Tué par sa mère Ma mère était divorcée et vivait seule avec mon frère et moi. Mon frère avait 13 ans quand il est mort. J'en avais 17. Traumatisé par cette tragédie, je n'ai jamais rien dit mais j'ai quitté la maison depuis. Deux ans avant cet événement, ma mère avait décidé de faire de la musculation. Elle possédait de très belles jambes car elle adorait le vélo. Ce sport l'avait beaucoup musclée et lui faisait des cuisses athlétiques et des mollets galbés. Elle s'était rendu compte que plus elle se musclait, plus elle avait des compliments des hommes, ce qu'elle appréciait beaucoup. C'est une amie culturiste qui lui avait proposé de faire de la musculation, en voyant le potentiel qu'elle possédait. Et en effet, les jambes de ma mère se développèrent encore plus. Elle prit 12 kilos en un an, tout dans les jambes. Il faut dire qu'elle ne travaillait que cette partie de son corps, et avait donc toute l'énergie pour se concentrer dessus. Elle continua même le vélo. Ses amies cyclistes virent les résultats: elles ne pouvaient presque plus la suivre. A la maison, elle se mit à manger beaucoup de viande. "Il faut que je nourrisse me muscles", disait-elle en riant et en caressant ses cuisses. Puis vint l'été. Elle acheta des robes et des jupes si courtes qu'on voyait parfois ses fesses se découvrir. J'étais fasciné par ses jambes. Mais je me gardais bien de le montrer. C'était ma mère et je n'avais pas le droit de laisser aller mes fantasmes. Me pensant totalement insensible, oubliant que j'étais un garçon avec des désirs sexuels, elle ne montrait aucune pudeur envers moi et aussi mon frère qui, il est vrai, était encore un enfant. Ce dernier était aussi fasciné que moi par la musculature de notre mère, mais à la façon d'un enfant. Il touchait en riant les mollets maternels, s'émerveillant des muscles saillants que ma mère s'amusait à contracter. Au bout d'un an, l'attitude de notre mère changea. Elle devint plus exigeante avec nous. Elle devenait dure. Si nous ne lui obéissions pas ,elle se mettait en colère et nous giflait. En mon for intérieur, je priais pour qu'elle n'utilise pas la force de ses jambes, en donnant des coups de pieds par exemple. Bientôt, elle nous obligea à lui prodiguer des massages après ses entrainements: à tour de rôle, nous dûmes lui masser les mollets et les cuisses alors qu'elle était allongée sur son lit. Ce fut très dur pour moi. Je n'avais jamais osé toucher ses jambes. La première fois, les larmes me montèrent aux yeux. Elle m'emmena dans sa chambre, puis ota sa jupe devant moi. Ses cuisses étaient énormes, bronzées et gonflées par un entrainement intense. C'était à peine si sa culotte cachait son sexe. Elle prit d'abord un mètre de couturière et mesura son tour de cuisses. Je m'en souviens comme si c'était hier. Je me souviens du chiffre qu'elle avait annoncé, triomphale: 68 centimètres. Devant mon regard vide, elle dit: "tiens, je vais mesurer ton tour de cuisses, juste pour voir la différence". J'eus un mouvement de recul. Mais elle rit: " va, je t'ai déjà vu tu sais". Elle ouvrit mon pantalon, et le fit glisser le long de mes cuisses maigres. Mon sexe était en érection et tendait le tissu de mon slip. Elle ne dit rien, mais sourit. J'étais rouge de honte. Elle passa le mètre entre mes cuisses, effleurant mon sexe. "42 centimètres", lit-elle sur le ruban. "Tu as du travail à faire mon chéri", dit elle en me caressant le visage. Elle alla ranger le mètre. Je la regardai marcher, gênée par ses cuisses qui se touchaient. Puis elle s'allongea sur le ventre. "Masse moi d'abord les mollets, puis les cuisses", m'ordonna-t-elle. Je posai mes doigts tremblants sur son mollet. Elle le contracta. Il était énorme. Je le caressai d'abord, fasciné. Elle soupira: "vas-y, plus appuyé".Je pris le mollet à deux mains. Même ainsi, je n'en faisais pas le tour. Je la massai longuement, continuant par ses cuisses énormes. J'étais à genoux par terre, le visage à leur hauteur, une envie folle de déposer un baiser dessus. Puis elle s'assit au bord du lit. J'étais à genou devant elle. "C'est bien, dit-elle en me caressant la tête. ca te plait?" Je n'osais dire non. D'autant plus que ca me plaisait énormément. Elle m'invita à m'assoir près d'elle. Je baissais la tête. Elle se mit à m'expliquer les exercices qu'elle exécutait pour ses jambes, et aussi à quel point elles avaient grossi. Elle tendit la jambe, faisant saillir les muscles du devant de sa cuisse. "C'est beau, non?" Je ragardai. Soudain, elle posa sa main sur mon pantalon. MOn sexe était au bord de l'éjaculation. Elle ouvrit les boutons et sortit mon sexe du slip. "Là... comme ca, je vais t'expliquer", dit-elle. Et elle se mit à me masturber lentement, d'une main experte, tout en faisant se gonfler ses puissants quadriceps. Elle me parla en détail de la puissance qu'elle avait aquise. Je n'y tenait plus: je jouis soudain, arrosant de sperme sa cuisse collée contre la mienne. "Gros dégueulasse", cria-t-elle. Et elle me gifla avec une telle violence qu'elle me projeta à ses pieds.