Capturé et réduit en esclavage, par escribe1@live.fr (traduction de "Kidnapped into Sexual Slavery" de olivercromwell2004@yahoo.com) ================================== = Capturé et réduit en esclavage = ================================== Brian n'avait jamais ressenti beaucoup d'affection pour Ellen Fitzgerald, une cousine éloignée de son beau-père qui passait les voir de temps en temps. Le vrai père de Brian était décédé peu après sa naissance, et sa mère venait de se remarier juste deux années auparavant. Brian ne se sentait pas très proche de son beau-père, et encore moins de sa famille. Réciproquement, Ellen ne semblait pas lui prêter beaucoup d'attention lorsqu'elle venait les voir. Elle lui paraissait toujours distante, et cette impression était renforcée par son physique imposant : en effet Ellen mesurait plus d'un mètre 80 et était solidement charpentée. Brian la trouvait même un peu grosse, ce qu'elle cherchait probablement à cacher en portant toujours des vêtements amples. Ellen avait 29 ans, et avait perdu son mari un an et demi plus tôt, sans que Brian n'en sache beaucoup plus à ce sujet. La taille et la corpulence de cette jeune veuve l'impressionnaient, d'autant plus que lui-même mesurait une dizaine de centimètres de moins, et qu'il était plutôt du genre fluet. Il avait un corps très mince, comme la plupart des garçons de son âge avant d'entrer à l'université. Finalement, les rapports entre Brian et Ellen s'étaient toujours limités aux banalités et aux politesses d'usage, lorsqu'elle restait quelques jours chez les parents du jeune homme. Et voilà qu'il se retrouvait aujourd'hui à devoir faire le voyage pour New York avec cette femme qu'il n'appréciait pas vraiment. Ellen, qui était New-Yorkaise, venait justement de passer quelques jours dans la région, et elle avait proposé aux parents de Brian de le conduire jusqu'à son université pour la rentrée. La mère et le beau-père du futur étudiant avaient trouvé l'idée excellente, car cela les rassurait de voir leur fils faire le voyage avec un proche. Par contre, cette proposition n'était pas du tout du goût de Brian, car il appréhendait les cinq heures de route avec Ellen, et il se serait volontiers contenté de faire le trajet en car. Heureusement, il avait son téléphone portable et son baladeur pour passer le temps. Ce matin-là, la veille de la rentrée, Brian mit ses quelques affaires à l'arrière du 4x4 d'Ellen. Il ne s'était pas trop chargé, car il avait de toute manière l'intention de faire des achats à New York, et n'emportait avec lui que son ordinateur portable ainsi que deux sacs remplis de vêtements et d'objets personnels divers. Le trajet se passa sans incident, et dans le silence. Brian tenta bien d'engager la conversation, mais il lui semblait qu'Ellen ne lui répondait que par pure politesse, aussi préféra-t-il ne pas insister et ils continuèrent ainsi le voyage sans échanger d'autres paroles. Ils arrivèrent enfin à destination, et Ellen se gara dans le parking de l'université. Elle s'était arrêtée assez loin du bâtiment où se trouvaient les chambres des étudiants, ce qui étonna Brian car il y avait des places libres un peu partout. "Elle aurait pu me rapprocher un peu plus," marmonna- t-il pour lui-même à voix basse. "Ca y est, Brian, nous sommes arrivés. Avant de sortir de la voiture, appelle tes parents pour leur dire que je t'ai déposé et que je te laisse ici." Brian s'exécuta poliment, et sa mère fut rassurée de le savoir arrivé à bon port, juste devant l'université. Pendant qu'il était en train de téléphoner, Ellen sortit du véhicule avec son sac à main, et, une fois hors de vue du garçon, en sortit un morceau de tissu pour y verser le liquide d'un flacon. Brian finit sa conversation et raccrocha, puis sortit de la voiture. Il était sur le point de prendre ses affaires qu'il avait posées à l'arrière lorsqu'Ellen lui demanda : "Brian, s'il te plaît, avant que tu t'en ailles, pourrais-tu m'aider ? Je crois que j'ai perdu mon stylo sous le siège conducteur. Je ne peux pas l'attraper par devant. Pourrais-tu regarder en-dessous, par l'arrière, et me dire si tu le vois ?" "Bien sûr." Brian monta à l'arrière de la voiture et se mit à plat ventre pour passer sa main sous le siège avant. Au moment où il étendait son bras pour tâtonner à la recherche de l'objet, il sentit tout à coup un poids terrible venir lui écraser le dos. Il réalisa alors avec stupeur que c'était Ellen qui lui était tombée dessus, et tout en le maintenant à terre elle lui pressa le morceau d'étoffe sur sa bouche et son nez, étouffant ainsi ses cris. Il perdit conscience presqu'instantanément. Quand elle se fut assurée que le garçon était bien évanoui, Ellen se leva lentement, repoussa les jambes de Brian à l'intérieur de la voiture et ferma la porte arrière. Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle : il n'y avait pas un chat dans les parages. On ne l'avait pas vu. Il y avait bien des gens qui marchaient au loin, mais personne ne pouvait avoir remarqué qu'un enlèvement venait juste d'avoir lieu. Ellen remonta d'un air dégagé dans son véhicule et repartit. Elle sourit. Tout s'était passé conformément à ses plans, et cela avait même été plus facile qu'elle n'aurait pu l'espérer. Ellen conduisit durant plusieurs heures en s'éloignant de New York, s'enfonçant profondément dans la campagne pour atteindre finalement une région totalement inhabitée, s'arrêtant régulièrement le long du trajet pour s'assurer que Brian restait bien endormi sur le plancher à l'arrière de sa voiture. Elle arriva finalement à destination, une petite cabane au bout d'une longue route cabossée, à plus de 25 kilomètres de l'autoroute et à une soixantaine de kilomètres de la moindre habitation. Elle sortit de la voiture, tira Brian et le hissa sur ses épaules. Il était moins lourd que ce qu'elle pensait. Elle le porta jusqu'à l'intérieur de la cabane, puis ouvrit une trappe cachée sous le plancher, donnant sur un escalier très raide. Non sans difficulté, Ellen descendit le corps inanimé de Brian pour arriver dans une pièce en sous-sol. La plus grande partie de l'espace visible était occupé par une sorte de grande cage, à l'intérieur de laquelle l'unique mobilier consistait en un lit de camp, un évier, une cuvette de WC et une petite douche, le tout sans aucune cloison de séparation. Devant la cage se trouvait un rideau, qui une fois tiré permettait de masquer tout le reste de l'espace habitable, qui était en réalité immense. Ellen allongea Brian sur le lit rudimentaire, puis se mit à lui enlever méticuleusement tous ses vêtements et ses objets personnels, ne lui laissant rien, même pas sa montre ou sa gourmette. Elle ferma ensuite à clé la porte de la cage et remonta au rez-de-chaussée. Ellen rassembla tous les habits qu'elle avait ôtés au jeune homme et les brûla rapidement dans une corbeille. Elle redescendit ensuite au sous-sol pour prendre le téléphone portable et l'ordinateur de Brian, et les déposa dans un grand coffre-fort. Elle se prépara un déjeuner et prit une douche, puis attendit le réveil de son nouvel esclave. La première chose dont Brian prit conscience lorsqu'il revint à lui fut son mal de tête. Il se réveillait lentement, et ne se rappela pas immédiatement ce qui lui était arrivé, puis la mémoire lui revint tout à coup : la voiture, le coup du stylo, et Ellen lui sautant sur le dos en le plaquant à terre. Alors qu'il recouvrait petit à petit ses sens, il réalisa également qu'il était totalement nu. Il n'y avait apparemment personne autour de lui. Il s'assit sur son lit et s'aperçut alors qu'il était enfermé dans une sorte de cage, sans plus aucun objet personnel en sa possession. Après avoir inspecté du regard cet étrange environnement, il comprit alors qu'il n'était certainement pas en prison, comme il l'avait cru initialement. Mais dans ce cas où était-il donc ? "Hé, laissez-moi sortir ! Au secours !" se mit à crier Brian de sa voix la plus forte. Au début, il n'entendit aucun bruit en réponse, puis des talons claquèrent sur le sol, à côté, pour laisser de nouveau place au silence. C'est alors que tout à coup Ellen apparut à travers le rideau situé devant la cage. Elle était vêtue d'un survêtement et portait aux pieds des bottines noires à talons hauts. "Bien ! Enfin réveillé !" Brian ne comprenait pas ce qu'Ellen faisait là, et il se sentit gêné de se retrouver nu devant elle. Malheureusement, tout ce qu'il avait sous la main pour se cacher était un oreiller. Il essaya tant bien que mal de dissimuler son intimité en mettant l'oreiller entre ses jambes, et se leva, hors de lui. "Ellen ! Mais qu'est-ce que c'est que cette connerie ? Rends-moi mes vêtements et fais-moi sortir de là !" Ellen se contenta d'observer Brian pendant un moment, puis éclata de rire. Quand elle s'arrêta enfin, elle reprit la parole d'un ton que Brian trouva terriblement menaçant et effrayant, et ce qu'elle lui dit n'était pas fait pour le rassurer : "soyons bien clair dès maintenant, Brian. Tu n'es pas en position d'exiger quoi que ce soit ! Tu dépends entièrement de moi pour survivre, que ce soit pour l'eau ou la nourriture. Manger pourrait bien vite devenir ton unique préoccupation, car si je décide de ne plus te nourrir, tu mourras de faim dans cette cage. Et j'en suis parfaitement capable. Bien sûr, ce serait dommage, car je pense qu'on peut bien s'amuser tous les deux, mais c'est à toi de voir. D'ailleurs, tu as probablement besoin d'avoir un petit aperçu de ce que l'on peut ressentir lorsqu'on souffre de la faim. Je te laisse. A demain, j'ai des courses à faire." Sur ces mots, Ellen tourna les talons et remonta le long de l'escalier. Brian se mit à crier, mais quand il entendit la trappe se refermer en claquant, il s'arrêta, ne sachant que faire. Tout en conduisant, Ellen pensa que cela allait être une première leçon utile pour son nouvel esclave. Brian devait comprendre tout de suite qui commandait. Et en plus il fallait qu'elle se montre un peu à New York, pour faire un bon alibi en cas de problèmes : elle allait discuter avec son concierge, voir quelques amis. Et, durant les 24 heures suivantes, Brian explora chaque centimètre carré de sa cage, à la recherche d'un moyen de s'échapper. Mais il n'y en avait aucun. Le sol était en béton, et le jeune homme était totalement entouré par les barreaux de la cage, que ce soit sur les côtés ou au-dessus de lui. Impossible de passer par le toit ou les murs. La faim commençait à le tenailler, mais il ne pouvait que boire de l'eau au robinet de l'évier. Après avoir dormi une nuit entière, il dut se rendre à l'évidence : Ellen avait raison. Il allait mourir de faim si elle ne revenait pas pour le nourrir. Il détestait cette pensée, mais il devait bien reconnaître qu'il n'avait aucune échappatoire, et il réalisa qu'il lui fallait bien accepter ses exigences dans un premier temps, en attendant de voir ce qui allait arriver et de profiter éventuellement d'une possibilité d'évasion. Il était de toute évidence totalement prisonnier dans cette cage. A la fin de ce deuxième jour de captivité, Ellen retourna dans la petite cabane isolée où elle maintenait Brian prisonnier. Quand elle apparut en bas des