CATHERINE ET RAOUL Un interlude de Violente en guise de récréation!! Ma femme Gisèle a invité Catherine à venir se détendre chez nous. Elle s’est rendu compte que Catherine vit en ce moment une période dépressive consécutive au départ de Xavier qui était son compagnon depuis plus d’un an et auquel elle s’était excessivement attachée. Xavier n’était pas que son amant, il était aussi son partenaire de combat. Ils faisaient équipe dans des combats mixtes en couple. Leur couple était devenu quasiment imbattable et l’assurance de Catherine était devenue telle que, lors de leur dernier combat contre un couple de Hollandais, les femmes avaient mis leur partenaire comme enjeu. L’homme de l’équipe perdante devenant la propriété des vainqueurs. Catherine s’était fait massacrer et en plus avait dû laisser partir Xavier vers les Pays Bas. Vaincue et handicapée elle avait dû assister au spectacle de son amant, sur le ring avant de le quitter, satisfaisant les appétits sexuels des deux vainqueurs qui semblaient insatiables. Elle l’avait regardé faire jouir longuement la puissante Hollandaise avant de vider les couilles de son partenaire. Catherine était à la fois honteuse d’avoir perdu le combat et d’avoir été trop optimiste dans son pari. Elle était en colère contre cette équipe qui avait été particulièrement vicieuse et qu’elle avait sous-estimée. Elle était en colére contre elle-même pour ne pas être intervenue lorsque Xavier s’était trouvé coincé par le grand Hollandais alors qu’elle malmenait sa partenaire. Elle aurait dû la laisser pour voler au secours de son amant. Elle était en colère contre la terre entière, sans savoir pourquoi, et tout autour d’elle était prétexte à montrer sa mauvaise humeur. En plus elle voyait très mal son avenir dans le monde underground de la lutte où elle évolue. Elle suppose qu’après sa défaite les portes lui seront desormais fermées. Avec Gisèle nous avons voulu lui changer les idées, chasser son cafard et lui faire retrouver un peu d’optimisme. Dans un premier temps nous avons bourlingué dans les casinos de la Côte d’Azur et les boites de nuit. Mais après des nuits de folies les lendemains étaient toujours aussi tristes. Gisèle s’est proposée comme sparring-partner pour l’aider à rester en forme et à redécouvrir les plaisirs du combat. Nous nous sommes impliqués, à tour de rôle, puis ensemble, dans ses besoins sexuels. Elle y a pris beaucoup de plaisir sans pour autant retrouver son dynamisme et sa joie de vivre. Gisèle a fait venir une équipe féminine de combats au finish et tout particulièrement portée sur les assauts sexuels. Elle pensait alors faire réagir notre belle amie d’une manière beaucoup plus violente et ainsi la déchaîner pour libérer son esprit de ses cauchemars. C’est ainsi que nous avons acueilli pendant plusieurs jours Déborah et sa partenaire Marlène. Ces deux femmes qui forment une équipe de lutteuses sont aussi unies sexuellement dans la vie. Si elles ont les mêmes goûts et les mêmes caractères elles sont aussi assez semblables physiquement. Elles sont un peu rondes avec des poitrines chaussant des bonnets pour le moins taille D ou DD. Elles mesurent environ 1,67m et doivent peser leurs bons 68 à 70kg. Elles ont 44 ans et possèdent un corps en parfait état, sans graisse ni muscles excessifs. Les hanches sont larges, les fesses épaisses mais comme leur taille à la ceinture n’est pas très marquée, ces caractéritiques sont peu soulignées. Elles sont toutes les deux blondes avec une coupe de cheveux presque similaire comportant une frange longue sur le front. La blondeur de Marlène est plus oxygénée que celle de Deborah qui est blond-blond. Elles ont toutes les deux les yeux clairs, allant du bleu au vert. Leurs visages sont sympathiques et ne reflètent pas du tout la sexualité quelque peu vicieuse dont elles font preuve. Catherine est plus grande, elle mesure 1,74m et pèse seulement 65kg. Elle est blonde également, un blond un peu cendré, et sa coupe de cheveux est similaire à celles des deux autres femmes, sauf qu’ils sont plats et raides. Elle a 34 ans et son corps est dans une forme musculaire éblouissante. Elle a les hanches un peu moins larges que Deborah ou Marlène, mais elle a un beau fessier rond et musclé. Autres différences, ses yeux sont noisette et ses seins sont plutôt petits mais pointus. Elle entre peut être dans des bonnets B. Ses cuisses sont particulièrement beaucoup plus musclées que celles des deux femmes. Pendant trois journées et les deux nuits intermédiaires elles ont pris possession de ce que Gisèle et moi appelons la salle de jeux. C’est une chambre située auprès de la notre et dont la salle de bains est commune. Cette pièce est aménagée