Jeanne et Gilles - 2ème partie par escribe1@caramail.com Traduction de "Joan and Jim", de Janet Ford ==================================== = 2ème partie : le début de la fin = ==================================== [Le point de vue de Jeanne] La journée était déjà bien avancée lorque nous prîmes notre déjeuner, Gilles ayant passé la matinée à ranger et à nettoyer les restes de la soirée. De mon côté j'étais bien déterminée à ne rien faire du tout, il était hors de question que je me fatigue avec de sordides tâches ménagères, et Gilles commençait à comprendre ce que j'attendais de lui. Il m'aimait, il voulait être à moi, et moi je le voulais. En fait je voulais même avoir tout un cheptel à ma botte, et j'y arriverai, mais chaque chose en son temps : il y avait encore une foule de détails à mettre au point avec lui, je n'avais fait pour l'instant que lui imposer quelques règles de base. Il y aurait beaucoup de larmes avant que j'en ai fini avec Gilles, le pauvre ne se doutant pas de ce qui l'attendait. Je le regardai alors qu'il était en train de me masser les pieds, tous les deux installés pour regarder une émission quelconque à la télé. "J'aime que tu me masses comme ça," mentis-je, "je voudrais que tu le fasses plus souvent." Gilles mordit à l'hameçon exactement comme je l'avais prévu. "Pourquoi ne viendrais-tu pas t'installer ici ?" demanda-t-il. Je le fixai dans les yeux. "Peut-être," répondis-je. "Allez, viens," dit-il avec enthousiasme, "allons tout de suite chez toi pour prendre tes affaires." "Non, je viendrai quand je serai prête. Rappelle-toi que c'est mon avis qui compte, Gilles, pas le tien." Il sembla un peu contrarié, mais ce n'était rien à côté de ce qui l'attendait. Après quelques minutes je passai à l'étape suivante de mon plan. "Est-ce que je peux prendre ta voiture, Gilles ?" demandai-je. "Où veux-tu aller ?" "A mon appartement prendre quelques affaires." "Je viens avec toi." "Non, je veux y aller toute seule. Est-ce trop demander ?" "Non, bien sûr que non. Mais je n'ai jamais encore prêté ma voiture, et je ne t'ai jamais vu conduire," maugréa-t-il. "Et alors ?" "Alors je ne sais même pas si tu sais conduire." "J'ai mon permis. Mais tant pis, je prendrai le bus," dis-je en prenant un air déçu. "Non, vas-y, prends ma voiture. Le trousseau de clés est accroché à côté de la porte d'entrée," concéda-t-il. Il me donna un petit baiser qui semblait représenter tout ce dont il avait besoin pour se calmer, et quelques minutes plus tard je me retrouvais au milieu de la circulation dominicale, me dirigeant non vers mon appartement mais vers celui de Dorothée. Elle voulait un compte-rendu de la soirée et j'étais impatiente de le lui donner. [Le point de vue de Gilles] Après avoir passé cette soirée troublante, je ne savais plus trop où j'en étais, au point d'en avoir l'estomac noué. Je supposais que c'était de l'amour, mais je n'avais jamais ressenti ça avec quelqu'un d'autre auparavant. Jeanne avait prouvé qu'elle était capable aussi bien de me rendre heureux que de me faire souffrir. Ce matin-là je m'étais dit que j'irai prendre une bière dehors avec des copains, mais Jeanne voulait que je reste avec elle, aussi préparai-je le déjeuner. Le temps de servir le repas puis de débarasser, l'après-midi était déjà presque passé. Nous regardâmes de nouveau un truc insipide à la télé, malgré un match de l'OM sur l'autre chaîne. Cependant j'avais la consolation d'être aux côtés de Jeanne, lui massant ses pieds posés sur mes genoux. J'adorais me retrouver ainsi seul avec elle. Je lui proposai alors de venir s'installer chez moi, et elle parut hésiter. Mais, à ma grande joie elle sembla ensuite reconsidérer ma proposition. Je ne savais pas que cela signifiait en fait que