Maman, la machine à masturber. Une histoire incestueuse d’une mère, purgeant sans arrêt son fils et son copain, d’après Kandor. Robbie rentre à la maison avec John son copain. Sa mère, Rhonda, est dans la cuisine. De retour, les males ? Oui, maman Vous avez rencontré des filles ? Demandent-elle. Robbie grogne. A 16 ans, lui et John sont sortis pour draguer et il sait pourquoi Rhonda lui pose cette question. Non maman, nous avons été au cinéma. Rhonda vient à leur rencontre, un sourie de satisfaction à ses lèvres. Elle a 46ans, des cheveux blonds courts, un physique agréable. Elle pratique le body-building depuis des années, ses muscles sont saillants, Robbie la craint car elle est plus forte que lui. Elle impose sa loi, par la force si nécessaire. Régulièrement, Robbie est giflé ou fessé, John lui rêve d’elle depuis qu’il l'a rencontré voici trois jours. Il est par fasciné par les muscles et le coté autoritaire de Rhonda. Perché sur ses sandales à plates-formes, mains sur les hanches, elle toise les deux jeunes garçons. Mentez-vous, jeunes hommes ? Oh non, Mère, vous le savez ! Dit nerveusement Robbie. Si tu sors avec une fille, Robbie, je dois te purger, et toi aussi, John ! Vous le savez, j’exige un amour total et exclusif envers moi votre Déesse ! Si vous mentez, je vous purgerai jusqu'à ce que vos noisettes soient des raisins secs ! Suis-je claire ? A nouveau, avez vous dragué des filles ? Penauds, les deux garçons hochent la tête négativement. Mais Rhonda sait qu’ils mentent. Elle sourit, sure de son autorité et de son pouvoir. Bien, le détecteur de mensonge, je commence par John ! Il frémit, se laisse prendre la tête par les mains puissantes de Rhonda. Elle l’emmène dans sa chambre sous les protestations minables de Robbie. Maman, pitié, laisse-le, c’est mon seul ami, le seul à t’admirer, il est amoureux de toi ! Elle bascule John sur son lit, il la regarde effrayé, son regard est pourtant amoureux. Il aime cette femme musclée. Elle se déchausse, se déshabille. Il aime être traité ainsi par celle qu’il considère être un être supérieur, une Déesse. Son corps est parfait, Robbie le sait pour l’avoir à de nombreuses reprises vénèré, léché, adulé. John découvre les muscles saillants. Il est fasciné, incapable de bouger. Dernière chance, dites-moi la vérité ! Elle s’approche de sa victime figée, elle monte sur le lit, se place derrière John et ses longues jambes se referment tel un étau sur le cou du malheureux. La pression est telle que John étouffe, incapable de respirer, ses mains ne peuvent empêcher les jambes de Rhonda d’exercer leur terrible travail. Ses yeux sont exorbités de douleur et d’effroi. John, tu ne pourras pas te délivrer de mon étreinte, demande à Robbie. Même son père en était incapable ! C’est pour cela qu’il a divorcé et que je domine à présent ton ami Robbie le menteur ! John ne peut parler, il sent ses forces l’abandonner. Maman, pitié, tu lui fais mal. Avez-vous dragué des filles ? John gémit, les larmes aux yeux. Oui, maman, oui, nous l’avons fait, pardon, pardon maman ! Rhonda sourit et relâche sa prise. D’une main ferme, elle serre la cuisse de John pour l’empêcher de s’enfuir. John, petit veinard, je vais purger ton sexe, le faire jouir pour t’empêcher de vouloir draguer de jeunes filles. Je vous l’ai interdit, vous devez être punis, dit-elle calmement. Elle regarde John dans les yeux, il ne peut que les baisser incapable de soutenir le regard implacable de Rhonda. John, veux-tu être le premier que je masturbe ou tu préfères que ce soit Robbie ? Je peux aussi vous masturber ensemble, cela ira plus vite ! John, blessé, veut partir, elle va trop loin. Il tente de se lever. John ne fait pas cela, supplie Robbie. Il a à peine le temps d’arriver à la porte que Rhonda s’est saisi de lui. Ses puissants muscles le dépose sur son épaule et elle le transporte dans le salon. Elle le jette au sol puis dans un rapide mouvement, elle s’assoit sur le torse de son jouet. John hurle de douleur. Rhonda exaspérée par les cris se soulève légèrement