KEIKO par Little (VERZET@AOL.com) Une jeune femme terrorise un camp japonais pendant le 2ème guerre mondiale dans le pacifique KEIKO Le colonel Akiko se tourna vers Keiko, sa secrétaire en entendant la machine à écrire s'arrêter. Elle venait de terminer de taper le courrier et attendait assise très droite sur sa chaise qu'il lui donne de nouveaux ordres. L'atmosphère dans cette petite île du pacifique dont on lui avait donné le contrôle était lourde et humide. Keiko était vêtue d'une jupe militaire noire qui masquait mal des cuisses impressionnantes et d'une brassière blanche qui dévoilait son abdomen recouvert d'une épaisse couche de muscle et ses bras puissants. Je n'aurais plus besoin de vous sergent Merci mon colonel répondit-elle en se levant et en le saluant respectueusement, Puis-je aller m'entraîner ? Bien sur Elle passa devant lui. A près de 2 mètres, elle dominait le petit colonel de plus de 30 centimètres. Keiko faisait partie des 30 jeunes femmes d'un programme spécial établi par l'armée japonaise au début de la guerre. Ce programme d'amélioration génétique avait permis de réaliser des jeunes femmes d'une puissance inégalée par aucun être humain et également d'une cruauté exacerbée. L'entraînement des filles avait eu lieu en Mandchourie pendant un an, et elles étaient devenues de véritables machines de torture et d'extermination, dont plus de 500 prisonniers mandchous avaient été les victimes. Akiko avait commandé pendant un certain temps la compagnie logistique de ce camp très secret et les cris inhumains des pauvres prisonniers au mains de leurs tortionnaires résonnaient encore à ses oreilles. Ces filles prenaient plaisir à torturer à mains nues, leur force surhumaine avait été spécialement développée pour tuer. Akiko avait été soulagé de partir pour le pacifique bien que les combats y fassent rage, mais son angoisse était revenue lorsqu'il avait découvert que sa secrétaire était l'une de ces filles. Peut-être en savait-il trop et était-elle la pour le surveiller ? En tout cas elle semblait se montrer très respectueuse de son grade et lui témoignait une déférence qui l'étonnait, surtout sachant qu'elle pouvait broyer une brique dans sa main. Les hommes avaient tous peur d'elle, et il suffisait de voir les restes des quelques prisonniers américains qui lui étaient passé dans les mains pour comprendre. Keiko se dirigea vers une sorte d'enclos à ciel ouvert qui constituait son espace d'entraînement. Il était meublé des plusieurs bancs, presses, et d'haltères supportant des poids pharamineux. Un homme même fort aurait été bien incapable de bouger la plupart de ces poids. Il y avait aussi des sortes de billots en bois pour la plupart brisés. Keiko se dévêtit et passa un body blanc que son corps musculeux étirait au maximum. Elle se mit aussitôt à manipuler les lourdes charges. Elle commença par effectuer des curls avec un haltère de 150 kg, son biceps explosant littéralement à chaque répétition. Elle débutait la 3ème série quand un soldat arriva au pas de course ; Il se mit au garde à vous devant elle et la salua. Elle leva la tête -Le colonel vous attend dans son bureau madame. -J'y vais. Elle se leva devant le soldat, le dépassant de 40 cm. Elle lâcha l'haltère qui tomba sur le pied du soldat, le brisant par sa seule chute. L'homme poussa un cri horrible et s'affaissa. Il s'accroupit et tenta de bouger le pesant haltère pour libérer son pied. -Rappelles toi que la position d'un homme devant moi est toujours à mes pieds, dit Keiko. En même temps elle posa son pied nu sur la barre de l'haltère et exerça une pression avec la puissance surhumaine de sa cuisse. Les os broyés sous le poids craquèrent et la bouillie de pied, le brodequin éclaté et une partie de l'haltère s'enfoncèrent dans le sol qui absorba le sang du soldat. Il poussa un hurlement qui fit sourire Keiko. Elle lui tourna le dos et s'éloigna vers la cabane préfabriquée qui abritait le bureau du colonel. A son arrivée elle se tourna vers le chef du détachement et le salua très droite. Sa poitrine pointait fièrement et tendait le