les soucis allaient commencer pour moi... Je lui proposai de la conduire à son appartement pour prendre ses affaires, mais elle voulait le faire toute seule, en prenant ma voiture. Cela me contrariait énormément de la lui prêter, l'Audi était presque neuve et j'y tenais beaucoup, mais comme d'habitude elle réussit à me faire changer d'avis avec facilité et quelques instants plus tard elle était partie avec ma voiture et mon trousseau de clés. Elle m'avait ainsi laissée seul chez moi, enfermé dans mon propre appartement. Mais elle allait certainement rentrer vite ! [Le point de vue de Jeanne] Je conduisis jusqu'à la maison de Dorothée. C'était un après-midi couvert, il s'était arrêté de pleuvoir mais le sol était encore mouillé et les lumières de la rue étaient allumées lorsque j'arrivai chez elle. Dorothée s'était bien débrouillée, elle possédait en proche banlieue une grande maison jumelée donnant sur un parc, à proximité du périphérique tout en étant au calme. C'était un endroit très agréable à vivre. Je m'engageai dans son allée, et avant que je n'arrive à la sonnette d'entrée elle ouvrit la porte pour m'accueillir. "Très bien," dit-elle avec un sourire approbateur. "C'est sa voiture, n'est-ce pas ?" "Oui," dis-je très fière de moi. "Entre et raconte-moi tout ce qui est arrivé cette nuit." Nous pénétrâmes dans sa maison et nous traversâmes le salon pour discuter en profitant de la vue du grand jardin. "Alors, comment a-t-il réagi ?" demanda-t-elle en s'installant confortablement dans un épais fauteuil. Dorothée était vêtue d'un pull en cachemire et d'une longue jupe noire. Une lampe douce emplissait la pièce sombre d'une lumière tamisée, et le feu dans la cheminée qui réchauffait la pièce complétait l'ambiance douillette de cet endroit. "C'est parti. Il croit encore que c'est un jeu.' "Il est encore sous ton charme, alors." "Oh que oui. Il m'a demandé de venir vivre avec lui !" "Bien joué !" "Et j'ai ses clés !" annonçai-je en les lui montrant, les agitant tel un trophée. "Il n'y a plus de retour en arrière possible maintenant, ma fille. Serre bien les vis jusqu'à ce qu'il se soumette totalement, et serre-les encore plus ensuite !" dit-elle avec un sourire. Je lui rendis son sourire. Je voulais tant retourner à l'appartement pour continuer son dressage, mais ce petit intermède chez mon amie Dorothée pouvait se révèler très instructif. "Suis-moi," dit-elle en se levant pour se diriger vers l'escalier. Une fois montés au premier nous arrivâmes devant une porte munie d'un cadenas, qu'elle décrocha. Nous entrâmes dans la chambre en allumant. Je découvris alors Yann allongé sur le lit, totalement nu à l'exception d'un collier autour du cou et d'un ustensile sur le sexe que je reconnus comme étant une ceinture de chasteté. "Va en bas nous préparer du thé," ordonna Dorothée. "Qu'est-ce que c'est ?" demandai-je en bloquant la sortie, l'empêchant ainsi de partir dans la cuisine. Je pointai du doigt son sexe prisonnier. "Nous avons eu un accident, n'est-ce pas Yann ?" "Oui, Maîtresse Dorothée." "Quel genre d'accident ?" demandai-je, savourant son embarras. "Il n'a pas pu se contrôler. Il est si faible. Maintenant c'est moi qui le contrôle directement." Je vis alors que ses fesses étaient zébrées de traces rouges, apparemment Dorothée lui avait donné une bonne raclée. "Dégage maintenant, branleur, et dépêche-toi pour le thé. Tu nous serviras au salon." Elle le gifla du revers de la main alors qu'il passait devant elle pour sortir de la chambre. "Qu'est-ce qui s'est passé ?" demandai-je. "Il a éjaculé hier soir sans permission. Quand nous vous avons quittés nous sommes allés chez Cathy et les garçons nous ont offert un petit spectacle." "Qu'est-ce que tu veux dire ?" "On les