième pet, terrible et humide celui-là, je serai sûrement mort étouffé. Heureusement Monique s'était penché sur le côté, sinon mon expulsion brutale m'aurait brisé cou et colonne vertébrale. Le visage de Christiane était toujours là, devoir respirer les pets de Monique ne lui avait pas posé de problème apparemment, tant elle avait dû jouir du spectacle de me voir expulsé comme une merde de cet anus puant. J'haletais encore, la tête en arrière que Monique m'ordonna : Maintenant lèches moi bien petit Igor, comme tu sais si bien le faire ! Et Monique se rassit sur moi, cette fois avec mon visage écrasé sous son trou. Alors je me mis à la lécher comme un bon petit lécheur, amassant sur ma petite langue 1000 fragments de choses très odorantes, mais je dois dire que je pris plaisir à contenter cet anus qui frémissait de plaisir. Et Monique se remit à soupirer de plaisir, à véritablement jouir de mon petit travail sous son cul. Elle me gratifia encore d'un horrible pet, un pet assourdissant et bien gras, qui m'éclaboussa jusqu'aux épaules, mais je réussi à la lécher de plus bel pendant ce pet, luttant contre la pression suffocante, mon visage s'était introduit dans l'anus ouvert et j'ai carrément affolé Monique en continuant de la contenter humblement pendant qu'elle m'humiliait sans retenue. Elle poussa un véritable cri de jouissance, et alors qu'elle me lâchait une succession de pets de plus en plus gras et denses elle se mit à carrément se masturber l'anus avec ma pauvre petite tête, par de colossaux mouvements avants et arrières de son énorme fessier sans ce soucier le moins du monde de la fragilité de mon cou et de mon dos. Elle était devenue hystérique, elle se leva brutalement, ouvrit l'assise de la chaise, m'attrapa, et m'introduisit sans ménagement dans son sexe, tête la première ; j'eus juste le temps d'allonger mes bras en avant pour ne pas avoir les épaules arrachées. Et j'eus à peine le temps de regarder ses grandes lèvres pendantes et suintantes, que déjà ma tête pénétrais dans le monde effrayent de son vagin. L'horreur absolue m'y attendait, Monique qui me tenait fermement les chevilles dans sa main m'avait poussé sans que je puisse opposer la moindre résistance ; Je sentis les lèvres affamées de sa chatte glisser le long de mes cuisses et jusqu'aux genoux. J'essayais de me débattre comme un fou, mais cette caverne pestilentielle m'écrasait les épaules, et je ne pouvais que subir ce travail de godemiché. Mais main buttèrent contre quelque chose de palpitant et suintant, j'essayais de plus bel de me dégager donnant des coups au hasard avec mes petits bras quand Monique se mit à me faire subir des va et viens à un rythme hallucinant. Je toussais, hurler, suffoquais, me débattais, mais parmi les bruits horribles provoqués par les secrétions vaginales abondantes, je percevais nettement les cris de jouissance de Monique que je rendais folle de plaisir avec mes mouvements décuplés par la panique. Plus je me débattais, plus elle jouissait, plus le rythme s'accélérait, plus j'étais inondé et souillé, et plus je me débattais. Alors il y eu une terrible contraction qui manqua de me broyer tout entier, ma poitrine fut compressée à mort, je réussis à pousser un horrible cri de détresse dans ce cloaque épouvantable, et un flot de liquide gluant se précipita sur moi, et se répandit sans difficulté dans tout mon tube digestif en une fraction de seconde. Comment étais-je encore vivant ? Peut-être parce que malgré tout je participais volontiers à ce jeu terrifiant, plus j'avais été avili et plus j'avais pris mon pied, une force surnaturelle m'ayant préservé d'une mort certaine tant ce que j'avais subi était disproportionné par rapport à ma petite taille. Je sentis un long basculement vers l'arrière (ou l'avant ? J'étais plutôt