L'interprète - 2ème partie par escribe1@caramail.com Un cadre expatrié fait la connaissance de la domination féminine --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "The Interpreter", de Janet Ford --------------------------------------------------- =============== = 2ème partie = =============== [Le point de vue de Christine] Ray était agenouillé devant nous quatre, nettoyant ma botte en léchant son sperme. Kim vint se mettre à ma gauche, amusée par ce que nous avions déjà fait subir à notre nouvel ingénieur de chantier. "Je ne veux plus voir la moindre petite tâche quand tu auras fini, est-ce bien clair ?" siffla-t-elle. "Oui Madame Shihan," répondit-il pathétiquement. "Pour toi ça sera Maîtresse Kim, compris ?" "Oui Maîtresse Kim." "Mon dieu, ne me dites pas que vous l'avez déjà dressé ?" dit-elle en riant. "Il n'a pas trop le choix avec Souki prête à lui écraser les couilles s'il commet la moindre erreur, n'est-ce pas ?" dis-je. "Il sera obéissant comme un agneau une fois que j'en aurai fini avec lui," dit Hian Li, l'interprète. Elle se tenait debout à ma droite. "J'aimerais bien m'occuper de lui dès ce soir, il a tellement à apprendre." Il continua à lécher ma botte pendant cinq bonnes minutes, puis je tirai mon pied en arrière. "Ramène-le à sa chambre, tu peux le prendre maintenant," dis-je à Hian. Elle me sourit : "d'accord." Puis elle s'adressa en Chinois à Souki. Souki le tira par les testicules. "Debout !" ordonna-t-elle, et il se mit immédiatement sur ses pieds. Il me regarda d'un air implorant, les larmes aux yeux : "pitié Madame Sanders, pitié, faites quelque chose !" "Est-ce que j'ai dit que tu pouvais parler ?" dit Hian en le giflant violemment, pendant que Souki devait être en train de lui serrer plus fort les parties. "Oh pitié !" implora-t-il. Hian le gifla encore avec quatre ou cinq allers-retours, pendant que Souki malaxait ses testicules. Il se mit à pleurer. Je souris à Hian : c'était tellement facile... "Avance !" ordonna Hian, et elle prit à pleine main son pénis pendouillant, le tirant ainsi en dehors de mon bureau. Il était entièrement nu alors que Hian le conduisait à travers l'atelier pour sortir ensuite vers ma voiture. Les femmes dans l'atelier avaient déjà vu Hian et Souki traiter ainsi d'autres hommes, mais c'était la première fois qu'elles voyaient un homme occidental subir ce traitement, et cette scène déclencha chez elles des commentaires excités alors que Ray était emmené dehors. [Le point de vue de Ray] Souki serra l'un contre l'autre mes testicules douloureux. Je la suppliai d'arrêter, mais tout ce que j'obtins fut une volée de gifles de la part de Hian. Qu'est-ce qui était en train de m'arriver ? C'était insensé, et alors que je me retrouvais en face de Madame Sanders, je constatai qu'elle paraissait amusée par ce qu'elle voyait, et semblait même encourager mes tortionnaires ! Puis je vis avec horreur Hian agripper mon pénis pour me tirer en dehors du bureau de Madame Sanders. Dans l'atelier à côté il y avait à peu près six femmes travaillant à leur bureau, mais je fus conduit au milieu d'elles complètement nu, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Souki et Hian m'emmenèrent à travers le parking jusqu'à la voiture de Madame Sanders. Il neigeait et alors que je restais debout à côté de la voiture pendant que Hian l'ouvrait, je sentais les flocons s'accumuler et fondre sur ma peau nue. On me poussa dans le coffre, séparé du reste du véhicule par des barreaux, et Hian commença à conduire. C'était un très court trajet, quelques minutes pour contourner la ferme ; je fus ensuite extirpé sans ménagement du coffre puis conduit à ma chambre. Hian en avait la clé, pourquoi cela ne m'avait-il pas mis la puce à l'oreille auparavant ? Elle me poussa