Mémoires de Lilliputiens par Hminus Introduction Je m'appelle Igor, je suis d'origine ukrainienne, mon signe particulier : je ne mesure que 25cm. Actuellement j'ai encore un frère, Stan, et trois s?urs, Nikita, Natacha et Anna. Stan fait à peu prés la même taille que moi, Nikita fait environ 23cm, Natacha 22, et Anna la plus petite d'entre nous 19cm. Notre histoire remonte à 27 ans, en ce mois de Janvier glacial, notre pauvre mère aidée d'une voisine accouchait d'une vingtaine de bébés minuscules, tous pas plus grands qu'une boîte de cigarettes. La moitié ou presque moururent pendant ou juste après l'accouchement, tandis que notre mère sombrait dans une sorte de coma dont elle ne sortit jamais. C'est la voisine qui nous récupéra, nous n'avions pas de père, pas d'argent, et notre bourgade était loin de tout, surtout d'un hôpital. C'est un miracle que les 10 survivants d'entre nous ne trépassèrent pas dans les jours suivant. Avec un soulagement évident notre nourricière se débarrassa bien vite de nous, un docteur venu spécialement de Loutsk prés de la frontière polonaise, voulu bien nous emmener vers un centre d'orphelins. Les premières années de notre extraordinaire destin se passèrent donc dans ce foyer, jusqu'à notre 5ème anniversaire, peu après duquel un directeur de cirque qui nous avait découvert auparavant vînt nous négocier, et nous avons rejoint sa petite troupe. Entre temps quatre autres d'entre nous étaient morts de mauvaises maladies, qui laissaient chaque fois impuissants et désemparés les docteurs de la ville. Notre fascination pour ce nouveau monde qu'était le cirque tourna assez vite au cauchemar. En effet, on nous fît une grande cage en grillage et en verre, et nous avons été pendant prés de sept années, trimbalés de villages en villages, exposés à chaque fois à une multitude de badauds incrédules, et obligés de ne pas paraître trop terrifiés devant ces énormes visages qui nous dévoraient du regard, rêvant de nous posséder et de jouer avec nous. Nous étions de véritables poupées vivantes. Notre petit cirque acquit grâce à nous une certaine renommée, jusqu'à ce que nous soyons convié à nous représenter dans la capitale de l'union soviétique. C'est là qu'un couple de français, des scientifiques nous a t-on dit, imprimèrent à notre misérable existence un nouveau virage, tout simplement en nous enlevant de notre prison mobile et nous emmenant dans leur pays. Et voilà notre petit monde arrivant à l'aéroport d'Orly, qui se dévoila au regard interloqué de douaniers français, lesquels hésitaient concernant notre immigration sur le territoire français comme le souhaitaient nos kidnappeurs. Après de longues tractations, il fût décidé qu'un responsable de l'assistance publique nous prendrait en charge, pour nous placer dans un centre spécialisé. Notre cage de voyage habilement camouflée qui nous avait servi pour l'avion fût ainsi transportée jusqu'à un pavillon de la banlieue parisienne où nous sommes parvenus exténués le soir tard, et c'est le lendemain que nous découvrions que ce soit disant centre spécialisé n'était autre qu'un foyer de jeunes filles en échec scolaire, ou en rééducation. En fait, bien plus tard on nous avait expliqué que cette décision avait été prise pour éviter de nous laisser aux griffes des scientifiques qui auraient sans égards pour nous, mener à bien mille expérimentations et autres analyses, sans parler des débouchés que notre petite taille laissait envisager : travaux spécialisés, cinéma, etc.. 1 Le foyer Nous avions 12ans donc, en ce matin où nous nous éveillions dans une pièce vidée la veille à la hâte, de cette grande battisse, sous le regard émerveillé d'une géante, Monique. Monique était l'une des trois éducatrices de ce centre, elle avait dans les 30ans, elle était grande, sans doute 1m75, des longs cheveux bruns bouclés et un visage ni laid ni beau. C'est elle qui supervisa notre installation, avec des meubles bricolés à notre taille, qui nous apprit le français en très peu de temps, et qui s'assura que les autres pensionnaires du centre ne viennent pas nous importuner. Cela prit moins de six mois, au terme desquels notre vie avait pris son rythme de croisière. Nous avons rapidement fait connaissance des deux autres éducatrices : Ghislaine la blonde, mignonne, environ 25ans, 1m65 et Nadine une brune d'environ 30ans, 1m65 aussi mais moins jolie et féminine que Ghislaine. Et puis nous avons peu à peu découvert les pensionnaires du centre ; Que des filles, entre 12 et 17ans. Bien que les dispositions les plus strictes avaient été prises pour nous isoler et prévenir tout accident, il leur fût néanmoins possible de venir nous visiter, sous bonne escorte, séparément et pour des durées n'excédant pas 5 minutes. Lara a été la première introduite dans notre petit monde qu'était notre chambre de 15m2. C'était une adolescente de 15ans environ, plutôt typée vietnamienne, bien en chair et avec visage d'ange. Cela avait sûrement été une récompense pour elle, il lui fût même accordée de prendre Anna dans sa main. Notre petite s?ur (Qui avait le même age que nous, c'est à dire 13ans, mais qui ne mesurait que 16cm, alors que nous en faisions 20, Stan, Youri et moi) s'était même laissée prendre avec plaisir, sans même éprouver de vertige lorsque Lara l'avait portée jusqu'à la hauteur de son visage. Puis il y eu Yasmina, une maghrébine d'environ 16ans, grande et forte, avec un visage très typée arabe, plutôt belle, accompagnée de Malika une autre maghrébine de 12ans et Djamila une africaine de 16 ou 17ans plutôt grande et bien charpentée. Il y eut une dizaine d'autres filles, puis Valérie 12ans, un visage rond sous une belle chevelure blonde et Cindy 14ans belle et grande adolescente pour son age, furent les dernières qu'on nous présenta, notamment à cause de leur tempérament agressif et imprévisible, et Monique qui les accompagnait ce jour là prit bien soin d'empêcher les deux filles de nous toucher. 