et glisse son fessier sur le visage de John. Elle pèse de tout son poids, l’asphyxiant. Au bout d’une minute de ce traitement, d’un mouvement vif, elle reprend la tête du garçon dans l’étau de ses jambes. Ses seins se plaquent sur le pubis de John et ses mains s’activent à lui retirer son pantalon. Sa main s’empare du pénis offert. Robbie regarde la scène résigné, préférant attendre son tour que de fâcher Rhonda en tentant vainement de secourir son ami. Hum, très jolie queue, tu vois Robbie, elle est bien plus grande et grosse que la tienne. Sa langue glisse à la base du sexe juvénile et lèche le bout de chair qui grossi sous l’action combinée de sa langue et de sa main experte. Rhonda grogne de plaisir en regardant l’énorme pénis dressé. D’un doigt elle disperse sur le gland les gouttes de lubrifiant, qui perlent. Elle pistonne le membre. John gémit de plaisir entre les cuisses de Rhonda. Regarde, Robbie, il va jouir. Viens John, viens mon bébé ! Sa main libre malaxe les testicules de John, provoquant de petites décharges de douleurs qui lui procurent un plaisir encore accentué. Robbie est subjugué par l’aisance de sa mère, son sexe se dresse dans son pantalon. Rhonda soudain serre les testicules sans défenses, ses jambes se tétanisent autour de la tête de John et elle lâche la hampe. John crie, de plaisir ! Son sexe se cabre et lâche plusieurs jets de sperme sur le visage et les bras de sa masturbatrice. Amoureusement, elle lèche le sperme sur ses bras, sa bouche récupère les dernières gouttes sortant du pénis ou coulant sur la hampe. Sa bouche avale le gland, l’aspire. Enfin, elle se redresse sur ses mains, souriant à Robbie. Elle glisse un doigt sur ses lèvres. Embrasse-moi, dit-elle la bouche pleine de sperme Nooon... maman, non, pas ça ! Robbie la supplie, l’implore, les larmes aux yeux. Elle se contente de sourire, sure qu’il lui obéira. John hurle de douleur, entre ses jambes, glaçant de terreur Robbie. Il reprend son souffle et abdique : Bien, maman, bien. D’un doigt elle lui indique les jambes de John, il s’allonge, dos appuyé sur le corps de son ami. Rhonda place son visage au-dessus de la bouche ouverte de son fils. Doucement, elle laisse glisser un filet de sperme. Robbie a fermé ses yeux, avalant tout le sperme de son copain. Maintenant lèche mon corps, nettoie-moi des restes de la jouissance de John. Lèche mon visage, mes seins ! Bien évidemment, il obéit, nettoyant avec application, les joues, les lèvres, le cou maternel. Il lèche tendrement les jolis seins de Rhonda, humilié de sentir son pénis dur comme du fer. Son service terminé, il se relève attendant un ordre de sa mère. John, je vais bientôt te libérer, mais d’abord donne-moi encore ta semence ! Robbie l’a trouvé bonne, tu verrais la bosse de son pantalon ! Et sois content, aujourd’hui je ne te purge que deux fois ! Sa tête toujours prisonnière, John implore sa tourmenteuse : Madame, j’ai mal ! Obéis, bandes et jouis ! John se calme, il est incapable de s’opposer au viol de Rhonda, il laisse la main de la jolie femme caresser son membre. Il se dit que finalement, si ce n’était cette position humiliante, il a de la chance. Ses copines ne pourraient jamais le faire jouir aussi intensément. Il se détend, décide de profiter des caresses. Son sexe de toute façon a répondu pour lui, il est dressé, offert aux désirs de Rhonda. Elle se redresse, par-dessus ses hanches, elle regarde son jeune esclave. Elle lui sourit. Il ne peut s’empêcher de rendre un sourire à sa tortionnaire. Jouis John, jouis mon bébé ! John a fermé ses yeux, la douleur de son cou, dans sa tête, s’estompe le plaisir l’envahie. La main de Rhonda s’empare des jeunes testicules, les broient, violemment. Sa bouche tête le gland et en quelques secondes, John s’avoue vaincu pour la seconde fois. Il éjacule dans la bouche de Rhonda, son plaisir intense est soudain perturbé par une douleur immense. Les cuisses et la main de la femme se sont refermés et un voile noir envahit sa vision, il s’évanouit. Rhonda se relève, jetant à