avec des tapis de lutte au sol et sur le pourtour des murs, y compris devant la fenètre qui est ainsi à moitié obturée. Nous les avons laissées ainsi pendant près de 60 heures seules pour se battre ou se faire jouir suivant les circontances. Nous ne pouvions échapper aux bruits de coups et aux cris de douleur ou de plaisir. Alors de temps à autre avec Gisèle nous sommes allés jeter un coup d’oeil. Le plus souvent nous avons trouvé les deux mégères attaquant Catherine simultanément. Mais il nous est arrivé de les trouver en cours d’affrontement entre elles. Nous leur avons fourni des couettes et des édredons car elles ont passé leurs nuits ensembles à lutter ou à lutiner! Au cours de la deuxième journée il y a eu un long temps de silence. Seuls des gémissements et des grognements traversaient la porte. Nous sommes allés jeter un oeil pour les trouver en cercle en train de se bouffer la chatte l’une à l’autre. Il n’y avait plus d’équipe, c’était toutes pour une et une pour toutes! Par contre à une autre occasion, Marlène était assise sur la tête de Catherine et frottait sa chatte épilée sur son visage pendant que Deborah avait enfoncé sa main dans la chatte de notre amie et qu’elle s’y agitait comme un piston dans une pompe pour en faire couler son liquide! Marlène avait ouvert son vagin sur le nez de Catherine et elle se masturbait furieusement. Elle badigeonnait le visage sous elle de son abondante liqueur. En même temps elle brutalisait sauvagement les deux mamelons de Catherine en les pinçant et les étirant. Une autre fois Catherine avait saisi la tête de Marlène dans le ciseau mortel de ses cuisses puissantes et en même temps elle tentait de se protéger de ses bras et de ses mains des coups de pieds que Deborah lui portait en frappant de la plante du pied verticalement de toutes ses forces. Presque régulièrement elles suspendaient les hostilités pour passer à la salle de bains afin de soigner les blessures faites surtout de griffures,de morsures et d’ecchymoses. Puis avec une serviette autour des reins elles venaient à la salle à manger pour se réconforter en nourriture et en boisson comme si de rien n’était. Mais nous avons noté que progressivement une certaine tension montait entre Chritine et ses antagonistes. Et quand au bout de quatre jours et demi, dont une longue nuit de repos, Deborah et Marlène s’en sont allées, couvertes d’hématomes et d’écorchures Catherine avec une attitude hautaine, dédaigneuse et un peu narquoise les a regardées partir sans même leur adresser un mot. Avec Giséle nous avons cru que la partie était gagnée et que maintenant Catherine allait se retrouver bien dans ses bottes!!!... Pourtant le reste de la journée et pendant presque vingt-quatre heures elle est restée enfermée dans sa chambre ou bien est allée marcher en solitaire le long des plages de Golf Jouan à Antibes ou encore dans les allées du Parc de Sophia Antipolis. Nous sommes restés confondus par cette attitude jusqu’à ce que le lendemain soir au cours du repas elle s’est confiée. "Vous m’avez fait du bien par votre accueil et les activités qui m’ont tant occupée. Je vous en remercie de tout coeur. J’ai réfléchi. Les blessures que vos deux amies m’ont faites étaient l’antidote nécessaire pour me faire retrouver ma sérénité. J’ai découvert que la lutte, le combat et même le plus méchant possible sont toute ma vie et ma raison d’être. Alors maintenant il faut que je me trouve un autre partenaire!...mais avant je ressens le besoin de me battre avec un homme. Mon premier but est de trouver un mâle à combattre sans limites et sans règles!...Je crois qu’après celà je serai à nouveau la Catherine que vous aimez!" Notre émotion n’est point feinte et avec beaucoup de satisfaction nous nous réjouissons de la retrouver en forme et animée de bonnes intentions. Nous fêtons ce printemps psychologique au champagne et je ne décris pas la suite de la soirée et de la nuit, vous nous prendriez pour des obsédés forniqueurs ou peu s’en faut! Tard le lendemain matin en prenant notre petit déjeuner alors que Catherine ne s’est pas encore montrée, je glisse à Gisèle: "Que dirais-tu d’offrir à ton neveu la chance de sa vie en se battant au moins une fois et pour de vrai et sans limite avec la belle Catherine? " Ma femme réfléchit pendant un long temps avant de répondre. Je vois à l’expression changeante de son visage qu’elle passe par divers sentiments sans doute plus ou moins contradictoires. Puis elle se lance: "Je crains de m’engager dans un long discours pour te répondre!" Je pense ‘c’est foutu, elle ne veut pas ‘ mais elle poursuit: "D’abord laisse-moi situer cette ‘face d’ange de Raoul’.... C’est un beau gosse de 22 ans avec un minois avenant qui cache plein de duplicité. Comme tu sais c’est un garçon très sportif et qui s’est voué aux sports de combats avec un attachement particulier pour le corps à corps très ‘très’ rapproché -tu vois ce que je veux dire!