2 Premiers délices Les semaines passaient et nous parvenions doucement à la puberté. Moi même, j'étais de plus en plus troublé chaque fois que Monique ou Ghislaine venait dans notre chambre, c'était à dire au moins 2 fois par jour, Nadine qui était à mi-temps ne couchait jamais au foyer et venait moins souvent nous voir. Lorsque j'entendais notre porte se déverrouiller, je dévalais le petit escalier qui descendait jusqu'au plancher, et m'arrangeais pour être prés des pieds gigantesque de notre éducatrice qui pénétrais chez nous, pour ouvrir les volets, nous porter nos repas, etc. J'aimais sentir le plancher vibrer et craquer sous ses pas, j'aimais regarder les vieilles mules de Monique, son talon souvent nu, d'où s'échappait une délicieuse odeur, ou les espadrilles usées de Ghislaine, déformées par ses longs orteils que je devinais odorants aussi. Mes deux frères et trois s?urs rigolaient de mes stratagèmes pour admirer ces pieds colossaux, et me mettaient aussi en garde de ne pas me faire écraser. Anna, notre plus petite s?ur n'était pas non plus indifférente aux gigantesques corps de nos éducatrices ou ceux des pensionnaires, et nous l'avons plus d'une fois surprise à se frotter contre les chevilles de nos géantes ; Allait-elle devenir homosexuelle ? Pour améliorer notre confort, on recouvrit tout le plancher de notre pièce de lino, avec pour conséquence, et pour mon plus grand bonheur, l'obligation faite à nos visiteuses, éducatrices et pensionnaires, de se déchausser avant de pénétrer chez nous. Ce fût Monique, qui la première inaugura ce nouveau revêtement de notre sol, et pour bien montrer l'exemple à toutes, quitta ses vieilles mules avant d'entrer. Et à 14ans je connu ma première véritable érection lorsque je découvris ses fantastiques pieds nus, laissant d'imposantes traces de moiteur sur le lino vierge. J'étais comme hypnotisé, mes yeux affolés allant de ses grands orteils aux ongles natures, un peu négligés, jusqu'à son puissant talon sous lequel je m'imaginais périr écrabouillé en une fraction de seconde. Je respirais à pleins poumons l'odeur de transpiration que ces pieds effrayants exhalaient, et me voyais déjà la tête encastrée entre ses doigts de pied moites d'ou je voyais sans peine des petites particules de crasse. Après le départ de Monique je ne pus résister à l'envie de sniffer les traces gigantesques de ses pieds, n'ayant que faire des railleries de mes frères et s?urs. Le soir même je déménageais mon petit matelas, initialement installé sur un niveau intermédiaire aménagé à environ 60cm du sol ; Je le traînais donc en descendant le petit escalier qui menait jusqu'au plancher, et l'installa sous la fenêtre, à cet endroit où plusieurs fois par jour nos éducatrices venaient, soit pour ouvrir ou fermer nos volets, et aussi pour déposer ou récupérer nos plats servis au niveau supérieur. Même pas une heure plus tard, Monique entra à nouveau chez nous avec un plateau où notre repas du soir était disposé, et sans se douter de rien elle s'avança jusqu'à l'endroit que j'avais prévu. Ses énormes pieds qu'elle venait de déchausser avancèrent inexorablement vers ma couche, je me tins légèrement à l'écart, à genoux pour ne pas louper une miette de ce qui s'offrit à mon regard. Elle posa son pied gauche sur mon matelas, l'écrasa, et mon oreiller disparu totalement sous ses longs orteils. Je la vis surprise, elle ôta vivement son pied, mon matelas repris difficilement sa forme initiale, quant à mon oreiller, il resta quelques instants collé par la sueur sous les orteils de mon éducatrice, puis il retomba. Oups ! fit-elle, mais qui a mis son matelas ici ? Je m'avançais de dessous la table sous laquelle je m'étais réfugié, Monique me reconnut. Igor ! Mais tu es fou de mettre ton matelas directement sur le sol, tu vas te faire écraser ! Et elle le ramassa et le remis à sa place sur le niveau intermédiaire. Je protestais, gravis l'escalier, récupéra mon matelas et mon oreiller que je me mis à renifler profondément devant elle, et le redescendis à ses pieds. Ah je vois, monsieur aime respirer l'odeur des pieds des dames.hi hi.Ici tu vas être servi ! Et la dessus elle leva son pied gauche et le présenta sur ma tête, comme pour me forcer à le sentir. Je crus défaillir. Elle appuya un peu fort, je dus m'affaisser sur mes genoux, elle continua de s'amuser à ce petit jeu et me fit basculer en arrière sur mon matelas d'un simple mouvement de son gros orteil. Puis elle posa carrément son pied colossal sur moi, sa plante sur ma poitrine et ses doigts de pied délicieusement puants se posèrent sur ma tête, l'enfermant dans leur moiteur enivrante. Mon champ de vision ne fut plus que le dessous du gros orteil et de son voisin plus long, sous lequel mon visage s'encastra. De force je dus respirer l'air complètement saturé de sa transpiration, et ma peau fut contrainte de s'imprégner totalement de leur moiteur crasseuse et si odorante. Pour accélérer ce processus d'imprégnation, Monique se mit à me masser méchamment le visage en recroquevillant ses doigts de pied, puis en écrasant mon visage entre eux. - Alors ça sent bon ? me demanda t-elle avec un grand sourire moqueur. Elle venait de me libérer, je fis signe que oui de la tête, je me remettais à peine de ce pur moment de bonheur. Elle me récupéra dans sa main, puis m'amena jusqu'à son nez pour me humer. - hum mm. fit-elle en retroussant son nez, tu sens sacrément bon ! Allez, c'est l'heure de manger, bon appétit ! Monique nous laissa dîner, puis revint quelques instants plus tard. Nous avions fini, à mon plus grand plaisir, elle ne manqua pas d'écraser méchamment mon matelas sous son pied, écrabouillant littéralement mon oreiller entre ses terrifiants orteils avec un certain plaisir. Evidemment je ne tardais pas à me coucher, et je passais une nuit fantastique, à baigner dans l'odeur que les pieds de Monique avaient fortement transmis à mon lit, surtout à mon oreiller. C'est comme si celui-ci était resté coincé sous ses orteils toute une journée, tellement il exhalait l'odeur de ses pieds. Le tissu de la taie d'oreiller était presque aussi poisseux et moite que les propres doigts de pied de mon éducatrice, et c'est comme si j'avais dormi dans son collant ou une de ses chaussettes, à l'endroit des orteils. Je fus réveillé en sursaut le lendemain matin par Ghislaine qui venait nous sortir du lit. Heureusement j'avais repositionné mon lit sous la table prés de l'endroit ou venaient nos géantes pour ouvrir et fermer les volets. Ma première vision de cette nouvelle journée fut donc les