escaliers devant la cage, le garçon s'assit sur son lit, posant l'oreiller sur ses cuisses dans un dérisoire souci de pudeur. "Bon, Brian, est-ce que tu es de meilleure humeur aujourd'hui ?" "Oui Madame." "Oh ! Très bon début. Dois-je en déduire que tu as un peu faim ?" "Oui Madame, j'ai faim. Pourrais-je avoir à manger s'il vous plaît ? Je vous promets de bien me tenir et d'être coopératif," déclara Brian en s'adressant à elle de son ton le plus poli. Ellen lui tendit à travers les barreaux un sac rempli de sandwiches et de sodas. Il hésitait à se lever car il avait honte de se montrer nu devant elle, n'ayant que son oreiller comme cache-sexe improvisé, mais Ellen devina ses pensées : "tu peux laisser tomber l'oreiller. De toute manière, je t'ai déjà vu tout nu quand je t'ai enlevé tes habits, et pour le moment je n'ai pas l'intention de te redonner le moindre vêtement. Et puis, il va bien falloir que tu commences à prendre l'habitude de te retrouver nu devant moi, parce que c'est comme ça que tu passeras la plupart de ton temps." Brian réalisa tout la futilité de ses efforts, laissa l'oreiller sur le lit et vint prendre les sandwichs, totalement nu. Ellen disparut derrière le rideau et revint avec une chaise pliante sur laquelle elle s'assit. Elle resta ainsi à observer Brian manger, sans dire un mot. Elle se délectait de contempler son prisonnier nu, piégé derrière ces barreaux d'acier. Brian ne dit rien non plus, et se contenta de manger. Quand il eût terminé, Ellen demanda : "ça va mieux ?" "Heu, oui Madame." Ellen continuait à l'observer en silence. N'y tenant plus, Brian finit par reprendre la parole pour demander : "mais qu'est-ce que je fais ici ?" "Ha, quand même, je me demandais quand tu allais me poser la question." Ellen fit une pause, puis reprit : "tout simplement, Brian, tu es ici pour devenir mon esclave, mon esclave sexuel. Et ça, probablement pour le restant de ta vie." "Qu... Quoi ?" Ellen savait que Brian l'avait parfaitement entendue. Elle vit son sexe tressaillir, presque imperceptiblement, à l'annonce des mots 'esclave sexuel'. Très bien, le terrain est favorable, se dit-elle, ça allait marcher. Ellen expliqua alors : "quand Robert, tu sais, mon mari, décéda, il me laissa à la tête d'une très très grosse fortune. Je n'ai plus besoin de travailler maintenant. Bien. D'autre part, d'aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours désiré dominer les hommes. En fait, Robert et moi avons joué à ce genre de petit jeu de temps à autre, et j'avais eu également d'autres expériences dans ce domaine avant lui. Mais, tu vois, le problème c'est que ça se limitait à ça : un jeu. Et mon plus gros fantasme est devenu petit à petit d'enlever réellemement un homme contre sa volonté, et de le briser pour qu'il m'appartienne. Je voulais capturer un jeune homme pour en faire mon esclave, définitivement. Je voulais pouvoir lui faire tout ce qui me faisait plaisir, sans me soucier de ses envies ou de ses limites, vivre une réelle relation de Maîtresse et d'esclave. Et c'est là que tu interviens, Brian. C'est dans ce sous-sol que va commencer ton dressage, mais peut-être qu'avec le temps, si tu es bien sage, nous pourrons aller faire un tour à l'extérieur. Ce sera à toi de voir si tu veux coopérer ou non. Mais pour l'instant, mets-toi déjà dans le crâne que tu n'es là que pour satisfaire mon plaisir, et que cela va devenir ton unique raison de vivre." Ellen fit de nouveau une pause, puis reprit : "et en plus, je sais que tu n'es pas totalement réticent à tout ce que je suis en train de te dire, mais malgré tout il y a tout un tas de trucs que je te ferai et que tu n'apprécieras certainement pas, et il faudra bien que tu t'y habitues." "Mais comment osez-vous dire que je ne suis pas totalement réticent ? Je dois commencer mes cours à l'université ! Laissez-moi sortir de là !" "Allez, je te connais mieux que tu ne le crois. Bon, franchement, ce n'est pas à toi que j'avais pensé au début. Je ne sais pas trop qui j'aurais choisi d'ailleurs, mais certainement pas toi. Tu n'es pas trop mon genre, mais bon, ça ira quand même. C'est quand je suis passée vous voir l'année dernière que j'ai changé d'avis à ton sujet. Tu étais sorti, et j'en ai profité pour entrer dans ta chambre." Brian fut atterré devant cette intrusion dans sa vie privée qu'il découvrait à cet instant. Ellen nota sa réaction outrée. "Hé oui, c'est ce que j'ai fait. Bien sûr, j'ai vite trouvé la cachette où tu planquais tes revues pornos, Brian. Il y en avait de toutes sortes, mais je notai cependant qu'il y avait une grosse majorité de magazines consacrés aux femmes musclées, et je trouvai en particulier une marque aux pages où l'on trouvait des scènes de domination féminine. Allez, avoue-le, ça te fait fantasmer d'être dominé par des femmes !" Brian ne répondit rien, mais, devant le regard implacable et le silence d'Ellen, il se sentit obligé au bout d'un moment de dire : "je... Je... Oui, un peu, c'est vrai, mais ça ne veut pas dire que je voudrais être enlevé, en plus par vous, et rester enfermé ici pour toujours ! Et puis, vous n'êtes pas mon genre non plus." "Ne sois pas si sûr que je ne sois pas ton genre. Oh, et puis non, tu as certainement raison, je ne suis probablement pas ton type. Et c'est d'ailleurs bien mieux ainsi. Tu te souviens, je t'ai dit que je voulais un esclave non consentant, c'est bien plus amusant comme ça. Cependant, ça ne me dérange pas si tu es quand même excité par certains des trucs que je vais te faire. Pour en revenir à notre histoire, après avoir découvert ces magazines, j'ai commencé à te regarder sous un jour différent et je réalisai alors que tu pouvais potentiellement devenir un esclave parfait pour moi. Physiquement, tu es plus petit et plus faible que moi. Je peux te maîtriser sans problème. Quand j'ai appris que tu allais à l'université à New-York, ce ne fut pas très compliqué pour moi de proposer à tes parents de t'y conduire. C'était une condition essentielle pour la réussite de mon plan, car cela me fournissait ainsi l'occasion de t'enlever sans que l'on puisse me soupçonner. Tes parents m'étaient reconnaissants que je te conduise, et cela ne semblait pas te gêner non plus. Et quand tu leur as téléphoné pour leur dire que je t'avais déposé à l'université, cela m'a fourni sur un plateau un alibi supplémentaire." "Ouais, mais que faites-vous de mes parents ? Ils vont finir par appeler la police lorsqu'ils n'auront pas eu de nouvelles de moi au bout de quelques jours, et ils se mettront à ma recherche." "Oui, c'est vrai, et j'y ai pensé, bien sûr. En fait, il n'y a aucun danger que ni la police ni tes parents ne te retrouvent jamais, mais peut- être que plus tard, si tu te montres coopératif, on pourra trouver un moyen de rassurer ta mère. Malgré tout, je pense que j'ai plusieurs semaines devant moi avant qu'ils ne commencent à s'inquiéter vraiment. Tu sais, tu es ici très très loin de New-York, et à plus de 50 kilomètres de la moindre habitation. Bien que cette propriété m'appartienne dans les faits, on ne peut remonter jusqu'à moi qu'à travers toute une série de sociétés écrans, ce qui me paraît hautement improbable. Même si la police venait à suspecter mon implication, ce dont je doute fortement, je ne corresponds à aucun des profils classiques de criminels, et je suis sûre qu'on ne pourra jamais te retrouver. J'ai brûlé tous tes vêtements. Cette pièce est au sous-sol et totalement insonorisée. Tout ce qu'on peut voir au dehors est une vieille cabane délabrée. L'eau vient d'un puits, j'utilise l'énergie géothermique, des bouteilles de gaz, et quelques panneaux solaires discrètement placés à la surface. Il n'y aucune raison que quelqu'un vienne jamais par ici et puisse nous trouver. Viens, laisse-moi te montrer. Mais avant..." Brian était de plus en plus horrifié par ce qu'il venait d'entendre. Si tout ce qu'elle venait de dire était vrai, alors il ne voyait pas comment il pouvait s'échapper, à moins de maîtriser Ellen d'une manière ou d'une autre et de lui prendre sa voiture. Après tout, se dit-il, même si elle est plus grande que moi, elle est probablement plus lente et moins agile à cause de toute sa graisse. Mais au moment où il avait cette pensée, Ellen retira son survêtement. Ce que vit alors Brian lui coupa le souffle. Elle ne portait en-dessous qu'un string noir et un soutien-gorge au décolleté vertigineux, dans lequel flottaient d'énormes seins larges et ronds. Ellen n'était ni grosse, ni même rondouillarde comme il l'avait cru depuis longtemps. C'était une vraie Amazone ! Son corps entier était parfaitement proportionné : ses bras, ses jambes, son dos, sa poitrine et ses fesses arboraient une musculature superbe, sans aucune trace de graisse. Ses jambes et ses bras étaient largement plus gros que ceux de Brian, lui qui était déjà un peu complexé par ses membres particulièrement frêles. Malgré toute la frustration et la colère qu'il ressentait vis-à-vis de son emprisonnement, il ne put s'empêcher d'être excité par ce spectacle. Bien malgré lui, Brian s'aperçut avec horreur que son sexe commençait à trahir ses pensées les plus intimes en se redressant après qu'Ellen eût retiré son survêtement. Elle prit dans sa main la clé de la cage. "Tu as l'air d'apprécier, d'après ce que je vois." Devant sa réaction physique qu'il ne pouvait contrôler, et sachant qu'Ellen était au courant pour ses revues pornos, Brian ne vit plus aucune raison de nier la vérité. "Euh... Hé bien, c'est vrai que vous avez un corps magnifique. Mais ça ne veut pas dire que j'ai envie de rester prisonnier ici !" "Merci pour le compliment. Bon, et si tu ne veux pas rester, peut-être changeras-tu d'idée avec le temps. De toute manière, je me fiche de ton avis. Mais pour le moment, comme je te l'ai déjà dit, c'est très bien comme ça car je préfère te voir résister. Et au fait, Brian, j'espère que tu as compris, maintenant que tu as pu voir mon corps, que tu ne peux pas me battre. Je te conseille d'ailleurs de ne pas essayer, au moins pour l'instant, sinon je devrais te faire du mal, et nous le regretterions tous les deux. Mais rassure-toi, tu auras plein d'occasions de mesurer ta force face à moi. Au fait, je pèse 80 kilos et je peux porter des poids bien plus lourds que moi. Et toi, combien pèses-tu ?" "Euh, un peu plus de 60 kilos." "Et quel poids arrives-tu à porter ?" "Je... Euh... Je ne sais pas. Je n'ai jamais essayé." Ellen sourit. "C'est bien là le problème pour toi." Elle se dirigea vers la cage et ordonna : "passe tes mains entre ces deux barreaux." Brian obéit, et Ellen lui passa une paire de menottes aux poignets. "Pourquoi ? Vous venez de me dire que je ne représentais aucun danger pour vous..." "C'est vrai, mais tu sais... Au cours de tes petites lectures, dans ta chambre, tu as bien dû voir que ça se faisait. Tu sais, je vais te faire plein de choses, que tu trouveras perverses, tordues et cruelles, et entre autres j'ai bien l'intention de te maintenir pendant la plupart du temps soit attaché, soit entravé, d'une manière ou d'une autre." "Mais pourquoi ? Vous m'avez bien dit pourtant que je n'avais aucun moyen de m'échapper ?" "Parce que ça me plaît comme