GRANMA Par VIOLENTE (fiction) -o-o-o-o-o-o-o- Pour la première fois de ma vie je suis en train de fouiller dans les affaires de ma Grand’Mère. ‘Granma’ comme je l’appelle m’a invité chez elle pour fêter mes 18ans. Je suis seul, elle est partie chez une amie pour l’après-midi et en partant elle m’a dit : "Tu es ici chez toi. Toute la maison est à ta disposition, tu peux aller et venir même dans les pièces qui t’étaient interdites quand tu venais passer tes vacances d’été dans ta jeunesse. Maintenant tu es un adulte et je ne veux plus avoir aucun secret pour toi. Va, viens et fouille tout ce qui te plait. C’est mon cadeau d’anniversaire!" Je connais le grand secret de Granma. Je l’ai découvert quand j’avais 14ans, pendant ces fameuses vacances, un jour qu’elle me croyait parti pour l’après midi chez un camarade d’internat qui habitait à 5km de là!!! Bien sûr je ne lui ai jamais dit. J’ai fait de l’acrobatie ce jour là pour lui faire croire, un peu avant vingt heures, que je revenais de chez mon copain. Mais en réalité je crois qu’elle se doute de quelque chose. Elle a dû comprendre que j’ai découvert son secret. Alors je me suis dirigé vers son boudoir, cette pièce qui lui sert de bureau et où dans différents meubles elle classe tous ses documents. J’ai rapidement trouvé dans une sorte de bibliothèque fermée tout ce qui concerne ses archives sur ses activités secrètes. Dans des dossiers qui tiennent à la fois de l’album de photos et de grand livre journal elle a classé dans l’ordre chronologique de sa vie tout les événements qu’elle a vécus et qui concernent sa passion. Chaque document est composé de grandes feuilles réunies par un fermoir à quatre pitons. Chaque feuille est perforée en conséquence et dessus elle a écrit le récit des événements, ses appréciations et ses remarques et aussi elle a collé des photos d’elle et d’une ou plusieurs autres femmes. J’ai sorti le dossier le plus récent et j’ai tout de suite compris le mode d’archivage et la présentation. Je viens de remonter en arrière et de sortir le classeur qui correspond à l’année et au mois de ma découverte. Mes mains tremblent comme je tourne les pages épaisses. Mon coeur bat la chamade et mes nerfs sont à vif!! Voilà! Je trouve la page du jour en question. Je suis tellement ému que ma vue se trouble et que je dois attendre un moment avant de compulser le document. Mais au premier coup d’oeil j’ai reconnu la femme!!! Debout devant la table où j’ai posé le dossier je ferme les yeux et j’active ma mémoire, (comme si elle en avait besoin d’ailleurs!) Disons plutôt que je me concentre sur cet après-midi. -o-o-o-o-o-o-o-o-o- Granma était dans sa salle de bains qui est contigüe à sa chambre au rez-de-chaussée de la grande maison. Le téléphone avait sonné et elle m’avait crié d’aller répondre. C’était mon camarade qui m’informait qu’un événement imprévu l’obligeait à s’absenter et que notre rendez-vous était remis. Granma avait demandé ce que c’était. J’avais répondu que c’était pour moi et qu’elle n’avait pas à se soucier. Ensuite et sans qu’elle n’en sache rien j’étais monté dans ma chambre, bien décidé à consacrer mon temps à l’étude de mes revues sur la lutte et le naturisme qui sont mes passions. J’avais entendu, sans trop y prêter attention, un remue ménage dans la grande salle qui fait office de centre de vie dans la maison. Un peu plus tard mon attention avait été alertée par un moteur de voiture montant l’allée. Par curiosité j’étais allé à la fenêtre et j’avais vu sortir du véhicule qui s’arrétait devant les marches une belle femme en très légère tenue d’été. Une ravissante blonde de 35ans environ. Les cheveux peignés à plat lui encadraient le visage comme une large jugulaire. Elle devait mesurer entre 1,65m et 1,70m au plus. Elle portait des chaussures noires à talons aiguilles avec une bride large autour de la cheville. Sa minirobe descendait à peine au milieu des cuisses et était tenue par deux étroites bretelles. Elle permettait de voir la naissance de sa généreuse poitrine et ses omoplates dans son dos. L’autre particularité de cette robe qui la déshabillait si bien était d’être réalisée au