pieds de Ghislaine, revêtus ce matin de socquettes blanches légèrement salies dessous. Elle fit deux pas en arrière pour me découvrir sous la table. Igor ? Ca va ? Alors c'est ta nouvelle chambre ici, au niveau de nos pieds hi..hi.. ! Ghislaine ouvrit les volets, puis servi le petit déjeuner au niveau supérieur. Comme d'habitude, nous fûmes ensuite amenés à la salle de bain pour notre toilette quotidienne et ramenés ensuite dans notre pièce. Les jours passaient ainsi, et j'appréciais tout particulièrement les fins de journée lorsque Monique, Ghislaine ou parfois Nadine venaient chez nous et qu'elles écrabouillaient mon lit sous leurs pieds odorants. Elles s'étaient passées le mot, et toutes les trois connaissaient à présent mon point faible. Des pieds, encore des pieds Les pensionnaires de confiance eurent bientôt le droit de venir nous voir, sans surveillance. Ainsi, une fin d'après-midi, nous eûmes la visite de Yasmina la grande maghrébine et une de ses copines, Djamila l'africaine, grande et forte elle aussi. Toutes deux dépassaient sans doute 1m70 voir 1m75 pour Yasmina. Ghislaine les fit entrer chez nous, et nous laissa seuls avec elles. Nous étions tous en train de regarder la télé, et tandis que les deux filles commençaient à engager la conversation avec mes frères et s?urs, je descendis notre petit escalier jusqu'au sol, pour découvrir avec émoi les pieds de ces deux nouvelles géantes. Ouaahhh ! Elles devaient faire l'une et l'autre du 41 ou du 42, et quelle odeur ! Mon petit nez était assailli par les puissantes effluves de ces pieds terrifiants, et O bonheur, mon petit lit avait quasiment disparu sous l'un des pieds de Yasmina. L'adolescente géante était même, sans y prêter attention, en train de triturer méchamment mon oreiller entre ses grands orteils crasseux, dont la puissante odeur avait remplacé tout l'air respirable aux alentours. Elle avait des pieds effrayants, ils étaient mats comme le reste de son corps, avec une cheville et un talon monstrueux qui pouvait tout aplatir sans résistance, et se terminaient par de longs doigts de pied robustes aux ongles longs, mal taillés et pas très propres. Transpiration et crasse s'accumulaient entre ces orteils abominables, et ils étaient en train de malaxer mon petit oreiller que je voyais se souiller à vue d'?il. Je me rapprochais, je pouvais presque toucher mon lit, mais je prenais garde au pied de Yasmina qui ne m'avait pas encore vu. Enfin elle s'arrêta de torturer mon oreiller, se contentant de le maintenir écrasé sous son pied. Je m'approchais davantage, je n'étais plus qu'à un demi centimètre de son petit orteil, et alors je ne pus résister à une pulsion : je me mis à genoux sur le côté de son pied et déposa un baiser sur son petit orteil. La fille eut un mouvement assez brusque, elle esquiva son pied et me découvrit sous elle. - Djamila ! je rêve ! regarde, il était en train de me baiser le pied ! L'autre fille s'approcha et me regarda à son tour, tout penaud entre les pieds de sa copine. Yasmina ramena son pied face à moi, et le posa de façon à m'écraser un pied sous son second orteil. Vas-y me fit-elle, recommence ! Alors je me remis à genoux, essayant en vain de dégager mon pied, et me pencha sur l'orteil jusqu'à ce que mon visage soit en contact avec le terrible doigt de pied et me mis donc à le baiser sans retenue. Tandis que je déposais baiser sur baiser sur la peau rude de l'orteil, je m'enivrais de l'odeur qui émanait d'entre les autres orteils et priait en silence pour que cet instant s'éternise. Mais tout a une fin, et Yasmina ôta son pied, mais non ce n'était pas fini ! Elle le leva, et me colla sans prévenir le dessous de ses orteils puants sur le visage. Sens ça ! m'ordonna t-elle Et sans me faire prier je laissais mon visage plaqué sous ses monstrueux doigts de pied et je respirais à plein poumon l'infection fortement incrustée sous son pied. Ma parole, il aime ça ! confirma t-elle à Djamila. Et alors Yasmina recroquevilla ses longs orteils autour de ma tête et m'enferma ainsi dans leur moiteur infiniment irrespirable, mais quel bonheur. Puis elle me fit basculer en arrière, et relâcha un peu l'étreinte de ses doigts de pied, mais sans pour autant me libérer tout à fait ; Ma tête étais toujours coincée sous ses orteils qu'elle écarta un peu, comme pour y encastrer mon visage. Lèche maintenant ! elle était pliée de rire avec sa copine. Je m'exécutais, maintenant terrifié car totalement vulnérable sous ce pied qui m'avait déjà totalement imprégné de sa puanteur, et je me mis lécher la crasse poisseuse et la transpiration nauséabonde présente entre les deux puissants doigts de pied. Huummm c'est génial je sens sa petite langue sous mes doigts de pied ! Il doit suffoquer ! rétorquais Djamila, t-as pas peur de l'asphyxier ? Tu veux essayer ? Et tout à coup Yasmina me libéra, alors même que Ghislaine était de retour dans notre chambre. Elle me vit aux pieds des deux adolescentes. Ne me dit pas que tu es descendu sniffer les pieds de Yasmina et Djamila ! me dit-elle. Les deux filles rigolaient de bon c?ur, et je m'aperçu qu'Anna était descendu aussi et qu'elle allait pour s'appuyer tendrement contre la cheville de Djamila, mais celle-ci se dirigeait à présent vers la porte et nous quittais avec Yasmina. Je glissais mon matelas et ce qui ressemblait à mon oreiller sous la table, de façon que plus personne ne le piétine aujourd'hui et remontais pour prendre notre dîner. Le soir venu je retrouvais donc avec plaisir en me couchant la très puissante odeur des pieds de Yasmina, dont je m'enivrais jusqu'au sommeil en plaquant bien mon visage dans le tissu crasseux et imbibé de la sueur de ses terribles doigts de pied. 3 Plaisirs et jeux humiliants J'allais retrouver Yasmina le lendemain matin de façon tout à fait inattendue ; En effet, après que notre petit déjeuner fut pris et que quatre de mes frères et s?urs furent déjà passés à la toilette (il ne restait plus qu'Anna et moi à laver - une certaine complicité nous liait à présent, et nous nous arrangions pour être ensemble à la toilette, vu qu'on y allait deux par deux ) Ghislaine expliqua à Yasmina qu'elle devait s'absenter une petite heure, et lui demandait de bien vouloir s'occuper de notre