a forcés a faire un soixante-neuf au milieu du salon de Cathy, et il a éjaculé dans la bouche de Charles !" dit-elle en riant. "Il faut dire que Yann n'avait pas joui depuis presque un mois, et ce pauvre Charles a failli étouffer !" Elle continuait à rire aux éclats alors que nous descendions les escaliers. "Tu aurais vu leur tête ! Bon, après on l'a battu bien sûr, pour le punir, et j'ai décidé d'utiliser ce nouveau moyen de contrôle que je ne retirerai pas avant Noël, au moins. Il pleurait comme un enfant quand nous lui avons installé. Cathy l'avait acheté pour Charles, mais j'en ai plus besoin qu'elle pour le moment." Yann nous servit le thé au salon, puis il alla remettre du bois dans la cheminée. Quand il me resservit je fis courir ma main entre ses jambes, laissant traîner mes ongles sur sa peau. Dorothée m'observait alors que je faisais grossir son pénis emprisonné dans sa cage trop petite. Je jouai ainsi plusieurs minutes avec son sexe, le regardant prendre différentes teintes de rouge, jusqu'au cramoisi. "Pitié, Maîtresse Jeanne," finit-il par supplier. "FERME TA PUTAIN DE GUEULE !" lui hurla Dorothée. J'adorais le torturer ainsi, et je n'avais aucune idée de la douleur que je pouvais lui causer jusqu'à ce qu'une larme s'écrase sur mon bras. "Tiens, il pleure, Dorothée," dis-je sans manifester la moindre pitié. "Il en a pris l'habitude ces dernières heures." Le pénis de Yann semblait remplir totalement la cage qui le contenait. "Bon dieu," dis-je en riant, "on dirait que ça va exploser !" "Si seulement cela pouvait être vrai !" Yann était un peu plus âgé que Dorothée et je réalisai tout à coup que j'avais probablement la moitié de son âge, mais j'étais malgré tout sa supérieure, sans contestation possible. Quand il m'avait appelé Maîtresse Jeanne, c'était la première fois que l'on s'adressait ainsi à moi, et j'adorais ça. J'allais m'occuper de Gilles jusqu'à ce qu'il soit complétement brisé, comme Yann. J'étais maintenant impatiente de rentrer à l'appartement pour continuer le dressage de Gilles. Au moment de partir, Dorothée me glissa ce dernier conseil : "s'il croit encore que c'est un jeu, il va certainement te dire bientôt qu'il en a assez. Tu vas alors devoir l'affrontement directement, et il faudra probablement le frapper pour le mater." J'attendais impatiemment ce moment, qui n'allait pas tarder à venir... Je passai à mon appartement et pris quelques affaires, principalement des vêtements. Je fis mes adieux à tous mes colocataires, et leur disant que je finirai de débarrasser ma chambre une fois qu'ils m'auraient trouvé un remplaçant. J'étais un peu triste de les quitter, mais d'un autre côté il fallait bien que je franchisse ce cap. Nico, mon précédent petit ami, était là, et cet adieu signifiait la fin définitive de notre relation. Cependant, alors que je l'embrassais pour lui dire au revoir, je ressentis une terrible envie de le baiser une dernière fois. Ce bon vieux Nico n'en revint pas de la chance que je lui offrais. Nous tirâmes un dernier coup rapide dans ma chambre puis nous nous séparâmes. Quand je revins vers l'île de la Cité, un peu avant dix heures du soir, c'était un Gilles très en colère qui était là pour m'accueillir. [Le point de vue de Gilles] Ce dimanche après-midi fut déprimant, en particulier quand Jeanne me quitta vers quatre heures. J'étais très déçu de la voir partir, aussi décidai-je d'aller voir quelques amis, peut-être que Pierre ou Geoffroy avaient un bon plan pour passer quelques heures. Mais au moment de téléphoner je réalisai que je n'avais plus les clés de l'appartement, et comme je ne pensais pas que Jeanne allait rentrer tard, je pris mon mal en patience et attendis à la maison. Je pensais qu'elle en avait pour environ deux heures, et que j'aurai pu sortir vers sept heures. Sept heures sonnèrent, puis huit. Personne. J'essayai d'appeler son portable mais il était éteint, aussi appelai-je à son appartement. Je tombai sur cette idiote de Cécile qui me répondit qu'elle n'avait pas vu Jeanne depuis plusieurs jours. A neuf heures je commençai à me demander si quelque chose de sérieux n'était pas arrivé, et à dix heures elle rentra enfin, comme si de rien n'était. "Mais bon dieu, où est-ce que tu étais ?" demandai-je affolé. Elle me regarda d'un air étonné, comme si ma réaction était une totale surprise pour elle. "Je t'ai dit que je retournais à mon appartement pour prendre des affaires, et j'ai mis mes valises dans la voiture. D'ailleurs, descends les chercher." "Jeanne, j'étais terriblement inquiet pour toi, je ne pensais pas que tu partirais si longtemps. J'ai téléphoné chez toi et Cécile m'a dit que tu n'y étais pas." "J'y étais, d'où crois-tu que viendraient mes affaires sinon ? Cécile ne pouvait pas savoir si j'étais là ou non, je suis entrée directement dans ma chambre sans voir personne et j'y ai passé ensuite plusieurs heures à tout ranger et nettoyer. Je n'aime pas ton attitude, je n'aime pas que tu me surveilles ainsi." Elle semblait excédée. "C'est comme ça que ça se passera, à chaque fois que je voudrai sortir tu vérifieras mes horaires ?" demanda-t-elle. "Non Jeanne, bien sûr que non, mais j'étais inquiet pour toi..." "Inquiet pour moi ? Qu'est-ce que tu crois, que j'ai encore dix ans ?" "Non Jeanne, bien sûr, excuse-moi, je suis désolé c'est..." "Descends à la voiture et va me chercher mes sacs, et je verrai si je peux t'excuser." J'étais content car elle semblait maintenant disposée à me pardonner. Bien sûr elle avait raison, je n'avais pas à la surveiller ainsi. J'allai tout mettre en oeuvre pour lui faire oublier cet incident, pensais-je alors que je remontais en ascenseur. Elle avait rempli d'affaires deux valises et quelques sacs en plastique, et je dus faire deux voyages pour tout remonter. Quand je fermai finalement la porte d'entrée derrière moi, Jeanne était assise sur le canapé avec un verre à la main. "Tu m'as servi un verre ?" demandai-je. "Tu sais où est la cuisine," fut la réponse de Jeanne. "Tu m'en veux encore ?" m'inquiétai-je, mais elle ne dit rien. "Ecoute, je suis désolé," continuai-je. "Prouve-le. Je veux que tu te foutes à poil, à genoux devant moi, dans une minute !" ordonna Jeanne. "Quoi ?" "Tu m'as parfaitement entendue." Elle pensait réellement ce qu'elle disait ! "Fais-le. MAINTENANT !" J'allai dans la chambre et me deshabillai. Je me sentais un peu stupide, mais en même temps une part de moi-même était excitée par ce qu'elle était en train de me faire. Je revins dans le salon où Jeanne s'était levée pour m'attendre. "A genoux," ordonna-t-elle, et je m'agenouillai devant elle. "Rampe jusqu'ici," commanda-t-elle. J'obéis et avançai vers elle à quatre pattes sur le tapis. "Baise mes pieds !" continua-t-elle, et je fis ce qu'elle m'ordonnait. "Il va falloir changer radicalement de nombreuses choses entre nous, si tu veux que notre relation soit un succès, et tu veux que ce soit un succès, n'est-ce pas ?" demanda-t-elle. Je levai les yeux vers elle : "oh oui, Jeanne." Elle me gifla très fort le visage. "Commence par m'appeler Maîtresse Jeanne," dit-elle. J'obéis docilement. "Tu vas devenir mon esclave. Tu n'aimeras probablement pas certains aspects de cette situation : JE M'EN FOUS !" Ses mots m'effrayaient et m'excitaient tout à la fois. J'étais tombé sur un sacré numéro... [Le point de vue de Jeanne] Alors que je garais la voiture, j'avais pris la ferme détermination de briser la volonté de Gilles dès ce soir. Je commençai à rassembler mes sacs