Joyeux anniversaire - 1ère partie par escribe1@caramail.com Un cadeau d'anniversaire original... et sévère ! --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Happy Birthday" part 1, de Liverpool Kiss --------------------------------------------------- =============== = 1ère partie = =============== En rentrant chez moi après mon travail de nuit, j'étais de très bonne humeur pour deux raisons : premièrement je venais de finir ma semaine et j'allais commencer un long week-end de quatre jours, et deuxièmement c'était mon anniversaire. J'avais cessé depuis longtemps de le fêter réellement, mais ça restait une bonne excuse pour boire un bon coup sans mauvaise conscience. J'étais chez moi depuis dix minutes quand le téléphone sonna. "Joyeux anniversaire," dit une voix féminine. "Merci ! C'est qui ?" demandai-je. "Charlène, Charlène Lebreton," me répondit-elle. Je l'avais rencontrée six mois auparavant. Elle avait la quarantaine, c'est-à-dire une dizaine d'années de plus que moi, et elle était mariée. "Salut Charlène, comment vas-tu ?" "Très bien ! Qu'est-ce que tu fais ce matin ?" "Je n'y ai pas encore réfléchi." "Pourquoi ne viendrais-tu pas chez moi, je te préparerai un petit déjeuner que tu ne seras pas prêt d'oublier." "Pourquoi pas, tu es du côté de la rue du Lac, n'est-ce pas ?" En réalité je me souvenais très bien de l'endroit où elle habitait. "Exact, au 47." "C'est à 5 minutes d'ici." "A dans 5 minutes donc," et elle raccrocha. Je me demandais ce qui se cachait derrière tout ça. J'avais rencontré Charlène à une soirée de Noël, quelques six mois auparavant, et je l'avais revue ensuite deux ou trois fois à d'autres soirées, mais toujours avec son mari Pierre, avec lequel j'avais échangé quelques mots. Intéressant... Je trouvai leur maison facilement. Le trafic à cette heure était encore fluide, avant le rush du matin. En conduisant je me disais qu'une fête surprise m'avait peut-être été préparée, mais en approchant de la maison je ne remarquai aucune voiture familière dans les environs. En fait il n'y avait même aucune voiture garée devant la maison, ce qui signifiait probablement que Pierre était déjà parti au travail... Je frappai à la porte d'entrée et après quelques instants Charlène apparut et m'accueillit chaleureusement. "Joyeux anniversaire," répéta-t-elle en m'embrassant, puis elle me fit entrer. Je la suivis ensuite vers la cuisine. Elle portait une longue robe de chambre ainsi que des mules aux pieds, mais elle était maquillée et coiffée. Je n'avais jamais pensé à elle autrement que comme la femme de Pierre, et je n'avais jamais envisagé de faire une partie de jambes en l'air avec elle. Pour être honnête elle ne me laissait pas du tout indifférent, mais d'un autre côté je n'aime pas faire des choses dans le dos des gens, et je n'étais pas prêt à commencer maintenant. Elle me fit asseoir à la table et m'offrit une tasse de café. Nous entamâmes une conversation alors qu'elle me préparait mon petit déjeuner. "Où est Pierre ?" fut ma première question pour tâter le terrain. "Il est parti au boulot depuis une heure et demie." "Sait-il que je suis ici ?" Elle sourit : "oh oui, bien sûr qu'il sait." Je n'étais pas sûr de comprendre tout le sens de cette réponse, mais j'étais soulagé de savoir que je n'étais pas là à son insu. Elle me servit un petit déjeuner digne de satisfaire tout bon travailleur de nuit, puis elle jeta une enveloppe sur la table. "Un petit quelque chose de la part de Jeanne et moi..." dit-elle, nommant ainsi sa belle-soeur qui m'avait fait rencontrer Charlène. J'ouvris l'enveloppe : il y avait cinq ou six feuilles de papier pliées à l'intérieur. Je bus une gorgée de café et sortis les feuilles pour les déplier. Je reconnus immédiatement l'écriture manuscrite : c'était la mienne ! Je commençai à lire et très rapidement je compris pourquoi j'étais ici. Le texte