ça. Quel intérêt y aurait-il à avoir un esclave si on ne peux pas le garder attaché ? Oh, et il va falloir que tu t'habitues à ça également." Ellen passa alors autour du cou de Brian un collier de cuir noir, doté de plusieurs anneaux. Ellen le sortit de la cage, puis le fit monter par le long escalier. Elle ouvrit la lourde trappe, qui était d'ailleurs plus une sorte de gros sas, parfaitement isolé. Quand ils furent sortis, Ellen referma la trappe derrière eux, puis remit des planches de parquet par-dessus. Quand elle eût fini, personne n'aurait pu deviner qu'il y avait une pièce, et même une veritable habitation, au sous-sol ! Brian réalisa qu'elle faisait tout cela sciemment devant lui, pour bien lui faire comprendre qu'il était impossible qu'on le retrouve ici. Ellen ouvrit la porte de la cabane donnant sur l'extérieur. Brian put alors constater avec amertume qu'elle lui avait dit la vérité. Ils étaient au milieu de nulle part. Il ne pouvait rien voir d'autre qu'une étendue sauvage et désolée, sans la moindre trace de présence humaine. "Au fait, ne pense même pas à voler mon 4x4. Il a une sécurité, et il n'y a que moi qui puisse le démarrer. Et même si, par miracle, tu arrivais quand même à le mettre en route, tu ne saurais même pas quel chemin prendre, et tu tomberais vite en panne d'essence avant de trouver le moindre secours. Tu serais perdu, totalement nu, et tu finirais par mourir de faim." Brian passa un long moment à regarder le paysage devant lui. La cabane était discrète, et personne n'aurait pu avoir le moindre doute de ce qui s'y tramait en la regardant de l'extérieur. Les sources d'énergie étaient également très bien cachées. "Alors, tu aimes ?" Ellen avait relâché sa surveillance sur Brian, car il n'avait nulle part où aller, et de plus le soleil était en train de se coucher. "Oh, et puis j'ai oublié de te dire, il y a également des ours dans les bois, dans ce coin." Tous les espoirs de Brian semblaient s'envoler petit à petit. Cependant, au fond de lui, il commençait à ressentir des sentiments contradictoires. D'un côté, il avait envie de pleurer de désespoir, mais une partie de lui- même était en réalité émoustillée par la perspective de servir d'esclave à cette véritable amazone. Brian prit enfin la parole : "bon, d'accord, je ne peux aller nulle part. Et maintenant ?" "Maintenant ? Et bien, on va commencer !" Ellen prit Brian par le collier et le tira sans ménagement vers un grand arbre situé à une dizaine de mètres de la cabane. Elle détacha la chaîne qui reliait les deux menottes, tira les poignets du garçon de chaque côté de l'arbre, et rattacha les menottes avec la chaîne de manière à l'obliger à étreindre l'arbre avec ses bras. "Ne bouge pas," dit-elle avec ironie, "je reviens." Brian ne put voir Ellen repartir, car il tournait le dos à la cabane. Après un dizaine de minutes, il l'entendit revenir. Quand elle se retrouva en face de lui, Brian s'aperçut avec horreur qu'elle tenait dans sa main un long fouet noir à l'aspect cruel. "Oh, mon dieu, non, s'il vous plait, non, pas ça ! Je vous en supplie !" "Commençons par partir sur de bonnes bases, si tu veux bien. Tu dois toujours m'appeler Maîtresse, en toutes circonstances. Donc la phrase correcte est : je vous en supplie, Maîtresse ! Compris ?" "Oui Maîtresse. Pitié, ne me fouettez pas, Maîtresse !" Les protestations de Brian étaient sincères, car une flagellation réelle n'avait jamais fait partie de ses fantasmes. Peut-être de légères fessées, pourquoi pas, mais certainement pas de vrais coups de fouet. Son sexe s'était d'ailleurs totalement ratatiné à la vue de l'instrument. "Bien, Brian, n'hésite surtout pas à me supplier, à pleurer et à crier de toutes tes forces... En fait, je préférerais même que tu le fasses. De toute manière, même si tu décides de ne pas réagir pour me gâcher le plaisir, ne t'inquiète pas, je finirai bien par te faire crier quand même. Il faut que tu saches que la douleur, quelquefois intense, va faire maintenant partie de ta nouvelle vie avec moi. Entre autres qualités, je suis une vraie sadique et, dommage pour toi, c'est toi que j'ai choisi pour me défouler," annonça Ellen tout en prenant position derrière Brian pour dérouler son fouet. "Maintenant je vais te marquer sur tout le corps. Ca va te faire très mal, mais je n'ai quand même pas l'intention de te frapper à mort. A moins bien sûr que tu essayes de me nuire ou de t'échapper. Dans ce cas je devrais probablement te tuer, et te fouetter à mort me paraît être une excellente méthode pour ça." Sur ces mots, le premier coup de fouet claqua au milieu du dos de Brian. Sans qu'il puisse s'en empêcher, il hurla de douleur, et le fouet imprima sur sa peau une parfaite ligne rouge. Ellen se mit à le frapper en suivant un rythme régulier. Elle attendait au moins une minute entre chaque coup, à la fois pour savourer le plaisir qu'elle ressentait en le frappant, mais aussi pour se délecter des cris de douleur de Brian et de ses supplications. Ellen couvrit systématiquement le dos de Brian, essayant en général d'éviter de frapper deux fois au même endroit. Par souci d'esthétisme, elle préférait répartir de manière harmonieuse les zébrures rouges, depuis les omoplates jusqu'aux chevilles. C'était une experte accomplie dans le maniement du fouet, et dans l'ensemble elle réussit son oeuvre. Quand Brian reçut le 20ème coup, il n'était plus qu'une loque larmoyante, suppliant pour que l'on cesse son martyre. "Oh mon dieu, pitié, pitié, Maîtresse ! Je n'en peux plus !" criait-il à travers un torrent de larmes et de bave. Comme Ellen savourait ce moment de plaisir intense ! Elle se délectait de tous les coups qu'elle infligeait à Brian, mais elle adorait également les réactions du jeune homme. Tout cela était à la hauteur de ses espérances, et elle ne regrettait pas les risques qu'elle avait pris, ainsi que toute l'organisation qu'elle avait dû mettre en place ! "Tu vois, Brian, ce qui fait la beauté de notre relation, c'est que ce que tout ce que tu peux vouloir ou espérer n'a absolument aucune importance. Je t'ai dit que j'étais une vraie sadique. Et sache que si par malheur je ne trouve plus de plaisir à te faire du mal, je pourrais alors très bien décider de me débarrasser définitivement de toi. Penses-y. Maintenant, n'hésite pas à continuer à crier, j'adore ça !" Ellen ponctua ces derniers mots en assénant un nouveau coup, puis encore neuf autres avant qu'elle n'arrête enfin. La flagellation entière avait duré une quarantaine de minutes, et la nuit était maintenant totalement tombée. Ellen libéra Brian en détachant ses menottes, et celui-ci s'effondra alors à terre, bredouillant avec difficulté des remerciements pour avoir mis fin à son calvaire. Elle lui ordonna ensuite de se relever puis le laissa retourner tout seul en titubant vers la cabane, sans se donner la peine de lui remettre ses menottes. Une fois qu'ils furent rentrés et descendus en bas de l'escalier, Brian se dirigea vers sa cage. "Non, non, pas tout de suite, Brian. La nuit ne fait que commencer. Viens, laisse-moi t'aider tout d'abord." Brian se retourna pour regarder Ellen, et c'est alors qu'il constata que son string était trempé, comme si elle s'était versée de l'eau dessus. Il réalisa alors à quel point Ellen devait être effectivement sadique, car cette séance de flagellation venait tout simplement de la faire jouir ! Cela ne laissait rien présager de bon pour lui. Ellen saisit un des anneaux du collier de Brian et le tira le long de la cage pour se diriger vers le rideau qu'elle écarta. Brian écarquilla alors les yeux de surprise : le reste du sous-sol était au moins 10 fois plus grand que sa cage. Le sol était recouvert d'une moquette épaisse de couleur rouge, et il aperçut un canapé de cuir, une chaise, une télévision et un bureau avec un ordinateur. Mais il y avait également accrochés au mur de nombreux instruments de torture, comme il avait pu en voir dans ses magazines, et des étagères remplies d'engins bizarres dont il n'avait pas la moindre idée de leur utilité. "Allonge-toi sur le canapé, Brian, sur le ventre." Il obéit, trop heureux de pouvoir bénéficier d'un instant de répit. Ellen disparut un moment puis revint avec une bouteille à la main. "Ca va calmer ta douleur et t'aider à cicatriser." Elle se mit ensuite à appliquer soigneusement la lotion sur toutes les parties meurtries du corps de Brian. "Après tout, plus vite tu récupèreras, plus vite on pourra recommencer !" Brian frémit à cette idée, ce qui fit éclater de rire Ellen. "J'adore voir des marques sur le corps d'un homme, Brian. Et oui, c'est tellement beau, et cela te rend tellement plus séduisant." La crème, bien que piquante au début, eut l'effet de calmer sa douleur, une fois que la peau l'eût absorbé. Pendant que Brian restait allongé sur le canapé, récupérant petit à petit de sa séance de flagellation, Ellen se dirigea vers les étagères remplies d'instruments divers qu'elle avait minutieusement amassés pendant les deux dernières années. Elle avait acheté ces différents accessoires dans plusieurs boutiques de New York, en prenant soin à chaque fois de payer uniquement en liquide, et ce même pour les objets les plus encombrants, qu'il aurait été plus simple et plus économique d'acheter par correspondance. Elle ne voulait laisser aucune trace de ses achats. Elle avait bien dû parfois convaincre le vendeur de commander des articles spécialement pour elle, parfois au prix fort, mais le résultat était que personne ne pouvait retrouver aucune trace écrite de ses achats d'équipements S&M destinés à son donjon. Ellen prit finalement avec elle une deuxième paire de menottes, une laisse et une longue cordelette, puis revint auprès de Brian. Celui-ci n'avait même pas cherché à regarder ce qu'elle était en train de faire, trop occupé à essayer de calmer sa douleur en restant immobile et les yeux fermés. Il les rouvrit en sursautant lorsque sa tortionnaire revint vers lui et lui tira les bras derrière le dos. Brian n'opposa aucune résistance quand Ellen menotta ses poignets dans son dos, puis ses chevilles, et enfin fixa la laisse à son collier. Elle se dirigea ensuite vers une commode dans un coin de l'immense pièce et en tira une couverture noire qu'elle posa sur la chaise. "Très bien, Brian, assez traînassé. Il est temps maintenant de te rendre utile." Ellen tira Brian en utilisant sa laisse, et lui ordonna de s'agenouiller devant le canapé, sur lequel elle étendit le drap. Elle ôta alors son soutien-gorge et son string sous les yeux ébahis du jeune homme. Devant cette vision inattendue, le sexe flasque de Brian reprit de la vigueur et se redressa. Les seins d'Ellen étaient énormes, comme l'avait laissé deviner son décolleté suggestif, et son sexe était totalement épilé, avec juste un triangle de poils parfaitement rasé au-dessus. Elle s'assit sur le bord du canapé et se pencha vers Brian pour commencer à le caresser entre ses jambes : cette divine amazone, totalement nue et parfaitement musclée, était en train de s'occuper avec sensualité de son pénis, qui devint très rapidement dur comme du bois. Malgré lui, le garçon ne put que constater qu'il avait maintenant une totale