pour les monter, puis je me dis que ce serait à lui de le faire. Je fus accueillie par un homme très agressif, mais en quelques instants je fis fondre sa colère. J'avais pensé initialement que j'aurai à le calmer avec une bonne raclée, mais presque immédiatement il n'offrit plus aucune résistance. Je l'envoyai chercher mes affaires dans la voiture et alors que je m'asseyais dans le canapé en attendant son retour, je décidai ce que j'allais faire ensuite. J'aurais bien pris une douche, mais cela pouvait attendre, j'avais des choses plus importantes à faire d'abord. Je lui ordonnai de se déshabiller. J'avais bien l'intention de le fesser s'il opposait la moindre résistance, mais il obéit parfaitement. Ce soir il allait comprendre qu'il devait se soumettre totalement à mon autorité, et à la fin de cette journée je voulais qu'il n'y ait aucun doute dans son esprit qu'il était devenu mon esclave. "Baise mes pieds !" ordonnai-je alors qu'il rampait vers moi. Debout au-dessus de lui, la puissance que je ressentais alors que je le voyais obéir ainsi à mes ordres m'excitait terriblement. Il embrassa mes pieds sales et je souris en le voyant grimacer. Je pensai : "Habitue-toi à ce goût. Tu vas même bientôt bouffer ma merde et tu me remercieras pour cet honneur !" Mais je n'étais pas encore prête à lui dire jusqu'où je désirais aller. Je le regardais, amusée, alors qu'il embrassait chacun de mes orteils. "Il va falloir changer radicalement de nombreuses choses entre nous, si tu veux que notre relation soit un succès, et tu veux que ce soit un succès, n'est-ce pas ?" "Oh oui, Jeanne." Je le giflai aussi fortement que je le pouvais. "Commence par m'appeler Maîtresse Jeanne. C'est le titre correct," expliquai-je. "Veux-tu que notre relation soit un succès ?" "Oui Maîtresse Jeanne," dit-il d'une voix faible. "Plus fort." "OUI MAITRESSE JEANNE." "C'est bien mon garçon." Je m'adressais à lui tel à un chien. J'allais m'assurer qu'il devienne plus obéissant que le plus servile des chiens. La vue de Gilles tremblant devant moi m'excita encore plus. J'avais pensé à ce moment toute la journée, et maintenant je désirais sa langue plus que tout. Je défis ma ceinture et retirai mon Jeans et mon string. Je ne m'étais pas lavée depuis mes rapports avec Nico, et la pensée de Gilles léchant les restes du sperme de mon amant me fit sourire. Je me demandais s'il remarquerait quelque chose. Je m'allongeai dans le fauteuil et ordonnai à Gilles de me lécher. "Tu sais ce que tu as à faire, tout doucement comme je te l'ai appris la nuit dernière, et ne me donne aucune raison de te punir, car si tu n'arrives pas à me faire jouir plusieurs fois, je te promets que je te fouetterai, maintenant mets-toi au travail." Et il obéit. Il me lécha comme je lui avais montré, et après quelques instants je me laissai aller au plaisir et je me mis à jouir en serrant sa tête avec mes jambes passées derrière son cou. Je l'avais bien dressé. Maintenant je voulais une pénétration : "Mets-toi sur le dos, et bande pour moi comme tu ne l'as jamais fait," ordonnai-je. Il se mit docilement sur le dos et je m'empalai sur son sexe imposant. Je m'approchai de l'orgasme quand se produisit l'irréparable : cette larve de Gilles avait joui en moi ! "CONNARD ! NON MAIS QU'EST-CE QUE TU AS FAIT ?" hurlai-je, livide. Je me relevai. "TU VAS LE REGRETTER, JE TE LE PROMETS !" continuai-je. Je sortis la ceinture des boucles de mon pantalon et l'utilisai pour le frapper. "Tu ne jouiras plus jamais sans mon autorisation ! Tu m'as comprise ?" criai-je en le frappant avec la ceinture sur ses fesses, ses cuisses, son dos. "Pardon, pardon," gémit-il. "CONNARD !" Je lui infligeais une pluie de coups sur tout son corps, en visant principalement