Sous la loi de Kelli Une adolescente prend le pouvoir et assujetti son père. George n’aurait jamais cru que sa fille pourrait prendre le pouvoir sur lui qui plus est physiquement. Il n’a pas vu sa fille grandir et devenir de plus en plus robuste. George mesure 1m70 pour 80kg, il n’est pas ce qu’on appelle un sportif. Kelli mesure 1m74 pour 85kg de muscles. Sa jeunesse et ses mois de musculation en on fait une véritable force de la nature. Kelli est très jolie, elle le sait. Il n’y a qu’à regarder les yeux des garçons se retourner sur son passage. Elle adore les défier, en combat et les soumettre à la loi de ses muscles. Ses yeux marron sont pétillants, ses cheveux auburn qui entourent son mignon visage lui donne un air angélique. Elle ne dédaigne pas de s’habiller sexy pour mettre en valeur ses muscles. Malgré la vision des muscles de sa fille, George ne la croit pas vraiment forte. Ses derniers mois la poitrine de Kelli s’est développée, affermi par la musculation. De plus elle possède un caractère affirmé. Bref messieurs, le genre de déesse inaccessible qui vous fascine et que vous craignez. George découvrit, a ses dépends, un jour que sa fille ne voulait plus lui obéir et qu’il était incapable de s’y opposer. Ce jour là, Kelli avait invité son amie, Cindy, une jolie fille d’1m79, et encore plus musclée qu’elle. Elle avait un corps somptueux, des jambes immenses. Ses longs cheveux blonds étaient noués en une queue de cheval. Ses yeux de braise incendiaient le bas ventre des garçons de sa classe. Elle avait 18 mois de plus que Kelli. Ses tétons qui dardaient sous son tee-shirt achevaient d’intimider les hommes. Les deux filles s’entendaient à merveille et faisaient régner leur loi dans leur classe. Elles étaient connues sous le nom des sœurs diaboliques forçant l’admiration de leurs consœurs et la peur des garçons. Kelli désirait passer un week-end chez Cindy. George objectait qu’elle était trop jeune pour cela. Bien sur, Kelli pensait différemment. Elle n’était pas d’humeur à accepter la décision paternelle. Papa, donne-moi une bonne raison de me priver de ce week-end ! Cindy s’était placé devant lui mains sur les hanches, l’air menaçant. Vois-tu jeune fille, je n’ai pas à te donner une raison car je suis ton père. Et toi Cindy, je ne veux plus que tu fréquentes Kelli car tu as une mauvaise influence sur elle. Ooooh ! Papa comment peux-tu dire cela de mon amie ? Bien, papa chéri, si tu te crois capable de me l’interdire, de m’empêcher de partir sans ton autorisation, tu te trompes ! Je vais passer mon week-end avec elle, je t’avais juste demandé ton autorisation, pour ne pas t’humilier ! Sur ce elle suivit Cindy pour partir. Reviens ici, ma petite demoiselle. Et il saisit par l’épaule sa fille. Mais Kelly est vive et elle envoie son bras en arrière, fracassant son nez et sa bouche. Aie, a crié de douleur George. Il pose sa main sur son nez en sang. Il cri a sa fille, en rage et pointant son poing : Petite... Avant d’avoir pu prononcé un autre mot, le poing de Kelli s’abat sur son visage. Aaaaah ! Il tombe à genoux, pathétique. Il recule en criant, à quatre pattes vers le salon. Les deux filles le suivent. Hey, Cindy, tu veux t’amuser avec ce minable qui t’a insulté ? Bonne idée, Kelli ! George prend peur, recherchant une issue pour s’échapper. Pitié, ma chérie, je suis désolé de t’avoir blessé, d’avoir été odieux envers Cindy, s’il vous plait, laissez-moi... Kelli s’amuse de la lâcheté de son père. Eh bien, papa, je ne te battrai pas. Je t’ai à