- Au point qu’il a du quitter la compétition universitaire pour cause de quasi-exhibitionnisme! C’est vrai que c’est un très bel étalon! Un bel animal fougueux de 22ans pour 1,70m et 70kg, tout en muscle mais aussi perpétuellement en rut!!! Un étalon qui saute du con d’une fille pour plonger dans le cul d’un beau blond et qui ensuite se branle sans complexe comme pour passer le temps!!! Oui une gueule d’ange châtain clair aux yeux bleus et à la peau douce qui cache des muscles toujours animés." Giséle se sert un verre de jus d’orange et j’en profite pour mettre mon grain de sel dans cette description: "Un ange avec une bite tellement appétissante, longue, forte et bien droite, tout çà sans être énorme! Belle au point que tu n’as pas pû résister de la foutre dans ta chatte!" "C’est un reproche?...Un peu tardif chéri!" "Oh non! Une simple constatation, et un compliment pour ton bon goût d’ailleurs! D’autant plus qu’après vos scéances de pattes en l’air tu en reviens toujours avec un appétit débridé et des orgasmes sauvages!!" "Merci!...j’en reviens à mes pensées. Il est vrai qu’en plus d’une vie sexuelle débordante Raoul est envahi de fantasmes fantastiques dont le plus effréné est de massacrer à coups de poings les seins d’une belle femme!!!" "J’y pense tout à coup, s’il est doté de tels désirs, il ferait peut-être Un bon partenaire pour Catherine...qui sait!!" "Tu m’enlèves les mots de la bouche car c’est la conclusion que mes réflexions m’ont apportée!" Pris par notre conversation nous n’avons pas vu Catherine arriver et du pas de la porte où elle s’est arrêtée elle nous interpelle: "Qui est cet ange, à la si belle bite, nanti de tels fantasmes et aux pouvoirs sexuels si surprenant? Ce Raoul qui pourrait devenir mon partenaire??" "C’est le fils de ma soeur ainée, un beau gosse avec une gueule d’amour, un bon sportif très bagarreur et un petit peu salaud sur les bords!" "Le fils de ta soeur....et tu...toi avec lui...tu...euh.." "Oui je ne m’en cache pas, mon mari en est ravi d’ailleurs comme tu as sans doute entendu! Je vais même aller plus loin, figure toi qu’il m’a avoué qu’en baisant avec moi, il s’imagine le faire avec ma soeur!!! Chose qu’il s’interdit bien sûr et que je comprends très bien!!" "Et tu crois...enfin, vous croyez qu’il aimerait me massacrer les seins comme vous dites et qu’il pourrait être apte à faire équipe avec moi??" "Si tu veux te battre contre lui tu pourrais juger de ses capacités." "Je veux le voir d’abord et s’il est d’accord pour se battre avec moi c’est avec plaisir que je ferai un essai!!" C’est ainsi qu’aujourd’hui nous attendon la venue de Raoul. Il arrive dans le vrombissement d’une décapotable d’un certain âge. Il n’est vêtu que d’un court short en jean, de basketts et de gants d’automobiliste. Son torse lisse est parfaitement bronzé, ses avants-bras et ses jambes sont habillées d’un fin et épars pelage chatain foncé. Ses yeux bleus sont sensuellement expressifs et son visage encadré d’une chevelure pas très longue est angélique!!... Son short révèle son anatomie sexuelle bien qu’il ne soit pas aujourd’hui dans cet état de rut qui est si fréquent chez lui. Catherine qui n’a pas quitté sa chaise fait à mi voix son appréciation: "Ses bijoux de famille sont prometteurs!.." Raoul s’approhe, nous salue d’un sourire entendu et vient faire face à Chritine qu’il examine avec impudeur. Son sourire s’accentue et comme seul compliment il baisse la main droite à hauteur de son short en s’assurant que le regard de son ‘interlocutrice’ suive le geste pour qu’elle remarque l’hommage que son sexe lui rend en lui présentant ‘les armes’ si je puis décrire ainsi le gonflement de sa bite dressée en biais dans le tissu du short!!! Il parle enfin, d’une voix à la fois mâle et douce: "Vous êtes si jolie ô mon bel ange blond!...comme dit le poête, que mon corps réagit à votre seule vue!... Soyez-en remerciée!!" Et il s’incline vers elle, presque sur elle, pour saisir ses deux mains et les porter à ses lèvres et y déposer un très léger baisé. "Et vous n’avez que 22ans jeune homme!!!...il est vrai que votre beauté vous autorise toutes les politesses aussi sexuelles soient-elles!.." En cette splendide journée d’arrière saison, Catherine s’est habillée dans un deux pièces d’été composé d’un soutien-gorge qui lui monte au ras du cou pour y être tenu par un collier et dont le bas est attaché dans le dos par un filet. La deuxième pièce est une jupe longue en forme de