ses fesses. Il était recroquevillé à terre, et je le fouettais sans pitié. "SI JAMAIS TU JOUIS ENCORE SANS MA PERMISSION JE T'ARRACHE LA BITE ! EST-CE QUE JE SUIS ASSEZ CLAIRE, ESPECE D'EJACULATEUR PRECOCE ?" Ses fesses étaient rouge vif, mais ce n'était pas par là qu'il avait fauté : je voulais maintenant lui fouetter le sexe. "Pitié, Maîtresse Jeanne, pitié, arrêtez," bêla-t-il. "Tourne-toi, tourne-toi !" crachai-je tout en faisant voler la ceinture sur son corps, laissant à chaque coup une nouvelle trace rouge. "TOURNE- TOI !" répétai-je. Ce connard s'était mis à m'embrasser les pieds, me suppliant d'arrêter. Il savait très bien quelles étaient mes intentions. "Pitié Maîtresse Jeanne, pitié, ne me frappez pas là, pitié !" Il était au bord des larmes, et j'allais le faire brailler, comme Dorothée avec Yann. Je le repoussai du pied, et passai ma main entre ses fesses pour attraper ses testicules. "PITIE MAITREEEEEEEESSSSSEEEEEEE !" hurla-t-il alors que je serrais ma prise. "SUR LE DOS !" ordonnai-je en tirant vicieusement avec ma main. "OBEIS !" hurlai-je, et il roula sur le dos. "PITIE MAITRESSE, JE VOUS EN SUPPLIE, NON !" Je me tenais maintenant debout au-dessus de lui, face à ses pieds, et je le tirai du sol par ses parties génitales. "ECARTE TES JAMBES !" criai-je en couvrant ses gémissements. "ALLEZ, ENCORE PLUS !" Il écarta ses jambes. Je lui lâchai alors ses testicules et le laissai retomber à terre. Je levai la ceinture et l'abattis de toute mes forces sur son sexe. Il se mit à crier comme un goret : je lui avais fait vraiment mal. J'avais atteint mon but. Je restai debout au-dessus de lui, alors qu'il sanglotait : "je vous demande pardon, Maîtresse, je vous demande pardon..." [Le point de vue de Gilles] Jeanne semblait être devenue une personne différente de celle qui était venue ce vendredi, et cela m'effrayait un peu. Une chose était certaine maintenant : elle voulait que je devienne son esclave, et quand elle m'ordonna de me déshabiller j'obéis sans discuter à ses instructions. J'aimais qu'elle me domine ainsi et je voulais la satisfaire. Une fois nu je m'agenouillai devant elle, mon sexe érigé essayant de lui rappeler qu'elle pouvait l'utiliser. Elle m'ordonna d'embrasser ses pieds, ce que je fis. Elle ne s'était pas lavée depuis le matin et ses pieds ne sentaient pas très bon, mais j'obéis tout de même. Je lui dis quelque chose et elle m'asséna un coup de la main droite qui me sonna. Bon dieu, comme elle était forte ! "Appelle-moi Maîtresse Jeanne !" Elle me terrifiait, et je sentais que l'on s'éloignait l'un de l'autre : de petit ami j'étais en train de prendre le statut d'esclave, et aussi étrange que cela puisse paraître, ce sentiment de totale soumission ne m'était pas désagréable. Je levai mon regard vers elle et je l'appelai Maîtresse Jeanne pour la première fois. Elle enleva alors son Jeans et son string, et je devinai sans peine ce qu'elle attendait de moi : c'était la troisième fois ce week-end que je la satisfaisais avec ma langue. Cette fois son sexe avait un goût différent. Elle était terriblement excitée et de la liqueur coulait de son intimité, que je lappai avec ardeur : elle était ma Reine et je voulais la servir du mieux possible. Ce qui suivit me parut complétement irréel. "Mets-toi sur le dos, et bande pour moi comme tu ne l'as jamais fait," dit-elle. Elle avait un regard plus tendre maintenant, et je souhaitais vraiment la satisfaire. Elle s'empala sur mon sexe dressé. Oh, comme c'était bon de la pénétrer ainsi... Même si je n'avais aucun contrôle de la situation et qu'elle utilisait mon membre à sa guise. J'étais heureux de lui faire l'amour, malgré mon rôle purement passif. Je n'avais plus joui depuis déjà plusieurs jours, et