désorienté), suivi d'un choc sourd, et seulement au bout d'une éternité Monique me sortit de son sexe, elle était allongée sur la moquette, jambes écartées, et ravie de me voir encore vivant et surtout exhibant une fière érection. L'apéritif fut une occasion de repos pour nous quatre, mais la discussion s'orienta principalement, sur les deux chaises percées ; Qui en profiterait pendant le repas ? Les plus âgées laissèrent finalement leur place aux plus jeunes, ainsi Yasmina et Valérie se réjouirent-elles d'avance aux délices qui les attendaient pour ce repas qui se préparait. Je me remettais à peine de mes émotions que la jeune Valérie me saisissait dans sa main et me portait à hauteur de son beau visage. Petit lèche-cul ! petit lèche-cul ! Qui va me lécher mon cul puant pendant qu'on mange ? Qui va bien va lécher pendant que je lui pèterai dessus ? C'est mon petit lèche-cul ! ajouta t-elle avec la plus sadique et la plus perverse des expressions. Là-dessus Valérie ouvrit grande sa bouche et m'introduisit la tête et la poitrine carrément dedans, puis ses incisives terrifiantes se refermèrent sur mon ventre, comme si elle allait m'arracher la partie supérieure du corps pour la mastiquer et l'engloutir. En fait elle se contenta de jouer sur ma poitrine et mon visage de sa grande langue, et me mouilla la tête de sa salive odorante tout en poussant des « hummm ». Enfin elle me ressortit en me suçant du bout des lèvres, elle rayonnait de plaisir, moi aussi. Je savais que ce qui m'attendait serait très fort, sur le plan physique assurément, mais l'humiliation sous cette jeune personne promettait d'être totale. Sans perdre de temps Valérie m'installa elle-même dans un trou arrière de l'une des chaises, laissant le trou avant inutilisé ; elle verrait bien plus tard pour celui-là. Je restais un certain temps à attendre que ces dames et demoiselles finissent leur apéritifs, puis les choses sérieuses s'annoncèrent. Tandis que Yasmina se dévêtissait, Valérie que personne n'avait encore vu nue se livrait à un strip-tease torride au rythme de la musique techno que Lara venait de mettre sur la chaîne. Elle quitta à nouveau ses vieilles tennis, elle attrapa Stan qu'elle coinça sous ses orteils gauches, puis fit de même sous ses longs doigts de pied droits avec Natacha, et tout en se trémoussant elle tomba son sweater, suivi de sa vieille jupe. Elle fit durer ensuite le plaisir en se caressant de la plus provocante façon à travers sa culotte en coton blanc (enfin plutôt blanc crade). Christiane et Monique gémissaient d'envie et applaudissaient, jusqu'à devenir folles lorsque la gamine s'empara d'Anna et qu'elle la fit glisser tête en bas dans sa culotte pour se caresser puissamment avec son corps gracile. Puis la culotte tomba à son tour, et avec un large sourire sans pitié, Valérie se dirigea vers sa chaise où je l'attendais, bien malgré moi. A vrai dire son jeune cul était moins terrifiant que celui de Monique. Son petit trou (enfin tout est relatif) faisait moins peur, il était plus lisse, mais à mesure qu'il fondait sur moi, je constatais qu'il était au moins aussi odorant. Valérie transpirait pas mal, et son anus sous lequel elle tardait à m'écraser secrétait une inquiétante moiteur puante, subjuguée par une négligence évidente de l'hygiène. Petit lécheur allait avoir du boulot -, pensais-je en moi-même ! Sans délicatesse la grosse gamine s'assit sur moi, heureusement j'avais eu le temps de bien mettre ma petite tête en position, inclinée vers l'arrière, de façon que mon visage épouse au mieux la rose marron. Le gros anus tomba pile au bon endroit, il m'écrasa uniformément la visage ; Puis il se détendit progressivement, il n'avait que trop superficiellement fait connaissance avec ma tête la première fois dans le bidet. Ce