Le jouet Traduit librement par elricnec@aol.com d’après The Toy de Naive Un homme découvre qu’il finira sa vie en esclave. Partie 1 Le craquement du cuir s’est propagé à mes oreilles, tandis que la douleur s’est emparée de mon esprit. Je peine à reprendre mon souffle et grogne de douleur. Je rue dans mes liens. Je sens un liquide chaud couler sur mon dos, du sang ou de la transpiration, je ne sais pas, et je ne veux pas le savoir. J’adore voir un male se tordre sous mes coups, susurre Mona à mon oreille et sa main se referme sur mes testicules. Je sens montée la nausée en moi, son étreinte est comme un étau d’acier. La seule chose que je peux faire est de serrer les dents. Implore ma pitié, bébé. Implore moi ou je fais de la purée de tes couilles ! Pitié Maîtresse, Pitié laissez-moi. Je ferai tout ce que vous désirez. Je suis sincère, me les écraserait-elle vraiment ? Je n’en sais rien, je sais juste que plus jamais une femme ne me fera trop boire et m’emmenera chez elle. Tu peux faire beaucoup mieux, bébé ! Implore-moi comme si le sort de tes couilles en dépendait, car c’est justement le cas. Je ne la voie pas mais j’entends sa voix chaude. Elle resserre encore son étreinte et tire mes testicules vers le bas. Je sens un serrement dans ma gorge, des larmes coulent de mes yeux. Je n’avais jamais autant souffert. Ma vision se trouble, je remue dans mes liens. Je voudrai me libérer mais des menottes de cuir m’en empêchent. Le cuir mord mes chairs annihilant ma volonté d’évasion. Maîtresse, ma Déesse. S’il vous plait, épargnez mes pitoyables petites couilles, ainsi elles pourront vous servir encore. Je parle doucement, seul un filet de voix s’échappe de ma bouche. Oh bébé, c’est très bien, venant d’un minable comme toi je n’en attendais pas tant ! Sa main se desserre mais ne lâche pas mes testicules. Je sens le cuir de son corset sur mon dos. Petit pervers, tu n’as pas lu des revues SM ? Sa question est ponctuée par une pression incroyable sur mes œufs. Oui, Maîtresse, j’en ai lu beaucoup et j’ai visité de nombreux site SM sur internet. Bien ma petite bite, veux-tu conserver ce petit bout de viande entre tes jambes ? Comme un serpent, ses doigts font rouler mes testicules dans leur sac de chair. Je baisse la tête et voie un filet violet de sang couler de ma verge. Je devine le gant blanc qui écrase ma virilité. Je ne peux croire que j’ai laissé cette femme me déshabiller et m’attacher. L’alcool m’a rendu faible, je décide de ne plus jamais boire. Oui Maîtresse, je désire conserver mes attributs. Bien alors nous allons faire un petit jeu. Si tu gagnes, tu les garderas, si je gagne, tu peux dire au revoir à tes couilles ! Je claque des dents, mon corps tremble. Elle tire mes bourses violemment en arrière, accentuant mes douleurs et ma détresse. Je sens le gant de cuir tirer mes bourses au maximum des possibilités. Comment en suis-je arrivé là ? Je me revois dans le bar, tentant d’oublier mes problèmes. Je me suis assis dans un coin isolé du bar. De la musique country vomit des enceintes, mais je ne l’écoute pas. Je n’aime pas l’alcool, mais ce soir je veux oublier. Aujourd’hui j’ai perdu mon emploi, ma petite amie m’a jeté dehors ne voulant pas vivre avec un raté. Le serveur m’apostrophe : Adrien, que veux-tu boire ? Du whisky. Tu as eu une mauvaise journée, me demande-t-il Oui Karen m'a jeté car j’ai perdu mon emploi ! A 26 ans c’est terrible. Je bois plusieurs verres, les heures passent. Soudain je remarque une femme assise prêt de moi. Elle me sourit. Je regarde autour de moi, je suis seul dans ce coin avec elle, c’est bien à moi qu’elle sourit. Hey, bébé, tu m’offrirais un verre ? Bien sur que désirez-vous ? Un rhum coca. Je m’appelle Mona et toi ? Adrien. Je voudrais lui embrasser sa main, mais c’est trop pompeux et hors de propos. Nous commandons nos verres. Mona