était une nouvelle que j'avais écrite sur mon sujet favori : la Domination Féminine. "Mon dieu..." fut tout ce que je trouvai à dire. "Où est-ce que... Comment avez-vous eu ça ?" Je compris alors que c'était sûrement Jeanne qui l'avait trouvé quand elle avait nettoyé mon appartement. Elle venait à peu près une fois par semaine pour faire le ménage, contre rémunération bien sûr, et j'avais apparemment dû laisser ce texte traîner sur ma table de nuit. "C'est Jeanne ?" Tout à coup mon petit déjeuner perdit toute saveur. "Aimes-tu ce genre de choses ?" me demanda Charlène. J'opinai de la tête silencieusement. "Oui," dis-je finalement dans un souffle. "Cela tombe bien, car je suis à la recherche d'un autre soumis, et tu en es un. Cela te pose-t-il un problème ?" Je levai les yeux vers elle et la regardai réellement pour la première fois. Elle était loin d'être laide, ses cheveux étaient châtain clair avec quelques mèches blondes, elle avait des yeux bleus-verts, et elle mesurait à peu près un mètre soixante-dix, avec un poids proportionné. Tout prenait sa place dans mon esprit maintenant, alors que je la voyais ainsi, devant moi : j'avais entendu dire que c'était elle qui portait la culotte dans leur couple, mais c'était bien plus que ça, elle dominait réellement son mari ! Charlène avait informé Pierre que j'allais venir pour le petit déjeuner, j'en étais sûr. J'en avais lu assez sur le sujet pour deviner que Charlène était en train d'entraîner Pierre vers un nouveau degré de soumission : elle allait le rendre cocu en se servant de moi. Et je trouvais cette expérience tout à fait excitante... "Non," finis-je par répondre. "Non, j'adorerais être à votre service," répondis-je avec franchise. "Bien. Alors tu vas monter au premier, prendre une douche et m'attendre à côte du lit. Je veux que tu sentes bon et que tu sois prêt à servir ta Maîtresse. Compris ?" "Oui Maîtresse Charlène," répondis-je correctement. Un quart d'heure après j'étais agenouillé à côté du lit de Charlène avec une solide érection, attendant son arrivée. Je l'entendis monter les escaliers et mon coeur se mit à battre la chamade. Enfin je pouvais être au service de quelqu'un. Comme beaucoup de soumis j'avais cherché une femme dominante à servir, et j'avais pour cela dépensé des sommes considérables avec des professionnelles, ainsi que des heures sur Internet, à la recherche de sensations fortes. Mais cette fois-ci j'entrevoyais la possibilité d'être dominé et utilisé de façon régulière, et j'étais déterminé à ne pas la décevoir. Elle entra dans la chambre et retira rapidement sa robe de chambre : elle portait en dessous un soutien-gorge noir à lacets ainsi que des bas, et rien d'autre. "Pierre m'a regardée m'habiller ce matin, et ça l'a déprimé d'apprendre que je ne mettais pas pour lui les sous-vêtements hors de prix qu'il m'avait offerts, mais pour mon nouvel amant." Elle était bien conservée pour une femme d'une quarantaine d'années et ayant eu deux enfants. Elle s'installa sur le lit. "Commence par mes orteils, embrasse mes pieds." J'obéis et je passai ainsi une heure à servir son corps. J'embrassai et léchai chaque centimètre carré de sa peau, et l'amenai au bord de l'orgasme plusieurs fois. J'avais ma langue profondément enfoncée dans son intimité quand elle m'ordonna de me mettre sur le dos, ce que je fis. Elle s'empala alors sur mon sexe érigé, et me chevaucha jusqu'à atteindre la jouissance. Elle frémit ainsi pendant quelques secondes, puis resta sur moi, savourant visiblement ces instants de plaisir en gémissant doucement et continuant à trembler. Elle revint petit à petit sur terre et finalement se dégagea de moi. Elle resta allongée à côté de moi en silence, pendant plusieurs minutes. Je n'étais pas trop sûr de ce que je devais faire, aussi restai-je allongé également, sans bouger, savourant cet instant de calme. J'étais