chasuble ouverte de chaque côté jusqu’aux hanches. Le soutien-gorge semble écraser sa poitrine ce qui lui donne de petites proéminences mammaires. Par contre les fentes de la jupe font qu’elle est assise sur le pan arrière et que celui du devant est replié entre ses cuisses qu’elle offre aux regards, dans le bel emballage d’un collant de nylon surfin noir. "La sensualité qui émane de votre corps en est la cause Madame!" "Je me nomme Catherine et nous devrions nous tutoyer " "Avec plaisir chère Catherine et je suis.." "Je sais Raoul. Je sais aussi que ton rêve est de pouvoir frapper les seins d’une femme à coups de poings le plus violemment possible n’est-ce pas!" "Mon rêve en réalité s’accroche à des images de seins un peu plus volumineux que les tiens." "Attends de les voir!!...Et en tout état de cause saurais-tu t’en contenter comme cible aujourd’hui? " "Bien sûr, d’ailleurs, tu es comme l’occasion,... tu es trop belle pour que je refuse ta proposition!!" "Alors allons-nous préparer! Gisèle tu nous accompagne? " J’y vais aussi bien sûr! Pour rien au monde je ne veux manquer tous les événements qui vont se dérouler. Catherine entre dans sa chambre, qui est celle qui précède dans le couloir notre fameuse ‘salle de jeux’, sans en fermer la porte dans l’ouverture de laquelle Raoul s’installe en toute indiscrétion pour voir la dite préparation de la belle amazone. Catherine soulève le devant de sa jupe et baisse le haut de son collant puis elle s’asseoit face à Raoul pour finir de l’enlever. Chaque pan de son vêtement est repoussé d’un côté et l’autre de la chaise. Elle offre au regard du garçon son pubis épilé et totalement ‘déshabillé’. Elle ôte ses nus-pieds à hauts talons et posant tour à tour une cheville sur un genou elle se dégage complètement du tissu arachnéen. Après s’être relevée elle enlève son soutien-gorge exposant ses deux magnifiques ogives fermes et orientées vers l’extérieur du torse.Deux têtes de fusées couronnées de mamelons déjà tendus et gonflés au milieu de deux larges aréoles granulées. Raoul est ébahi devant les deux petits bijoux qui sont si tentants!!! Machinalement il enfile sa main gauche par la ceinture de son short pour s’emparer de son membre turgide et lui donner de l’aise!!!...on l’entend mumurer: "Oh! Bon Dieu ! Qu’ils sont beaux!! " Catherine l’entend car elle guettait sa réaction : "Tu vois que les plus grosses choses ne sont pas toujours les plus désirables!! ..Alors maintenant comment me veux-tu ? En slip, en short ou toute nue ? Dis-moi tes préférences!!" "Tu n’aurais pas un porte-jarretelles et des bas fins noirs résilles de préférence!! C’est encore un de mes fantasmes!!" "Tu es vraiment plus tordu que ce que disait ta tante! Mais sois rassuré j’ai exactement ce qu’il te faut!!" "Alors en elevant sa jupe, Catherine se dirige totalement nue vers une de ses valises qu’elle vient poser sur le lit. Ensuite elle se penche en avant pour chercher les objets en question. En même temps elle écarte les jambes et cambre son fessier, prenant une position qui fait gémir de convoitise le pauvre Raoul!!! Elle installe alors un potre-jarretelles large à la ceinture qui lui resserre la taille et en toute indécence elle reprend place sur la chaise pour enfiler ses bas. Elle s’emploie à prendre toutes les positions les plus suggestives possibles, offrant aux yeux de Raoul tous les aspects de sa vulve entrouverte et ouverte!!! "Tu es la plus belle exhibitionniste que j’ai jamais vue!! Si tu continues tes simagrées mon gourdin va cracher sa sève tu sais!!....Et moi comment faut-il que je m’habille pour lutter avec toi??" Mais Catherine ne lui répond pas. Elle a changé de physionnomie en même temps que de tenue. Son visage est sévère tout à coup et tout son corps devient beaucoup plus musculeux que l’instant d’avant. Je réalise qu’elle est devenue la combattante, prête à se battre, sans merci et à fond. Mais Raoul ne l’a pas encore réalisé qui insiste: "Dis-moi belle allumeuse comment je dois me mettre pour te plaire" Catherine qui maintenant se dirige vers la porte pour se rendre dans l’arène le bouscule pour avoir le passage et brutalement lui répond: "Je m’en fous et tu m’emmerdes!!!...maintenant vient te battre.. sans règles et tout permis!!..Est-ce que tu t’es battu déjà avec une vraie femme?...Et puis tu sais de toute façon je m’en branle!!" Après un moment de stupeur devant un tel changement d’attitude, Raoul qui la suis dans le couloir regarde Gisèle et silencieusement l’interroge en portant son index droit à sa tempe et le vrille pour faire le signe de la folie! Mais Gisèle à mi-voix lui répond: "Attitude normale de toute combattante qui va s’engager dans un combat au finish! Tu