La Marquise 2 Il y a 1 mois que je n?avais pas vue Djamila. Nous nous appellions de temps en temps mais sans plus, elle ne me considéré moins depuis notre ancienne aventure car elle savais qu?elle avait tous les pouvoirs sur moi. Elle me manquais éperdument. Un jour, tout à fait par hasard, elle m?invita à aller au cinéma, dans 2 jours, chose que j?accepta mais avec intérrogation. Je lui demanda pourquoi cette invitation et elle me répondi : « Tu vois là j?ai besoin de thune ? tu pige ? » puis raccrocha. Mon c?ur s?emballa de nouveaux, j?étais dans un etat d?exitation extrème. Les 2 jours passèrent, trop lentement à mon gout. Nous avions rendez-vous devant le cinéma, nous devions aller voir le dernier film de Bernie Bonvoisin : Blanche. Je l?attendais, à mon avis elle serait encore en retard et j?avais vu juste. Une demi heure après l?horaire prévu, je la vis arrivé au coin de la rue. Elle était si belle, elle dégagait une sorte de grace imposante, elle était si classe. Elle portait une chemisette bleu ciel a manche trois-quart, un corsaire ( pantacourt ) noir qui laissé apparaître ses belles chevilles mats et de grandiose Nike en toile bleu ciel qui avait l?air neuve. C?était ça que j?aimais chez les beurrettes, elles privilligiez beaucoup leurs aspects extérieurs, elles pouver possédé plus de 15 paires de chaussures différentes, de survettement ou encore de pantalons et je savais que Djamila en était de celles là. Cependant, un détail me frappa, Djamila ne portait pas de chaussettes aujourd?hui, aussi grande fut ma deception. Elle arriva enfin, toute souriante. Nous nous saluames mutuellement avant d?entrés dans le cinéma. Nous fimes la queux 10 minutes afin d?avoir notre ticket. Pendant l?attente, Djamila m?annonça : « Tu sait quoi ? j?ai était en boite toute la nuit, j?en r?viens tous juste. Tu vois ce que j?veux dire. J?sent que c?est trempé là dedans. Mais bon, tu connais le tarif dédé ! » J?étais aux anges. Et avec un. Je lui paya sa place de ciné par galanterie et un corné de pop-corn salé par la même occasion. Nous poissonont nos tickets en entra dans la salle. Quelle fut notre grande surprise quand nous découvrimes que la salle était entièrement vide et le film déjà commençé. Je la suivée parmis les rangées de fauteuils. Elle s?installa dans le millieu de la salle, en s?écroulant dans le siège et en posant instantanément ses pieds sur le fauteuil d?en face. Je m?avança pour m?asseoir à coté d?elle quand elle me cria : « hé ho ! t?es pas venu là pour téma ( mater ) un film toi, t?as du boulot mon pote ! alors t?a place c?est devant ok ? » dit-elle en me tendant la main et en m?indiquant du doigt ma place. Je lui glissa le billet de 200 F dans la main et fit le tour de la rangée pour m?asseoir dans celle d?en face, juste à ses pieds. Je m?asseya sur celui-ci. Elle plaça ses pieds d?un coté et de l?autre de ma tète. Je l?entendais mastiquée ses pop-corn à pleine bouche. « Bon, c?est ti-par ( parti ) mon gars ! » Sur ses mots, je sentie les pieds de Djamila s?enfonçés contre le fauteuil. Elle appuyé de toutes ses forces et je vis tombé ses 2 superbes chaussures entre mes jambes. Je l?entendis soupirée de plaisir. J?avais du mal à distingué ses pieds dans l?obscurité de la salle mais j?ai pu dicerné une autre chose avec grande aise : l?odeur. Je n?est jamais respiré une odeur pareille. Ça sentait les pieds ! mais pas les pieds normaux, on aurait dit qu?elle s?était masser les pieds avec du camembert. L?odeur était prenante, beaucoup plus chargée que la dernière fois. Je sentais de chaques cotés de ma tète, deux sources de chaleurs humides, vraiment chaudes, c?