encore en érection et je pensais me relever, mais comme si elle l'avait senti sa main glissa le long de mon torse et ses doigts s'enroulèrent autour de mon pénis. "C'est bien, tu es resté vaillant pour moi. Viens sur moi et baise-moi fort, je veux te sentir à l'intérieur de moi." Je fis ce qu'elle m'avait ordonné et me mis à aller et venir en elle comme une véritable machine. Je me sentais proche de l'éjaculation, et je lui demandais si elle était d'accord. "Pas question, garde tes saloperies en dehors de mon lit !" mais c'était trop tard. J'éjaculai. Oh non, mon dieu ! Elle devint alors hystérique. "Espèce de branleur !" hurla-t-elle en m'agrippant les cheveux et tirant violemment ma tête en arrière. "Tu vas vraiment le regretter, je te le promets. Mets-toi là et lèche ta saloperie ! Sale porc !" Elle avait radicalement changé en l'espace d'un instant et pour la première fois j'étais effrayé par elle. Elle me poussa sur le dos et s'assit sur mon visage, mon sperme dégoulinant de ses lèvres. "Avale tout ! Je ne veux plus voir aucune goutte !" Elle glissa sa main derrière elle et elle me gifla le sexe. Je tressaillis, puis elle empoigna mes testicules et commença à serrer. Je me mis à hurler sous elle, pendant qu'elle malaxait mes boules l'une contre l'autre. "Tu n'as pas à avoir de plaisir en ma présence. Me servir est ta raison d'être, servir mon plaisir et rien d'autre. Tu as compris ?" cria-t-elle alors qu'elle tordait mon scrotum. "PITIE MAITRESSE CHARLENE, JE SUIS DESOLE, PITIE !" hurlai-je, souffrant le martyre. Je continuais à lécher et avaler mon sperme comme je pouvais pendant que Charlène me torturait. "Désolé ? Une excuse bidon pour un homme !" et si c'était encore possible elle serra encore plus fort mes testicules. "MAITRESSE CHARLEEEEENNNEEEEE HAAAHHHHHA !" criai-je. J'étais au bord des larmes, jamais on ne m'avait infligé une telle douleur. "Si jamais tu jouis encore une fois sans ma permission, je te jure que je t'arracherai les couilles. Tu m'as comprise ? Hein ?" "Oui Maîtresse Charlène," bredouillai-je. Elle relâcha enfin mes testicules, puis s'assit sur mon visage durant un long moment, afin que je puisse la nettoyer de tout mon foutre avec ma langue. Elle resta ainsi assise pendant un bon quart d'heure, et petit à petit elle se mit à apprécier mon ouvrage, et finalement se remit à jouir, sur mon visage cette fois. "Parfait," ronronna-t-elle, puis elle se leva pour se diriger vers sa salle de bains. "Viens ici," appela-t-elle. J'obéis. "Fais couler mon bain et prépare mes vêtements", m'ordonna-t-elle en s'asseyant sur les toilettes. "J'ai une jupe noire en cuir dans mon armoire, et tu prendras une chemise de satin noir. Mes sous-vêtements sont dans le tiroir en haut à gauche de ma commode, mes soutiens-gorge dans le tiroir en dessous. Soutien-gorge noir, bas et petite culotte noirs. Compris ?" "Oui Maîtresse Charlène," répondis-je avec soumission. Je disposai sur le lit les vêtements qu'elle m'avait indiqués, et attendis ses ordres suivants. Elle revint dans sa chambre, entièrement nue, et me lança une serviette. "Essuie-moi," ordonna-t-elle. J'obéis en l'essuyant avec douceur, puis je commençai à l'habiller. Je lui passai une petite culotte noire à lacets, puis un soutien-gorge assorti. Ensuite je lui enfilai des bas de nylon noir ainsi que des porte-jaretelles pour les fixer. Puis ce fut le tour de la jupe de cuir et enfin la chemise qu'elle finit de boutonner elle-même. Je me mis à genoux à côté d'elle alors qu'elle s'asseyait pour se remaquiller. "Chez moi tu devras toujours être agenouillé en ma présence. Si tu es au travail dans la cuisine, par exemple, et que j'entre dans la pièce, tu dois tomber à genoux jusqu'à ce que je quitte la pièce ou bien que je t'autorise à te relever, est-ce clair ?" "Oui Maîtresse Charlène." "Quelle expérience as-tu comme esclave ?" demanda-t-elle. "Pas beaucoup Maîtresse Charlène, cela m'est arrivé à l'occasion de voir des professionnelles, mais je les quittais plus frustré que je ne l'étais en arrivant. Je leur demande ce que je veux, un peu comme si je commandais une pizza : un peu de ci, un peu de ça, pas de ceci, et pas trop de cela. Je ne veux avoir aucun droit Maîtresse Charlène, je veux que fassiez ce que vous voulez de moi." "Vraiment ? Cela pourrait devenir intéressant, même très intéressant." Elle me présenta un collier puis l'attacha à mon cou. "Tu le porteras à chaque fois que tu seras ici. C'est un signe de ton appartenance. Il y aura bien d'autres signes, mais nous verrons cela quand le moment sera venu," m'informa-t-elle alors qu'elle finissait d'attacher le collier, pour ensuite le fermer avec un petit cadenas. "Voilà. Je trouverai un petit disque avec ton surnom dessus : chien de Charlène, ou quelque chose de ce genre." Elle allait ajouter quelque chose quand nous entendîmes quelqu'un en bas. "Charlène ?" appela-t-on. "Je suis en haut, Jeanne, monte !" C'était sa belle-soeur, qui par l'ironie du destin se trouvait être auparavant ma femme de ménage, celle qui avait découvert mon petit récit. On entendit monter l'escalier, et pendant ce temps Charlène se leva et me laissa à genoux à côté d'elle. Elle attacha une laisse à mon collier et quand Jeanne pénétra dans la chambre elle put admirer le spectacle de la Maîtresse accompagnée de son chien. "Oh mon dieu, on dirait qu'il a trouvé sa place !" dit Jeanne avec son accent Normand. "Oh Charlène, j'adore ce que tu en as fait !" Jeanne se tenait debout devant moi : c'était une femme séduisante, mesurant près d'un mètre soixante-quinze avec ses talons. Elle portait des chaussures de cuir noir, des bas noirs en nylon, sa jupe noire tombait un peu au-dessus de ses genoux, et elle avait une chemise rose. "Oh, mais c'est qu'il rougit ! Comme c'est mignon !" dit-elle avec ironie. "Qu'est-ce qu'on répond ?" intervint sèchement Charlène. "Merci Maîtresse Jeanne," murmurai-je. Jeanne éclata de rire. "Je crois que je vais adorer ça." "Moi aussi," dit Charlène en me conduisant en dehors de la chambre. Elle me tira ensuite sur la laisse pour me faire descendre les escaliers, ce qui était une manoeuvre délicate pour moi, à quatre pattes. Puis elle me fit descendre une volée de marches pour arriver au sous-sol, où était disposée une planche à repasser, avec à côté un grand panier plein de vêtements visiblement prêts à être repassés. "Debout," ordonna Charlène. Je me remis tout de suite sur mes pieds. Il y avait une chaîne attachée à la planche à repasser, et à l'extrémité libre de cette chaîne je crus reconnaître une menotte. Charlène m'attrapa par les testicules et passa la menotte sur la base de mon scrotum, puis la serra fermement à l'aide d'une vis d'adaptation. Je me retrouvai alors enchaîné à la planche à repasser, dont les pieds étaient eux-mêmes solidement fixés au sol par des boulons. "Tu as assez de mou dans la chaîne pour prendre les vêtements dans le panier. Repasse-les et empile-les ensuite sur cette table. Je pense qu'il y en a assez pour t'occuper pendant plusieurs heures. Jeanne et moi allons faire des courses, et nous serons de retour vers midi. Je serai très déçue si tu n'as pas tout fini, et tu ne voudrais pas décevoir ta Maîtresse, n'est-ce pas ?" "Non Maîtresse Charlène," répondis-je docilement. "Quel beau tableau ! Un mâle nu, enchaîné à une planche à repasser... Il faut que je pense à ramener mon appareil photo !" dit Jeanne. "Bon, allons-y," dit Charlène, et les deux femmes me laissèrent avec mon repassage. Je commençai ma tâche. Il y avait une soixantaine de vêtements : des T-shirts, des chemises, des robes, des taies d'oreiller, des pantalons, des sous-vêtements, beaucoup de sous-vêtements ! Il y avait également une vingtaine de paires de chaussettes