es averti!" Nous sommes dans la salle de jeux. Je ferme la porte et cale bien le tapis qui est dressé devant après avoir allumé l’éclairage électrique. Puis avec Gisèle je me déplace pour que nous soyons positionnés entre les deux adversaires le long du mur près de la porte qui donne sur la salle de bains. Raoul qui est resté près de l’entrée a perdu un peu de l’arrogance de sa virilité, mais celà ne dure pas longtemps. Lorsque côté fenêtre Catherine se retourne vers lui, Raoul est à nouveau en admiration devant la merveilleuse amazone qui lui fait face. Il est en admiration devant la vulve épilée, saillante et épaisse qui s’offre au-dessus des bas noirs. Il est à nouveau obligé de donner de l’aise à son pénis tendu et gonflé au maximum.Et la barre de chair tendue obliquement dans le sillon de l’aine anime de ses pulsations le tissu du short. Ils resteraient là à s’étudier et s’admirer mutuellement si Gisèle ne préciptait pas le mouvement: "Allez!!...Battez-vous et que le meilleur gagne!!!" Catherine fait les quelques pas qui l’amènent au centre de la pièce. De son côté Raoul paraît un peu dépassé et comme ils s’attarde c’est Catherine qui l’interpelle. "Cogner à coups de poings dans des nichons!!...C’est ton désir oui ou non??...alors qu’est-ce que tu attends??" Comme fouetté par l’ironie, Raoul se précipite poings levés sur son adversaire qui l’attend stoïquement les bras ballants le long du corps. Sec crochet du gauche dans le sein droit et idem du droit dans le sein gauche et Raoul se recule d’un pas, désarmé par l’abscence de réactio de la femme. Il va pour renouveler son assaut mais aussitôt qu’il fait le premier mouvement de recul de son bras pour prendre l’élan nécessaire, Catherine se recule et lui envoie un coup de pied haut qui atteint le garçon sur le côté gauche de son visage. Sous la violence du choc il est bousculé sur sa droite et déstabilisé. Catherine n’attend pas, son pied droit est à peine revenu au sol qu’elle place un crochet du gauche à la face de Raoul qui l’atteint au niveau de l’oeil droit. Et elle suit son attaque par un martelage en règle du visage, gauche, droite, gauche, droite...jusqu’à ce que son adversaire qui a reculé dos au mur se couvre pour se protéger et par en dessous en uppercut se met à son tour à rendre les coups. Il essaie d’atteindre le menton mais finit par retrouver les seins!!!... Alors comme pris de furie et sans plus chercher à se défendre il entre dans son fantasme, son obsession pourrait-on dire. Il frappe de toutes ses forces les deux belles petites masses et sur son visage, qui commence à être marqué par les coups qu’il reçoit, commence à se dessiner un sourire sacastique ou sardonique. Et maintenant c’est Catherine qui recule et qui commence à grimacer de douleur sous le martèlement. Alors elle joue la méchanceté et lève violemment son genou gauche entre les cuisses du garçon dont elle vient écraser les couilles. N’oublions pas que si la fille est à peu près nue puiqu’elle ne porte que des bas soutenus par le porte-jaretelles. Par contre Raoul a conservé son petit short en ‘jean’,ses gants pour la conduite automobile et ses basketts. Mais le short est peu protecteur. Or le coup violent fait mal et en même temps coupe le souffle!!.. C’est donc une pause qui s’installe comme les deux adversaires se reculent et tentent de soulager leur souffrance respective. Catherine caresse doucement par en-dessous les deux cônes obliques de ses seins qui déjà portent les premières traces des coups reçus. Raoul de ses avant-bras s’est essuyé le visage qui commence à suinter le sang là où la peau s’est déchirée. Puis il a soulevé ses couilles pour soulager la douleur qui ressemble à un poids trop lourd. Mais non content de la détente obtenue il glisse une main dans son short dont il ouvre le bouton de ceinture pour faciliter l’accès. Il la retire pour enlever son gant et l’entrer à nouveau. Il semble qu’il déplace ses testicules mais surtout il s’attarde sur sa hampe dressée. C’est le moment où Catherine intervient: "Quand tu auras fini de te branler on pourra continuer!!" "Mais je ne me br..." Il n’a pas le temps de poursuivre. Catherine est revenue à l’attaque, cette fois à coups de pieds en fauchage dans les côtés des cuisses pour affaiblir les quadriceps. De chacun de ses pieds sur chacune des cuisses du garçon. Le bruit claquant des coups est aussi stupéfiant que la puissance qu’elle met dans l’action. Raoul a retiré sa main dégantée et laisse entouverte la ceinture de son short. Il essaie de parer les coups avec ses mains. Puis il saisit la cheville de la jambe droite qui le frappe et la lève très haute ce qui déséquilibre la blonde et l’oblige à sautiller sur