toilette. L'éducatrice nous avait déjà déposés dans le bidet qui finissait de se remplir, nous y prenions notre bain quotidien confortablement adossés Anna et moi sur le bord opposé aux robinets. Tandis que Ghislaine partait, Yasmina s'approcha du bidet et nous regarda amusée dans notre mini baignoire qui avait un tout autre usage habituellement. C'était l'été et Yasmina avait une mini jupe qui serrait ses superbes cuisses musclées à la peau mat. Anna ne loupait pas une miette de cet impressionnant spectacle et Yasmina voyait bien que nous étions tout deux rivés à ses jambes. Elle s'approcha davantage du bidet et nous laissa regarder sans en avoir l'air entre ses fabuleuses jambes. ELLE N'AVAIT PAS DE CULOTTE. Anna poussa un gémissement et commença à se caresser, moi j'eus une érection immédiate. La fille remonta sa mini jupe sans nous quitter des yeux, positionna ses jambes de chaque côté du bidet en nous faisant face et s'assit carrément au- dessus de nous. Ca ne vous dérange pas que je me lave en même temps que vous ? nous fit- elle avec un méchant sourire vicieux. Puis Yasmina se rapprocha davantage de nous, si bien que nous étions maintenant complètement sous son immense chatte dont les gros poils noirs et odorants chatouillaient nos têtes. C'était irréel. Hallucinant, effrayant, Anna tremblait, gémissait, n'en pouvait plus. Elle ne résista pas une seconde à ses pulsions ; elle se redressa et se mit à toucher les lèvres charnues et fermes de la terrifiante chatte qui nous surplombait, puis elle y plaqua son visage et se mit à la baiser en cherchant à y introduire sa petite tête. Yasmina se laissa faire, la tête de ma petite s?ur avait quasiment disparu dans la toison odorante et j'entendais ses petits cris de plaisir et ses baisers qu'elles donnait au sexe monstrueux de l'adolescente, qui commençait aussi à gémir et à pousser des « Huummm ». Les lèvres terrifiantes s'entrouvraient, et la tête de ma s?ur devenait humide, poisseuse. Yasmina mouillait sur elle. Je découvrais le sexe d'une bien curieuse façon, j'étais à la fois terriblement excité et terrifié. Yasmina tenait à présent le dos et la tête de ma s?ur dans sa main et la maintenait fortement plaquée sous sa chatte ; et le sexe gigantesque s'ouvrait comme une plante carnivore qui allait dévorer ma s?ur. Anna battait faiblement des jambes. Cherchait-elle à se débattre ou était- ce l'excitation ? Sa petite tête mais aussi ses épaules et sa jeune poitrine avait disparu dans les entrailles terrifiantes de Yasmina. Et ce liquide gluant qui devait la noyer et qui coulait lentement le long de son dos. Ca faisait un bruit horrible, comme « flash flash » au rythme des mouvements forcés que la fille imposait à ma s?ur. En me repositionnant je vis qu'Anna essayait de se débattre dans cette abominable chatte, elle tentait en vain de repousser l'étreinte qui s'exerçait sur ses frêles épaules, mais ses petits mouvements inutiles ne faisaient sans doute que contribuer au plaisir de Yasmina. La fille poussait de plus en plus fort, et à un rythme croissant, la tête d'Anna contre un endroit bien précis dans son sexe, et parmi les bruits horribles que ces déplacements provoquaient il y avait les cris de ma s?ur. Mais était-ce des cris de détresse ? Je ne pus le savoir, car soudain j'entendis des rires étouffés derrière nous. Alors d'un mouvement brusque Yasmina se leva du bidet, ma s?ur fut expulsée de sa vulve et cela fit un horrible bruit de succion. Elle retomba prés de moi, tout dégoulinante de sécrétion vaginale de la grande maghrébine qui réajustait sa courte jupe. Valérie et Cindy étaient dans l'encadrement de la porte de la salle de bain, que Yasmina avait eu l'imprudence de ne pas verrouiller. Et elles se tordaient de rire. Alors tu as jouis ? réussis à lui demander la plus grande des deux ; et nouvel explosion de rires. Humm, humm, oui c'est bon faisait Valérie pour se moquer de Yasmina. Dégagez espèces de petites merdeuses ! s'écria Yasmina et elle se dirigea de façon menaçante vers les deux filles. Mais aucune des deux ne parût impressionnée, pas même Valérie qui n'avait que 12 ou 13ans. Au contraire on va peut-être s'amuser nous aussi, pas vrai Cindy ? Ouais ! A moins que Yasmina préfère qu'on aille raconter tout ça à Ghislaine, lança Cindy, pas mécontente de ce chantage, dont nous allions, c'est sur, faire les frais. Et là-dessus, sans même se préoccuper de Yasmina qui se renfrognait, elle se plaça au-dessus de nous, tout en quittant sa culotte blanche. Eh Valérie, Anna est toute sale ! va falloir la laver la pauvre ! T'as qu'a lui pisser dessus, ça lui fera une bonne douche bien chaude ! hi hi ! Cindy finissait d'enlever sa culotte et commençait de s'asseoir au-dessus de nous ; C'était terrifiant, nous nous cramponnions l'un à l'autre, Anna et moi, et cherchions à nous tasser au fond du bidet, mais celui-ci étant plein d'eau nous dûmes rester sous la jeune chatte de Cindy. Ca y est çà vient ! fit-elle en se repositionnant au-dessus de ma petite s?ur, et un geyser d'urine chaude et puante se rua sur elle et m'éclaboussa, puis se répandit dans le bidet. Anna criait, toussait, hurlait, mais sa petite voie était presque inaudible comparée au bruit de cette cascade de pisse que Cindy envoyait sur sa pauvre petite tête. Cela cessa au bout d'une éternité. Allez tu m'essuies maintenant ! lui ordonna la grande adolescente, non contente de nous avoir affreusement humiliés. Anna pleurait et ne bougea pas, alors Cindy attrapa sa tête dans sa main géante et lui plaqua durement le visage contre ses lèvres pleines d'urine puante et se frotta pour s'essuyer utilisant ainsi ma s?ur comme du vulgaire papier toilette. Bon çà suffit maintenant ! tenta Yasmina. Non à moi maintenant ! s'écria Valérie, et déjà la grosse gamine blonde enlevait à son tour sa culotte tandis que Cindy remettait la sienne. A notre surprise Valérie se positionna dans l'autre sens, c'est à dire au- dessus de nous quand même, mais c'est son ANUS qu'elle amena sur nous. Allez le nain, léches moi le cul ! et nouveaux rires. Je n'eus même pas la force de crier tellement j'étais tétanisé par la terreur. C'était absolument abominable, le gros anus puant de la gamine était quasiment posé sur mon visage, je le regardais terrifié, le