Humiliation Traduit librement par elricnec@aol.com Une mère apprend le respect à son fils. En regardant par la fenêtre, je voie la pluie s’abattre violemment. Zut, je voulais jouer au basket, aujourd’hui. J’ai 17ans et pour ce premier jour de mes vacances je désirai m’amuser. Bien sur je pourrais aller chez un ami, mais je n’en ai pas envie. Je tourne en rond, maman me regarde, mains sur ses hanches. Angie, maman, ne mesure qu’un mètre soixante dix et elle est très fine, j’avoue meme la trouver jolie. Sa robe est moulante, elle est sexy. Je suis troublé. Elle attend une amie qui doit arriver d’un moment à l’autre. Je ne sais rien d’elle sinon qu’elle mesure un mètre quatre-vingt. Depuis le départ de papa, j’ai grandi de 10cm et je dépasse maman de cinq bons centimètres, je ne lui obéis plus vraiment. Range ta chambre ! Maman arrête avec ça, je n’ai pas envie. Ma jeune sœur arrive à ce moment dans la pièce, elle a treize ans. Maman me foudroie du regard. Je suis fatiguée de ton comportement, je suis ta mère et tu dois m’obéir ! Je rigole. Maman, si tu ne l’as pas remarqué, je suis plus grand que toi, je rangerai ma chambre un autre jour, c’est tout. Je fais demi-tour, et commence à marcher vers ma chambre mais mon bras est retenu en arrière si fortement que je tombe par terre. Je suis étourdi et regarde ma sœur rire. Je vois maman, toujours les mains sur les hanches me regarder durement. Jim si tu n’obéis pas à maman je vais te corriger et ton ego va en prendre un sacré coup ! Ma sœur danse autour de moi. Maman frappe-le ! Je secoue ma tête, me relève. Je saisi maman par les épaules, et la pousse mais elle ne bouge pas. Je pousse plus fortement, lui faisant à peine bouger une jambe en arrière. Je remarque que ses épaules sont étrangement musclées. Je ne conçois pas que ma mère me résiste aussi facilement. Tu vas perdre, Jim et tu rangeras ta chambre ! Elle s’empare de mes poignets et me repousse facilement sur le coté. Je ne puis pas lui résister et recule de plusieurs pas. Ma sœur me dit que je vais prendre une raclée et maman commence à sourire. Jim, je crois que maman va t’humilier et tu rangeras ta chambre ! A ce moment Donna, l’amie de maman arrive. Elle est magnifique, une femme dont rêve chaque garçon. Perchée sur ses talons elle me domine de sa taille. Bonjour tout le monde. Elle s’arrête en nous voyant, maman et moi, face à face. Que se passe-t-il ici ? Il se trouve que maman se croit plus forte que moi ! Ah et qui a-t-il de surprenant ? Vous savez toutes que les hommes sont plus forts que les femmes. Un immense éclat de rire ponctue ma phrase, les trois femmes sont souriantes. Vraiment jeune male ? Suis-moi ! Elle se dirige vers la cuisine et s’assoie sur la table. Elle me désigne une chaise du doigt. Viens t’asseoir grand et fort jeune homme. Je ne comprends pas, mais je prends place sur la chaise. Je me sens mal à l’aise Tu sais quoi, Jim ? Elle sourit, fléchit son bras et bombe ses muscles. Ils semblent durs, plus gros que les miens. Ce n’est pas possible ! Elle s’adresse à ma sœur : Regardes bien Carmen, ton frère va se faire battre par une femme de 42ans. Je suis excédé, je me lève et saisi ses mains. Oh mais il se rebelle le jeune coq ! Très bien si tu veux une leçon tu vas en avoir une et une belle ! Soudain, je sens une vive douleur dans mes mains. Elle les écrase plus facilement que je n’arrive à serrer les siennes. Ma mère semble amusée, mon visage est cramoisi. Donna rigole, je ne peux rien dire. Angie ton fils a un problème, je crois qu’il voudrai me dire qu’il n’utilise pas toute sa force. Je tente de toutes mes forces de contrer Donna, en pure perte. Je ne veux pas te blesser, Jim dit-elle en libérant son étreinte. Assied toi ! Je n’arrive pas à y croire, Donna est clairement plus forte que moi ! Je me rassieds en me disant que j’ai fait de mon mieux. Donna se moque de moi. Je crois, Angie qu’il a donné toute sa puissance. Maman rigole, secoue sa tête. Mon dieu qu’elle est belle ! Jim je t’ai ordonné de ranger ta chambre, alors exécution ! Je veux me lever, et tente de repousser la main de Donna qui me tient fermement l’épaule. Je n’y arrive pas. Tu es plus faible que je le croyais, Jim. Je regarde avec fascination le bras musclé qui me maintient si facilement en place. J’entends Carmen chanter : Jim est une mauviette, Jim est une mauviette et maintenant maman va le tabasser. Tais-toi, Carmen. Idiote ! Je ressens immédiatement une vive douleur à l’épaule. Donna me regarde méchamment. Ne parles plus jamais ainsi à ta sœur ! Pour la première fois de ma vie j’ai peur, peur d’une femme ! Pardon Carmen. Donna me fait rouler à terre, aux pieds de Carmen, amusée. Elle prend une pose et gonfle ses jeunes biceps. Tu as entendu, minable, maman t’a donné un ordre, va ranger ta chambre. Je me relève, honteux. Cela fait dix ans que je m’entraîne, dit Donna, et je peux te soumettre si tu désobéi ! Angie m’a rejoint, il y a un an et elle aussi, est plus forte que toi ! Je tente de garder ma dignité, mais Maman enlève sa robe, je découvre son corps musclé. Je suis ébahi de sa beauté et terrorisé à l’idée qu’elle n’hésitera pas à s’en servir pour me soumettre. Malgré tout mon bas-ventre me trahi, une érection irrésistible rend, à travers mon short, hommage à ma génitrice. Carmen elle s’amuse. Jim est une mauviette ! Maman va le tabasser. Carmen me montre ses muscles, étonnement développé pour une fille de son age. J’ai peur, peur de Donna si puissante, peur de Maman qui me regarde d’un œil dominateur et peur de Carmen qui je le devine ne rêve que de me mettre une raclée et de m’asservir. Donna t’a aisément battu, tu vas apprendre le respect. Le respect de Carmen et le mien. Tu sais ce qui t’attend sinon. Oui, maman, pardon, je serai le plus gentil des fils. Parfait, alors va ranger ta chambre. Je me retourne, maman tape mes fesses et rigole. Je baisse la tête devant Carmen pour ne pas voir son sourire, Donna rigole. Et voilà, un macho de moins ! Je pars sous les quolibets. - Jim est une mauviette, Jim est une mauviette.....