l’autre pied. Puis il amène sa main droite sous la cuisse levée. Il donne l’impression de caresser doucement le muscle gainé de fin nylon qui crisse. Catherine se rapproche de son adversaire en pliant son genou levé et le saisit par une poignée de cheveux. Elle confirme sa prise en accrochant le poignet droit de Raoul et elle les entraine tous les deux au sol en se laissant tomber en arrière. Comme elle est une habile lutteuse, Catherine manoeuvre de façon à se retrouver sur le côté et le plus possible dessus le garçon. Ils engagent une lutte au sol pour acquérir la position supérieure. Les jambes s’enlacent et se délacent en se cognant des genoux et des pieds. Chacun cherche à saisir les bras ou poignets de l’autre. La lutte est un peu confuse et indécise. L’un et l’autre prenant tour à tour le dessus momentanément. C’est finalement Raoul qui en sort vainqueur. Il a enlacé ses jambes écartées en V avec celles de Catherine et il la cloue dos au sol avec la charge de son propre corps. Il bloque sur le tapis le poignet droit de la fille qu’il tient de sa main gauche. Son buste est légèrement relevé et il commence à frapper le visage de la blonde des coups de son poing droit. Catherine se protège de son avant bras gauche en arquant son bassin qu’elle soulève et agite pour désseller le garçon. Le frottement du nylon sur les cuisses ainsi que les coups de boutoir du pubis sur le bas ventre du jeune homme finissent par avoir un effet sensuel sur celui-ci qui soudain déhanche son bassin pour mieux en profiter. Son relâchement dans sa concentration permet à Catherine de le prendre en un ciseau de ceinture dans l’étau de ses puissantes et muculeuses cuisses. Immédiatement elle bascule leur couple sur le côté et à son tour elle recommence à marteler de petits coups de poings secs la tête de Raoul. Pour se défendre celui-ci s’empare d’un sein dans chacune de ses mains et se met en devoir de chercher la meilleure façon de les blesser. Il griffe, il pince, il broie, il tord et il tire. Les deux adversaires sont déchainés chacun dans son attaque qui pourrait dûrer sans fin si la pression des cuisses sur l’abdomen de Raoul ne devenait par trop intolérable. Abandonnant un sein puis le second, le garçon tente de repousser les cuisses et d’en desserrer l’étau. Comme il comprend qu’il s’attaque à deux masses de bronze indestructibles, il pousse les doigts de sa main droite dégantée à l’assaut de la vulve gonflée de Catherine. Mais la blonde ne tolère pas une attaque aussi dangereuse. Alors elle relâche son ciseau et bouscule Raoul comme pour se redresser. Il se trouve assis et elle à genoux dans son dos. Elle l’empoigne par les cheveux. Elle se couche sur son dos en l’amenant avec elle. Mais en même temps elle relève ses jambes et saisit la tête du jeune homme de derrière entre ses cuisses. Je sais, pour l’avoir subi moi-même, qu’une fois pris de cette façon on a l’impression que le crâne va éclater!!! Ils sont près du mur.En se tournant sur son côté gauche et en reculant ses fesses Catherine arrive à coincer dos au mur elle et son adversaire. La nuque du mâle est en appui sur la vulve de la femme. Ses joues sont écrasées par les cuisses tendues dans leur fourreau de nylon à hauteur du renfort pour les attaches des jarretelles. Son horizon est les genoux preque croisés devant ses yeux. Pour se libérer il s’attaque encore aux cuisses qu’il griffe au travers du nylon sans grande efficacité. Il essaie de pincer!!...mais peut-on pincer une masse d’acier!!!...il agite son corps pour tenter de se tourner et venir face à l’adversaire, mais il ne peut que pousser des talons sur le mur pour s’en éloigner. Il commence à grogner et gémir de douleur sous l’effet d’écrasement de la prise, alors que de son côté Catherine prend le temps de récupérer son souffle, d’essuyer ses blessures et même de nous regarder en nous adressant un léger sourire ironique. Elle se sait maitre en ce moment. Je ne sais par quelle astuce elle parvient en se laissant descendre sur son dos à tourner Raoul avec les fesses au mur et les jambes levées. Il est vrai qu’elle a saisit ses deux bras et doit s’en servir comme levier. Le garçon a son corps en équerre et sa nuque est encore plus sollicitée en une courbure qui devient limite. Et puis Catherine se plie elle aussi au niveau du bassin de telle façon que ses jambes dressées serrées soient un peu de côté pour permettre à sa main droite d’atteindre surtout la hampe gonflée de la verge au travers du jean. Par dessus le tissu elle l’empoigne et commence à pétrir la bite dont l’érection était encore presque totale. Elle y va doucement, faisant glisser la pince du pouce et de deux autres doigts le long du pénis. Elle