est très belle, un corps parfait et musclé, ses yeux sont bleus. Ses longs cheveux blonds sont attachés en une belle queue de cheval. J’aime ses formes mises en valeur par une robe rouge ultra moulante. Je pense que je lui plait aussi car elle me demande si elle me plait. J’acquiesce de la tête, finissant mon verre dans la foulée. Nous discutons un peu, elle me fait parler. Commandant un autre verre pour me délier la langue. Tu ne parais pas en état de conduire, si tu veux, tu peux venir chez moi, me dit-elle. Vraiment ? Nous sortons du bar et elle me conduit, au volant d’une luxueuse Mercedes décapotable, chez elle. Nous ne parlons pas. La voiture s’engage sur l’autoroute et nous quittons la ville. Enfin nous arrivons devant les grilles d’une maison à la campagne, isolée. Deux amoureux trônent sur la porte d’entrée. La maison est immense. Elle doit être immensément riche. Je sors de la voiture et bute contre une grosse pierre. Je m’affale. Mona me rejoint et me soulève avec une facilité étonnante. Nous entrons dans sa demeure, de nombreuses statues ornent l’entrée et les larges couloirs. Des tableaux nombreux agrémentent les murs. Elle me pousse dans une chambre d’ami. J’ai trop bu et voie double. Elle déboutonne mon pantalon, je la laisse faire. Je suis nu, et je m’allonge sur le lit, je m’endors aussitôt. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, je suis groggy, mes bras semblent peser une tonne. Je ne peux pas bouger, je voie des menottes à mes poignets. Etre attaché, nu sur un lit est une première pour moi. Que s’est-il passer, j’essaie de me libérer. Un toussotement vient de la porte de la chambre, Mona est debout dans l’encadrure de la porte, fumant un cigare, un verre à la main. Je suis terrifié, mais une partie de moi est excité, cela commence d’ailleurs à se voir. C’est humiliant d’avoir été ligoté par Mona et en plus je montre qu’elle m’excite. Je rougis. Bien je vois que tu es réveillé et ta petite queue aussi. Veux-tu boire quelque chose ? Sa voix est glaciale, dure, je suis pétrifié. Je voudrais que vous me détachiez à présent. Ma voix est tremblante, chevrotante. Je voie à ses yeux qu’elle a compris ma détresse. Pourquoi le ferai-je ? Tu es venu ici pour avoir du plaisir, de ton plein gré. J’ai un plan pour t’en donner à toi et à ton ridicule petit sexe. Elle s’avance, pose son verre sur la table de nuit, se penche légèrement, caresse mon gland, une goutte de lubrifiant en sort. Involontairement mes hanches tentent de me pousser en avant pour avoir une caresse plus efficace de ses doigts. J’ai une bouffée d’excitation. Ma réaction m’étonne, offert à Mona, je cherche desesperement ses caresses, je ne peux m’en empêcher. Calme-toi Adrien. Ton heure n’est pas venue dit-elle avec un sourire carnassier. Si tu veux vraiment partir, je te libère et adieu. Et tu rentres à pied ! Mais tu peux aussi rester et t’en remettre à moi, Déesse des plaisirs. Je ne sais pas quoi faire. Mon sexe tendu vers elle répond pour moi. Misérable faiblesse de l’homme face au pouvoir d’une femme. Je reste. Parfait, à partir de maintenant tu m’appelles Maîtresse et tu ne parles que si je te pose une question. Oui. Ma réponse est suivit d’une vive douleur, ses mains se sont refermées sur mes tétons qu’elle serre fortement. Mauvaise réponse. Essaye encore. Oui Maîtresse. Parfait, je vais bien m’amuser. Maintenant répond à ma question initiale, veux-tu boire ? Oui Maîtresse. Elle saisit le verre, me le montre. Veux-tu savoir ce qu’il y a dedans ? Oui Maîtresse. Eh bien c’est de mon nectar intime, j’ai ajouté des vitamines, du viagra. Tu dois avoir beaucoup de forces pour supporter ce que je vais t’infliger. Tu n’oublieras jamais cette nuit, bébé ! Je la regarde fasciné, terrifié. Je sais qu’elle a raison et que je ne pourrais pas oublier cette nuit. A suivre.........