après quelques minutes je me sentis près de craquer. Malgré toute ma volonté de résister plus longtemps, je me mis à éjaculer en elle. S'apercevant de ce qui arrivait, Jeanne devint alors hystérique : "bon dieu, c'est moi qui doit jouir, pas toi !" Je ne l'avais jamais vu perdre ainsi son calme auparavant, et elle saisit sa ceinture pour commencer à me frapper rageusement. Les coups pleuvaient de partout, et je ne pouvais l'arrêter. Elle se mit à viser mon sexe, mais je roulai sur le ventre et je sentis la ceinture zébrer mon dos. Tout à coup elle se glissa derrière moi et m'agrippa les testicules. Comme elle l'avait déjà fait à plusieurs reprises récemment, elle serra avec force. Ca faisait terriblement mal, mais ce n'était rien à côté de ce qui m'attendait encore. "Sur le dos, et écarte les jambes !" ordonna Jeanne qui se tenait maintenant au-dessus de moi. Je la suppliai mais rien n'y fit. Quand la ceinture s'abattit à nouveau, je crus vomir sous l'effet de la douleur. Je n'avais jamais ressenti une telle souffrance, et je me mis à hurler. Mais elle n'en avait pas encore fini avec moi, car elle s'assit lourdement sur mon visage. Je me tortillai pour trouver de l'air, tout en la suppliant d'arrêter. "PITIE, PITIE !" criai-je à travers ses fesses, mais elle restait assise sur mon visage avec tout son poids, faisant face à mes pieds et profitant de sa position pour me délivrer deux nouveaux coups de ceinture sur mes testicules meurtris. Je pleurais maintenant comme un enfant. Cela faisait plusieurs années que cela ne m'était pas arrivé, mais je me rattrapais à présent. Elle se releva pour se mettre debout au-dessus de moi et je pensais qu'elle allait me frapper à nouveau, mais au lieu de ça elle fit une chose étrange : elle se rapprocha de la table pour y jeter la ceinture, puis elle prit le portable dans son sac à main et composa un numéro. [Le point de vue de Jeanne] J'étais encore nue en-dessous de la ceinture, je glissai ma main entre mes jambes pour m'apercevoir que ce que je venais de faire m'avait complètement excitée. Je ne savais pas que j'avais des tendances sadiques jusqu'à cet instant, mais la vue de Gilles balbutiant tel un gamin après la correction que je venais de lui infliger était pour moi d'un total érotisme. Je voulus même en faire une photo, avec dans l'idée de la mettre en fond d'écran sur son ordinateur comme rappel permanent de sa place dans ma vie. Comme je réfléchissais à l'endroit où se trouvait mon appareil photo je me souvins que Gilles venait d'acheter un de ces nouveaux portables capables de prendre des clichés. Je l'avais d'ailleurs mis dans mon sac à main avant de sortir tout à l'heure. Quand j'eus le téléphone en main je vérifiai l'heure sur l'écran : il était onze heures moins le quart, et j'appelai Dorothée pour voir si elle était encore réveillée. Elle l'était. "Dorothée, écoute ça," dis-je en m'acroupissant à côté de Gilles, tremblant devant moi. Je l'attrapai par ses testicules. "PITIE MAITRESSE JEANNE ! PITIE, JE VOUS EN SUPPLIE !" sanglota-t-il. "Tu t'es bien débrouillée, ma jeune dame. J'aimerais bien constater par moi-même les résultats de ton traitement de choc. Quand est-ce qu'on peut se voir ?" "Allons faire demain des courses ensemble. Je n'ai pas cours jusqu'à demain après-midi." "On se voit demain alors," et elle raccrocha. Je pris encore quelques clichés de Gilles, puis je lui ordonnai d'aller dans la chambre. J'avais envie de baiser, mais je n'avais pas besoin de son pénis, juste de sa langue. Je n'avais jamais l'intention d'utiliser à nouveau son sexe, et je comptais bien lui interdire également de l'utiliser pour lui-même en se masturbant. J'étais prête pour passer à la seconde étape du dressage de Gilles. A suivre...