sur le lit, puis avec Souki elle prirent et emportèrent dehors tout ce qui m'appartenait dans la pièce, mes deux valises ainsi que la mallette qui contenait mon passeport. Mon portefeuille était resté dans une poche de mon pantalon, quelque part dans un coin du bureau de Madame Sanders. "Qu'est-ce que vous voulez ?" demandai-je. Ces deux femmes m'effrayaient, elles semblaient capables de tout et je ne me sentais pas le courage de leur refuser quoi que que ce soit. "ASSIS ET FERME TA SALE GUEULE !" me hurla dessus Hian. Souki revint dans la pièce et ferma la porte. Les deux femmes me regardèrent. Hian portait une chemise de coton bleu marine et un Jeans noir, et ses cheveux d'un noir profond tombaient sur ses épaules. Souki était un peu plus grande que sa complice et était habillée exactement de la même manière. Il était difficile de croire en les voyant ainsi que ces deux petites femmes m'avaient déshabillé et humilié, et me réservaient une suite de séjour ici vraiment déplaisante. "Nous te voulons, toi," expliqua Hian très simplement. "Toi et ce que tu possèdes va devenir notre propriété. Tu es venu ici pour prendre en charge ce chantier. Quel est ton salaire ?" "A peu près une centaine d'euros par heure." "Mille par jour !" siffla Souki. "Sais-tu combien je gagne, moi ?" Je secouai la tête : "non." "L'équivalent de moins d'une centaine d'euros par mois ! Vois-tu l'injustice ?" "Oui, oui..." "C'est bien, donc tu peux comprendre que l'on va répartir un peu mieux les choses. Tu va travailler ici pour cinquante euros pour tout le mois, et Hian et moi nous nous partagerons ta paye." Souki avait dit ça sans l'ombre d'un sourire, elle ne plaisantait visiblement pas ! "Bon, tout est dit, nous allons signer les papiers appropriés et tu pourras ensuite retourner travailler." "C'est ça," ricanai-je, "compte là-dessus !" "BIEN SUR QUE J'Y COMPTE !" hurla Hian, et elles se jetèrent sur moi. Souki partit à la recherche de mes testicules, pendant que Hian me poussait sur le dos, sur le lit. Elles étaient si confiantes dans leur domination sur moi qu'elles n'avaient même pas pris la peine de m'attacher : elles ne manifestaient que du mépris pour moi. J'avais envie de leur faire ravaler leur orgueil, et je pensai un instant : "je vais vous montrer, espèces de garces". Mais la main fine de Souki agrippa à ce moment mes testicules et elle m'amena au supplice en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. "Pitié Souki, pitié, PIIITIIIIEEEE !" hurlai-je alors qu'elle tordait et tirait mes parties. Hian regardait sa partenaire me torturer sans pitié, puis Souki me regarda également : un sourire mauvais apparut sur son visage alors qu'elle prenait un testicule dans chaque main, pour l'écraser entre son pouce et son index. Je me mis à hurler, à l'agonie. "SOOOUUUUKIIIII, PIIITIIIEEEEE, ARRRREEEEETEEEEZ !" "J'en ai déjà éclaté une paire, et c'est comme ça que j'ai procédé, mais c'est bien trop tôt pour ça, on veut encore s'amuser avec toi avant d'en arriver à ça." Elle me hissa hors du lit et me tira vers le sol par mes boules. Puis elle passa le relais à Hian. Hian força le passage de sa main entre mes jambes et tira mes testicules vers l'arrière, entre mes fesses, les hissant vers le haut, étirant à son maximum mon scrotum. Elle me tira ensuite la tête en arrière, puis me précipita contre le mur. Elle m'agrippa par les cheveux puis toutes deux me jetèrent sur le matelas. Je n'offrais plus aucune résistance alors qu'elles m'attachaient au lit. Souki lia mes bras aux deux coins de la tête de lit, et Hian fixa mes chevilles à une barre d'écartement, me forçant à ouvrir grand mes jambes. Elle noua ensuite une corde à la barre, passa cette corde à travers un anneau fixé au plafond et tira dessus, faisant monter