body blanc. Ses aréoles sombres se voyaient par transparence et ses aréoles pointaient à travers l'étoffe. Keiko, dit le colonel, un soldat américain est arrivé par la mer. Le sergent Keiko écoutait l'officier droite et raide comme une statue. Pourtant, une sorte de lueur malsaine sembla éclairer son regard. Le colonel Akiko s'en rendit compte et ne pu réprimer un frisson. Un animal à qui l'on promet une mise à mort pensa t'il. Le colonel reprit d'un ton neutre : On n'a pas retrouvé de débris. Il est seul. Tout nous porte à penser qu'il a été largué d'un sous-marin. En tout cas je ne pense pas que son arrivée ici soit un hasard. Il est à vous sergent. Ces derniers mots furent dits d'un ton sourd et très rapidement. Akiko avait encore en mémoire les cris déchirants des sujets japonais ou occidentaux que Keiko avait interrogé. Le dernier – ou plutôt la dernière avait été retrouvée les 2 cuisses déboîtées des hanches, un escarpin enfoncé dans l'anus par la pointe jusqu'au talon aiguille qui seul émergeait. Les bras et les cotes étaient brisés et la mâchoire broyée. Ainsi torturée, elle avait vécu suffisamment longtemps pour fournir les informations que l'on voulait en soutirer puis elle s'était éteinte, sa tortionnaire ne prenant même pas la peine de l'achever comme elle le faisait parfois en broyant le crane de ses victimes entre ses cuisses, en leur transperçant le thorax d'un coup de pied ou même en brisant leur cou d'une main. Le sergent Keiko, décidée à remplir scrupuleusement sa mission s'éloigna vers le quartier de détention ou les prisonniers étaient parqués. C'était un cabanon en plein soleil bien sur, ocre clair sur le fond de ciel bleu et de végétation tropicale. Lorsqu'elle s'approcha, toujours vêtue de son body blanc, Keiko s'arrêta devant le garde qui la salua avec déférence et crainte. Elle le regarda fixement puis se lécha le dos de la main, comme l'aurait fait un fauve. Conduit moi dit-elle simplement Sans un mot, le garde se glissa devant elle et la mena devant la porte d'une cellule qu'il ouvrit. Lorsqu'elle entra, un prisonnier blessé se traîna dans un coin ou il se recroquevilla en geignant, abandonnant une gamelle métallique de bouillon qui se retourna lorsqu'il la lâcha. Il tremblait à la seule vue de la superbe femme qui venait d'entrer. Le prisonnier américain à interroger était assis sur la paillasse et son regard allait de son pauvre compagnon à Keiko. Celle-ci avança d'un pas et posa son pied nu sur l'écuelle de métal qui s'écrasa dans un grincement sans qu'elle parut faire un effort. Lorsqu'elle leva son pied, l'assiette de métal avait été complètement aplatie sous la pression. Un autre pas et elle se retrouva devant le prisonnier blessé. Il ne faut pas gâcher la nourriture, dit-elle Elle leva le pied qui avait broyé l'écuelle à hauteur de son visage Lèche Avec une hésitation, l'homme s'exécuta ; il lécha les quelques débits alimentaires maculés de poussière restés collés au pied de Keiko. Elle le regarda avec un sourire. Puis, se tournant vers l'Américain toujours assis sur sa paillasse et sans dire un mot, elle donna sans élan un coup de pied au visage du blessé. La mâchoire craqua, le sang jaillit. L'homme fut projeté à deux mètres. Il resta prostré, n'osant pas bouger. Keiko s'adressa au yankee en américain avec un accent japonais qui rendait ses paroles saccadées presque inhumaines. Je vais finir ce con et ensuite je m'occuperais de toi. Elle enjamba l'homme tombé à terre. -Tourne toi et lève la tête qu'il voie la puissance de mon coup de pied Lorsque l'homme se releva, l'autre put voir son visage en sang et sa mâchoire qui pendait bizarrement. Elle avait fait cela d'un coup si peu appuyé, presque une chiquenaude. -Tu as peur ? l'homme acquiesça de la tête Tu sais que je vais te tuer ? Il eut un mouvement de recul, mais elle posa un pied sur son thorax. Il était prisonnier sous elle et tentait de se dégager Ce n'est pas la peine de te tortiller, je suis trop forte -….. On va voir si ta jambe valide est suffisamment forte pour mon bras Elle se leva, attrapa sa cheville