peine touché et déjà tu es une merde implorante, tu m’écœures ! George n’a pas le temps de répondre, il voit Cindy s’approcher de lui. Il a compris qu’elle allait en faire de la bouillie. Amuses-toi avec lui Cindy, tabasse-le ! Avec une force incroyable, Cindy à saisi les épaules de George et le traîne sur le canapé. Il ne peut s’y opposer. Et malgré lui il se retrouve assis face à la terrifiante blonde. Son corps tremble de peur. George est assis, effondré, dans le canapé moelleux, terrorisé, ses yeux sont embués de larmes. Cindy le toise, arrogante, sure de sa force. Tu sais ce qu’on devrait faire ? T’arracher tes vêtements, te mettre un collier de chien, une laisse et Kelli te promènerai dans le quartier, avec inscrit sur ton dos au rouge à lèvres, JE SUIS LA HONTE DE MA FILLE ! George gémit, certain que Cindy pourrait l’y contraindre, quitte à le tabasser. Mais elle s’avance et vient sur lui, le bloquant de tout son poids. Elle enfourche son torse. George s’enfonce dans le canapé sous le poids de Cindy. Elle a refermé son poing menaçant et sans état d’âme l’abat en plein visage de George. Il tente de protéger son visage avec ses mains, des larmes coulent sur ses joues. Il ne comprend pas le sadisme de Cindy ni les rires de Kelli, son désarroi est total. Cindy martèle sans pitié les bras de George, elle rigole de la défense minable de l’homme. Les coups pleuvent, incessant à un rythme effréné. De plus en plus souvent le visage déjà tuméfié prend des coups violents. Cindy cesse ses coups et contemple son œuvre, George saigne abondamment du nez et de la bouche et ses yeux deviennent noirs. Elle se relève, mains sur les hanches, rayonnante, satisfaite d’avoir maté le père de son ami. Son bas-ventre est humide, elle gémit, pensant aux doigts si doux de Kelli, aux baisers voluptueux qu’elles s’échangeront dans peu de temps. Papa, debout, ordonne Kelli. Il trop effrayé, blessé pour obéir. Kelli renouvelle son ordre. Debout, lavette ! Cindy va t’aider. Elle va te présenter à moi pour désobéissance. Cindy aide George à se relever, elle le retourne sans ménagement. D’un bras elle le bloque au coup et de sa main libre elle s’empare de ses testicules à travers le pantalon de toile qu’il porte. Pitié Cindy... Pitié Kelli ! ! ! Mais oui, papa mais d’abord c’est mon tour ! Et effectivement, Kelli de ses poings martèle le corps de son père, n’épargnant ni son ventre ni ses bras ni son visage. Au bout de plusieurs minutes, Cindy le lâche, il tombe à genoux devant Kelli. Du sang tombe sur les sandales de Kelli. Nettoie, minable ! La langue paternelle s’exécute léchant les fines lanières de cuir. Les deux filles s’amusent ainsi plus d’une heure, tourmentant à tour de rôle George, totalement vaincu. De temps à autre il peut voir Kelli embrasser goulûment son amie. Sa tête est prête à exploser. A présent, elle frappe meme ses testicules, lui arrachant des hurlements incroyables. Enfin Kelli met un terme à ses supplices. Papa, tu vas m’obéir ou je recommence à te tabasser ! Tu comprends, lavette ? Oui... Oui... que dois-je faire ma chérie ? Dis moi et j’obéirai... Sers-nous un verre de whisky, et range la pièce, nettoie ton sang, puis tu nous conduiras chez Cindy. Compris ? Oui, mes Princesses, je vous obéirai, je vous obéirai ! George se redresse, tandis que les deux démons s’installent confortablement dans le canapé, s’embrassant, se caressant sans plus s’intéresser à l’homme soumis qui servilement leur tend leur verre de whisky. Traduit librement par elricnec@aol.com