peine un regard sur le jeune male gisant à ses pieds. D’un signe, elle indique sa bouche à Robbie. Soumis, il ouvre sa bouche. Sa mère plaque sa bouche contre la sienne. Une nouvelle fois, Robbie boit le sperme de son copain. Elle s’exprime, une fois le baiser terminé : Bon et d’un, trop facile ! A ton tour, déshabille-toi ! Rhonda regarde son fils s’exécuter, elle éclate de rire en voyant le sexe à demi dressé de Robbie sortir du slip. Depuis trois ans, elle a souvent purgé son fils mais aujourd’hui la comparaison de taille avec le sexe de John l’amuse. Elle prend son fils dans ses bras, l’embrasse, caresse son dos, ses fesses, elle sent le jeune pénis durcir contre sa jambe. A genoux ! Et écartes bien tes genoux ! Elle prend alors position, son pubis se colle dans le coup de Robbie, la prise est ferme, puis ses jambes passent sur le torse de son fils. Ses mollets se bloquent sur le pénis dressé à l’extrême. Jouis pour maman, bébé, jouis pour moi ! Elle presse sa chatte contre le cou de Robbie, faisant monter en elle des vagues de plaisir. Chacune des ces secousses est douloureuse pour Robbie, pourtant il gémit de plaisir car son sexe pistonne ainsi entre les mollets maternels. Jouis, bébé, jouis entre les mollets de maman ! Et il jouit ! Son sexe libère de longs jets chauds. Sans résistance, complètement soumis aux caresses de Rhonda. Elle frémit de plaisir, mais retarde son orgasme, elle libère son fils. Nettoie mes chevilles et le parquet, bébé, lèche ton sperme ! Robbie obéit. Sortant sa langue pour nettoyer, sous les sarcasmes de Rhonda, les restes de sa jouissance. Son sperme est moins abondant que John, il a vite achevé son travail ! Deuxième round, bébé ! Robbie s’est relevé, sa mère s’empare de son sexe, l’enfourne dans sa bouche. Elle lui redonne consistance et vigueur. John revient à lui. Il palpe ses testicules. Ne bouges pas John, dit Rhonda en sortant le pénis de Robbie de sa bouche, et regarde. A nouveau, elle avale le pénis qui attend la bouche avec envie. Rhonda, enveloppe les testicules, déjà purgé une première fois, les malaxe. Sa main s’ouvre et se referme sur les noisettes de plus en plus vite, de plus en plus fortement. Robbie ne peut résister et lui aussi, s’avoue vaincu pour la seconde fois. Cette fois elle avale le sperme, gloussant de bonheur. D’un coup elle se redresse, serre ses jambes. Les deux jeunes hommes, ne bougent pas, fascinés par l’orgasme intense qui secoue Rhonda. Ils envient l’intensité, la longueur de cet orgasme. Elle s’apaise enfin, souriante, l’œil gourmand. Vous deux, sur le canapé. Obéissants, ils s’exécutent. Ta mère est terrible, elle aime tant faire ça ? Oui, oh oui ! ! ! Mais elle te fait cela souvent ? Oui, que veux-tu, elle est plus forte que moi, je préfère cela aux fessées ou aux coups de cravache ! Maintenant, silence et jouissez pour moi ! Ils se regardent, incrédules, mais Rhonda s’est agenouillée entre eux. De sa main gauche elle a saisit le sexe de John, de sa main droite celui de Robbie. Déjà elle pistonne les deux queues qui ont vite fait de retrouver leur vigueur. De temps en temps elle se penche et donne un coup de langue sur le gland d’un des garçons. Robbie se laisse faire, confortablement installé dans le canapé. John, lui ne peux s’empêcher de se pencher pour palper les muscles de Rhonda. Rhonda accélère son pistonnage sur les sexes sans défenses. Jouissais, mes bébés, jouissais, jamais vos copines ne vous feront ça ! Et ils jouissent simultanément, sur le ventre, les seins, le visage de Rhonda. Après avoir complètement vidé les deux sexes, Rhonda se relève, altière, magnifique de féminité. Aussitôt, les deux garçons, sans concertations, s’agenouillent devant elle, et amoureusement lui nettoient son divin corps. Mère, vous êtes Sublime ! Madame, je vous aime ! Alors la prochaine fois que vous croisez une minette, évitez-là et rentrez tout de suite m’en parler, je vous ferai passer l’envie de draguer ! ! ! Un immense rire féminin envahi la pièce, deux garçons se prosternent, vaincus, soumis.