s’attarde un peu sur le gros brugnon qui déforme le short d’une façon aussi significative. Mais à un sursaut de recul du jeune homme elle comprend qu’il lui faut revenir à la ronde barre de chair. Elle pince à la base et tire vers le bout. Elle relâche et sans cesse recommence. Soudain elle roucoule!!...Elle a senti les pulsations spasmodiques de la pré-éjaculation. Elle écoute aussi semble-t-il le soufflet de forge qui émane d’une manière rocailleuse de Raoul. Lequel a pris son poignet et maintenant la guide. Le mouvement s’allonge et s’accélère en même temps. Et quand il éructe son plaisir le branlage une fraction de seconde suspendu reprend plus ample plus long et en plus forte pression pour vider tout l’organe jusqu’à la dernière goutte. Elle a lâché sa prise de cuisses sur la tête de Raoul qui s’est amolli et reste tout bonnement le cul contre le mur pendant qu’elle se dégage de lui!!... Pendant qu’elle examine les griffures sur ses cuisses et ses seins, Raoul est revenu sur son côté gauche puis il commence a se relever. Une fois à genoux il enlève son deuxième gant. Il baisse son short qui est beurré à l’intérieur de sa laiteuse semence. Il se met debout, il garde la chaussure que leur lutte de pieds et de jambe n’avait pas fait partir. Enfin il ôte son short et en se servant de la partie extérieure du tissu, il essuie sa bite, son ventre, ses cuisses, ses jambes et ses mains avant de le jeter dans un coin de la pièce. La raideur métallique de son érection s’est affaissée, mais le pénis est toujours engorgé. Il essuie également la sueur et le sang qui engluent sa face et son torse. Machinalement il empoigne son membre et relève son regard vers son adversaire féminine qui l’attend patiemment en caressant ses seins doucement. Il n’en faut pas plus au jeune lutteur pour voir sa bite petit à petit retrouver sa vigueur naturelle!!! "Çà t’a fait du bien?? Vas-tu pouvoir te battre maintenant??" "Viens voir putain, c’est moi qui va te faire jouir maintenant!!" Maintenant qu’il est tout nu, il se lance bite en avant à l’attaque de la belle blonde dont les bas portent quelques échelles. Ils s’attaquent comme deux boxeurs de ‘taïe’, pieds et poings sont de la partie. Les poings sont aussi bien dirigés sur le visage que sur le reste du buste. Les coups sont secs et percutants. Ils n’atteignent pas toujours leur but, mais quand ils portent, le grognement de douleur témoigne du succès. Les coups de pieds de Raoul ne sont pas portés haut. Ils visent et atteignent surtout les cuisses et parfois les côtés vers les reins. Ceux de Catherine ont en plus comme cible la tête du garçon et elle est habile dans ce genre de coups. Progressivement ils se rapprochent l’un de l’autre. Les coups sont moins longs mais restent violents. Il leur arrive tour à tour de subir un choc si violent qu’ils sont amenés à poser un genou à terre. C’est un suspens de courte durée car celui qui est sonné se relève tout de suite et repart a l’attaque. C’est lors d’une de ses génuflexions que Catherine a reçu au visage un violent coup de pied de Raoul. Elle a eu le réflexe de pencher sa tête sur le côté mais la chaussure de basket du garçon lui a déchiré le visage en allant du côté du menton jusqu’à la tempe. Ce sont les genoux maintenant qui entrent en action et les entre-cuisses ne sont pas épargnés. Le combat devient de plus en plus sauvage. Ils émettent des ‘Han’ d’effort avec les coups lancés. Les corps ruissellent de sueur mélangée de sang. Ils finissent par s’accrocher et se tenir. Une main passée derrière la tête de l’autre pour porter des coups de boule ou de méchants petits uppercuts. Les bras s’enlacent pour laisser place aux genoux. Raoul a sa tête posée sur l’épaule droite de Catherine et il est en train de lui cogner le sein gauche à bout portant de sa main droite. Catherine a son bras droit derrière le torse de Raoul et de sa main gauche elle frappe son sexe, la hampe dressée le long de son ventre. Elle lui fait mal, alors il mord l’épaule et le sang suinte aussitôt. Elle ne réagit pas tout de suite, c’est une douleur parmi les autres. Mais lorsqu’il agite sa tête de gauche à droite comme un dog, elle le repousse en lui assénant un bon crochet du gauche en plein sur le nez dèjà sanglant. Ils s’éloignent de deux ou trois pas et se mettent à tourner l’un autour de l’autre en se regardant. Ils reprennent leur repiration mais ils sont prêts à reprendre le combat sans attendre. D’ailleurs Raoul se lance vers Catherine. Elle a levé ses poings mais il l’attrape à deux mains par la chevelure et il se met à la propulser en tous sens. Il parvient à passer derrière elle et toujours en la tenant par les cheveux il la pousse violemment