que pliai soigneusement. Le tas à repasser avait presque disparu quand j'entendis une voiture se garer et la porte d'entrée s'ouvrir. J'avais presque fini ma besogne, et j'espérais en avoir fait suffisamment pour ne pas décevoir Charlène, mais elle ne descendit pas me voir directement, car je l'entendis aller dans la cuisine et y rester quelques instants. Je me mis donc rapidement à repasser une chemise : il ne me restait ensuite plus que trois vêtements. Ce qui arriva ensuite restera comme l'un des moments les plus embarrassants de ma vie : j'avais eu des envies de soumissions depuis les débuts de ma vie sexuelle, autour de quinze ans, mais depuis ce moment je n'avais jamais révélé cet aspect de ma psychologie à un autre homme, même si un bon nombre de femmes connaissaient ces désirs. Je l'entendis descendre avant de le voir arriver en bas des marches, et si un simple "Oh !" fut tout ce qu'il dit, c'était comme si je l'avais entendu hurler. Je regardai d'un air gêné autour de moi : il était en bas de l'escalier, sans voix, et moi également je ne savais pas quoi dire. Ce n'est pas tous les jours que vous rentrez chez vous du boulot et trouvez un homme nu repassant dans votre cave ! "Je suis désolé, Pierre, vraiment désolé," finis-je par trouver à dire. "Ce n'est pas ta faute, Charlène peut être très persuasive, comme tu as dû le remarquer." "Elle n'a pas eu beaucoup à faire pour me persuader, cependant, Pierre." "Elle m'avait dit qu'elle amènerait un autre homme un jour ou l'autre, et je l'ai même peut-être encouragée dans cette voie." "Mais cette situation ne correspond probablement pas à ce que tu avais imaginé ?" "Non." "Pour moi non plus. Je me sens totalement stupide." "Comme c'est mignon ! Deux garçons intimidés prêts à faire un pas de danse ensemble au signal de Charlène !" Troublés pendant ces instants d'embarras nous n'avions pas entendu les deux femmes entrer. Charlène et Jeanne étaient restées en haut des escaliers et avaient entendu la fin de notre conversation. "Deshabille-toi Pierre et va le rejoindre." "S'il te plaît Charlène, est-ce qu'on peut parler cinq minutes ?" A ces mots Charlène se jeta sur lui. "Ne commence pas !" hurla-t-elle, le poussant de la dernière marche. Il tomba sur le sol, et Charlène se précipita sur lui en le piétinant lourdement sur l'aîne avec ses hauts talons. Il se mit à gémir et se tortiller sous elle. "Charlène, pitié !" essaya-t-il de dire, mais elle ne l'écoutait plus. Jeanne et moi regardâmes Charlène l'agresser, Pierre essayant de se protéger tant bien que mal, mais les deux premiers coups de talons entre les jambes lui avaient apparemment fait très mal. Charlène était furieuse. "Tu oses me répondre ! Je te garantis que tu le regretteras quand j'en aurai fini avec toi !" et elle se mit à le piétiner sans retenue, tordant et déchirant ses vêtements. "Pitié Charlène !" implora-t-il alors qu'elle défaisait sa ceinture, ses tentatives désespérées de l'arrêter étant balayées par un autre coup vicieux de son talon dans l'aîne de son mari. Son cri aigu était la preuve que le coup avait porté à nouveau, et Pierre était maintenant recroquevillé aux pieds de sa femme, pendant qu'elle passait sa main à l'intérieur de son pantalon à la recherche de ses testicules, et finit par les trouver. "Oh pitiéééééééééé !" cria-t-il alors qu'elle agrippait sa proie. "Ca y est, je t'ai, connard !" cracha-t-elle. Jeanne s'était assise en haut des marches et profitait ainsi du spectacle de sa belle-soeur en train de détruire son frère. Charlène le secoua comme une poupée de chiffons, tirant son sexe de part et d'autre de son pantalon tout en le broyant. Il était incapable de l'empêcher de lui faire ce qu'elle voulait, et elle l'avait maintenant amené aux pleurs, mais comme si ce n'était pas assez, elle le traîna par les couilles sur le tapis jusqu'au bas des marches. Pierre