soir, il allait pouvoir prendre le temps de m'apprécier, de jouer longuement avec ma petite face, de goûter au plaisir d'un léchage d'orfèvre, puis viendrait le temps où sans aucune considération pour ma fierté, il me souillerait jusqu'aux os. Ainsi me mis-je au travail, déjà en proie à une folle excitation. Servir le cul de la terrible Valérie était au fond de moi un fantasme que je ne pensais pas réaliser un jour, alors, après qu'elle me fit cadeau de la puanteur délicieuse de ses pieds, je n'allais pas passer à côté de cette sublime occasion ; bref je sortis ma petite langue sans tarder ! J'étais plongé dans une moiteur torride et suffocante, respirant avec peine des miasmes indescriptibles, supportant difficilement une pression insoutenable, et c'est dans ces conditions extrêmes que je me mis à lécher avec amour le muscle circulaire de cette grosse gamine. Bien vite l'anus se mit à palpiter lentement de plaisir, s'entrouvrant à peine puis se re- contractant avec une force effrayante. C'est comme s'il essayait déjà de me happer pour m'écraser lentement la tête et jouir de ressentir le bris de mon crâne en lui. Je ne voulais pas y penser, mais Valérie en rêvait sans doute. En attendant je poursuivais ma besogne, essayant au mieux de ne pas lécher tout le temps le même endroit. A l'occasion d'une longue dilatation du sphincter je me risquais au centre de l'orifice, à l'endroit le plus sensible, et je fut récompensé par un petit soupir de satisfaction de ma gigantesque jeune maîtresse. Valérie écarta en grand son fessier pour accroître méchamment la pression sur ma tête, pour la forcer à pénétrer bien plus en elle, dans l'enfer de ses entrailles. Et les amplitudes du mouvement de son sphincter augmentèrent, j'étais à présent contraint de ne lécher que l'intérieur pestilentiel de l'anus avide, il fallait que j'anticipe les contractions, rentrer ma langue dans ma petite bouche dés que l'anus se refermait autour de ma tête et m'écrasait du menton au sommet du crâne. J'entendis alors un grondement au-dessus de moi, et compris que les choses sérieuses allaient venir ; Cela ne tarda pas en fait, Valérie gratifia son petit lécheur d'un premier pet, comme un petit coup d'essai, sec et presque propre, mais fort comme un coup de tonnerre. Il y en eu bien vite un second, qui loin de m'expulser, permit à l'anus de m'accueillir profondément en lui, dans cette position qui me terrifiait ; à présent j'y étais retenu, et si Valérie n'avait aucune pitié pour moi, si elle ne savait pas résister à la terrible tentation, elle allait s'offrir le plaisir diabolique de ressentir ma petite tête s'écraser comme une fragile coquille dans son sphincter visqueux et puant. Cependant, je fus provisoirement sauvé par un troisième pet. Valérie se laissa aller sur moi de la pire manière, elle y mit tout son c?ur, et en véritable perfectionniste de l'humiliation totale, elle me submergea d'un long pet sonore et atrocement puant qui restera longtemps gravé dans ma mémoire. Cela commença par une longue fuite silencieuse de gaz fétide autour de ma tête, puis une myriades de particules et matières liquides se répandirent sur moi, provoquant une lubrification suffisante pour laisser coulisser ma tête au-delà du sphincter, à l'entrée du colon. Je n'osais admettre cela. La fuite silencieuse se transformait à présent en terrifiantes vibrations, puis en convulsions spasmodiques, Valérie perdait le contrôle de son anus, et mon destin ne dépendait plus que de l'issue de ce pet sans fin. Mes épaules étaient en butée contre le muscle circulaire, elles étaient trop larges, quoiqu'en forçant un peu, Valérie pouvait me les écraser et me faire entrer tout entier dans ses entrailles. Le tonnerre cessa enfin, le sphincter se referma sur mon cou, m'étranglant provisoirement, et