et tira en se redressant. On entendit un bruit déchirant couvert par un cri lorsque la jambe fut déboîtée du bassin. Elle fit glisser son pied du thorax à l'aine de l'homme et appuya fermement, ce qui se traduit par un nouveau cri de douleur. Elle tira alors un coup sec levant au- dessus de sa tête à la verticale la main qui emprisonnait la cheville du gars arrachant la cuisse à l'aine. Un flot de sang jaillit de l'artère fémorale sectionnée. Elle lâcha le membre arraché qui tomba à coté de son propriétaire, le pied heurtant son visage ensanglanté. Ce fut la dernière chose qu'il vit avant de perdre connaissance, du fait de la douleur et aussi de la perte de sang qui le vidait comme un poulet. Elle le laissa mourir et se dirigea vers l'Américain. Je le laisse mourir rapidement car ce traître est un des miens. Je suis moins douce avec les chiens galeux de ta race Elle s'approcha de l'Américain d'une démarche chaloupée et posa un pied maculé du sang de l'homme qu'elle venait de tuer sur le bas flanc ou il était assis. Elle commença à se toucher à travers son body. Au bout d'une minute elle prit la main du prisonnier dans la sienne et la guida jusqu'à son sexe. Elle écarta l'entrejambe de son body et introduisit deux doigts de l'homme dans son vagin. Elle les fit aller et venir dans son sexe déjà trempé par l'excitation d'avoir tué un homme à mains nues. Elle inséra deux autres doigts de la main de l'Américain dans son sexe. Elle avait la bouche entrouverte et son regard noir était presque sadique. Elle eut un petit rictus, retroussant légèrement sa lèvre supérieure lorsqu'elle serra les muscles de son vagin, broyant les quatre doigts de l'Américain. Les petits craquements sourds des os des doigts qui étaient brisés par les parois de son sexe la firent mouiller d'avantage. Cette démonstration de force l'excitait au plus haut point. Elle contracta cinq ou six fois les muscles de son vagin, engouffrant la main chaque fois un peu plus profondément. Lorsque le pouce eut complètement disparu et que les craquements devinrent plus faibles et mêlés à un bruit pâteux, elle ressortit le moignon broyé. Les os écrasés pointaient par endroits, lorsque les chairs éclatées les avaient laissé à vif. Le sang était mélangé à son jus de fille. Elle n'avait réalisé aucun effort. Tu comprends comme je peux m'amuser avec toi, et quand j'aurais fini tu seras aussi mou qu'un sac de farine. Elle réajusta l'entrejambe de son body et se plaça à ses cotés adossée à la lourde chaîne qui retenait le bas flanc. Elle plaça la chaîne dans la raie de ses fesses et s'appuya davantage, laissant les épais maillons pénétrer entre ses deux globes repoussant son body entre ses fesses. Cela tendit la chaîne qui protesta d'un grincement. Elle serra les fesses pinçant la chaîne et comme si de rien n'était se dirigea vers la porte d'un pas léger. La chaîne prisonnière se tendit, grinça et les maillons se cassèrent dans un bref bruit d'explosion. Le bas flanc sur lequel se trouvait l'Américain s'affaissa et il se retrouva assis par terre. Elle s'éloigna, maintenant toujours un bout de la chaîne coincé entre ses fesses. Devant la porte elle s'arrêta, relâcha ses muscles et les maillons arrachés tombèrent à terre entre ses jambes. Elle se retourna brièvement vers le prisonnier : Regarde les bien avant de décider de ne rien dire. Puis elle sortit. Le prisonnier qui tenait sa main broyée dans sa main valide se leva et alla ramasser le morceau de chaîne. Les maillons faisaient bien ½ cm d'épaisseur. Certains avaient été tordus, pincés déformés par la pression de la tenaille des muscles de Keiko. Aux deux extrémités les maillons avaient été brisés en leur milieu. Le garde s'approcha de lui et lui prit le bout de chaîne. Il s'adressa à lui : - Cette femme c'est supergirl avec la méchanceté en plus. Je n'ai jamais vu quoi que ce soit de vivant ou d'inanimé lui résister. Lorsqu'elle va se baigner, si elle rencontre un requin elle le tue. Le dernier, hier, elle l'a décapité rien qu'en se mettant à cheval sur lui derrière sa tête et en serrant ses cuisses au