La Marquise C?est le 1er juin que je rencontra Djamila pour la première fois. Nous avions fais connaissance dans un MacDo. C?est une jeune beurrette de 20 ans, assez classe sur elle même, qui vie chez ses parents dans une banlieux dite « chaude ». Nous avions parlé de tout et nimporte quoi. Avant de partir, elle m?avait donné son numéro de portable. Depuis , certains soirs, je l?appellée. Puis cela devenu quotidien. Nous commençions vraiment à nous connaître, je veux dire plus intimement. Un soir, je lui ai parlé de mon attirance envers les pieds féminins et leurs odeurs, elle trouvait ça très drole mais elle m?écoutée attentivement. Après lui avoir raconté une ancienne expérience avec une amie, elle lança dans le téléphone : « Si tu veux moi, pour 200 balles ch?te fais sniffer mes yeps ( pieds), mais ch?te préviens, je guechlin ( schlingue ) grave. » J?étais clouer à mon lit à l?entente de ces mots et avec un empréssement extrème je fixa un rendez-vous en lui certifiant que je la pairée car elle avait du mal à le croire. Elle me donna rendez-vous mercredi, dans trois jours, puis avant que nous raccrochions j?ai entendu dans le combiné : « 200 balles hein !». Mon c?ur battait à 100 à l?heure. J?attendais longuement ce mercredi et quand il arriva enfin, ce fut une bénédiction. Je l?attendais en bas de son immeuble comme elle m?avait dit, nous avions rendez-vous à 15 h 30 et il était 15 h 30. 15 h 55, personne, je commençais à perdre espoir et ressenti une immense déception me traversée, je tripoté avec nerveusité le billet de 200 F dans ma poche. 16 h 10, elle arriva enfin, au moment ou j?allais partir. Elle était splendide, elle portée un sweat jaune canari Nike, un jogging jaune aussi Addidas et de magnifiques Air Max blanche assez usées avec des chaussettes blanche Puma qui montées par dessu son jogging. Elle me sourit, puis me dit d?un air énervée mais surtout épuisé : « Salut, ?scuse, j?étais en ville avec ma pine-co ( copine ), tu tombe bien j?suis crevée, j?en peut plus, j?ai trop mal aux yeps ont à marchée comme des ouf ( fou ) ! t?as les 200 balles alors ? me dit-elle avec un clin d??il - oui, bien sur. - Ouaich, t?es un bon gars toi, hein ! » Nous entrame dans le hall de son HLM, elle appella l?ascenseur, mit ses belles mains dans ses poches, bailla bruillament et lacha : « Ch?crois t?imagine pas ce qui t?attend ? » en me ragardant droit dans les yeux avec un grand sourire. Nous montames au 5ème étage, elle sortie son gros trousseaux de clefs puis nous pénétrame enfin dans son appartement. Je nu pas le temp de voir l?entrée car à peine la porte franchie elle me tira par le bras vivement dans, je pense, sa chambre. J?avais raison, c?était une assez petite pièce, en désordre, les murs tapissés de posters de rappeurs de tous les noms. Elle jeta son sac à dos, se laissa tombée sur son lit et soupira goulument. Tout en souriant elle me dit : « Alors bonhomme, c?est quand tu veux ! vas-y allonge-toi par terre, tu sera mieux non ? allez ! » je m?éxécuta de suite, il n?y avait pas beaucoup de place par terre et je jongla avec moi même pour m?allongé correctement. Elle ses jambes puis les reposa, croisées, sur mon torse. « t?es prêt gaillaird ? » Elle souleva un pied et, en poussant au talon avec l?autre, fit tombée sa chaussure par terre. Je voyais enfin sa magnifique chaussette, elle paraissée propre mais les bouloches sous la plantes de celle-ci me fit comprendre qu?elle devait etre imprégnée de transpiration. Elle le reposa sur mon torse puis agita ses orteils pour les détendre car la marche les avait fatigués, j?entendais Djamila soupirée. Soudain, une térrible odeurs envahi mes narines, ça ne pouvait pas etre son pieds, il était à, au moins, 30 cm de mon nez. On aurait dit du Brie coulant, un odeur lourde et chargée comme si quelqu?un m?agité une tome de savoie sous le nez. Elle, elle me ragardée de haut, souriante et très amusée de la situation. Elle me glissa doucement : « T?assume maintenant, moi j?vais pas en arrière, trop tard » s?exclama-t-elle avant de rire aux éclats. L?odeur imprégna la pièce entière. Je sentai une chaleur humide la ou était son pied sur mon torse. Elle leva son deuxième pieds encore chaussé puis a l?aide de sa main, elle l?a tira pour l?enlever et la jeta à coté de l?autre. Elle reposa son pieds sur mon torse, je sentai ma chemise absorbée la sueur de sous sa chaussette. Ses orteils éffectués un ballais non synchronisé, elle les tendés, les tirés, les plissés, cela avait l?air de lui procurée assez de bien. Elle s?étira ardument et demanda : « T?as les 200 ? si tu veux remplir tes poumons avec mes yeps faut payé mon gars ! » je sorti le billet de ma poche et lui donna en tremblent. Elle pouvai lire en mes yeux que j?était a sa merci totale. Djamila leva ses deux pieds et me conseilla de fermé les yeux. J?entendais son lit grincé quand soudain je senti une chaleur se rapprocher de mon visage quand enfin, je senti le tissu doux de sa chaussettes s?écrasé sur mon visage. Ma première inspiration fut radicale, je senté toute la chaleur de la sueur de ses pieds etre aspiré par mes narines. Je l?entendais rire. Je respirais profondement ses immenses masse odorantes qu?elle agitait sur mon visage. Je revis le jour quand elle souleva ses chaussettes de mon visage, elle me souriée, elle abaissa doucement son talon et le colla juste sous mon nez. Je le hummé intensément en la regardant, elle qui était desormais entrein de bouquinée un magazine de musique. Elle rabaissa ensuite son second pieds et commença à les frottés sur la totallité de mon visage. Je sentai les bouloches se collé sur ma peau qui s?inprégné de sa sueur. Elle souleva de nouveaux ses deux pieds et me questionna : « C?est bon t?a eu ton compte ? Allez c?est fini ! tu m?a filé que 200 balles hé ! allez tient un p?tit extra gratos » Sur ces mots, elle se pencha en avant et ramassa une de ses Air Max. Elle l?ouvra bien en tirant sur la languette puis d?une traite, elle me l?enfourna directement sur le nez. Je fut pris d?assaut par une térrible odeur de refermé humide et aussi chaude que ce que j?avais dans mon slip en ce moment. C?etait infecte, irrespirrable et d?aucun moyen je pouvais respiré de l?air frais. Elle était apparement fier de son coup. Elle mis fin au supplice et retira la chaussure de mon nez. « Allez ! sauve toi ! t?a eu ce que tu voullais ? alors gajedé ( dégage ) » je me remis debout, la tète me tourné, j?était au paradis. Djamila me fit courir jusqu'à la porte de l?appartement. je monta dans l?ascenseur, la regardant avec respect. Elle lança à voix basse : « Tu reviens quand tu veux ! tu connais le tarif maintenant. J?ai plein de trucs à te faire découvrir ? alors surveille tes éconnomies » Je ne croyais pas ce qu?elle venait de me dire. Je me contentais de la regardais, elle, accoudée a la monture de la porte, et ses pieds, dans ses superbes chaussettes, à plat contre le carrelage froid de son appartement. La porte se referma.