érection. Une fois satisfaite du résultat de ses caresses, Ellen prit la cordelette qu'elle avait apportée avec elle, en attacha une extrémité au collier de Brian et enroula l'autre bout autour de la base de son scrotum, plusieurs fois tout en serrant bien fort. Elle croisa ensuite la corde autour de ses testicules, puis à nouveau autour de son pénis, pour finir par faire un noeud. Son sexe était à présent totalement enveloppé dans une gangue constituée par les nombreux tours de cordelette. La sensation n'était pas totalement désagréable pour Brian. Ellen, elle, trouvait qu'emprisonner ainsi le sexe de son esclave lui apportait un côté esthétique, tout en ajoutant l'aspect pratique de l'empêcher de ramollir, en maintenant comprimé le sang dans son pénis. "Est-ce que tu as déjà bouffé de la chatte, Brian ?" Avant même qu'Ellen ne lui pose cette question, Brian avait déjà deviné quel sort l'attendait maintenant. "Oui, ça m'est arrivé. Avec des petites copines au lycée. En général, elles me disaient que c'était donnant-donnant si je voulais une fellation." "Bon, si ça leur disait, pourquoi pas ! Mais n'ais pas trop d'espoirs sur ce point. Bien que je pourrai te donner du plaisir de temps en temps, et même t'autoriser à jouir, aucune femme dominante digne de ce nom ne s'abaissera jamais à toucher le sexe d'un homme avec ses lèvres ! Alors n'y pense même pas." Ellen s'allongea sur le dos dans le canapé et écarta ses jambes, tout en tirant sur la laisse de Brian. Il vacilla en avant sur ses genoux, et quand son visage fut à quelques centimètres du sexe de sa Maîtresse, celle-ci leva ses jambes puissantes autour de la tête du garçon, bloquant ses mollets sur son dos et maintenant ainsi sa tête en place. "Commence en douceur. J'ai envie de savourer ce moment, alors tu vas devoir y passer un bon bout de temps. On a toute la soirée devant nous." Contre toute attente, Brian trouva le sexe d'Ellen tout à fait agréable, sans trop d'odeur mais avec un goût salé plaisant. Il suivit scrupuleusement ses instructions, au fur et à mesure qu'elle les lui indiquait : il commença par l'embrasser tout autour de son sexe avant d'y déposer doucement quelques baisers. Il la caressa avec son menton, puis embrassa ses lèvres proéminentes. Il se mit à donner de petits coups de langue, pour ensuite lécher plus longuement. Les jambes d'Ellen serrées autour de sa nuque l'immobilisaient totalement, et pourtant c'était le premier moment qu'il appréciait depuis le début de sa captivité. C'est vrai qu'il avait toujours apprécié les magazines de domination féminine, et il aimait particulièrement les scènes où des femmes utilisaient la bouche de leurs esclaves pour leur plaisir. Et ce fantasme était en train de devenir réalité pour lui... Il sentit qu'Ellen appréciait également, d'après les soupirs et les gémissements qu'elle émettait pendant qu'il s'attelait à sa tâche. Brian perdit toute notion du temps. Après ces longs préliminaires, Ellen commença à s'exciter de plus en plus et agrippa la tête de Brian pour la frotter contre elle. Il comprit alors que le moment était venu pour lui de faire entrer sa langue le plus profondément possible dans l'intimité de sa Maîtresse et, alternativement, il se mit à sucer son clitoris trempé. Il constata alors que l'excitation d'Ellen ne faisait qu'augmenter, car elle serrait ses cheveux de plus en plus fort, et bientôt elle lui secoua frénétiquement la tête. Elle l'utilisait maintenant tel un godemiché humain, jusqu'à ce qu'elle finisse par jouir dans un torrent de gémissements déchaînés. "Très très bien, esclave ! Je suis heureuse de constater que je n'aurais pas à perdre trop de temps à améliorer ta technique !" "Merci... Maîtresse." Ellen tira alors à nouveau sur la laisse de Brian, et dit simplement : "allez, continue." Et cela dura ainsi pendant presque deux heures. Pendant que Brian s'affairait à sa tâche, il entendit Ellen allumer la télé, ce qui lui permit de se faire une idée de la durée de cette séance. Pendant tout ce temps Ellen dut jouir une bonne demie-douzaine de fois, et Brian commençait à comprendre pourquoi elle avait tant besoin d'un esclave sexuel. Elle était insatiable, et ce sans aucune commune mesure avec toutes les filles avec lesquelles il avait pu sortir dans le passé. Pour elles, un seul orgasme par jour était la plupart du temps largement suffisant. Bloqué dans la même position pendant si longtemps, Brian commença à sentir ses genoux le brûler, et les muscles de sa langue étaient devenus maintenant extrêmement douloureux. Malgré sa peur, il était sur le point de la supplier d'arrêter, quand Ellen se décida enfin à le libérer, apparemment satisfaite de sa prestation. Elle désirait également faire une pause, et passer à autre chose. Ellen se moqua de l'air épuisé de Brian, puis se leva, repoussant le jeune homme afin de l'allonger sur le sol. Elle retira la couverture posée sur le canapé pour l'étendre à terre devant la télé, puis s'en alla vers une porte au fond de la pièce qui donnait sur la cuisine. Elle revint ensuite avec une bouteille d'eau, dont elle but la moitié et donna le reste à Brian, en lui posant le goulot sur la bouche. Pour finir, elle passa sommairement un morceau de tissu sur le visage du jeune homme pour l'essuyer. Ellen poussa ensuite sans ménagement Brian de manière à le poser sur la couverture à terre, détacha la chaîne qui reliait les menottes dans son dos pour rattacher les deux bracelets de ses poignets à deux anneaux situés sur les côtés de son collier, le forçant ainsi à lever ses deux coudes devant lui avec un angle insolite. Ellen prit un appareil à l'aspect étrange dans un de ses tiroirs puis revint vers Brian. Elle s'assit alors sur sa poitrine, posant lourdement ses fesses juste devant le visage du jeune homme, se calant entre ses coudes relevés. Brian sentit tout le poids d'Ellen se porter sur son torse, et son champ de vision se retrouva limité au derrière imposant de sa Maîtresse ainsi que le bas de son dos musculeux. Il eut un instant de reconnaissance envers elle pour l'avoir allongé sur une douce couverture plutôt que directement sur la fibre rugueuse du tapis. Sans pouvoir regarder ce qu'Ellen faisait, il put sentir qu'elle était en train de libérer son sexe de la corde qui l'enserrait, puis elle le caressa avec délicatesse, ce qui eut pour effet de l'amener rapidement à une érection totale. Elle lui manipula alors son pénis, comme si elle installait un appareil dessus. Puis elle tourna la tête pour le regarder derrière elle. "Tiens, voilà un petit gadget que tu n'as certainement jamais essayé ! Il y a là un petit générateur électrique, et j'ai enroulé ces cables autour de ta bite. A l'aide de cette commande, je vais pouvoir aussi bien provoquer chez toi des sensations agréables qu'une terrible douleur, juste en tournant ce bouton. Tu veux voir ?" "Non Maîtresse," répondit naïvement Brian. "Bien sûr que non, tu ne veux pas, mais en fait ce n'était pas vraiment une question, et je ne te laisse pas le choix. Ah oui, j'oubliais : si tu essayes de me mordre pendant que je joue un peu avec toi, je t'explose le dos à coup de fouet." Ellen alluma alors l'appareil, ce qui procura tout d'abord une impression agréable à Brian, puis elle augmenta petit à petit le courant jusqu'à lui infliger une terrible douleur. Elle répéta ce processus de nombreuses fois, tout en le taquinant et se moquant de ses cris et de ses gémissements. Ellen prenait particulièrement plaisir à l'étouffer en lui écrasant le visage avec ses larges fesses, tout en jouant avec les réglages de l'appareil. Les cris assourdis que son esclave poussait sous son derrière la faisait frissonner de plaisir. Elle s'amusa à torturer ainsi Brian pendant un long moment, alternant les réglages légers puis douloureux, pour son plus grand amusement. Une fois épuisées les joies de l'électricité, Ellen alla chercher d'autres gadgets pour continuer à martyriser le sexe du garçon pendant encore une bonne heure, jusqu'à ce qu'Ellen se lasse enfin de ce divertissement. Elle se leva alors et laissa Brian allongé sur le sol, totalement choqué et anéanti de douleur. Ellen revint s'installer sur le canapé pour regarder tranquillement la télé, laissant Brian récupérer de ses supplices. Pendant cette demie-heure de repos, Ellen se remémora avec délectation les événements de ces deux derniers jours. Elle était là, confortablement installée, avec un prisonnier ligoté et prostré sur le sol à ses pieds, et qu'elle pouvait utiliser et torturer à loisir, sans aucune retenue. Personne ne pouvait les retrouver. Les gémissements plaintifs qu'émettait Brian alors qu'il recouvrait petit à petit ses sens contribuaient à la mettre de bonne humeur. Cependant, Ellen décida qu'il était temps maintenant d'aller se reposer. Elle se releva pour venir auprès de Brian, toujours allongé sur le sol, et le toisa du haut de son imposante taille. Brian ne put s'empêcher de la trouver superbe ainsi, malgré tous les mauvais traitements qu'elle lui avait infligés. "Je t'avais promis un peu de plaisir, alors ça va être le moment." Ellen s'accroupit au-dessus de Brian et s'assit sur son sexe flasque. Elle commença à se caresser lascivement les seins, sous les yeux ébahis de son esclave, et celui-ci sentit son sexe revenir à la vie, ce qu'elle encouragea en se frottant sur son pénis. Dès que le membre de Brian fut redevenu suffisamment dur, Ellen vint s'empaler sur lui. Mais cependant, aucun de ses gestes n'étaient tendres ou doux, et au contraire Ellen commença à se redresser puis se laisser retomber sans ménagement sur Brian, pilonnant impitoyablement son corps frêle à l'aide de sa masse musculaire. A chaque fois que le derrière imposant d'Ellen venait claquer contre lui, Brian sentait ses testicules se faire écraser. Non seulement il avait du mal à reprendre son souffle et supporter la douleur provoquée par les va-et-vient puissants d'Ellen, mais de plus ces mouvements incessants étaient en train d'irriter toutes les traces de fouet qui zébraient son dos et ses fesses. Ellen allait et venait si vite et si brutalement sur lui qu'il en avait même mal au pénis, mais paradoxalement, cela continuait également à l'exciter. Ellen jouit rapidement, puis s'arrêta pour se reposer une minute. Mais quand elle réalisa que Brian n'avait toujours pas éjaculé et qu'il gardait son membre érigé, Ellen reprit ses mouvements saccadés. Elle le pilonna à nouveau, avec une telle violence qu'elle se demanda même si elle n'était pas en train de lui briser les os. Ce traitement finit par amener Brian à jouir dans un orgasme explosif. Ellen arrêta alors ses mouvements, satisfaite pour le moment. Pour sa part, Brian ne savait pas trop quoi penser de l'instant qu'il venait de vivre. Bien sûr, il avait joui, et il avait même vécu l'orgasme le plus intense qu'il ait jamais connu, mais en même temps il avait l'impression d'avoir été violé. Ellen l'avait pris, littéralement, avec violence, sans se soucier de lui la moindre seconde. Et malgré tout cela l'avait énormément excité ! Il avait maintenant terriblement mal au dos. "Bon, c'est fini pour aujourd'hui, Brian. Allez, debout ! Retourne dans ta cage." Il se releva