gémissait, en sanglots, la suppliant de cesser cette torture. "Pitié Charlène, je... Je te demande pardon, pitiééééééé !" Elle le gifla sévèrement plusieurs fois, puis se remit à lui malaxer les parties. "Jamais plus, tu m'entends, jamais plus tu ne me désobéiras, je te jure que tu vas regretter ce jour !" et elle serra de nouveau ses testicules l'un contre l'autre. Après ce dernier traitement sauvage de ses boules, elle le relâcha et le laissa ainsi allongé sur le sol, sanglotant à ses pieds. Elle se tenait debout au-dessus de lui, les jambes largement écartées, et sa jupe était remontée à moitié, devoilant le haut des ses cuisses et même une partie de sa toison pubienne. "Charlène," appela Jeanne, toujours assise en haut des marches, "il semble que tu as su capter toute l'attention de ton auditoire." Charlène me regarda alors, et j'aurais tout donné pour me cacher à ce moment-là face à ce regard inquisiteur : je venais juste d'assister à ma première séance de ball-busting, et cela m'avait procuré une splendide érection. Charlène rit : "quel branleur !" Jeanne descendit les marches et enleva son manteau : "qu'est-ce qu'on pourrait faire avec eux, Charlène ?" Charlène avait déjà son idée : "mets-toi à genoux, Pierre," ordonna-t-elle. Malgré sa douleur il obéit instantanément. Il était maintenant agenouillé devant mon pénis érigé, encore palpitant après toutes ces humiliations. "Suce-le Pierre, taille-lui la meilleure pipe qu'il ait jamais eue !" "Oh, c'est si cruel Charlène," dit Jeanne moqueusement. "Tu crois ?" Pierre était mortifié, mais Charlène se tenait debout, tout près derrière lui : "tu ne vas pas recommencer à me désobéir, n'est-ce-pas ?" demanda Charlène. Jeanne se rapprocha : "je veux voir ça de plus près." Pierre pleurait en silence, alors qu'il prenait dans sa main mon sexe en érection. "Décalotte-le et suce-lui le bout," ordonna Charlène. Je me contractai à son contact et jetai un bref coup d'oeil à Charlène, puis à Jeanne qui venait de sortir un appareil photo, afin d'immortaliser ce moment. Pierre semblait vivre un calvaire. Jeanne dit en riant : "tu ne crois pas que tes collègues au boulot seraient ravis de voir ça, Pierre ?" "Oh, il y aura plein de choses à leur montrer quand nous en aurons fini avec toi," rajouta Charlène. Il éclata en sanglots devant moi. "Les larmes n'y feront rien, Pierre," lui dit Charlène sans une pointe de compassion. Elle semblait commencer à perdre patience avec lui. "Prends-le dans ta bouche et suce-le à fond comme la petite pute que tu es," dit Charlène d'un ton ferme. Et il le fit. Le flash de l'appareil photo de Jeanne se déclencha et il avala mon sexe. Je fermai les yeux, essayant de prendre de la distance par rapport à ce que j'étais en train de vivre, mais cela ne marchait pas vraiment. Les deux femmes regardaient attentivement alors que Pierre essayait de faire de son mieux pour effectuer sa fellation. Jeanne prit encore quelques photos et attendit. "Dis-moi quand tu seras prêt à éjaculer, pour prendre la photo," me dit-elle comme si je me préparais à souffler les bougies. Cela ne prit pas beaucoup de temps. J'étais vraiment près de jouir : "Maîtresse Jeanne, je suis prêt." "Bon, je veux que tu lui prennes la bite et que tu la branles fort," dit-elle à son frère, "et que tu gardes bien la bouche ouverte pour avaler tout son foutre. Allez !" et Pierre obéit. Il me caressa quelques instants et je me mis à jouir sur son visage. "Parfait !" dit Jeanne. Elle prit une série de clichés alors que je me déchargeais. "Suce-le bien à fond, Pierre," ordonna Charlène alors qu'il prenait à nouveau en bouche mon sexe flétrissant. Charlène se mit debout à côté de Pierre, sur ma droite, et me regarda. "Je te l'avais bien dit que tu te rappellerais de cet anniversaire. Alors, est-ce que j'avais raison ?" "Vous aviez raison Maîtresse Charlène." A suivre...