reniflais de force, et ne pouvais m'esquiver sous peine de me noyer dans le bidet. Je respirais difficilement, imaginant le pire, qu'elle allait par exemple m'ensevelir vivant en me chiant dessus, ou pire, que cet anus immonde allait s'ouvrir et m'engloutir pour m'écraser ensuite et me rechier plus tard. Alors ça vient ? Je sens rien là ! s'impatientait Valérie. Et à mon tour ma tête fut saisie et plaquée de force contre l'horrible orifice pestilentiel. Allez léches ou je te chie dessus ! et les deux filles continuaient de rire de bon c?ur. Elle relâcha un peu sa pression, mais mon visage avait déjà eu le temps de méchamment s'imprégner de la puanteur. A regret je sortis ma langue et me mis à l'appliquer vigoureusement contre le muscle circulaire. Je me mis donc à lécher le cul de cette gamine de 12 ou 13ans, et le moment de terreur passé, je dois reconnaître que cela a fait naître une évidente excitation en moi. Valérie enleva sa main et je continuais à m'exécuter avec zèle. Ma parole ! il fait ça super bien Cindy, faudra que t'essayes ! Ma petite langue poursuivait sa dure besogne, des fragments d'excréments se répandaient sur ma tête, j'en avalais de force, et l'anus gigantesque semblait apprécier mon travail, en effet il se dilatait et se recontractait de plaisir cherchant à m'engloutir la tête comme preuve d'amour. Mais alors que je redoublais d'application, il se dilata et commença carrément à grossir et à s'ouvrir au-dessus de ma tête ; Je n'eus pas le temps de me retirer, d'ailleurs comment aurais-je pu ? Une explosion assourdissante se rua sur moi et un souffle empesté remplaça en une fraction de seconde tout air respirable dans l'ensemble du bidet. Valérie se releva pliée de rire, et c'est avec peine que Yasmina réussit enfin à les virer de la salle de bain avec sa copine. La toilette fut abrégée, et c'est en hâte avant que Ghislaine ne revienne que nous fûmes reconduit vers notre chambre. Plongée dans le vice et la terreur Pour nos éducatrices tout se passait à merveille, jamais elles n'apprirent cet incident. Les dispositions mises en place pour nous protéger des adolescentes furent allégées, et peu de temps après, il fut décidé qu'une veillée serait organisée un soir dans notre grande chambre. Entre temps je continuais de voler les odeurs de pieds de ces dames et demoiselles, et Anna n'était jamais contre se faire câliner tendrement chaque fois que c'était possible. Quant à Youri, Stan, Nikita et Natacha ils essayaient de s'adapter à cette drôle de captivité, en général ils passaient la journée à regarder la tété, cela leur permit au moins d'améliorer leur français. Nous étions prêts tous les six, Anna et moi par terre, nos autres frères et s?urs au niveau intermédiaire. Nous attendions nos convives, en l'occurrence Monique, Ghislaine, et quatre ou cinq filles dans notre chambre. Ainsi elles arrivèrent, toutes s'asseyant en tailleur directement sur le lino, Anna se blottit d'emblée entre les jambes de Muriel, une grosse gamine qui fêtait son seizième anniversaire. Pour l'instant je choisis d'aller de filles en filles, je dirais plutôt de pieds en pieds. Il y avait ceux de Monique, nus toujours aussi grands et odorants, ceux de Ghislaine, revêtus de bas, méchamment imprégnés de transpiration odorante ; Ghislaine savait qu'elle sentait des pieds et était toujours gênée de me voir ainsi si près des siens, elle imaginait sans se tromper que vu ma petite taille, l'odeur devait être sacrément amplifiée ; Il y avait aussi ceux de Muriel, cachés dans des socquettes blanches, Lara, la jolie petite eurasienne, était là aussi, elle avait des pieds plats et larges, bien odorants aussi et ce soir elle portait des bas filet ; Il y avait aussi Yasmina, sa copine Djamila, toutes les deux pieds nus, et puis en autre fille en chaussettes dont j'ai oublié le nom. La soirée se déroula gentiment, il y avait un gâteau d'anniversaire et des bougies pour Muriel, nous eûmes droit à des petites parts. Il y avait du Champagne aussi, Monique et Ghislaine sifflèrent la bouteille pratiquement à elles seules. Profitant de leur gaîté, Anna de son côté, moi du mien étions parvenus à nos fins. Tandis qu'elle avait réussi à s'introduire entre les grosses cuisses de Muriel jusqu'à sa culotte, j'étais arrivé à obtenir de Ghislaine qu'elle me masse sous son pied et m'imprègne ainsi totalement de la moiteur puante de son bas. J'étais allongé et supportais sans rien dire la puissante friction de son pied sur ma petite poitrine, et lorsqu'elle approchait ses orteils gigantesques au-dessus de mon visage, puis les recroquevillait autour de ma tête, m'obligeant ainsi à ne rien respirer d'autre que la moiteur suffocante de son bas, alors j'étais aux anges et en proie à une douloureuse érection. Anna n'était pas en reste : profitant que Muriel s'était allongée sur le dos un instant, elle s'était glissée plus loin sous la culotte de la fille, et lorsque celle-ci se redressa, la tête et la plus grande partie de la poitrine de ma s?ur avaient disparu sous sa culotte. Muriel se rendit compte évidemment que ma s?ur était coincée sous elle, elle regarda amusée entre ses cuisses les petites jambes de ma s?ur qui battaient faiblement, puis elle se re pencha légèrement en arrière pour soulager Anna et lui permettre de respirer. Mais à mon avis, ma petite s?ur était sans doute contrainte d'inhaler d'épouvantables effluves dont la culotte pas tout à fait blanche de Muriel devait être imbibée. La grosse fille semblait en tout cas apprécier la présence de cette poupée vivante entre ses cuisses car elle commença, par de lents mouvements du bassin, à frotter son sexe sur la tête et la poitrine de ma s?ur. Le tissu épais et puant de sa grande culotte appuyait fortement sur la frêle poitrine d'Anna, qui glissait toute entière sur le lino d'avant en arrière, au même rythme que le puissant mouvement de l'adolescente géante. Une seconde bouteille de Champagne fut amenée, tout le monde fut invité à en boire sans restriction, la soirée était loin d'être terminée. Ainsi Monique, mais aussi Lara, Yasmina et Djamila s'étaient chacune emparées d'un de mes frères et s?urs, et jouaient chacune à leur manière avec. Muriel leur avait inspiré des idées terrifiantes, et le Champagne