péniblement, puis elle libéra ses poignets des anneaux de son collier pour les attacher à nouveau devant lui, en remettant une courte chaîne entre ses deux menottes. Elle avait la ferme intention de laisser son esclave entravé la plupart du temps. "Et prends une douche, tu en as bien besoin," ajouta Ellen en lui tendant une serviette. Brian, qui avait également ses chevilles reliées par une courte chaîne, entra en trottinant à petits pas dans sa cellule. Ellen lui retira la laisse de son collier, puis elle claqua sèchement la porte derrière lui et la cadenassa. Elle décida de laisser le rideau ouvert afin qu'elle puisse contempler tout à loisir son prisonnier depuis le salon... Après tout, il faisait partie maintenant de la décoration de la pièce, et cela lui donnait une utilité même quand elle ne jouait par avec lui. Cela ne dérangeait pas outre mesure Brian qu'on le regarde pendant qu'il prenait sa douche. Par contre, il avait envie d'aller aux toilettes, et il se sentait extrêmement gêné d'aller se soulager dans la cuvette des WC sans pouvoir s'abriter derrière une porte ou un mur. N'ayant pas le choix, il dut se résoudre à uriner devant elle, puis il s'assit pour faire ses besoins. Quand il eut fini, il eut toutes les peines du monde à s'essuyer avec ses mains menottées, se contortionnant comme il le pouvait. Ulcéré d'avoir été observé durant toutes ces minutes humiliantes, il finit par lancer : "c'est bon, le spectacle vous a plu ?" "Dis-donc, j'ai rêvé ou tu as fait preuve d'insolence ?" Ellen se leva brusquement de son canapé et se dirigea vers la cage. "Non Maîtresse, non !" répondit Brian, tout à coup effrayé par la réaction de sa tortionnaire, et regrettant déjà ses paroles. "Je voulais juste dire..." "Viens par ici !" dit Ellen de l'autre côté des barreaux. Devant l'hésitation de Brian, elle ajouta : "Si tu m'obliges à rentrer, cela sera pire, bien pire pour toi." Brian s'avança jusqu'à l'endroit où se tenait Ellen, et elle lui assèna alors une gifle terrible en passant son bras entre deux barreaux. Elle tira ensuite d'un coup sec vers le bas sur son collier pour le faire mettre à genoux. "Dis donc, tu te prends pour qui ? Tu me dois le respect. Je suis ta Maîtresse et tu es mon esclave. Et si tu n'arrives pas à t'y faire, et bien je me débarrassai de toi, définitivement ! De toute manière je ne te laisserai jamais t'en aller, alors il faut que tu prennes tout de suite les bonnes habitudes. Il vaut mieux que tu te rappelles de tout ça quand tu m'adresses la parole." Brian, les yeux humides suite à la violence de la gifle qu'il venait de recevoir, répondit d'un ton humble : "oui Maîtresse. Je vous demande pardon, Maîtresse." Ellen le repoussa alors en arrière de la main, avec une telle force qu'il en tomba à la renverse. Elle retourna ensuite vers son canapé et se mit à regarder la télé. Brian rampa jusqu'à son lit et s'endormit longtemps avant qu'Ellen ne se retire elle-même pour la nuit. Au matin, quand Brian se réveilla il vit que le rideau donnant sur le salon avait été tiré à nouveau, et il n'entendit aucun bruit indiquant la présence d'Ellen. Il aperçut trois pots de beurre de cacahuète, des tartines de confiture, quelques fruits, ainsi qu'une bouteille de lait remplie au quart posés sur le sol à l'extérieur de sa cage, à portée de main à travers les barreaux. Il avala le tout rapidement. N'ayant rien d'autre à faire, Brian passa la majeure partie de la journée à dormir, malgré la douleur qui irradiait de ses blessures de la veille. Il n'avait aucune idée de l'heure qu'il pouvait être, mais quand il entendit enfin des bruits en haut de l'escalier, il était de nouveau affamé. Il estima qu'Ellen était partie pendant au moins une demie-journée, car il ne lui restait que son estomac comme moyen d'estimer le temps passé, n'ayant ni montre ni vue sur l'extérieur. Quand il vit Ellen descendre les escaliers, il s'assit immédiatement sur son lit. Elle s'approcha avec un sachet MacDonald's et le lui tendit à travers les barreaux. "Voilà ton dîner." Brian avait vaguement espéré qu'Ellen mentait quand elle lui avait dit qu'ils étaient loin de toute présence humaine, mais cela semblait se confirmer car les hamburgers étaient froids, les sodas étaient tièdes et la glace complètement fondue. Elle avait dû faire un sacré trajet après avoir acheté ce repas. Revenant s'asseoir sur le lit, Brian mangea sans se plaindre. Après tout c'était mieux que rien, et il se doutait que s'il osait protester, il risquait de ne rien avoir du tout. Il vit pendant ce temps Ellen porter des sacs de courses et les ranger dans la cuisine. Elle ne lui dit pas où elle avait été durant tout ce temps : elle était retournée à New York pendant quelques heure pour voir des gens et régler deux ou trois formalités, et elle avait acheté ces provisions sur le chemin du retour. "Oh, au fait, j'ai un message pour toi de la part de tes parents. Ils espèrent que tu vas bien, et ils t'embrassent bien fort." "Quoi ? Vous leur avez parlé ?" "Non, bien sûr que non. En fait, j'ai regardé l'historique de ton téléphone, et j'ai vu que tu aimais bien communiquer par SMS. J'en ai profité pour leur envoyer un petit message, histoire de les tenir au courant sur tes premiers jours de cours à l'université, ton travail, etc. J'ai même commencé à leur dire que tu n'appréciais pas vraiment cette nouvelle vie d'étudiant, et que tu te laissais un peu de temps pour voir. En fait, je prépare le terrain, comme ça ce sera plus crédible lorsque je leur annoncerai que tu laisses tomber les études et que tu pars faire le tour du monde en sac à dos. Tu sais, je pense que tu aurais mieux fait de mettre un mot de passe à ton téléphone." Brian était abasourdi. Au fond de lui, il avait gardé l'espoir que ses parents commenceraient à s'inquiéter s'ils ne recevaient plus aucunes nouvelles de sa part, et que malgré toutes les précautions qu'Ellen avait prises, on pourrait retrouver sa trace. Mais hélas, elle avait raison : elle était capable de donner le change pendant très longtemps en utilisant des messages écrits, sans lever le moindre souçon car c'était sa manière habituelle de communiquer avec ses parents. Brian continua à manger sans dire un mot. Lentement mais sûrement, elle était en train de le briser, et il s'en rendait parfaitement compte. Il se demanda un moment s'il ne pouvait pas trouver un moyen de retrouver son téléphone, afin d'envoyer un appel à l'aide. Mais il ne savait pas où elle avait caché son portable, et de toute manière il ne devait pas fonctionner dans cet endroit perdu. Elle avait dû l'emporter à New York et envoyait probablement ses messages de là-bas. Il se demandait d'ailleurs s'il y avait ici un moyen quelconque de communiquer avec l'extérieur. "Comment va ton dos ?" lui demanda tout à coup Ellen. "Heu, ça va mieux... Maîtresse, merci." "Tourne-toi. Je veux vérifier moi-même." Brian se leva et tourna le dos à Ellen pour lui pour permettre de voir. "Oui, pas mal du tout. Tu marques facilement, mais en même temps tu as l'air de cicatriser rapidement. Tu as vraiment des dispositions idéales pour un esclave, en particulier au service d'une maîtresse aussi sadique que moi ! Tu vas voir, on va encore bien s'amuser ce soir !" Brian laissa échapper un petit gémissement de peur. "Oh, ne t'inquiète pas, Brian. Non, je ne vais pas encore te fouetter. Sûrement la semaine prochaine, mais pas ce soir. Cette fois, je vais plutôt te montrer que je suis plus forte que toi, et que tu n'as aucune chance face à moi, au cas où tu aurais pu espérer le contraire. Bon, mais pas tout de suite, nous avons tous les deux besoin de digérer un peu." Brian ne savait pas trop ce qu'elle avait en tête, et il la vit prendre des tapis de gymnastique dans un placard, pour les disposer ensuite sur le sol. Quand Ellen installa au centre de la grande pièce un carré de quatre mètres de côté, il comprit alors que, de toute évidence, elle voulait organiser un combat ou quelque chose de ce genre. Il avait bien acquis quelques notions de lutte pendant le lycée, mais il savait également qu'Ellen le surclassait physiquement. Cependant, il ne put s'empêcher de sentir une légère excitation monter en lui à l'idée de se battre contre elle : cela faisait partie de ses fantasmes de combattre une femme puissante et d'être battu par elle, comme Ellen avait pu le constater lorsqu'elle avait trouvé ses magazines de musculation féminine dans sa chambre. Ellen revint ensuite pour ouvrir la porte de sa cage, et lui ordonna de sortir, tout en laissant ses mains et ses chevilles menottées. "Viens, rends-toi utile." Ellen lui indiqua d'un geste de se diriger vers le canapé et le coin télé. Elle le suivit, enleva ses vêtements pour se retrouver en soutien-gorge de sport et en cuissards, puis s'allongea sur le canapé. "Nous devons attendre au moins une heure de digestion avant de commencer un vrai combat. En attendant, tu vas me masser partout, sur tout le corps, de la tête aux pieds." Obéir à cet ordre ne déplut pas à Brian. Bien que la tâche fut rendue un peu plus difficile à cause de ses poignets menottés, il trouvait agréable de laisser promener ses mains le long du corps musclé de cette femme. Il s'exécuta ainsi durant une heure en suivant ses instructions, si bien qu'à la fin il commençait à avoir des courbatures aux bras. Comme lors de la séance de cunnilingus, Ellen parut apprécier ses efforts, et elle lui indiquait au fur et à mesure comment il devait procéder, le critiquant de temps à autre pour améliorer sa technique. Quand elle eut décidé que le massage était terminé, Ellen fit un grand sourire à Brian. Flatté malgré lui, il se sentit obligé de demander : "avez-vous apprécié, Maîtresse ?" "Beaucoup, esclave. Tu t'es vraiment bien débrouillé. Je me disais justement que rien que pour ce genre de moments, cela valait le coup de t'avoir enlevé. J'ai même un peu de mauvaise conscience, car je vais devoir te battre maintenant. Mais il faut bien, cela fait partie de ton dressage." Ellen se releva et détacha les menottes des poignets et des chevilles de Brian, ainsi que son collier. Elle prit ensuite une coque en plastique munie de sangles, qu'elle sortit du tiroir d'un des meubles de la pièce. "Tiens, mets cette coquille, je ne voudrais pas t'abîmer tes bijoux de famille trop vite. J'en ai encore besoin." Brian enfila la protection sur son sexe, ce qui lui fit une impression bizarre : c'était en effet le premier vêtement qu'il mettait depuis maintenant trois (ou bien était-ce quatre ?) jours. "Comme tu l'as certainement deviné, on va se battre. Tu as le droit de tout faire pour essayer de gagner, mais à ta place je ne me ferais pas trop d'illusions. On va faire un match avec soumission, c'est-à-dire que tu dois taper avec ta main sur ta jambe, sur le tapis, ou n'importe quoi d'autre pour indiquer que tu abandonnes et que tu veux être libéré de ta prise. On va combattre pendant 30 minutes, et celui qui tapera en dernier aura perdu." Ellen se mit à rire, se disant qu'il était peu probable qu'elle ait à taper ne serait-ce qu'une fois. "Bon, allez, on commence." "Heu... Attendez !" "Oui, quoi ?" "Qu'est-ce que je gagne si je remporte le match ?" Ellen