je me retrouvai dans un étrange monde, en direct avec les organes de ce si joli corps qui m'avait englouti. ; pour l'instant j'étais en apnée, prêtant une oreille inquiète aux bruits internes qui se produisaient au-dessus de ma tête. Valérie était en train de manger. Il y avait du couscous, avec des brochettes d'agneau, des merguez, de la semoule et des légumes évidemment, mais aussi beaucoup de pois chiches. Il me fallait trouver de l'air vite, et si ma géante n'avait pas daigné dilater un peu son sphincter dans les 5 secondes qui venaient, s'en aurait été fini du petit lécheur. Il me fallait la remercier, aussi me mis-je à la lécher de l'intérieur, son anus m'en fut reconnaissant et s'ouvrit plus fréquemment pour laisser passer un minimum d'air nécessaire à ma survie. Si Valérie n'était pas en train de mouiller du cul, cela y ressemblait en tout cas. Je me retrouvais progressivement trempé, et mon léchage assidu se transforma en lapées de ce suintement nauséabond. Elle était vraiment une experte diabolique, et elle jouissait de la pire façon de mon petit travail interne, en me noyant sans pitié dans une moiteur affreusement puante. Mon désir irréfléchi de me retrouver intégralement imprégné de force de sa puanteur anale, s'était accompli au-delà de toute imagination, et je dus rester de longues minutes à jouir de cette plus avilissante humiliation, à me convaincre que j'étais ici à ma place, là où les excréments de cette sauvageonne sans scrupule devaient être expulsés. Toute les bonnes choses ont malheureusement une fin ; sans prévenir, Valérie se leva, et pour ne pas m'arracher la tête, elle dilata son cul, ce qui n'empêcha pas qu'il y eut un bruit comique de bouchon de bouteille qu'on ouvre lorsque ma petite tête émergea à l'air libre ! La gamine me libéra et me présenta à Christiane qui me sniffa longuement, puis ce fut au tour de Monique, et cela l'excita follement. Le repas se terminait, on me lava sommairement, pour mieux me préparer à subir d'autres humiliations innommables. De retour dans le séjour, je constatais qu'il y avait 2 bouteilles de vin vide sur la table, plus une autre sérieusement entamée. Christiane était plutôt excitée, Monique tout autant, Lara riait beaucoup, quant à Yasmina et Valérie, elles rivalisaient d'idées terrifiantes pour pimenter cette soirée qui s'annonçait mal. Il fut décidé qu'on allait suivre la proposition de Valérie qui voulait nous faire jouer à une devinette très spéciale. On nous cacherait les yeux, et on allait nous forcer à renifler des odeurs qu'il faudrait identifier, faute de quoi un gage serait donné. Des petits rubans de tissus furent découpés hâtivement, on nous banda les yeux, mais j'eus la chance d'être affublé d'un morceau de tissu mal ajusté, qui me laisserait voir sans problème. Apparemment ce ne fut pas le cas de mes s?urs et frères qui titubaient vraiment comme des aveugles. Le jeu commença, c'est Stan qui eut la primeur, avec Yasmina qui lui fit sentir ses orteils. Euh.les pieds de Yasmina fit-il, mal assuré ; Ouf il n'avait pas perdu. Monique s'empara de Natacha à qui elle fit sentir son cul. Les fesses de Monique affirma ma s?ur, non sans une certaine appréhension dans le ton. Nos 5 géantes rigolèrent de cette expression de Natacha, où se devinait aisément la peur. Sur qu'elles avaient hâtes que l'un d'entre nous se trompe ; mais on ne savait toujours pas quels seraient nos gages. Lara attrapa Anna et la présenta à son jeune sexe ; C'était facile, ma jeune s?ur le connaissait par c?ur, elle répondit juste. Je vis ensuite la main gigantesque de Christiane me saisir, et m'emmener directement contre son gros anus bien odorant. Le divin trou du cul de Christiane, fis-je content de moi. A l'évidence ces premiers coups étaient faciles, c'était