Une Joute verbale Par Esclamoureux Une joute verbale aboutit à une humiliation qui ne restera pas sans suite. Claude entre dans le bureau o� travaille Renaud. Ils sont scientifiques Dans un laboratoire. «� Il faut qu'on parle� » dit-elle. Il accepte imm�diatement. Cela fait des mois qu'il «� boude� ». Il y a eu un affrontement entre eux deux pour le choix d'un professeur dans leur laboratoire. Claude, avec deux complices, avait gagn�. Elle l'avait d�j� battu dans une circonstance ce analogue qualeues ann�es avant. Cette fois-l� Renaud avait accept� sa d�fait d'autant plus facilement qu'au fond il �tait content du choix de Claude et craignait un peu le personnage qu'il avait soutenu. Mais cett'e deuxi�me fois, l'enjeu �tait autre� : il voulait garder sa collaboratrice Maria, et pour cela il fallait embaucher le mari de Maria, un candidat tout � fait honorable. Mais Claude n'aimait pas Maria et avait man�uvr� avec succ�s contre elle et donc contre Renaud. Claude avait toujours exerc� un ascendant sur Renaud. Mais cette fois-ci s'en �tait trop. Renaud avait d�cid� de ne plus lui adresser la parole. Quand Claude �tait entr� d'un air martial dans son bureau il commen�ait � se trouver ridicule dans sa bouderie. Et puis il �tait s�r de son fait. Son plan gagnait duex postes pour le prix d'un seul, puisque Maria avait d�j� le sien. Le candidat finalement choisi par Claude n'�tait pas si impressionnant que cela. Renaud �tait s�r de clouer le bec de cette femme qui l'avait vaincu deux fois, malgr� leur ancienne amiti�. De fait apr�s une longue joute verbale, Claude est oblig�e d'admettre que le choix de garder Maria et recruter son mari n'�tait pas un mauvais choix. Alors elle change soudain d'angle d'attaque et parle de la tactique, du fait que Renaud n'avait jamais clairement expliqu� sa tactique et que de ce fait il �tait responsable de sa d�faite. Elle touchait juste. Il avait tr�s mal men� sa bataille. Il s'�tait fait «� ballader� ». Il reconnut qu'elle avait raison, mais en faisant cela il �prouvait un plaisir masochiste, il sentait son p�nis se gonfler. Elle, de son c�t�, ressentit une onde �rotique dans la soudaine capitulation de son adversaire, une onde sexu�e. Cette tension tension �rotique donnait � cette simple acceptation de l'argument de Claude les proportions d'une capitulation en rase campagne. Et pour renforcer cela Renaud demandait pardon pour la bouderie et promettait d'y mettre fin. Ainsi Renaud venait de subir une traisi�me d�fait de la part de son� «� amie� » , Maos cette fois-ci il avait �t� humili� et ... ... il en avait pris du plaisir. Elle aussi �tait contente de sortir victorieuse de ce duel. Ils se parlaient � nouveau. Peu de temps apr�s avait rapport� � Claude le propos d'une administrative qui avait trait� Claude de "m�chante", et il reprenait ce propos � son compte. Claude entra dans une grande et compr�hensible col�re. Renaud comprit qu'il venait de commettre une �norme erreur et demanda pardon. Cela ne suffit pas � calmer Claude. Il lui dit alors "je t'ai demand� pardon, mais si tu veux je vais m'agenouiller dans le couloir". Claude refusa ce geste extr�me, ce qu'il esp�rait. Quatre � z�ro. Dans la t�te de Renaud s'installa cette sensation trouble et perverse d'�tre entr� dans une position de soumission humili�e face � cette femme. Cette sensation lui plaisait. Pour elle c'�tait moins important. Battante elle aimit gagner mais le fait que ce m�me homme ait �t� humili� par elle n'�tait pas un �v�nement, elle menait bien d'autre combats� ! Cela aurait pu s'arr�ter l� , mais les d�esses n'en avaient pas d�cid� ainsi