était divin. Djamila s?approcha de moi en se penchant légèrement, elle maché ses pop-corns vraiment bruyament, elle me tapa sur l?épaule pour attirer mon attention et me dit à voix basse : « ça vaaaa ? scuse moi de te déranger mais j?ai un truc qui me gène un peu? bouge pas c?est un cadeaux. » aussitôt, elle emmena sa main jusqu'à son pied droit et glissa son majeur entre le gros doigt de pied et son orteils, puis commença à le frotter. Elle répéta l?action entre tous les écarts entre ses orteils. Elle retira son doigt et commença à roulée une grosse boullette de crasse du à la transpiration excessive de ses beaux pieds. Lentement, elle amena son doigt juste sous mon nez. C?était exquis, ont aurait dit du fromage à raclette chaud et fumant. Elle le faisait bougé sous mon nez quand , tout à coup, elle fit glissé son doigt sur mes lèvres « Régale-toi dédé, c?est naturel. Et en plus, c?est tout frais ! » A l?entendre de ses douces paroles, elle pressa contre mes lèvres et fit pénétrer son doigt dans ma bouche. Plus précisément, sur ma langue. Elle étala toute la crasse de son doigt contre ma langue. Quelle gout. C?était extrément salé. Ça avait un gout gruyère crus. C?etait exquis. Elle m?ordonna de bien mastiquer avant d?avaler pendant qu?elle répétée la même action sur son pieds gauche. Elle me colla la deuxième boullette contre mon palet. Elle m?ordona du sucer ses doigts afin de les laver. Djamila rapprocha sa tète de moi et me dit dans l?oreille : « Tu sait, j?en ai encore plein sous les ongles de mes doigts de pieds, alors si ça te dérange pas j?aimerais bien que tu leur fasse une tite beauté. Alors, à cet instant, elle se remit bien dans son siège et rapprocha ses pieds de mon visage puis tendit ses orteils pour les rapprocher de ma bouche. Mon nez était aux premières loge. Elle toucha mes lèvre avec son gros orteils. Immédiatement, je sortie ma langue et commença à décollé la crasse salée de sous son ongle. je rapé avec mes dents toutes cette saleté incrusté ce qui m?obliger gout la chaleur collante de son gros doigt de pied. Dés que son orteil n?avait plus de gout je m?attaqua avec emprèssement à l?autre qu?elle agitait avec impatience. Un régal ! Tout d?un coup, Djamila retira son orteil de ma bouche et me dit d?une voix épuisée : « Masse-moi dédé ! » Elle plaça ses deux pieds dans l?écart entre les sièges. Je me retourna face à elle. Je l?a regardée, elle était si belle, mastiquant son pop-corn et me faisant un leger clin d??il. J?approcha mes mains de ses pieds et commença à les masser en faisant de petits ronds avec mes pouces. La plante de son pied était collante, chaude et humide. Elle tortiller ses orteils de plaisirs tout en soupirant. Je passa mes doigts sur son talon tendre puis remonta à ses orteils. Djamila avait fermé les yeux tellement la sensation de bien que je lui procuré était grande. Malheureusement, à cet instant, les lumière du cinéma se rallumèrent et l?écran devint noir. « Allez c?est fini tit?gars » Sur ces mots, Djamila retira ses pieds du fauteuil et commença à remettre ses baskets. Elle me regardais fixement dans les yeux. L?énorme bosse sur mon pantalon montré a quelle point la séance fut bonne. Elle se mit debout et me dit : « hoooo c?est tout trempé la-dedans ! t?aimerais bien y etre hein ? allez dédé pour la prochaine c?est quand tu veux ? » Elle m?embrassa sur le front et courut vers la sortie avec emprèssement. Je rester assis là ? entièrement détruit par la nouvelle rencontre avec Djamila. La grande.