l'échauffement. Valérie se saisit alors de Natacha et la glissa dans sa bouche. La bouche de Valérie, fit ma s?ur après une interminable hésitation. Cette bonne réponse fut presque accueilli avec déception, la suite allait sûrement être plus dure. Alors Monique attrapa Stan et le coinça dans l'abondante pilosité odorante de l'une de ses aisselles. Stan hésita une éternité : - Le sexe de Yasmina, fit-il enfin. PERDU !!!!!! s'écrièrent en c?ur Valérie, Monique, Christiane et Yasmina Le gage ! le gage ! le gage ! reprirent-elles à l'unisson. C'était à Monique de décider, elle réfléchi un long moment. Faisons lui boire le reste de la bouteille de vin ! proposa t-elle enfin. Bonne idée reprit Christiane. On versa le reste de la bouteille dans un verre, cela le rempli quasiment, puis on fit tremper carrément mon frère tête la première dans le liquide rouge. Allez, bois ou tu meurs noyé ! lui fit Christiane qui débouchait une quatrième bouteille. Stan ouvrit la bouche, peut-être aspira t-il du vin, puis il se mit à tousser, à suffoquer sans pouvoir émerger vu qu'il était tenu par les pieds. On rigola de voir les petites bulles sortir de sa bouche, on le libéra enfin. Alors il était comment le bordeaux de Christiane ? lui demanda Monique. Stan haletait, son bandeau toujours ajusté sur son visage dégoulinant de vin. Bon, on continue, à qui le tour ? interrogea Christiane. Yasmina m'attrapa et me colla contre son anus. Même si je n'avais pu voir à travers mon bandeau, j'aurais trouvé la réponse, vu que des 5 personnes présentes, elle était la seule dont je ne connaissais pas le petit trou. Je dois dire au passage qu'il me tardait d'en refaire sa connaissance plus profondément ! Valérie attrapa Natacha et la colla dans sa jeune chatte. Ma s?ur toussa, ne répondit rien, puis se mit à pleurer. Je sais pas, fit-elle au bout d'une éternité ; elle craquait. Alors dit au hasard, fit Christiane. Euh. le sexe de Monique se risqua t-elle enfin Le gage ! Le gage ! Le gage ! Ma s?ur refondit en sanglots, c'en était trop pour elle. Quoiqu'il en soit, la pitié n'était pas au programme, en plus elle était tombée sur Valérie, la plus vicieuse, la plus perverse. Je vais lui faire redécouvrir ma chatte sous un autre angle ! annonça la grande gamine. Là dessus elle libéra Natacha de son bandeau et l'emmena vers la salle de bain, non sans avoir inviter le reste de l'assistance à la suivre. Nous fûmes aussi du voyage, la salle de bain fut vite pleine, on me déposa sur le bord du bidet au-dessus des robinets, et Valérie était assise au- dessus d'elle, entrain de scotcher ma s?ur de façon qu'elle ait les jambes liées et les bras maintenus le long du corps. Puis elle la déposa au fond du bidet et ferma la bonde. Voilà le gage ! fit Valérie. Il ne se passa rien pendant 2 ou 3 secondes, mais nous devinions, Natacha épouvantée, aussi. Le geyser d'urine chaude et puante arriva soudain, directement sur le visage de Natacha, et cela dura longtemps, la grosse adolescente devait avoir une bonne envie. Ma s?ur hurlait, toussait crachait, mais elle était toujours saucissonnée, et comme le bidet était bouché, elle se retrouva bientôt à baigner complètement dans l'urine écumante de Valérie qui s'était re positionnée de façon que les dernières gouttes tombent bien sur le visage de notre pauvre Natacha anéantie. Ah ! ça fait du bien de pisser ! Valérie était impitoyable, elle avait le don de l'humiliation absolue. Sans s'être essuyée elle se leva, vida le bidet, et noya presque ma s?ur en ouvrant le robinet d'eau froide pour la rincer. S'agit que tu sois propre petite Natacha.commença Valérie, qui se saisissait de ma s?ur sans la libérer de ses entraves. Pour mieux m'essuyer ! fini t-elle. Et sans prévenir Valérie introduisit ma s?ur dans son sexe, jusqu'au fond de son