crochet, en faisant du fin fil noir des dessins ouverts de forme géométrique. Le peu de tissu permettait de voir qu’elle ne portait en-dessous qu’un simple string, noir également. Si elle ne portait donc presque rien elle n’avait pas non plus de bijoux, à l’exception d’une large alliance. Son corps était ferme et musclé sans ostentation. Comme elle se dirigeait d’un pas alerte et vigoureux vers la maison, j’avais pensé qu’elle aurait fait un bon lutteur si elle avait été un garçon. C’était et c’est toujours dans ma nature, lors d’une rencontre avec une autre personne de chercher à découvrir chez elle les qualités qui pourraient faire d’elle un bon lutteur, ou au contraire les défauts qui font alors qu’elle n’offre pour moi aucun intérêt. A cette époque vivant 80% de ma vie dans un internat de garçons sous tutelle religieuse, je n’avais encore porté aucun intérêt à l’égard de la gent féminine. Il est vrai que je ne croisais pas beaucoup de filles et de femmes. Mes parents sont des gens du spectacle. En qualité de danseurs professionnels ils participent au niveau mondial à tous les concours qui ont trait à la danse sportive. Ils ne sont pratiquement jamais au foyer familial. C’est pourquoi je suis en internat et que je passe presque toutes mes vacances chez ma grand’mère. Et quelques jours avec mes parents. Je me suis créé mon monde imaginaire guidé par mes fantasmes qui tournent autour de la lutte. Je passe mes insomnies à engager, en pensées et entre eux, certains de mes camarades de pension, surtout ceux qui ont des corps qui correspondent à mes critères de force, d’agressivité et aussi d’esthétique. Dans mes fantasmes ces combats sont toujours excitants. Les adversaires sont violents,ils pratiquent des prises et portent des coups que les règles en vigueur et de décence interdisent. Depuis que la puberté a commencé à me travailler je les fais être de plus en plus sensuels et mes éjaculations deviennent à la fois de plus en plus nombreuses et de plus en plus puissantes. Au cours de mes vacances d’été sur la plage j’admirais les jeunes gens en maillot de bains. Et dans ma chambre à la mauvaise saison j’étudiais les revues que je dénichais dans les kiosques. Mes goûts allaient bientôt changer alors que mes fantasmes allaient se perpétuer et s’amplifier. J’en reviens donc à l’arrivée de cette visiteuse à qui pour la première fois je donnais le qualificatif de belle!!! Lorsqu’elle était entrée dans la maison et disparue de ma vue, j’étais revenu à la lecture de mes revues. Très vite les voix élevées d’une discussion virulente avaient attiré mon attention. Les tons des deux femmes et la rapidité des échanges relevaient de la discorde. Ma curiosité avait été mise en éveil. J’étais soti de ma chambre et m’étais approché de la balustrade, mais toutefois de manière à ne pas me faire voir. C’était un fait les deux femmes étaient en train de s’insulter. Un coup d’oeil rapide m’avait permis de voir qu’elles étaient presqu’au milieu de la pièce et que celle-ci avait été dégagée de ses meubles qui étaient repoussés au pourtour de la salle. J’avais eu vite fait de repérer la haute plinthe de lambris qui faisait le soubassement de la rambarde. De larges interstices entre les lames devaient permettre à un observateur allongé de voir au moins une partie du grand séjour. Tout de suite allongé, d’abord à plat ventre puis ensuite sur le côté, j’avais trouvé le poste d’observation idéal et confidentiel à condition que personne ne vienne à monter à l’étage! Tout en m’installant j’avais entendu les insultes qu’elles lancaient. Je ne comprenais pas le sens de leur confrontation, mais des qualificatifs s’étaient imprimés à jamais dans ma mémoire. Elles se traitaient de putains, de vicieuses, de salopes, de gouines, de dégueulasses, de perverses, de sadiques, de putes obscènes, de cochonnes lubriques, de connasses, d’ordures de bordels etc...etc... Rien que des mots qui heurtaient ma libido et s’enfouissaient dans la librairie de mes fantasmes. Alors que pour moi ma ‘Granma’ qui s’appelle Virginie était l’image de la pure ‘virginité’!! Dans mon esprit de gamin, son prénom ne pouvait