avait fait tomber leurs inhibitions. Muriel regardait toujours entre ses grosses cuisses les gesticulations inutiles de ma s?ur, qu'elle écrasait de plus en plus sous sa culotte devenue humide ; Anna devait être en enfer, ou au paradis, je ne sais pas. Tandis que Ghislaine prenait cette fois un véritable plaisir à me contraindre de respirer l'odeur de ses pieds, Lara donnait de gros bisou à Stan, Djamila avait entrepris de déshabiller Youri, Nikita était aux prises avec Monique qui l'approchait de force vers son énorme culotte, Quant à Natacha, je crois bien que Yasmina s'apprêtait à lui faire subir le même sort qu'à Anna dans le bidet quelques jours avant. Nos deux monitrices se chuchotèrent quelque chose à l'oreille, et soudain Monique se leva et décida que la soirée était terminée, que tout le monde devait à présent dormir. Les filles protestèrent pour la forme, mais finalement tout le monde se leva, chacune laissant sa poupée vivante, et quitta notre chambre. Monique avait récupéré Anna qu'elle tenait dans sa main, moi-même était dans celle de Ghislaine. Ca vous dirait vous deux, de venir dormir avec nous ? Nous demanda Monique. Ma s?ur sans l'ombre d'une hésitation acquiesça, et passé le moment de surprise de cette proposition inattendue, je fis aussi oui de la tête. N'allait-on pas regretter notre décision, cette soirée avait déjà sérieusement dérapé vers le vice et la perversion. Nous fûmes aussitôt déposés sur leur grand lit, oui il n'y avait qu'un lit pour deux dans leur unique chambre, et ce que je pressentais se vérifia : Sans passer par le salle de bain, nos deux éducatrices laissèrent tomber leurs vêtements (en moins de temps qu'il ne faut pour le taper au clavier !), puis Ghislaine la première s'allongea et nous nous retrouvâmes, Anna et moi entre ses jambes écartées ; Nous n'eûmes pas le temps de contempler son énorme sexe rasé et béant, que Monique arrivait et s'allongeait sur Ghislaine, puis nous les entendîmes s'embrasser longuement sur la bouche. Le matelas s'était sérieusement creusé sous le poids conjugué des deux géantes, et nos avons roulé jusque contre la chatte de Ghislaine. Pour l'instant elle était bien trop occupée pour nous saisir, Monique qui l'écrasait sous elle et qui frottait fortement sa grosse chatte poilue sur celle imberbe de Ghislaine n'en finissait pas de lui rouler une interminable pelle. Anna pris part à cet ébat, modestement vu sa taille, mais néanmoins avec efficacité, car dés qu 'elle se mit à lécher les grosses lèvres suintantes de la chatte de Ghislaine, celle-ci se mit à faire des « humm » de plaisir. Alors Monique, changea de position ; Elle resta au-dessus de Ghislaine, mais se retourna, et se mit à quatre pattes (Sur ses genoux et mains), si bien que son gros cul poilu était au-dessus de la tête de Ghislaine. Alors elle s'empara de ma s?ur et l'introduisit carrément entre les lèvres suintantes de la chatte béante de Ghislaine ; J'entendis Anna pousser un cri bref, puis il y eut un bruit de succion effrayant, Monique commençait à lui imprimer un lent et profond va et vient dans le sexe de son amie. Après je perdis le contact de ma s?ur, car Ghislaine à son tour s'était emparée de moi, et me présentait au cul de Monique. Celle-ci était toujours à quatre pattes sur ses genoux, Ghislaine m'amena sans préambule dans sa forêt pestilentielle, puis dans la puanteur indescriptible de son sexe pas lavé de la journée. Ses lèvres étaient immenses et charnues, passé la lisière de l'épaisse forêt de gros poils noirs, un autre monde terrifiant s'annonçait, celui des entrailles de ma grande monitrice. Mais Ghislaine avait choisi de ne pas m'y introduire, d'ailleurs seule ma tête aurait pu y entrer, mes épaules trop larges n'aurait pas résisté à une pénétration plus approfondie. Ghislaine se contentait de masser l'intérieur des lèvres déjà humides de Monique avec mon visage, et elle poussait toujours des longs « humm » de plaisir, sur qu'Anna lui faisait beaucoup de bien ! Le massage du sexe de Monique avec mon pauvre visage complètement imbibé de secrétions, et déformé par la friction puissante contre les lèvres affamées dérivait vers l'arrière, Ghislaine m'emmenait progressivement vers un autre trou, beaucoup plus odorant celui-là. J'essayais de me débattre, mais en vain, maintenu par une main de fer, la monitrice avait anticipé ma tentative de résistance. Ghislaine appuyait fortement mon visage contre la peau affreusement odorante du cul de Monique, ma propre peau était torturée par ces horribles poils noirs et durs, juste au-dessus de ma tête il y avait cet anus qui n'attendait plus que ma petite gueule, et dont la sueur avait drainé quelques restes d'excréments dans toute sa raie, et je baignais là-dedans. A son tour Monique se mit à gémir de plaisir. Ce qu'elle adore, me dit Ghislaine, c'est qu'on lui lèche le cul ! Et ce faisant, Elle appliqua ma tête au centre de l'horrible orifice poilu, et m'écrasa le visage entre les hémorroïdes imprégnées de transpiration empestée. Tout en massant à présent l'anus de Monique avec ma face, Ghislaine m'ordonna : Allez petit Igor, lèches bien le cul de ta monitrice ! C'était bien plus intense que le jeune anus de Valérie, à cause de Ghislaine qui poussait toujours plus fort derrière ma tête, de ces hémorroïdes qui commençaient à se dilater et entre lesquels je m'enfonçais, de cette terrible puanteur de fin de journée, qu'à présent je léchais avec ma minuscule petite langue. Et l'anus s'ouvrit davantage encore, Ghislaine poussait toujours plus fort, et la transpiration aidant, c'est avec terreur que je dus admettre que ma tête allait pénétrer toute entière dans le sphincter immonde de Monique. C'était une humiliation abominable, n'étais-je rien d'autre qu'une merde attendant d'être expulsée de son anus ? A présent je ne pouvais respirer, ou si peut, et ce que je respirais était atroce ; L'anus s'était refermé autour de mon cou, il m'avait comme englouti, à présent il jouissait de ma présence, et Monique devait gémir de plaisir de me savoir ainsi prisonnier dans son cul, forcé de m'imprégner de sa puanteur, et mes mouvements frénétiques du cou ne devaient qu'amplifier sa jouissance. Ghislaine s'amusait à me ressortir, puis très vite elle me