sourit à cette idée, puis éclata franchement de rire. "Je dois reconnaître que je n'y avais même pas pensé ! Mmmmm. Hé bien, si tu veux, je te promets de te libérer si tu gagnes. Est-ce que ça te paraît assez motivant comme récompense ? Est-ce que ça te donne envie de te battre ?" "Oh, ouais !" répondit Brian avec un sourire. Pour la première fois depuis le début de sa captivité, il entrevoyait enfin un espoir de s'en sortir. Il était déterminé à mettre toutes ses forces en jeu pour gagner. Il avait fait un peu de lutte au lycée, et même si Ellen paraissait plus puissante que lui, il était sûr de connaître certaines prises mieux qu'elle. Il pensait qu'il avait sa chance, et il était prêt à la jouer à fond. Bien sûr, il s'était aperçu qu'être l'esclave d'une femme comme Ellen pouvait apporter quelques récompenses, mais il désirait tout de même plus que tout retrouver sa liberté. Ellen et Brian commencèrent à s'observer en tournant l'un autour de l'autre. Chacun savait que le premier qui réussirait à attraper l'autre aurait un avantage décisif. Peut-être un petit peu trop impatient, Brian tenta la première attaque, saisit le bras d'Ellen et la fit tomber en lui fauchant les jambes. Mais il n'avait pas prévu qu'elle s'agrippe à lui à l'aide de son autre bras libre, ce qui lui permit de l'entraîner avec elle dans sa chute. Brian atterrit sur le dos au-dessus d'Ellen, qui emprisonna immédiatement le torse du garçon à l'aide de ses cuisses puissantes. Elle reserra sa prise autour de lui, l'immobilisant totalement comme s'il était pris au piège par un python géant. Rapide comme l'éclair, elle lui bloqua également les bras avec les siens. Même s'il était au-dessus d'elle, et donc en position théoriquement 'supérieure', c'était Ellen qui le contrôlait totalement. Elle commença à l'écraser en resserrant de plus en plus ses jambes. Brian n'arrivait pas à réaliser ce qu'il était en train de lui arriver, sidéré par la rapidité et la puissance dont Ellen avait fait preuve. Elle le tenait fermement, et la pression qu'elle exerçait sur lui était si forte qu'il eut la tentation d'abandonner. Dans un dernier sursaut d'orgueil, il tenta d'échapper à la prise terrible d'Ellen, mais il n'avait aucun moyen de s'en sortir. Il se rendit compte avec horreur qu'Ellen était en train de resserrer de plus en plus sa prise, et il sentit l'étau de ses jambes le broyer sans pitié. Toute résistance de sa part était inutile, et comme elle continuait de serrer ses jambes inexorablement, il dut se rendre à l'évidence et se résolut, la mort dans l'âme, à taper de la main sur le tapis. Quand Brian avait demandé avec naïveté ce qu'il gagnerait s'il gagnait le combat, cela avait énormément amusé Ellen. Elle avait décidé de lui promettre la liberté, espérant ainsi qu'il se défende de son mieux et que cela mette un peu de piment dans leur lutte. Bien sûr, quelle que soit l'issue du combat, elle n'avait aucune intention de tenir sa promesse. Mais elle trouvait un plaisir sadique à faire miroiter l'espoir d'une libération à son prisonnier, pour mieux le décevoir ensuite. En réalité, jamais elle n'avait envisagé une seconde de le laisser partir. Après que Brian eût tapé la première fois, elle le libéra de sa prise et le laissa reprendre ses esprits durant quelques instants. Trop épuisé pour tenter de se relever, il resta ainsi à terre, le souffle court. Puis elle revint s'asseoir sur lui pour s'amuser à lui tordre le corps dans tout un tas de positions insolites, en lui appliquant une série de prises (clé de cou, pied de vigne, etc.), l'amenant à taper à chaque fois. Elle le laissa même une fois se relever pour recommencer le combat, tous les deux à partir de la position debout, mais cette fois-ci elle le mit facilement à terre pour atterrir sur lui. Elle lui bloqua alors les bras et les jambes, et commença à l'étouffer en pressant ses seins énormes sur son visage jusqu'à ce qu'il tape. Elle recommença ensuite cinq fois cette prise pour faire bonne mesure. Puis elle s'avança vers la tête de Brian pour la bloquer à plusieurs reprises entre ses cuisses, lui écrasant le nez contre ses fesses. Pour signifier sa soumission, elle exigea alors qu'il lui baise le derrière au lieu de taper de la main. Au bout d'une demie-heure, Ellen décida que le combat était terminé, car il était évident maintenant que Brian était totalement épuisé et qu'il n'offrait plus aucune résistance intéressante. Elle le prit alors pour l'allonger sur ses genoux et lui infligea une sévère fessée, sans autre raison que pour son propre plaisir. "C'est bon, Brian, debout. Encore une fois." "Non, non, ça va. J'abandonne." "J'AI DIT encore une fois. Et enlève ta coquille." Comme Brian s'exécutait en vacillant, Ellen retira de son côté le peu de vêtements qu'elle portait encore. Malgré toute l'humiliation et la douleur qu'il ressentait, Brian ne put s'empêcher d'admirer la poitrine opulente d'Ellen en la voyant jaillir de son soutien-gorge et rebondir sur son torse. Quand elle s'approcha de lui, il s'aperçut que malgré lui il avait à nouveau une énorme érection. Ellen faucha Brian sans difficulté, et lui bloqua immédiatement la tête entre ses cuisses. Le visage de Brian était maintenant collé contre le sexe dénudé d'Ellen. Brian savait que c'était encore une des ses méthodes pour le briser, mais il était prêt à tout accepter d'elle à partir du moment où elle s'arrêterait de le battre. "Hé bien, Brian, qui est le plus fort de nous deux, hein, dis-moi ?" "C'est vous Maîtresse." "Redis-le encore. Mieux que ça." "Vous êtes ma supérieure dans tous les domaines. Je ne suis rien qu'un homme inférieur devant votre écrasante supériorité." Ellen soupira d'aise. "Oui, c'est vrai, tu as raison. Et, admets-le, au fond de toi-même tu apprécies ce que je suis en train de te faire. Ta bite parle pour toi. Tu bandes comme un turc. Mais ça n'a aucune importance, la seule chose qui doit compter pour toi est mon plaisir." Ellen pressa alors la tête de Brian contre son sexe avec sa jambe et dit simplement : "allez, au boulot. Tu sais ce que tu as à faire." Dans cette position humiliante, Brian dut répéter les gestes qu'elle lui avais appris la veille, lui léchant et suçant le sexe avec dévotion, ce qui eut pour effet de faire jouir Ellen à plusieurs reprises. Quand elle en eut assez, elle recula sur le torse de Brian et lui posa ses seins sur la bouche, lui ordonnant de la lécher pendant un long moment. Elle recula ensuite encore un peu et vint s'empaler sur lui à nouveau, comme la veille, écrasant son corps meurtri sur la moquette jusqu'à ce qu'elle jouisse deux fois. Brian s'efforça de retenir sa jouissance afin de satisfaire sa Maîtresse, mais finit tout de même par éjaculer. Il était convaincu qu'elle était capable de le chevaucher ainsi jusqu'à ce qu'il soit couvert de bleus. Après avoir joui, il se dit qu'en fin de compte, son plaisir sexuel était devenu l'unique point positif de sa situation de prisonnier. Quand elle s'aperçut qu'il venait d'éjaculer, Ellen se releva sans plus de cérémonie, puis lui remit ses menottes aux poignets et aux chevilles, ainsi que son collier. Elle l'enferma ensuite dans sa cage pour la nuit. Après s'être douché, Brian s'allongea sur son lit et tenta de regarder la télé à travers les barreaux. Son esprit vagabonda quelques temps, et il se demanda avec espoir si Ellen l'autoriserait un jour à dormir avec elle, dans un vrai lit. Il se dit que s'il osait, il lui demanderait un jour. Il était en train d'accepter petit à petit la réalité de sa situation : il ne partirait plus jamais d'ici, du moins vivant, et après tout il devait faire de de son mieux pour s'accommoder des circonstances. Et dormir dans un vrai lit avec sa Maîtresse était certainement plus agréable que tout seul, sur un lit de camp miteux à l'intérieur d'une cage. Alors qu'il s'assoupissait doucement, il ne réalisait même pas qu'il commençait à considérer Ellen comme sa Maîtresse légitime, et non plus comme une criminelle. Quand il se réveilla le lendemain, il vit Ellen assise dans le canapé en train de lire. Il constata qu'elle lui avait laissé, comme d'habitude, de quoi prendre son petit déjeuner de l'autre côté des barreaux. De nouveau il y avait du beurre de cacahuètes, du lait et des tartines de confiture. Au moins, il n'était pas au pain sec et à l'eau, se dit-il pour se réconforter. Ellen ne fit pas le moindre geste pour montrer qu'elle avait remarqué son réveil. Il mangea donc en silence puis alla se laver les dents. Quand il eut terminé, Ellen se leva enfin et s'approcha de la cage. Elle ne portait sur elle qu'un soutien-gorge de sport, qui mettait en valeur sa poitrine et les muscles de son torse, ainsi qu'un short moulant. Le regard du jeune homme s'attarda un instant sur les fesses musclées d'Ellen, se rappelant toutes les fois où, la veille, il avait dû les embrasser. La voyant ainsi habillée, Brian pensa au début qu'ils allaient se battre à nouveau, mais il s'aperçut qu'elle n'avait pas préparé le tapis par terre. "Bon, en plus de me servir d'esclave sexuel, tu vas devoir aussi faire un peu de boulot. Je t'ai déjà dit que cet endroit était chauffé par géothermie. Comme nous sommes profondément enterrés, il fait ici constamment 15 degrés, en été comme en hiver. Mais, bien entendu, je préfère avoir une température un peu plus chaude, grâce à une chaudière à gaz dont le réservoir est enterré à côté de la maison. Cependant le gaz me revient cher, et la chaudière n'est pas très pratique à recharger. Heureusement il y a une autre solution : j'ai fait également installer en bas un poêle à bois, très efficace, et des conduits en distribuent la chaleur à travers le sous-sol. En fait, la cabane du dessus est juste une coquille vide, sans aucun aménagement. Bien sûr, j'aurais pu y installer tout le confort nécessaire, mais j'ai préféré ne pas le faire pour éviter d'y attirer l'attention. Elle est totalement séparée du vrai espace de vie qui est ici, au sous-sol. Donc nous allons nous chauffer essentiellement avec le poêle à bois, même si nous avons une chaudière à gaz en cas de besoin. Et c'est là que tu vas pouvoir te rendre utile. Tu vas devoir couper et ramasser du bois de chauffage, durant une grande partie de l'année. Cela te donnera l'occasion de faire un peu d'exercice. J'attends de toi que tu passes entre 3 et 4 heures tous les matins à ramasser du bois. Je pourrai peut-être te laisser les week-ends de libre, cela dépendra de ton efficacité durant les autres jours." Ellen vint ouvrir la cage et attacha la laisse au collier de Brian. Elle adorait tirer son esclave par sa laisse, ce simple geste humiliant symbolisant pour elle toute la domination qu'elle exerçait sur lui. "Viens, je vais te montrer." Ellen mena Brian vers une des deux portes au fond de la pièce, qu'elle ouvrit. A l'intérieur il y avait un poêle à l'allure très fonctionnelle, sans fioritures, ainsi qu'un grand espace pour stocker le bois. Les murs et le sol de la pièce étaient en béton brut. "Cette pièce peut contenir à peu près une quinzaine de stères, ce qui est largement suffisant pour trois mois, avec notre consommation. Hélas, comme tu peux le constater, il reste très peu de