maximum. Elle a réussi à les fermer complètement. Elle a ramené le corps au cuistot. Il faisait 4 mètres sans la tête. La tête elle l'a gardée en trophée. Je dois la lui empailler. Tout en racontant cela, il avait été chercher une petite trousse d'urgence et commença à désinfecter les plaies de la main saignotante de John Smith et réalisa un pansement de fortune. J'ai été infirmier avant la guerre, dit-il. John réfléchit un court instant et dit au garde qu'il était disposé à parler. Le soldat fit disparaître le cadavre qui était resté dans la cellule et nettoya à grande eau tout le sang. Il alla ensuite au téléphone et s'entretint un court moment, sans doute pour prévenir ses supérieurs que le prisonnier était « mur » pour l'interrogatoire. Quelques minutes plus tard, Keiko entra, entourée de deux officiers de l'armée japonaise qui lui arrivaient légèrement au-dessus de la poitrine. Elle était vêtue d'un bikini en cuir noir et de cuissardes noires également. Lorsqu'elle vit la main pansée, elle s'approcha du garde. Je ne t'avais pas donné l'ordre de le réparer Oui sergent mais j'ai pensé, en même temps que j'ai nettoyé le sang de l'autre prisonnier…celui que vous…qui a été exécuté…J'ai pensé,.ca ferait plus net pour l'interroger… Tu parles trop Elle le prit par l'arrière du cou et ouvrit de ses doigts d'acier sa mâchoire. Il essaya bien de résister mais tout ce qu'il obtint c'est qu'en appuyant elle brisa deux dents sans même s'en rendre compte. Elle saisit sa langue entre le pouce et l'index et tira un coup sec. La langue fut arrachée. La bouche du garde s'emplit de sang et il poussa un hurlement. Il recula de 3 mètres et s'affala dans un coin de la cellule, bâillonnent de ses mains sa bouche ensanglantée. Elle lâcha la langue de l'homme qui tomba à ses pieds. Elle l'écrasa sous la semelle de sa cuissarde, un filet de sang bulla entre la semelle et le sol cimenté Tu nettoieras tes saloperies après. Puis s'adressant à un des soldats présents : Allez le faire réparer, lui Elle se tourna ensuite vers le prisonnier. Le colonel et le commandant sont la pour t'écouter. Moi aussi d'ailleurs. Je te conseille de dire la vérité. Elle marcha jusqu'au prisonnier, la langue écrasée avait été ramenée presque à l'épaisseur d'un carton sous la pression. Debout devant lui, elle appuya sur l'épaule, cassa la clavicule dans sa main. Cela le fit mettre à genoux. Son visage était à quelques centimètres de son sexe gainé de cuir. John Smith regarda cet entrecuisse qui avait écrasé un requin et commença à parler. Trois jours passèrent. Le soleil du pacifique baignait de lumière la salle de réunion attenante au bureau du colonel. Celle ci était meublée en bois des îles et il se dégageait de la pièce une atmosphère décontractée. Le visage des occupants l'était beaucoup moins. Keiko, body de cuir noir rehaussé d'un discret enclouage et cuissardes de cuir souple était assise dans un fauteuil, pieds croisés sur une table basse. L'abandon de son corps contrastait avec le bruit grinçant du presse papier de métal qu'elle broyait nonchalamment de sa main comme s'il s'était agi d'une vulgaire boule de pâte à modeler. Un petit homme –asiatique bien sur- en complet veston noir se tenait debout près d'elle. Il lui expliquait que les renseignements soutirés au prisonnier n'avait pas tenu devant les vérifications effectuées. Tokyo était très mécontent. Le colonel, assis dans un coin ombragé de la pièce avait l'air abattu. -Faites venir le prisonnier ; dit-elle ; je vais l'interroger ici. Elle écrasa dans sa main le morceau de métal, y imprimant l'empreinte de ses doigts, et le lança par la fenêtre ouverte face à elle. Il transperça le corps d'un bœuf local de part en part blessant l'animal à mort, sous le regard incrédule de son gardien, à cinq cent mètres de l'entrée du camp. Lorsque John Smith entra dans la pièce, elle lui sourit puis l'invita d'un geste à s'asseoir dans le fauteuil près du sien. Elle posa sa main sur son avant bras qui reposait sur l'accoudoir et dit Je vous remercie pour vos informations, mais nous allons avoir