réintroduisait, jusqu'aux épaules. J'avais l'impression que mon crâne allait être écrabouillé à chaque passage à travers le muscle circulaire visqueux. D'ailleurs sur que Monique aurait pu m'écraser la tête rien que par l'étreinte de son anus. Ghislaine choisit, de me laisser plus longtemps enfermé dans cette caverne horrible, et je sentis sa langue gigantesque qui commençait de lécher le cul de son amie. Elle butait contre moi, tandis que je suffoquais, prisonnier et fermement maintenu par l'anus de Monique qui s'était une fois de plus refermé sur mon cou. A cet instant il y eu un bruit terrifiant venant de l'intérieur, une sorte de glougloutement, Je ne pus même pas crier lorsque qu'une poche de gaz d'une densité presque palpable se rua sur ma pauvre tête, puis cela glissa tout autour, l'anus fut pris de convulsions musicales assourdissantes mais me garda prisonnier après m'avoir méchamment secoué. J'étais de plus en plus humilié et terrifié. Il y eut un autre pet, encore plus puissant, et cette fois je fus éjecté avec force et accueilli à l'air libre par le rire tout aussi humiliant de Ghislaine. Et cette dernière se mit à son tour à baiser et lécher le cul de son amie. Pendant ce temps Monique continuait sa besogne, Ghislaine n'en finissait pas gémir de plaisir, récemment libéré, je me glissais jusqu'entre les jambes de Ghislaine pour voir où en était ma pauvre petite s?ur. Le rythme des va-et-vient que Monique lui infligeait était devenu terrifiant, comment Anna pouvait-elle résister à cela ? Ghislaine se contorsionnait de plaisir, ses gémissements se firent plus haletants, plus brefs, elle se cabra, ferma les yeux, puis poussa un long cri de jouissance. Monique lâcha ma s?ur, puis s'allongea à nouveau sur Ghislaine et les deux géantes sans s'occuper de nous se remirent à s'embrasser longuement et tendrement. Je me risquais à tenter de sortir Anna de ce cloaque épouvantable dans lequel elle gisait. Etait-elle encore vivante ? Oui, elle respirait ; Je la tirais complètement vers l'extérieur, elle dégoulinait de sécrétions vaginales, Ghislaine n'avait pas fait que mouiller sur elle, elle avait joui sur ma s?ur de la plus avilissante façon. Anna revint à ses esprits, enfin. Elle se mit à sourire, elle cracha de ce liquide gluant qui était répandu partout sur elle, puis regarda derrière elle cette immense chatte encore dégoulinante. C'était génial ! J'oublierai jamais, c'était super ! Nos éducatrices s'étaient endormies, nous réussîmes à descendre du lit. Pour la nuit, j'élus domicile sur le bas de Ghislaine, à l'endroit où ses orteils avaient le plus imprégné les mailles de leur odeur, quant à Anna elle se vautra dans la culotte laissée tout prés de là, et s'y endormit rapidement. Le lendemain matin nous fûmes réveillés par les rires de Monique et Ghislaine, amusées de nous voir étalés dans leur lingerie odorante. Elles nous emmenèrent à la salle de bain, Monique la première s'installa sur le bidet, puis elle m'attrapa, et me savonna bien plus que nécessaire ; Je compris pourquoi, lorsqu'elle reposa le savon, et qu'elle m'approcha de sa grosse chatte toujours aussi odorante : Elle se servit de moi tout entier pour sa toilette intime ! En effet elle me fit durement aller et venir entre les lèvres de sa chatte jusqu'à ce qu'elle estime que celle-ci fut assez propre. Pas mécontente de son idée, elle en riait encore avec Ghislaine, elle me re savonna, surtout la tête, puis elle entreprit de se laver le cul, en m'écrasant complètement le visage dans son anus puant, puis en le massant avec ma tête de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il s'entrouvre. Enfin cela cessa, Monique se rinça et laissa la place à Ghislaine qui fit de même avec Anna. 4 Adieu Youri La vie reprit son cours au foyer, comme si rien ne s'était passé. Nous allions tranquillement sur nos 15 ans, certaines filles avaient quitté l'établissement, d'autres arrivaient, Valérie qui était un cas « difficile » était toujours là, elle venait de fêter son quatorzième anniversaire. Un après-midi, toutes étaient parties faire de la randonnée pédestre en forêt, sans nous évidemment. A leur retour, il y eu un long défilé à la salle de bain des pensionnaires, ces demoiselles avaient transpiré. Nos éducatrices étaient sans doute occupées à leur propre toilette, et nous eûmes la surprise de voir notre porte s'ouvrir brutalement et seules Valérie et son inséparable copine Cindy pénétrèrent chez nous puis refermèrent la porte. A l'évidence elles avaient profité d'un relâchement de la surveillance dont nous bénéficions normalement en permanence. Sur qu'elles guettaient cela depuis longtemps. Elles n'avaient même pas pris le temps de se déchausser avant d'entrer comme c'était l'usage, et je vis avec horreur 4 pieds chaussés de baskets crades pénétrer sans scrupules dans notre intérieur soigné. Alors les nains ! Quoi de neuf ? lança Valérie. Ben quoi, ne faites pas cette tête, on va pas vous manger ! continua t- elle. Quoique, on pourrait, ils sont peut-être pas mauvais ! renchérit Cindy. Non, il doit y avoir trop d'os, répondit Valérie ; Et gros éclat de rires. La dessus Cindy s'était déjà emparée de Nikita, et elle commençait à essayer de lui enlever son petit T-Shirt. Pourquoi tu veux pas enlever ça ? Je veux juste voir ta petite poitrine ! lui dit-elle, et impatiente, elle arracha le T-Shirt qui se déchira dans un bref craquement. Hum ! regardes ses petits seins comme ils sont mignons ! rajouta t-elle en la montrant à Valérie. Tandis que cette dernière s'amusait à lui titiller les mamelons du bout des ongles, Cindy dégrafait son chemisier, et mis à l'air sa propre jeune poitrine. Elle avait de jolis seins, en obus, bien fermes, elle approcha Nikita qu'elle tenait toujours dans sa main vers l'un de ses seins. Regardes les miens, ils sont plus gros ! Nouveaux rires, puis elle colla carrément le visage de ma s?ur contre son gros mamelon. Tu veux pas téter ? lui demanda t-elle tout en lui écrasant la face de ma s?ur contre son sein. Les deux filles commençaient à s'amuser, notre inquiétude grandissait. Je suis sur que je n'étais pas le seul à prier pour que l'une de nos monitrices arrive rapidement. Mais la porte restait désespérément close. Alors Valérie s'empara de