bois, et c'est là que tu vas devoir bosser un peu. Tous les jours, quand tu auras fini de ramasser et couper du bois, tu l'amèneras ici et ensuite tu nettoyeras la pièce. Tout ça devrait te prendre 4 ou 5 heures par jour, à peu près." "Mais vous n'avez pas peur que j'utilise une scie contre vous ?" "Pas vraiment, Brian. D'abord, si tu essayes de me nuire et que tu RATES ton coup, alors je te torturerai sans pitié jusqu'à te réduire en bouillie. Et puis, après la séance d'hier, tu sais maintenant ce dont je suis capable de te faire, même à mains nues. Ensuite, je ne te donnerai que des petites scies à main, et c'est d'ailleurs pour ça que ça te prendra autant de temps tous les jours. Pas de tronçonneuse, pas de hache. Il y a suffisamment de petit bois mort aux alentours. Par contre, tu ne pourras pas couper de grandes bûches." Ellen fit ressortir Brian de la pièce. Elle remplaça les courtes chaînes qui reliaient les menottes de ses poignets et de ses chevilles par deux chaînes d'une cinquantaine de centimètres. Cela donnerait plus de liberté de mouvement au jeune homme, tout en l'empêchant de courir. Ils montèrent tous deux l'escalier et sortirent de la cabane, puis Ellen lui donna trois petites scies et un chariot dans lequel il pourrait mettre le bois coupé. Comme toujours depuis son enlèvement, Brian était totalement nu, et il sentit la morsure du froid matinal sur sa peau. "Est-ce que je pourrais mettre des vêtements pour travailler ?" "Oh oui, tu as raison, j'ai failli oublier." Ellen retourna dans la cabane et revint avec une paire de gants. "Tiens". "Heu... Je voulais dire, des habits pour le corps." "Non," répondit Ellen d'un ton désinvolte. "J'aime bien voir mon esclave nu pendant qu'il effectue ses corvées." Elle s'assit sur une chaise sous le petit porche de la cabane, et fit un geste en direction du bois mort à quelques mètres de là. Brian soupira, puis se mit au travail. Toute la matinée, Brian scia et ramassa du bois. Ellen ne fit pas un geste pour l'aider. Elle l'observa durant tout le début de son travail, puis elle se mit à lire, à faire de l'ordinateur, et téléphoner de temps en temps avec son portable. Brian fut étonné de voir qu'il était possible de téléphoner d'un endroit aussi désolé, et il en conclut qu'elle avait probablement souscrit un abonnement avec un opérateur spécialisé dans les couvertures des régions inhabitées. Vers midi elle lui apporta le déjeuner, constitué encore de beurre de cacahuète et de confiture, et il se remit au travail après avoir mangé. Ellen, de son côté, dégustait des sandwiches à l'aspect apétissant, du fromage et des fruits, le tout accompagné de thé glacé. On était encore au début de septembre, aussi faisait-il chaud à midi, mais on pouvait sentir que l'automne allait bientôt arriver. "Maîtresse ?" "Oui, esclave ?" "Que se passera-t-il quand il fera froid ? Il faudra bien que je mette des vêtements à ce moment." "Tu as raison. Je pense qu'il vaut mieux pour toi que tu travailles plus dur durant les deux prochains mois, avant l'hiver. Peut-être qu'alors pendant les grands froids tu n'auras pas à sortir nu dans la neige pour ramasser du bois." Brian se demanda si elle parlait sérieusement, mais il se dit que de toute manière il valait mieux ne pas discuter avec elle sur ce point. Pas la peine de chercher les ennuis maintenant, mais il était sûr qu'il aurait les membres gelés s'il devait travailler dans la neige sans vêtements appropriés. La question de Brian avait amusé Ellen. Elle n'avait jamais eu l'intention de le faire travailler tout nu dans la neige, mais cela l'amusait de lui laisser le croire en attendant l'arrivée des premiers froids. Au milieu de l'après-midi, Ellen ordonna à Brian d'arrêter son travail et de tout ranger. Il avait réussi à ramasser un petit tas respectable de bois dans la réserve, mais il était clair qu'il allait lui falloir plusieurs mois pour remplir la pièce. Quand tout fut en ordre et propre, Ellen lui remit les courtes chaînes aux menottes et lui ordonna d'aller se doucher, en précisant qu'elle ne tolèrerait pas une hygiène négligée chez son esclave. Brian pensa un bref instant marquer sa résistance en refusant d'aller se laver, mais il se dit que tout ce qu'il risquait de récolter serait des coups de fouet supplémentaires pour désobéissance. Quand il eût fini de se laver, Ellen lui dit qu'il était temps de se détendre. Elle tira le rideau et disparut quelques minutes, et quand elle réapparut, ce fut une surprise totale pour Brian : en effet Ellen était toujours vêtue plus ou mois de la même manière depuis le début de sa captivité, c'est-à-dire en larges habits de sports qu'elle retirait volontiers pour se retrouver en sous-vêtements. Mais cette fois-ci, elle avait passé une tenue complètement nouvelle : Ellen portait de longues cuissardes de cuir, un short de latex doté d'une large ouverture entre ses jambes, une veste de cuir serrée, de longs gants noirs et enfin un chapeau noir de type militaire. Brian eut la gorge sèche devant cette superbe apparition, symbolisant pour lui l'image rêvée de la dominatrice. Ellen ligota Brian sur un des meubles bizarres du salon, qu'elle appelait son banc de torture. Brian se retrouva immobilisé sur cette sorte de cheval d'arçon, sa tête à hauteur des hanches d'Ellen. Il était allongé sur le ventre, mais ses genoux et ses coudes reposaient sur des cales, et un espace au milieu du banc rendait accessible son sexe. C'était comme s'il était à quatre pattes, mais en hauteur. Ellen lui fixa de nombreuses sangles, puis entreprit de ligoter à nouveau son pénis et ses testicules : elle n'eut pas besoin de le caresser pour raffermir son sexe, car le spectacle qu'elle offrait à Brian excitait tellement le garçon que son membre était droit comme un i. Pour finir, elle lui enfila sur la tête une cagoule noire, présentant trois orifices pour la bouche et les yeux. Chacun de ces orifices était doté d'une fermeture éclair, permettant ainsi de le fermer et de l'ouvrir suivant le besoin. Pour le moment, Ellen préférait laisser disponibles ses yeux et sa bouche. Ellen commença par lui frapper les fesses à coups de battoir. Certes, ce n'était pas aussi douloureux pour Brian que la flagellation qu'il avait reçue quelques jours auparavant, mais après plusieurs minutes de ce traitement son arrière-train était redevenu rouge vif. Elle s'occupa ensuite pendant un long moment de son sexe emprisonné, alternant les tortures cruelles et les caresses expertes, puis repris le battoir. Durant tout ce temps où elle frappa Brian et martyrisa son sexe, Ellen se délecta des gémissements et des cris variés que son esclave émettait au fur et à mesure des mauvais traitements qu'il subissait. Quand elle se lassa enfin de ce divertissement (après un TRES TRES long moment), elle vint se placer devant le visage de Brian. C'était une des fonctions de ce banc : le supplicié était positionné de manière à avoir la tête juste en face du sexe d'Ellen. Elle colla son entrejambes contre le visage du garçon, agrippant sa cagoule avec ses deux mains. "Vas-y Brian. Fais-moi plaisir jusqu'à ce que je te dise d'arrêter." Brian essaya de répéter les mêmes gestes qu'il avait déjà effectués à de nombreuses reprises ces derniers jours, mais il lui sembla cette fois-ci que sa Maîtresse n'était pas très concentrée sur ce qu'il faisait. En fait elle ne paraissait pas s'intéresser aux efforts que Brian déployait pour essayer de la satisfaire à l'aide de sa bouche et de sa langue. Elle se contenta essentiellement de se masturber avec le visage de Brian, sans paraître se soucier de sa difficulté à respirer du fait de sa position. Une fois qu'elle eut joui bruyamment, Ellen se dirigea vers un ses nombreux rangements et fit son choix pour un nouvel accessoire, sans que Brian ne puisse voir ce que c'était, car elle lui tournait le dos et son champ de vue était très limité par sa cagoule et sa position allongée sur le banc. "Et maintenant, Brian, on va passer à quelque chose de complètement différent pour toi. Je suis certaine que tu n'as jamais vu une de tes petites amies avec un truc pareil." Ellen se retourna alors et Brian s'aperçut avec horreur qu'elle portait un phallus en caoutchouc, fixé à un harnais qu'elle venait de passer autour de ses hanches. Brian fut terrorisé par cette vision. "Non, Maîtresse, pitié, pitié ! Pas ça ! Je vous en supplie, ne me faites pas ça !" Ellen éclata de rire. "Brian, mon dieu, tu es vraiment comme je l'espérais ! J'adore te voir paniquer comme ça ! Mon pauvre chou, terrifié à la vue de ce magnifique gode... Et dire que tu bandais comme un fou il y quelques secondes à peine quand tu bouffais ma chatte ! J'ai vraiment bien fait de te choisir ! Mais, tu sais, si tu n'avais eu aucune prédisposition pour la soumission, j'aurais eu beaucoup plus de mal à te dresser. Tu m'as bien arrangé les choses. Mais malgré tout il reste encore tout un tas de pratiques qui vont te terroriser et te dégoûter, heureusement pour moi, car sinon où serait le plaisir ? On est loin d'avoir épuisé le sujet, crois-moi, et il y a de quoi s'amuser un bon bout de temps avant que tu finisses par être totalement soumis à ma volonté ! Bon, maintenant il va bien falloir que tu y passes, que tu le veuilles ou non. De toute manière, ligoté comme tu l'es, je peux te violer comme je le veux !" Brian se mit alors à pleurer. "Oh, parfait, Brian, oui, continue à pleurer comme ça ! Vas-y, pleure, crie tant que tu veux, ça me fait jouir ! Avec un peu de chance, tu vas continuer comme ça pendant toute la durée de ton viol ! Mais, tu sais, tu va devoir t'y habituer, car la sodomie est une de mes activités préférées !" Ellen vint se placer derrière le jeune homme tremblant de peur, et se mit à étaler abondamment une crème huileuse sur son anus ainsi que sur le gode qu'elle portait à sa ceinture. "Ca y est, on y va !" A ces mots de sa Maîtresse, Brian contracta involontairement son sphincter. "Détends-toi, Brian, tu vas passer à la casserole de toute façon, mais plus tu résisteras, plus ce sera douloureux pour toi." Malgré tous ses efforts, Brian n'arriva pas à se détendre suffisamment pour permettre à Ellen de le pénétrer facilement. Ellen positionna son sexe factice à l'entrée de l'anus de son esclave, mais elle recontra immédiatement une forte résistance. Elle posa alors ses mains sur les cuisses de Brian, tira sur ses bras tout en poussant de toutes ses forces sur ses jambes, et elle se força ainsi un passage à travers le fondement du jeune homme. Quand il sentit les 20 centimètres de l'engin envahir son intimité, Brian hurla de douleur. Une fois qu'Ellen eût totalement enfoncé le membre de caoutchouc, elle resta ainsi, immobile, pendant un long moment. Elle voulait que Brian s'habitue à cette sensation d'envahissement total de son intimité. Pendant ce temps, elle se mit à lui caresser le pénis : elle espérait ainsi créer chez lui une association entre la sodomisation et le plaisir sexuel. Cela faisait partie de son dressage, et avec un peu d'entraînement, il finirait peut-être par jouir autant qu'elle durant ses sodomisations. Le sexe de Brian se redressa à nouveau sous les caresses d'Ellen, pendant qu'il