ainsi mes jambes. Une fois satisfaite de la hauteur de la barre et de la position qu'elle m'avait fait ainsi prendre, elle attacha l'autre extrémité de la corde. "Je ne pense pas que tu ais déjà changé d'état d'esprit, aussi je dois te prévenir que la prochaine étape risque d'être un peu pénible pour toi, et tu pourras crier aussi fort que tu veux, je te garantis que cela ne dérangera personne." Je restai ainsi immobile, paralysé par la peur, me demandant si j'allai me rendre à leurs exigences, pendant qu'une autre partie de moi-même refusait catégoriquement de me soumettre. "Quel merveilleux tableau !" dit Souki, inspectant mon derrière et mes testicules sans défense. "On n'a que l'embarras du choix ! Je ne sais pas par où commencer..." dit Hian d'un air pensif. "Je pense que l'on pourrait débuter par vingt coups de cravache chacune, cela devrait nous échauffer et nous ouvrir l'appétit." Elles se mirent alors debout de chaque côté de mes fesses, puis commencèrent à me fouetter méthodiquement, Hian à ma gauche et Souki à ma droite. [Le point de vue de Christine] Kim et moi regardâmes Hian et Souki le conduire dehors, et pendant un instant nous restâmes perdues dans nos pensées. Il ne semblait pas être un mauvais gars, mais il était arrivé au mauvais endroit au mauvais moment. J'avais toute confiance dans la technique de Hian, et j'étais sûre qu'elle le ferait plier sous son joug. "J'espère qu'elle ne va pas nous le rendre inutilisable," dit Kim après quelques secondes. "Elle sait bien qu'on en a encore besoin, mais je devrais peut-être le lui rappeler." Après à peu près une heure je partis faire un tour dehors, et j'entendis ses cris bien avant de le voir. Quand je pénétrai dans la chambre où elles étaient en train de s'occuper de lui, j'aurais pû être tentée de croire que Hian et Souki avaient peut-être oublié qu'elles ne devaient pas trop l'abîmer. Ses fesses étaient en sang, elles lui avaient introduit une sonde dans l'extrémité de son pénis et fixé une paire d'électrodes sur ses testicules, et quand elles tournèrent la manivelle pour produire de l'électricité, il se mit à crier de nouveau. Il semblait être dans un état second, pleurant et suppliant de signer les papiers. "Je vais signer ! Je vais signer !" hurlait-il. "Je sais que tu vas signer, mais nous n'avons même pas commencé à nous amuser avec toi, n'est-ce pas Souki ?" dit-elle en envoyant de nouveau le courant, le faisant trembler et hurler sur le lit. "Je pense que cela devrait être assez pour le moment," dis-je à Hian. "Vérifions son obéissance, et s'il montre la moindre hésitation nous continuerons la séance, mais j'ai la nette impression qu'il devrait être doux comme un agneau, n'est-ce pas Ray ?" Il leva des yeux implorants vers moi, et je savais qu'il ne nous causerait aucun problème. Les filles le détachèrent. "Par terre, Ray, à quatre pattes comme un chien," ordonnai-je et il obéit immédiatement. Souki lui passa un collier autour du cou. "Tu le porteras toujours sur toi," lui dit Souki, "compris ?" "Oui Maîtresse Souki," répondit-il avec déférence. Hian et moi regardâmes Souki l'emmener pour une petite promenade. Il était en pleine érection, ce que je trouvai amusant. "Viagra ?" demandai-je. "Assez pour faire bander un cheval pendant une semaine," répondit Hian sans une trace d'humour. "Il nous a déçu, il était devenu mou en quelques minutes." Sa déception paraissait sincère. Souki le conduisit à travers le couloir vers les toilettes. Nous les suivîmes pour profiter du spectacle alors qu'elle lui ordonnait de se mettre sur le dos. Elle déboutonna son pantalon et le baissa avec sa culotte, puis elle s'accroupit au-dessus de sa tête, lui ordonnant d'ouvrir la bouche. Il obéit sans broncher et attendit, prêt à tout accepter de la part