vagin, ne laissant dépasser d'elle que ses mollets et pieds que l'on vit s'agiter furieusement. Hum ! Oui continues de te débattre comme ça ! Oui ça me chauffe ! La grosse gamine avait lâché ma s?ur restée prisonnière dans cette terrifiante chatte, puis s'en retournait au salon nous laissant regarder le spectacle hallucinant des petits pieds de ma s?ur s'ébattre entre ses jeunes cuisses pendant qu'elle marchait. Valérie se vautra dans le canapé, ne se lassant pas du plaisir de sentir Natacha gigoter désespérément en elle. Elle avait levé et écarté ses belles grosses jambes, comme une invitation à regarder notre petite s?ur s'affoler dans sa chatte puant la pisse. Christiane ne résista pas au plaisir de rejoindre Valérie dans la canapé ; Elle se saisit des pieds de Natacha et commença à masturber Valérie en utilisant ma s?ur, en lui faisant faire d'infernaux va et viens. Les restes d'urine furent rapidement complétés de suintements vaginaux, les jambes de Natacha et les doigts de Christiane en étaient luisants ; Valérie souriait de plaisir. Cependant elle se mit à fixer Christiane droit dans les yeux puis lui colla un de ses pieds contre le visage et la repoussa vivement en arrière. Valérie voulait une autre partenaire, elle voulait Yasmina. La maghrébine ne se fit pas prier et comprit vite ce que Valérie désirait. Elle ressortit Natacha à moitié et en introduisit la partie inférieure dans son propre sexe, si bien que notre s?ur se retrouvait simultanément dans un double enfer. Les 2 chattes s'accouplèrent et se partagèrent la même petite poupée, et commença alors un jeu érotique des plus terrifiant, dans lequel Natacha avait totalement disparu. Valérie et Yasmina se trémoussaient l'une contre l'autre, chacune devant apprécier la panique accrue de notre s?ur. C'étaient effrayant à voir, les deux sexes géants se frottaient l'un contre l'autre, s'éloignaient et se recollaient pour mieux faire aller et venir le petit corps en elles. Valérie eut son orgasme la première, très rapidement suivie de Yasmina ; Les deux jeunes filles se déchaînèrent, leurs chattes se disputant leur proie comme deux fauves affamés et enragés. Le corps de Natacha fut soumis a de terrible contraintes, surtout lorsque les lèvres du sexe de Valérie se frottèrent puissamment contre celle de Yasmina. Et lorsque les deux filles explosèrent chacune à leur tour de plaisir, il y eut un horrible bruit me laissant craindre le pire. En attendant Yasmina s'était laissé tomber sur Valérie, elles s'embrassaient sur la bouche, elles se découvraient l'une l'autre. Puis Yasmina se leva, laissant les jambes de ma s?ur pendantes du sexe de Valérie. La gamine avait toujours son sourire à faire peur. C'était trop bon, j'ai joui au moment où je l'ai broyée dans mon vagin ! fit-elle sans remords Tu l'as tuée ? demandèrent Monique et Christiane ensemble. Ouais, je peux pas vous raconter la sensation que j'ai eu quand j'ai senti ses petits os céder dans mon vagin, j'ai du trop me contracter de plaisir ! C'était vraiment génial ! Dommage qu'on n'ait pas plein de poupées vivantes comme ça ! acheva t-elle Dommage en effet. fit Christiane qui ressortait Natacha du sexe de Valérie et qui la léchait Elle se délectait carrément du jus de Valérie, aucunement rancunière d'avoir été repoussée par elle. Sans doute rassasiée, elle laissa enfin carrément tomber le pauvre petit corps sans vie à ses pieds, et elle fit quelque chose d'horrible, qui a acheva de nous anéantir, elle posa son pied dessus, et tout en faisant un sourire de contentement, elle l'écrabouilla totalement, finissant par sa petite tête qu'elle broya entre ses gros orteils. Même Valérie fit un « Ouahhh ! ». La soirée n'en était pas terminée pour autant, seulement nous n'étions plus que 3. A Suivre. Hminus75@hotmail.com