Natacha. Et toi, il est comment ton mimi ? Et sans lui laisser le temps de le faire elle-même, Natacha se vit dépouillée de sa jupe, avec beaucoup moins de délicatesse qu'une petite fille ferait pour déshabiller sa poupée Barbie. Natacha se retrouva les fesses à l'air, tandis que Valérie la levait jusqu'à la hauteur de son visage pour la scruter en détail. Eh t'as vu Cindy, elle commence à avoir quelques poils ! Valérie lui écarta les jambes de force et se mit à caresser le jeune sexe de ma s?ur du bout de son gros doigt. Puis la grosse gamine remonta à son tour sa jupe, fit descendre sa culotte, et amena sans prévenir Natacha contre son sexe, qui commençait à se garnir d'un joli duvet blond. Elle lui fourra carrément la tête dans sa jeune chatte et lui dit : Sens ça ! Et nouveaux rires avec Cindy qui continuait de jouer avec Nikita Entre temps, Youri qui n'avait pas arrêté de vociférer en ukrainien était descendu jusqu'au sol ; On regarde les mecs maintenant ? lança Cindy. Ouais .Mais qu'est-ce que. Youri, cet irresponsable, était en train de taper de toutes ses forces contre le mollet de Valérie et lui criait de lâcher ma s?ur. La grosse gamine reposa Natacha ; Eh le nain tu veux jouer avec moi ? lui cria t-elle à son tour tout en quittant sa basket. J'étais descendu aussi pour essayer de raisonner Youri, mais c'était trop tard. D'un simple mouvement de cheville, Valérie avait envoyé Youri à prés d'un mètre. Il se releva, pas trop sonné, il n'était encore qu'à quatre pattes, que l'adolescente étais déjà au-dessus de lui, un terrible pied crade et puant le re plaquant durement au sol. De Youri on ne voyait plus que la fin des jambes et les pieds. Sa tête avait disparu sous les longs orteils de Valérie, sa poitrine et ses épaules étaient compressées sous la plante du pied, son bassin était à peine visible sous la voûte plantaire, tandis que le terrible talon était sur le point de lui aplatir les cuisses et les genoux ; mon frère était maintenu dans cette position face contre terre. Je pris le risque de me positionner entre les pieds de Valérie pour voir si Youri allait. Tiens, y a lèches-cul qui vient voir si son frère n'est pas encore écrabouillé ! Je levais la tête pour implorer Valérie de lui pardonner et de le libérer, mais en vain. Elle jouait avec lui, un jeu complètement faussé évidemment ; Par moment lorsqu'elle levait ses doigts de pieds épouvantablement odorants et crades, je pouvais voir une méchante grimace sur le visage de Youri qui jurait contre cette gamine qui l'humiliait ainsi, et le faisait souffrir aussi. Puis elle re plaquait ses orteils sur le sol, comprimant sans ce soucier la tête de Youri contre le lino. Alors le microbe, on ne dit plus rien ? questionna Valérie en regardant son pied. Elle écarta ses second et troisième orteils jusqu'à ce que la tête de mon frère s'encastre de force entre eux. Le pauvre, il devait baigner dans une puanteur moite terriblement dégradante, il avait en très gros plan sur son visage l'ongle long et sale du second orteil qui lui entaillait le nez. Sans libérer la tête du pauvre Youri, Valérie se mit à recroqueviller ses doigts de pieds ; Je le vis faire une terrible grimace, tandis que les longs orteils emmenaient de force se tête en arrière, faisant probablement craquer les vertèbres de son cou. Youri était le plus robuste d'entre nous, mais que pouvait-il faire sous le pied de cette gamine ? Valérie le libéra enfin, pas tout à fait en fait ; Elle laissa son pied au- dessus de mon frère, ne lui laissant que quelques centimètres. Fais des pompes, que je voie si tu es fort ! lui ordonna t-elle. Youri se remettait à peine de ses douleurs, son nez gardait une profonde marque violette à l'endroit où l'ongle s'était encastré. Alors ça vient ? Valérie s'impatientait, et menaçait de l'écraser pour de bon. Je fis signe à mon frère de s'exécuter, il se décida enfin. Sans problème il commença une série, sa musculature naturelle lui aurait permis d'en faire au moins 50 sans s'arrêter. Mais au bout de deux pompes seulement, Valérie le re plaqua méchamment sous son pied, ne lui laissant aucune chance de remonter. Alors pourquoi t'arrive pas à monter ? lui cria t-elle. Cindy qui s'était agenouillée pour voir ça de plus prés se tordait de rire. Valérie relâcha légèrement la pression, je vis les puissants muscles de Youri se bander au maximum, et il put monter de quelques millimètres, mais en fait, seulement parce que la grosse gamine le voulait bien. D'ailleurs elle le re plaqua méchamment, ses mains ripèrent de chaque côté, il était comme terrassé. Tu crois que je pourrais marcher complètement dessus ? demanda Valérie à Cindy. Je sais pas, il a l'air fort ! A cet instant je fis l'erreur de taper sur la cheville de l'autre jambe de Valérie pour attirer son attention et lui demander d'arrêter. La gamine, par pur réflexe sans doute, me repoussa, mais pour ce faire elle délesta complètement son pied, et du coup reporta tout son poids sur celui sous lequel se trouvait mon frère. Il y eu une brève mais terrible série de craquements. Le pied de Valérie rejoignit le sol sans que le puissant corps de Youri n'ait pu opposer la moindre résistance. Et en reprenant son équilibre Valérie lui écrasa la tête sous son gros orteil. Cela fit un autre terrible bruit d'os broyé, je vis le visage de mon frère se comprimer, puis disparaître sous le doigt de pied colossal. Et puis plus rien. Les deux adolescentes se rendirent compte, mais trop tard qu'elles avaient dépassé les limites du jeux, elles ne rigolaient plus. On se casse, finit par dire Cindy. Valérie se rechaussa en hâte. A ce moment notre porte s'ouvrit, Monique n'eut pas le temps d'arrêter les deux filles qui dévalèrent l'escaler. L'heure était au douloureux constat, notre frère n'était plus qu'un cadavre écrasé sur lequel planait la méchante odeur des pieds de Valérie qui avait transpiré toute cette journée de randonnée pédestre, pieds nus dans ses baskets. Le drame fut simplifié, nous n'étions plus que cinq, comme nous n'avions pas d'existence légale, il n'y eut donc pas de déclaration à faire à la police, on se débarrassa du petit corps, qu'on jeta. Par contre nous ne devions plus jamais revoir Valérie et Cindy. A Suivre. Hminus75@hotmail.com