Education. Copyright: TheValkyrie.com Je vis chez maman, j'ai 17 ans, je suis timide et toujours puceau. J'aime les femmes mais, je n'arrive pas à les aborder. Je mesure 1m80 pour 72 kg, je me crois plutôt mignon. Je suis très complexé par la taille de mon sexe qui ne dépasse pas 11cm en érection. Maman, Catherine, est une très belle femme de 46ans, 1m64 pour 42 kg. Elle est médecin et nous assure une vie agréable. Elle est veuve depuis cinq ans, et je ne lui connais pas de relation, même si je sais qu'elle a des amants. Elle est toujours vêtue de manière stricte comme son caractère, elle est une femme de tête et surveille mes études, moyennes, et mon éducation. Tout à débuter voici trois jours, lorsque maman m'a surpris en train de me masturber dans une de ses paires de sandale et à découvert mes penchants masochiste. Je dois me dépêcher, je n'ai pas fini le repassage, il est près de 18 heures et maman va arriver. Depuis trois jours, je suis surchargé de travail. Maman a commencé mon dressage. Elle s'est découverte une propension à la paresse, depuis trois jours. Dès son travail terminé, elle me rejoint, vérifie mon travail. Je lui sers un apéritif, lui prépare son bain. Je suis nu comme un ver. Mon sexe ne cesse de se dresser devant la beauté altière de maman. Cela l'amuse, elle me nargue, se moque de la taille ridicule de mon pénis. Elle lit beaucoup, elle a dévoré mes livres, et en a acheté de nouveau. Elle invente chaque instant de nouvelles humiliations pour casser ma volonté. Avant-hier soir, elle m'a fait agenouillé à ses cotés, et nous avons regardé le film qu'elle m'a confisqué. A la fin de celui-ci, elle s'est levée, a simplement dit: A ton tour! Et d'un seul coup de pied, elle a explosé mon sexe. Je ne pensais pas, lorsque je me masturbais il n'y a pas si longtemps, que cela faisait aussi mal. Je me suis effondré à ses pieds. A présent, j'apprends le rôle de domestique, j'effectue toutes les taches ménagères. Je me lève à six heures du matin, et me couche tard suivant le bon vouloir de celle que j'appelle désormais: Madame. Le matin elle place sur mon gland un scotch, pour éviter une masturbation intempestive. Elle a décidé de m'acheter ce week-end, une ceinture de chasteté. Elle monte souvent dans la journée, pour vérifier mon travail. Elle ne manque jamais l'occasion de fustiger mon manque rapidité. Elle me gifle, me frappe. Soudain la porte s'ouvre, maman est là. Son travail est terminé. Je pose le fer à repasser et file m'agenouiller devant elle. Elle sourit, caresse mes cheveux. Je me lève sur son ordre, elle donne une petite tape sur mes fesses. Vodka! Je me précipite, je l'entends rire. Elle se dirige vers sa chambre. Ici! L'ordre est bref, je lui porte son verre dans sa chambre. Elle est assise sur son lit je lui tends le verre et m'agenouille, guettant ses ordres. Cherche une paire de chaussures dans l'armoire! Je me dirige vers son armoire à quatre pattes, pousse la porte et regarde parmi la trentaine de paire. Avec ta bouche! Vite Je me penche, et saisi une ravissante paire de mocassins en cuir noir. Je me retourne et fonce aux pieds du lit de maman. Dans ma précipitation, une paire de bottines tombe sur le sol. Je croise le regard de maman, un frisson me parcours, la punition sera terrible. Elle me fait allonger à ses cotés. Très jolie paire, tu les as déjà honoré? Oui, Madame. Elle se redresse, pose son verre vide sur la table de nuit. Puis elle se penche vers moi. Mains derrière la tête! Ordonne-t-elle. J'obéis. Je sens sa main s'emparer de la base de mes couilles, mon pénis se dresse attendant le châtiment. Elle prend le mocassin et frappe violement sur mes œufs. Je cri de douleur, je la supplie, elle frappe. Pour avoir renverser mes bottines, et pour ne pas avoir fini le repassage. La nausée me prend, je souffre, enfin la punition cesse. Maman s'assoit sur mon ventre, elle se penche, j'aperçois ses seins, finement retenus dans un soutien-gorge mauve. Tu sais que je peux exiger que tu me fasses l'amour? Oui ... Oui, Madame. Je suis sidéré, une femme si belle, si puissante, qui nargue son fils, qui le caresse, qui s'emploie à le faire bander. Elle se lève, se déshabille, enlève sa jupe stricte, fait valser ses escarpins, enlève son soutien-gorge et le jette sur mon sexe, retire sa petite culotte. Elle l'enfouie dans ma bouche, mord mes tétons. Je te plais? Un hochement de ma tête approuve. Elle vérifie la dureté de mon sexe, s'amuse avec. Elle prends le téléphone sur sa table de nuit, pose ses fesses sur mon ventre, compose un numéro et s'empare de l'un de mes testicules. Elle appelle un ami, la discussion est torride, j'entends maman parler de fellation, de cunnilingus. Ses doigts se serrent sur mon testicule, me serre, me meurtri, je pleure. Elle semble avoir oublié ma présence, si ce n'est ses doigts terribles, elle rie, semble heureuse. Elle raccroche, se lève. Un autre verre! Et prépare mon bain, je sors ce soir. Je me lève, prêt à obéir, un sentiment de jalousie m'envahie, maman va rencontrer un galant. Cette nouvelle me fait plus mal qu'un coup de pied dans mes testicules. Maman est ravissante, une jupe de cuir noir, une blouse blanche, les bottines que j'avais renversés tout à l'heure. Une veste de fourrure complète son habillement, elle est maquillée, un rouge à lèvres carmin qui tranche avec la pâleur de son visage. Elle vient de m'attacher les bras dans le dos, au radiateur de ma chambre, il est 19h45. Elle sort, je l'entends prendre les clés de sa voiture, et déambuler dans l'entrée. Tout à coup je la vois entrer dans ma chambre, elle n'allume pas la lumière, se dirige vers moi, à genoux, sexe dérisoirement tendu vers sa beauté. Bonne soirée, chéri. Elle part, superbe, me laissant gisant au sol, abattu par un terrible coup de pied bien placé. Je pleure impuissant, jaloux de ses amours, meurtri dans mes chaires. En trois jours je ne supporte plus les coups dans mes couilles. Je voudrais tant être né femme, ne plus craindre chaque minute le courroux de maman. Je m'endors, complètement anéanti, par une femme cruelle, qui s'amuse à me détruire à petit feu. elricnec@aol.com