Le Club des Guerriers M. Webb. Traduction: John Lindemulder (lindemulder@hotmail.com) Un jeune couple décide de s'inscrire dans un club de lutte mixte. Update: 28/09/1997 to french Cela faisait 15 minutes que j'essayais de convaincre Hannah. Au début, elle avait aimé cette idée, peut-être même plus que moi. Mais alors que le moment pour moi de monter sur le ring approchait, elle doutait de plus en plus. "Tu ne trouves pas que c'est un peu bizarre, quand même? Et si un policier arrive, ou un truc comme ça?" dit-elle, en jouant avec ses longs cheveux bruns d'un air boudeur. "Chérie, un des participants est un policier. Tout est complètement légal." "Mais cette déclaration que tu as signée à propos d'une blessure!" "C'est juste une formalité. Les autres veulent aussi que tout se passe bien, comme nous. Je croyais que tu voulais me voir me battre sur un ring?" Je m'approchai d'elle par derrière et la serrai dans mes bras. Je ne voulais vraiment pas qu'elle se fâche et m'abandonne. Elle se retourna et me fixa dans les yeux. "Bon, je suis peut-être un peu bête. Mais si on apprend ça à ton travail?" "Personne n'en saura rien, c'est un club privé. Tout se déroule dans le Club des Guerriers, et les cassettes vidéo sont gardées confidentielles." Je la tins plus fort dans mes bras. "Et ils ont même une salle derrière le gymnase où le gagnant prend son lot après le match. Tu ne veux pas voir ça?" Elle agréa finalement et se serra contre moi. Elle partageait ma passion pour les combats mixtes, mais elle n'était malheureusement pas assez grande; elle n'était pas le type de constitution physique pouvant se mesurer à moi. Nos matchs étaient tout le temps tronqués parce qu'elle ne pouvait simplement pas résister à ma force, et parce que j'avais peur de lui faire mal. Mais quand elle avait entendu parler du Guerrier, elle avait sauté dessus. Et moi aussi: le gagnant du combat mixte prend comme esclave pour une nuit son adversaire. Le club était cher (plus de 1'000$ pour une année). Je m'y étais inscrit il y a quelques semaines. Ils m'avaient appelé hier soir pour me dire qu'en raison d'une annulation je pouvais joindre le club ce soir si je le voulais. Le trajet jusqu'au club fut monotone mais tendu. Après avoir parqué la voiture devant le club, nous y entrâmes après vérification de notre identité. Arrivés dans une large salle de style salon, remplie de quelques douzaines de personnes, un homme avec un badge à son polo s'approcha de nous. "François et Hannah?" "C'est nous." "Bonjour, je suis Philippe. Je suis le gérant des combats ici au Guerrier. Je vais vous présenter à tous deux votre adversaire de ce soir, et ensuite je vous montrerai où sont les casiers." Ma bouche était sèche. Je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre, j'étais sûr qu'elle serait grosse. J'espérais qu'elle serait athlétique, pas obèse. Il m'emmena en passant devant les autres, dont beaucoup me regardaient maintenant. Il arriva à une femme qui parlait à deux messieurs plus âgés. Elle se tourna pour me regarder. Elle était blonde et mesurait dans les 1m80. Sa poitrine était large: je situai son tour de poitrine à 97 centimètres. Elle était incroyablement féminine. Ma bouche s'apparentait au Sahara. "Ah, bonjour François. Je suis Anouk, ton adversaire de ce soir." Sa voix aussi était féminine. Elle était un peu grande, mais elle ne pouvait pas sérieusement être compétitive face à moi ce soir. De plus, elle n'était vraiment pas très musclée. "François?" Elle me souriait. "Pardon, heu!" Je tendis ma main pour lui serrer la sienne. Elle rit à nouveau, s'avança et me pris dans ses bras, m'embrassant dans le cou. J'étais au paradis. Elle était si douce! "On est terriblement banals comme compétiteurs, non? Tu vas vite te détendre." Je