de Souki. Elle lui pissa alors dessus. "Un Chinois ne nous aurait jamais permis de lui faire ça aussi rapidement ; tous les Européens sont-ils aussi faibles et faciles à briser ?" demanda Souki. "Je ne sais pas, mais nous pouvons l'utiliser, et particulièrement sa bite si tu ne la fais pas frire avant !" J'étais soulagée de voir qu'elle l'avait brisé si vite, je n'aurais pas voulu qu'elles y passent trop de temps : il avait un boulot à faire, et le plus tôt il le commençait, le plus tôt nous en aurions fini avec lui. Souki s'essuya ensuite avec du papier toilette et remis son pantalon, puis le fis sortir de la pièce. [Le point de vue de Ray] Après qu'elles eurent fini de me fouetter j'étais devenu plus déterminé que jamais à leur résister. Les vingt coups m'avaient fait souffrir, mais je pouvais en supporter beaucoup plus. Souki m'ordonna ensuite d'avaler quelques comprimés bleus, pendant que Hian se mettait au bout du lit avec une ceinture, me menaçant de m'écorcher les boules si je n'obéissais pas. Je les avalai donc, et pendant que Hian fouillait dans un sac à terre, je commençai à avoir une érection, et après quelques minutes j'avais le sexe complètement érigé, sans que je puisse me contrôler. Hian saisit l'extrémité de mon pénis et cracha dessus, puis introduisit sans ménagement une sonde profondément à l'intérieur de mon sexe. J'étais terrifié maintenant, cela faisait terriblement mal, et je ne voyais pas comment j'allai pouvoir supporter longtemps cette douleur. Elle saisit ensuite une longue aiguille et la planta dans un de mes testicules. "Oh, pitié Maîtresse Hian, pitié !" mais elle planta sans répondre une deuxième aiguille dans mon autre testicule. Souki lui passa ensuite un petit appareil et elle envoya le courant. Le premier choc était court et très désagréable, mais le second parut presque me tuer. "Je vais signer ! Je vais signer !" me mis-je à hurler. "Bien sûr que tu vas signer, il n'y a jamais eu aucun doute à ce sujet, mais pas tout de suite, on vient à peine de commencer !" Et cet enfer continua... Pendant un long moment elles m'infligèrent cet horrible et sévère traitement de chocs électriques, qui me grillèrent presque mon pénis et mes testicules. Si Madame Sanders n'était pas intervenue, je préfère ne pas imaginer ce qu'aurait pu être l'issue de cette séance. Je pleurais maintenant comme un bébé. "Je vais signer ! Je vais signer !" continuais-je à crier entre deux sanglots. Heureusement Madame Sanders intervint pour mettre fin à cette torture. Je fut détaché et on m'ordonna de me m'agenouiller. "A quatre pattes comme un chien" dit Madame Sanders. Je n'étais plus en mesure de leur refuser quoi que ce soit, j'étais prêt à accèder à toutes leurs volontés, tout ce qu'elles voulaient, pourvu qu'elles ne m'infligent pas à nouveau les tourments que je venais d'endurer. Ainsi, si elles voulaient que je sois un chien, je serai un chien. Souki me conduisit ensuite vers les toilettes, me fit mettre sur le dos et je dus boire son urine. "Merci Maîtresse Souki," dis-je, puis je la suivis en retournant vers la chambre. Madame Sanders jeta alors sur le lit les formulaire qui permettaient le transfert de mon salaire et de mes indemnités vers un compte bancaire de Xi'an. "Signe !" ordonna-t-elle, et j'obéis. "Bien, ramenez-le au travail maintenant," dit Madame Sanders. Elle se tenait debout au-dessus de moi, et je tremblai de peur devant elle. "Tu obéiras parfaitement à ces dames, Ray, tu feras exactement ce qu'elles t'ordonneront, ou bien je ne serai pas là pour te sauver la prochaine fois." "Oui Madame Sanders. Merci Madame Sanders." A suivre ? [Pour l'instant il n'y a pas de suite à ce texte en Anglais, mais je suis preneur de toutes idées/suggestions pour en inventer une en Français...]