commençait à s'accoutumer petit à petit à cette sensation étrange d'être profondément pénétré par l'arrière. Mais tout à coup Ellen arrêta ses attouchements, puis commença à bouger son bassin d'avant en arrière, violant ainsi sans pitié son esclave impuissant. Pendant toute la demie-heure que dura cette pénétration brutale, Brian ne put s'arrêter de crier et gémir de douleur. Ellen, qui alternait à plaisir les rythmes et les amplitudes de ses coups de boutoir, jouit à deux reprises. Ces deux orgasmes furent causés par les sensations que lui procuraient le gode sur son clitoris à chaque poussée, mais également par cette sensation grisante de totale humiliation et de domination physique qu'elle ressentait à cet instant. Cette simple pensée suffisait à la faire frissonner de plaisir ! Quand Ellen eût fini de jouir pour la seconde fois, satisfaite, elle sortit de Brian pour se pencher vers le sexe du jeune homme. Elle se mit alors à le masturber sans ménagement jusqu'à le faire éjaculer. Elle voulait prendre le dîner maintenant, et elle se disait que c'était le bon moment pour traire son esclave si elle voulait qu'il ne jouisse pas trop vite lorsqu'elle l'utiliserait plus tard dans la soirée. Cette première phase de dressage dura ainsi trois ou quatre semaines, au cours desquelles Ellen retourna souvent à New York. Durant ces absences de sa Maîtresse, Brian s'aperçut qu'il commençait à espérer et même attendre avec impatience son retour. Il préférait de plus en plus passer son temps avec Ellen que rester seul, enfermé dans sa cage. Il faut dire que certaines activités imposées par sa Maîtresse lui étaient agréables, et en particulier ils avaient des rapports sexuels presque tous les jours. Il aimait également de plus plus l'admirer lorsqu'elle faisait de la musculation devant lui, de l'autre côté des barreaux. Ellen avait commencé au bout de deux semaines de captivité à améliorer la qualité et la variété de la nourriture qu'elle donnait à son esclave. Bien sûr, Brian trouvait la corvée de bois fatigante et ennuyeuse, et il était bien loin d'apprécier toutes les pratiques de domination d'Ellen, en particulier les plus violentes d'entre elles. Cependant, il était de plus en plus clair pour lui qu'il préférait être auprès d'elle que se retrouver tout seul. De son côté, Ellen pu constater toute l'efficacité de sa méthode de dressage. Elle voyait bien la joie de Brian lorsqu'elle rentrait de ses fréquents déplacements à New-York. Elle avait remarqué qu'en stimulant son sexe pendant qu'elle le fouettait ou le torturait, il commençait à associer la douleur avec le plaisir sexuel. Elle voulait l'amener à désirer de plus en plus la douleur, comme étant pour lui le seul moyen d'obtenir également du plaisir. Une fois cette boucle infernale enclenchée, elle pourrait en retour lui infliger encore plus de sévices. Et puis un jour, revenant de New York, Ellen annonça : "nous avons un petit problème. Ta mère commence à en avoir assez de ne recevoir que des SMS, et elle voudrait que tu l'appelles. Je lui ai expliqué en me faisant passer pour toi que tu étais très occupé en ce moment, mais elle insiste et t'a laissé plein de messages. Bon, alors voilà comment on va faire : tu vas lui téléphoner, la rassurer en lui disant que tout va bien, ce genre de truc. A la moindre incartade, je te punis ! Et si tu me dénonces, alors je te tuerai. J'irai peut-être en prison, mais en attendant tu seras mort. Tu m'as bien comprise ?" Brian fut impressionné par le regard menaçant d'Ellen. Pour lui, il était clair qu'elle pesait chacune de ses paroles et qu'elle était prête à aller jusqu'au bout. Même si cette entrée en matière lui rappelait sans ambiguïté sa position inférieure de prisonnier, il ne put s'empêcher d'être heureux de la voir ainsi revenir après une longue absence. "Oui Maîtresse," répondit-il. Ellen se détendit légèrement. "Bien. Ce serait dommage de gâcher tout ce que nous avons déjà vécu ensemble, mais je n'hésiterai pas à mettre tout en oeuvre pour me protéger." "J'ai compris. Je vous assure que je ne vous causerai pas d'ennui. De toute manière cela n'apporterait rien de bon, à personne." Ellen l'observa un instant et constata qu'il paraissait sincère. "Parfait ! C'est bien mieux comme ça. Quand même, au cas où, je vais prendre quelques précautions quand tu lui téléphoneras. Je lui ai d'ailleurs envoyé un SMS pour lui dire que tu n'allais pas tarder." Ellen ouvrit la porte de la cage de Brian, lui passa sa laisse et le tira au dehors. Comme d'habitude, il était totalement nu, tandis qu'elle ne portait qu'un soutien-gorge et un string. C'était sa tenue de prédilection. Ellen mena Brian vers le canapé, sur lequel elle avait posé le téléphone portable du jeune homme, qu'il revoyait pour la première fois depuis presque deux mois. Brian frémit de peur en apercevant à côté de son combiné un grand couteau de chasse, à l'aspect terriblement menaçant. Ellen détacha ses menottes et lui tendit le téléphone. Elle prit le couteau, s'assit sur le canapé, écarta ses jambes et ordonna à Brian de s'asseoir sur un tabouret en face d'elle. Une fois que le garçon se fut exécuté, elle enroula immédiatement ses jambes longues et puissantes autour de son dos, et lui passa son bras droit autour du torse pour l'immobiliser. Elle saisit le couteau dans sa main gauche et en pressa la pointe sur la gorge de Brian. Il ressentit nettement la pression de la lame, et se demanda avec appréhension si elle n'était pas en train de lui entailler la peau. "Maintenant," commença Ellen, "tu vas l'appeler, tu vas discuter tranquillement avec elle. Tu vas la rassurer, tu lui diras que tout va bien. Au moindre faux-pas, je serre les jambes et je te casse en deux, ou bien je te coupe la gorge. C'est bien compris ?" "Oui Maîtresse," murmura Brian. Ellen relâcha légèrement la pression de son couteau afin de permettre à Brian de retrouver un timbre de voix plus normal. Il fit le numéro de sa mère, en se demandant comment son téléphone pouvait fonctionner dans un endroit aussi isolé, et sous la terre en plus ! Sa mère décrocha, et il la salua de manière enjouée. Elle lui demanda alors comment ça se passait pour lui à l'université, et la réponse de Brian surprit Ellen. "Heu, comme-ci comme-ça. Tu sais, Maman (il sentit à cet instant les jambes d'Ellen se resserrer sur son corps), je ne suis pas sûr que je sois fait pour ça, pour l'instant. J'aimerais prendre un peu de temps pour faire le point, voyager un peu." "Ha bon, chéri, tu es sûr ? Tu devrais au moins essayer d'avoir un diplôme avant, tu sais, c'est important pour la suite." "Oui, tu as raison, et je ne dis pas que je veux tout arrêter et que j'abandonne définitivement les études, mais en ce moment je n'ai plus trop de motivation. Tu vois, j'ai envie de prendre un peu de temps, rien que pour moi, mais ne t'inquiète pas, j'ai bien l'intention de reprendre mes études ensuite. New York est vraiment une ville géniale, et j'aimerai bien y retourner." "Comment ça, y retourner ?" Ellen appuya un peu plus son couteau sur la gorge de Brian. "Heu... Oui, ce que je voulais dire, c'est que je suis en allé en banlieue chez un ami aujourd'hui, mais j'y serai de retour pour ce soir." Ils discutèrent encore un peu. Brian en profita pour lui rappeler qu'il n'aimait pas trop téléphoner, mais qu'il continuerait à la tenir au courant par SMS. Quand il eût raccroché, Ellen desserra légèrement son étreinte, mais au lieu de libérer Brian, elle le poussa sur le canapé pour se mettre sur lui, se penchant en avant de manière à ce que leurs deux visages se touchent presque. Il pouvait sentir son souffle chaud sur ses lèvres. "Qu'est-ce que c'était que cette histoire de voyage ? Je ne t'avais pourtant pas dit de raconter ce genre de truc !" "Hé bien, vous m'avez déjà dit que ce serait plus pratique pour vous de faire croire à ma mère que je voulais quitter l'école pour partir parcourir le monde. Il me semblait que c'était le bon moment pour en parler. Pour préparer le terrain, et ainsi cela vous permet de me garder prisonnier plus facilement. Vous êtes ma Maîtresse, après tout, et je dois tout faire pour vous faciliter les choses. Ca peut paraître étrange, mais j'ai appris à aimer être auprès de vous, et je me sens totalement perdu sans vous." Ellen fixa Brian en silence durant plusieurs secondes, puis l'embrassa fougueusement sur les lèvres, pendant un long moment. C'était la première fois qu'elle lui manifestait ainsi la moindre forme de tendresse. Elle finit par libérer la bouche du jeune homme et lui dit simplement : "merci." Brian avait contribué de lui-même, sans y avoir été contraint, à son asservissement. Il venait de franchir une étape décisive. Cet épisode excita tellement Ellen que, plus tard cette nuit-là, elle infligea à Brian une terrible flagellation pour se calmer. Cependant, au milieu des cris de douleurs de son esclave, elle lui promit une récompense. Après avoir joui de nombreuses fois, Ellen libéra enfin Brian, mais au lieu de le remettre dans sa cage comme d'habitude, elle l'emmena dans sa chambre. Elle le ligota soigneusement sur son lit, puis se coucha à son tour en posant ses bras et ses jambes sur lui, d'une manière à la fois protectrice et possessive. Ils dormirent ainsi pour la première fois ensemble. C'est à cet instant que Brian réalisa qu'il était heureux de vivre de cette manière. Il ne voulait plus revenir à son ancienne vie, et il désirait rester l'esclave de Maîtresse Ellen pour toujours. Et c'est ce qui arriva. Officiellement pour ses parents, Brian abandonna ses cours d'université et partit pour un voyage à travers le monde pendant six mois. Mais en réalité durant tout ce temps il fut l'esclave d'Ellen, devenant de plus en plus dévoué à sa Maîtresse. Il acceptait pleinement son nouveau rôle à présent. Ellen, de son côté, pouvait épancher sans retenue toutes ses pulsions sadiques, et cela l'excitait plus que tout. Elle tatoua même sur le dos de son esclave : "Propriété de Maîtresse Ellen." Bien sûr, Brian n'appréciait pas forcément toutes les pratiques et les petits jeux de sa Maîtresse, mais même dans ces cas-là il subissait stoïquement les mauvais traitements, sachant qu'il aurait toujours une récompense au bout. Après ces six mois de dressage intensif, il annonça à sa mère qu'il reprenait ses études à New York, et qu'Ellen l'avait convaincu de suivre des cours de comptabilité. Elle avait besoin d'un comptable digne de confiance et compétent, et elle comptait sur lui. Sa mère fut très heureuse d'apprendre qu'il reprenait ses études, et cela la rassura complètement. De plus, cette explication avait l'avantage de donner une justification en or pour tout le temps qu'il passait avec Ellen. Quand il revint à New York pour reprendre ses cours à l'université, les deux amants, ou plutôt la Maîtresse et son esclave, continuèrent à passer de nombreux week-ends et vacances dans leur repère secret, pour y pratiquer toutes les formes extrêmes de bondage, de flagellation, et d'amour sévère. Ils se marieront peut-être, en secret ou non, mais à jamais il lui appartiendra et rampera à ses pieds, ne vivant que pour satisfaire le moindre de ses désirs et de ses exigences. FIN