pouvais sentir les yeux de Hannah brûler dans mon dos, et j'essayai de me reprendre. Philippe se mit à parler derrière moi: "Bon, comme ce combat a été arrangé à la dernière minute ou presque, je vous laisse vous mettre d'accord sur les règles maintenant." "C'est quoi, comme style de combat? Je croyais que c'était un peu!chacun fait ce qu'il veut." Anouk poussa un petit rire. "Oh, ça m'irait très bien, tu sais. On peut faire n'importe quel match, mais il faut d'abord se mettre d'accord. On a déjà eu de la boxe, du kickboxing, de la lutte, tout ça costumé ou non. Et il faut qu'on décide comment le gagnant sera déclaré vainqueur." Philippe ajouta: "Si vous n'arrivez pas à un accord, le match se décide au meilleur de 2 soumissions sur 3, et tout est permis." Je me sentais pris de vertige à l'idée de la posséder pour une nuit. Je regardai Hannah. Même si elle était fâchée contre moi, elle pensait exactement la même chose. "Qu'est-ce que veut dire costumé?" "Ca veut dire que tu peux porter ce que tu veux sur le ring. Bien sûr, les armes éventuelles sont interdites, mais on peut utiliser ce qu'on porte pendant le combat. On n'a pas le droit de porter quelque chose de!dangereux. Comme je ne pense pas que tu as un costume, un match non-costumé me semble bien. Et tu n'as pas l'air d'un boxeur, tu as plutôt l'air d'un lutteur, alors pourquoi pas un match de lutte?" Elle s'approcha de moi et sa poitrine effleura mon torse. "Ou bien tout est permis?" "Non, la lutte va très bien" intervint Hannah. "Est-ce que 2 soumissions sur 3 vous convient?" Anouk se mit à battre des yeux. "Ok. Si c'est ce que vous voulez, je crois que je vais tenter ma chance avec Franck comme ça. A tout à l'heure." Elle se tourna et sortit par une porte derrière. Je m'apprêtai à la suivre, mais Philippe m'arrêta. "Là c'est le vestiaire des femmes. Je vais vous montrer où est le vôtre. Vous avez intérêt à ne pas traîner, le match débute dans un quart d'heure. "Et ma femme? Et Hannah?" Elle pourra s'asseoir à côté du ring, je lui montrerai. Venez par là." Le vestiaire était propre et bien entretenu. Une petite salle de gym se trouvait à côté. Philippe commenta: "Vous pouvez utiliser cette salle quand vous voulez, 24 heures sur 24. Il y a aussi une piscine ici, et à certaines heures, une masseuse et un physiothérapeute pour vous garder en forme. Je vous montrerai tout ça plus tard, maintenant il faut vous changer. Quand ce sera à vous d'entrer sur le ring, cette lumière rouge s'allumera." "Je peux vous poser une petite question?" "Bien sûr, qu'est-ce qu'il y a?" "Comment Anouk a été sélectionnée pour le match?" Il hésita une seconde. "Ben, Anouk fait le premier match de chaque nouveau type. Les filles aussi, quelquefois. Vous feriez mieux de vous habiller." Mon nom était déjà sur un casier. J'y mis mes affaires et enfilai un maillot de bain et des sortes de bottes. Au bout de quelques minutes, l'ampoule rouge s'alluma. J'ouvris la porte et sortis. Le ring était un ring réglementaire, et plus de 50 spectateurs peuplaient les sièges autour. Je me dirigeai droit vers le ring. Hannah se leva et m'embrassa longuement. Elle était déjà excitée. Je grimpai sur le ring. Philippe y était déjà, portant des rayures blanches et noires. "Et pour son premier match, 1m79 et 78 kilos, en costume bleu, François!" La foule applaudit poliment. La porte opposée de la salle s'ouvrit et Anouk en sortit. Elle portait un sous-vêtement en deux pièces de soie blanche, et marchait pieds nus. Elle souriait et lançait des baisers au public qui l'acclamait. Je n'en croyais pas mes yeux. Son habit lui seyait à merveille. Elle n'était pas vraiment ce que j'avais en tête en venant ici, mais je n'aurais certainement pas autant de difficulté à lui faire mal que j'en aurais eu