besoin de quelques données complémentaires. Monsieur Niko va les noter. Je vous ai tout dit Sa main serra l'avant bras et on entendit un craquement. Le visage de Smith se tordit de douleur, mais il ne bougea pas. Keiko se leva gracieusement – mais sans relâcher son avant bras – pour se tenir face à lui, légèrement penchée en avant, jambes tendues écartées. Je n'aime pas être prise pour une idiote. Nous allons donc recommencer l'interrogatoire Elle prit appui sur son autre avant bras avec sa main opposée et serra jusqu'à ce qu'il craque. Mais avant je vais devoir vous immobiliser Elle posa un talon aiguille sur un des pieds de Smith et appuya jusqu'à ce qu'elle le traverse et que le talon se cloue dans le parquet en bois précieux. Elle fit ensuite de même avec le second pied. Il était ainsi empalé sous elle. Cela lui avait arraché un hurlement de douleur. Puis elle serra ses deux mains écrasant l'avant bras et le bras du fauteuil dans un double craquement d'os et de bois. Lorsqu'elle eut terminé, ses poings étaient serrés sur des lambeaux de peau et des éclats de bois. Elle relâcha son étreinte. Un avant bras tomba à terre, l'autre pendouillait lamentablement au moignon. Les pieds fermement assurés dans le sol à travers ceux de son prisonnier, elle se redressa ; Smith s'effondra en avant Alors ? …. Je continue donc Elle saisit l'homme par les épaules et les ramena en arrière d'un mouvement sec qui les lui brisa. Un autre hurlement, et elle se relava en souriant Attendez, attendez, laissez-moi la vie, je vais parler Ce n'était qu'un murmure, un souffle. Puis Smith s'évanouit. Elle prit son visage entre ses mains et lui cracha dessus. Ses crachats puissants éraflaient sa peau. Il revint à lui, le visage mêlé de sang et de salive On t'écoute, monsieur est pressé La vie..la vie ? ? On verra, parle John Smith, brisé parla pendant deux heures, Il donna des renseignements détaillés que le petit homme notait en hochant affirmativement la tête. Keiko tournait parfois un peu un talon quand elle sentait que le débit allait se ralentir. A la fin, le petit homme releva la tête et eut un signe de satisfaction. Keiko se rassit dans le fauteuil qu'elle occupait précédemment, elle écarta ses cuisses et s'adressa au prisonnier Je suis satisfaite ; maintenant viens, je vais te récompenser. Elle l'invita à se placer à genoux entre ses cuisses, tandis qu'elle demanda à ce qu'on lui apporte un cocktail au soldat de faction devant la porte. Smith réussit à se traîner entre ses cuisses et en même temps la boisson fraîche arriva sur un plateau argenté. Elle la saisit et étendit ses jambes puissantes de part et d'autre du prisonnier. Elle croisa ses chevilles et commença à serrer en sirotant le liquide coloré avec une paille. A mesure que les os craquaient et que l'espace entre ses cuisses rétrécissait, il vomit sur elle de la bile, puis du sang. Une odeur pestilentielle indiqua que ses intestins se vidaient. Son pantalon se trempa d'urine. Son regard prit une couleur terne après que ses yeux aient exprimés la souffrance, aient implorés et finalement aient eu cette expression vide de la vie qui se retire. Les craquements, plus ou moins forts n'avaient pas cessé depuis près d'une minute. Finalement ses jambes étaient parfaitement étendues, les talons ensanglantés après « l'enclouage » qu'ils avaient réalisé, reposaient sur la table basse. Entre elles Smith gisait coupé en deux, le tronc penché sur le coté, baignant dans ses excréments. Elle adressa un sourire aux trois homes présents sur le visage desquels on lisait à la fois du dégoût et une excitation, et elle serra violemment les cuisses broyant la colonne vertébrale et achevant de sectionner le tronc de la victime. La partie supérieure du tronc de Smith bascula sur le coté, et les chairs écrasées trop ténues pour maintenir le corps en un seul morceau, elle se désolidarisa de la partie inférieure qui s'effondra au sol. Keiko se leva, couverte de sang et de bile et très élégamment posa son verre et dit Je vais prendre une douche je suis à vous dans quinze minutes. Elle sortit.