contre un mur où il lui cogne le visage à plusieurs reprises. Sous le déchaînement violent de la ruée Catherine n’a pas eu la possibilité d’organiser une défense. Maintenant elle lui prend les poignets en prise arrière. Elle se tourne en puissance et dans le même mouvement elle tombe à genoux en se courbant et d’une poussée elle le propulse par dessus elle. Raoul vient s’allonger sur le dos devant elle. Qui en se redressant le frappe au visage du plat du pied. Il prend la cheville en se retournant sur le ventre et se met à genoux. Comme elle est debout devant lui, sa jambe droite maintenue de biais, il lui lance entre les cuisses un violent coup de poing de bas en haut. Il a lâché la cheville alors elle appuie sur sa tête et simultanément lui lance un violent coup de genou en plein visage. Il en tombe sur le cul assis un peu groggy et son nez se met à pisser. Elle lui lance un nouveau coup de pied en fauchage à la tête. Je pense que c’est son gros orteil qui entre dans l’oeil de Raoul. Celui-ci s’écroule sur son côté droit, celui opposé à l’oeil. Je pense que le combat est terminé mais Catherine n’en a pas eu encore assez. Elle le tourne sur le dos et va pour s’asseoir sur sa poitrine. Est-ce inné ou instinctif? Il lève ses genoux et la prend en plein sur le sexe. Il poursuit sa poussée de genoux et l’envoie bouler à son tour derrière sa tête. "Le salaud il n’est pas encore fini!!...C’est bon signe!!.." C’est ce que grogne Catherine un peu surprise par la réaction de Raoul qu’elle pensait avoir rendu inoffensif. Alors qu’elle se retourne pour faire face à son adversaire, Catherine est étonnée et surprise de le voir debout devant elle. Il la saisit à nouveau par la chevelure et sans complexe lui envoie un violent coup de genou dans la vulve. Comme la fille d’instinct s’incline sous le choc il tire les cheveux vers lui et en bas pour lui lancer son autre genou dans la figure. C’est elle maintenant qui saigne du nez!!... Alors Catherine applique la prise féminine sur l’orgueil du mâle. Elle lui empoigne les couilles à pleines mains et se met à secouer violemment vers le sol les organes sensibles. Ce n’est pas un cri, c’est un hurlement qui s’étouffe dans sa gorge que pousse la pauvre Raoul qui tombe à genoux en enveloppant de ses deux mains les bijoux de famille lâchés par la grande blonde. Catherine vexée d’avoir été surprise le pousse dos au sol. Comme le garçon est dans une position foetale elle se baisse vers lui pour le mettre dos au sol. Il a toujours ses mains en bonnet sur ses couilles et ses talons sont posés à terre, genoux pliés. Celà n’empêche pas la fille de se mettre à cheval sur la poitrine par dessus les bras qu’elle coince en même temps Elle fait tomber un sauvage coup de coude sur la bouche du garçon.. Alors elle s’avance jusqu’à ce que ses cuisses arrivent de chaque côté du visage. Elle laisse descendre son sexe sur la face de Raoul et en enfouissant son nez entre les lèvres gonflées et luisantes de ses sucs, elle se masturbe sans qu’il réagisse aucunement. Elle monte et baisse, fait avancer et reculer son bassin puis en s’aidant de ses doigts pour se donner plus de contact, elle atteint un orgasme qui la secoue longtemps, s’apaise puis reprend au moindre de ses mouvements, jusqu’à ce qu’épuisée elle se laisse tomber sur la tête du vaincu!!!.. Gisèle et moi avons suivi avec passion ce combat violent et sauvage. Nos corps en ont été sexuellement émus et sans même trop bien nous en rendre compte, nous nous sommes plus ou moins dévêtus. Lorsque Catherine a empoigné les couilles de Raoul, je n’ai pas pû refreiner la poussée sexuelle qui m’a gagnée. J’ai vu Gisèle à côté de moi le corsage ouvert et la jupe retroussée en train de se masturber en gémissant. Je l’ai plaquée dos au mur et je l’ai soulevée. Elle a écarté ses cuisses qu’elle a levées de chaque côté de mes hanches. Alors je l’ai empalé en poussant en elle mon phallus gorgé et trépidant de désir. Nous avons coïté au rythme de la masturbation de Catherine sur la figure de Raoul et nous avons tous éclaté de plaisir dans nos orgasmes respectifs presque simultanément. La fin d’e l’’après-midi est occupée à soigner et reconforter les combattants. Les griffures, les morsures, les déchirures, les hématomes et les nombreuses contusions. L’oeil de Raoul a reçu une attention toute particulière ainsi que ses lèvres éclatées par le coup de coude. Au cours de la soirée Catherine paraît heureuse elle le dit: "Je vais l’essayer au lit et s’il est aussi bon pour la baise que pour soutenir la douleur, avec de l’entrainement je pourrai peut-être en faire mon partenaire et alors les Hollandais n’auront qu’à bien se préparer!!!" Joyeuses fêtes à tous.