avec ma femme. Phil annonça, "et de retour sur le ring, 1m82 et 63 kilos, Anouk!" Les spectateurs devinrent fous, et j'étais bien d'accord avec eux. Elle sauta sur le bord du ring, passant par dessus la corde supérieure. Elle sourit au public, et fit un grand écart au sol. J'émis un léger gémissement. Elle se releva et me regarda, souriant merveilleusement en étirant ses bras, ce qui augmentait encore plus la taille de son buste. J'essayai de me concentrer sur autre chose, parce que mon érection devait être très visible. Anouk s'avança quand Philippe nous fit signe. Nous étions face à face. Philippe continuait à parler dans son micro. "Ce sera un match au meilleur des 2 soumissions sur 3, le gagnant désigné uniquement sur soumission. Placez-vous dans votre coin du ring et préparez-vous à combattre." Il recula et j'allai dans mon coin. Hannah était là, au bord du ring. Je la voyais déchirée entre sa jalousie envers cette nana et son excitation à la pensée de littéralement la posséder pour une nuit. "Un conseil?" Elle secoua la tête. "Attrape-la juste pour nous, mon chéri." Elle grimpa et me donna un autre baiser de chance, très chaud. Puis elle se laissa tomber et s'installa dans son siège. La cloche sonna, je me dirigeai au centre du ring. Anouk s'avança, ses deux bras écartés. J'agrippai soudainement ses mains pour la rejeter contre les cordes, mais elle se laissa tomber sur le tapis et m'entraîna au sol avec ses jambes. Elles étaient longues et puissantes, et commencèrent immédiatement à me priver d'air. Je l'avais plaquée contre le tapis, mais le match ne se jouait pas sur des placages. Je relâchai ses mains et tentai d'écarter ses jambes. Je n'arrivais pas à les séparer, mais la pression disparut. Juste quand je commençai à m'en sortir, Anouk défit la ficelle de son soutien-gorge et tira dessus, révélant ses seins. J'étais à une dizaine de centimètres d'eux, mais ça ne dura pas. De ses deux mains, elle m'agrippa par la nuque et me tira contre l'espace entre ses seins. Ils étaient doux, et elle sentait terriblement bon. Je me mis à lécher. Je sentis ses jambes me couper en deux quand elle réappliqua sa prise. Je me remis à tenter de défaire l'étreinte de ses jambes. Elle roula sur le côté pour se retrouver dessus, tout en maintenant ses prises de ciseaux et d'étouffement. Comme j'haletais, elle me murmura "On a un petit problème mon chou? Allez, bats-toi contre Anouk". Elle me parlait comme à un bébé, et alors même que ma colère contre elle montait, je sentais mes entrailles se transformer en compote. Ses jambes finiraient bien par se fatiguer, mais je savais que mes bras le seraient avant. Son ciseau commençait à payer. Je me glissai alors en arrière jusque aux cordes et me hissai dessus. Un moment après, elle relâcha sa prise. Je respirais à nouveau. Soudain, elle m'agrippa et m'envoyer par dessus son épaule sur le tapis. Je m'écrasai au sol, laissant échapper le peu d'air que je venais d'inspirer. Elle laissa tomber son derrière sur mon visage, faisant face à mon ventre. Elle saisit mes jambes et les plaça sous ses aisselles, en se penchant en arrière. Elle me dirigeait tout droit dans l'inconscience. Je pouvais déjà voir des petites étoiles, et son odeur me submergeait. Je commençai à paniquer. Je ne pouvais pas voir l'arbitre, je ne pouvais rien voir, je ne pouvais même pas faire un bruit. Tout commençait à disparaître. J'aurais fait acte de soumission si j'avais pu faire un bruit. Alors elle se leva et je restai là, amorphe. Je regardais l'imposante déesse blonde. En faisant ça, je vis Hannah debout contre le ring, me criant désespérément quelque chose. Anouk se laissa tomber sur mon estomac, ses jambes à califourchon sur moi, se pencha en avant et approcha ses seins de ma tête. Ses jambes enroulèrent les miennes et elle commença à appliquer une prise de gravepine. Elle maintenait mes mains contre le tapis. Elle apposa sa bouche contre la mienne et m'embrassa fort tout en écartant puissamment mes jambes l'une de l'autre. Puis elle s'avança un petit peu. "Suce-les." Ses mamelons effleuraient ma bouche, et je fis comme elle me l'ordonnait. Tandis que je m'y appliquais, elle maintenait sa prise de gravepine. Tandis que ses têtons durcissaient, la pression augmentait. J'étais très mal. "Pauvre petit sucre, ça aurait pu être un match de placages, mais ta petite femme voulait que tu me roues de coups...Alors puisque c'est comme ça ton premier match va être teeeeeellement douloureux..." Elle écarta encore un peu plus mes jambes, et se repoussa de ses mains., son corps étant maintenant à la verticale de mon estomac. Je ne pouvais pas me lever pour l'attraper, mais mes mains étaient libres. A cet instant, je vis Philippe regarder vers moi. "Je me soumets, je me soumets!", criai-je d'une voix rauque. Après que Anouk ait lâché sa prise et se soit levée, Philippe m'aida à me relever, et m'emmena dans mon coin. "Une minute de pause entre les rounds", dit-il en enclenchant sa montre. Hannah grimpa sur le ring et y installa un tabouret. "Chéri, qu'est-ce que tu es en train de laisser cette pétasse te faire? Bats-toi!" "Qu'est-ce que tu crois que je fais..." "Je crois que tu lui suces les nichons pendant qu'elle te botte le cul." "Tu crois que j'avais le choix? Elle dominait la situation." Hannah ma lança une claque sur le visage. "Arrête ces conneries avec moi!" Je caressai ma joue et regardai ailleurs. Sa voix s'adoucit. "On peut l'avoir pour nous deux si tu arrêtes de penser à son corps et si tu commences à vraiment lutter!" "Je sais qu'elle a l'air d'une potiche, mais elle sait se battre. Je suis complètement à côté du match. Mon dieu, je me demande à combien de types elle a imposé ça." Hannah semblait s'être calmée. Elle m'enserra de ses bras, et me dit: "Ok mon chou, c'était juste la première manche. Concentre-toi simplement et utilise ta force sur elle." Comme j'étais penché vers Hannah, j'entendis un coup de gong et vit ses yeux s'écarquiller. Un instant après, je sentis un impact terrible dans mon dos et fus écrasé contre le coin du ring par les deux pieds d'Anouk. Je retombai sur le tapis au moment où elle se relevait de son coup de pied volant. J'étais à terre, me tenant les côtes, quand la blonde aux seins nus me souleva par les cheveux et me renvoya au tapis. A peine atterri, je criai de douleur en sentant son genou s'enfoncer dans le creux de mes reins. Elle me fit rouler sur le dos avec son pied et se tint quelques secondes au-dessus de moi, debout. Puis, elle fit subitement un grand écart et se laissa tomber sur moi, ses hanches écrasant mon estomac en y éjectant l'air. Elle s'avança pour me couvrir de sa poitrine. Ses seins étaient incroyablement fermes et gros, je ne pouvais pas respirer. Je pouvais encore juste entendre Anouk quand elle commença à me parler en langage infantile. "Ta petite femme t'a dit comment me battre? Hmmm? Je vois que tu te sens mal vis à vis d'elle, hein? Ne te fais pas de souci, je vais te faire soumettre d'une telle manière qu'elle n'aura pas de regrets! Ensuite, ce sera rien que nous deux." En parlant, elle reculait ses hanches, et mon pénis était poussé en arrière par son corps. Elle se déhancha légèrement, de gauche à droite. J'étais sur une autre planète. Elle se glissait en arrière, poussant mon pénis contre le bas. Elle remontait son corps, puis elle redescendait. "Oooooooohhhhhh pitié Anouk, s'il te plaît, Hanna va me tuer!" Elle cessa son manège et se plaça en position assise sur mon estomac. Je recommençai à respirer librement quand ses seins cessèrent d'envelopper mon visage. Elle mit ses mains sur ses hanches et me regarda: "Hannah? Tu t'inquiètes encore de cette petite conne? Et bien, on dirait que j'ai été bien trop gentille avec toi." Avant même de finir de parler, elle se pencha en arrière, éleva ses jambes et les enlaça autour de ma tête. Elle commença à faire pression au moment où je posai mes mains sur ses jambes. J'essayais sans succès de les séparer, mais au moins je l'empêchais de me faire trop mal. Je gémissais en fournissant cet effort soutenu pendant qu'elle durcissait sa pression. Soudain, le monde tourna tandis qu'elle se culbutait de côté. Ma tête heurta le tapis, et, après un tour complet, elle se releva en poussant de ses mains sur le tapis, plia ses genoux pour se retrouver en position de face-sitting. Ses jambes enserraient mon cou maintenant, mes bras étaient coincés sous ses genoux. Puis, ses cuisses enserrant toujours mon cou, elle se releva quelque peu et se laissa retomber. Avant que je puisse crier ma soumission, son poids s'écrasa sur mon cou. Elle se pencha alors en arrière, enroula chacun de ses bras autour de mes jambes et se repencha en avant. Mes grognements de douleur étaient étouffés tandis qu'elle me pliait littéralement en deux de tout son poids. Je ne parvenais plus à respirer depuis quelque temps. Je me sentis m'évanouir. Quand je me réveillais, il me fallut quelques secondes pour me rappeler ce qui m'était arrivé. Tout mon corps me faisait mal. Soudain, je sentis qu'on m'agrippait par les cheveux et ouvrit les yeux. Au milieu du ring, Anouk me soulevait et planta ma tête entre ses cuisses. Elle saisit mon corps et le souleva de telle façon que mes pieds étaient en l'air. "Tu ne t'es pas encore soumis." "J'abandonne! J'abandonne!" criai-je en pleine panique. "Bien". Elle me lâcha sur le tapis et je m'évanouis à nouveau. Quand je me réveillai, plus tard, je regardai autour de moi. J'étais nu, étendu sur un lit, sur des draps en soie blanche. Mes mains étaient attachées aux montants du lit par un bout de tissu de soie noire. Il y avait à côté de moi une espèce de table de torture avec des chaînes, et une série de fouets accrochés au mur. Je tournai la tête et aperçut Anouk au pied du lit.. Elle était encore comme à la fin du combat, toujours seins nus. Ses beaux cheveux blonds étaient légèrement désordonnés, sa poitrine sexy était pendante. Elle pointa du doigt les fouets. "Heureusement pour toi, je suis du genre traditionaliste." Elle sauta sur le lit et s'avança langoureusement à quatre pattes, comme un chat. Mon pénis se dressa immédiatement. Elle s'avança et suça mon gland. Puis elle s'avança encore et enveloppa mon pénis entre ses seins. Elle parlait tandis qu'elle m'amenait à ébullition. "On m'appelle la poitrine d'enfer ici." Elle se remit à sucer mon pénis, puis remonta doucement sur mon corps. "Et je t'y ai emmené, en enfer", dit-elle en riant. Elle me lança une claque: "Si tu veux avoir une chance, tu as intérêt à utiliser d'abord un entraîneur." Ses hanches m'enveloppèrent, elle s'assit sans hésiter et me prit vite et fort. Elle était très concentrée. Alors que le va-et-vient devenait de plus en plus rapide, elle me gifla la joue d'un côté, puis de l'autre. J'éjaculai, mais elle me fit revenir mon érection et me chevaucha à nouveau. Elle parvint à l'orgasme, et je jouis avec elle. Elle s'avança et me fit la brouter. Je m'évanouis pour la troisième fois de la soirée. Quand je me réveillai, Anouk était là, dans un blue jeans et une chemise blanche. Hannah était près d'elle. Elle était livide. J'étais toujours nu, attaché au lit. Anouk ricana "il est de nouveau à toi, ma chérie". Elle tourna sur ses talons et sortit de la pièce. Retrouvez l'OFCE a: http://www.geocities.com/Paris/LeftBank/9292