être que le qualificatif qui lui convenait depuis son baptême!!! Pourtant maintenant je la voyais debout face à sa visiteuse, habillée elle aussi dans une courte robe ajourée au crochet mais de couleur blanche. Par contre en dessous elle portait un ample soutien-gorge pour contenir son opulente poitrine, un large porte-jarretelles et une culotte, tous ces articles de couleur blanche. Toutefois ses bas très fins de couleur d’un bleu ciel très pâle, étaient tenus par les jarretelles au milieu de ses cuisses. La robe était si courte qu’elle laissait entrevoir une bande de chair nacrée au-dessus du renfort du bas. Je n’en avais pas cru mes yeux!!! Ma Granma était aussi érotique et élégante que sa jeune visiteuse. Je ne m’étais alors jamais arrêté à examiner le corps de ma Granma! D’ailleurs j’avais croisé des femmes mais à la vérité je ne les avait jamais vraiment regardées. Je m’étais souvenu de la sentance:"ils ont des yeux mais ils ne voient pas!" C’était alors mon cas. Pourtant je m’étais souvent baigné à la plage en compagnie de ma grand’mère. Elle portait toujours un maillot une pièce, noir ou blanc, très décolleté dans le dos et très échancré au-dessus des cuisses. Elle était une fantastique nageuse, faisant de longues distances sans jamais paraître fatiguée. Elle sortait de l’eau avec les muscles des cuisses et des épaules rebondis. Sa peau était toujours légèrement bronzée, autant que peut l’être une vraie blonde habituée au soleil aussi bien qu’au vent et au froid. Je l’avais vue sans remarquer qu’elle était une très belle athlète. Au moment où je l’avais découverte dans cette tenue pour moi surprenante elle était devenue une tout autre femme. J’avais tenté de ramener mon attention sur leurs propos. Avec encore plus de surprise je m’étais rendu compte qu’elles se défiaient!!! La visiteuse mettait Granma au défit de se dévêtir et de l’affronter. Elle voulait se battre en slip. Granma avait obtenu de garder son soutien-gorge. Puis elles s’étaient accordées sur des règles. Pas de coups, ni de griffures, ni de morsures au-dessus des épaules. Granma avait fait valoir que des gifles du plat de la main ne gardaient pas de traces après 24heures. Alors elles avaient accepté les gifles. Les coups de poings et de pieds étaient permis sur le reste du corps. Toutes les prises étaient permises sauf les étranglements. Les seins et le sexe n’avaient pas de régime particulier. Elles se battraient jusqu’à ce que l’une d’elle abandonne. Elles n’avaient pas énuméré la moitié de leurs consignes que mon pénis avait déjà occupé toute la place disponible dans mon short!!! Je n’en revenais pas!...moi qui rêvais de luttes et de combats j’allais voir sous mes yeux un vrai combat et qui plus est, une lutte entre deux femmes!!! Une chose à laquelle je n’avais jamais pensé!!!...et le plus formidable de tout c’était que j’allais vivre un combat engagé entre ma grand’mère, Granma et une belle inconnue. Toujours accroché au bord de la table, mon esprit noyé avec plaisir dans mes souvenirs, plus vivaces que jamais, je bandes maintenant comme un cerf Au fait, comment s’appelait-elle cette belle visiteuse?? Une rapide recherche dans le grand album de Granma me dit qu’elle se nommait Ambre ! Elle avait 34ans, les notes de Granma précisaient "21ans de moins que moi" Donc Granma avait à l’époque 55ans!!! Un renseignement qui fait soudain pulser ma bite contre le tissu du short!! Il me faut me calmer ou je vais jouir au prochain souvenir!!! Comment faisait-elle donc cette femme âgée?? Car pour moi 55ans c’était un peu la vieillesse! Pour conserver la forme physique, la puissance et la pugnacité qu’elle avait démontrés au cours de ce combat!!! Je vais à la cuisine et je prends un verre d’eau. Je me suis regardé dans une glace au passage, mes pommettes sont rouges et mes yeux sont brillants. Je ne sais pas jusqu’où je vais aller dans mes découvertes, mais puisque Granma me fait ce cadeau, je dois aller chercher au fond des choses. Alors je retourne dans le boudoir. Je prends l’album et l’emporte dans ma chambre. Je pose sur mon lit une grande serviette de bain et je m’installe allongé à côté du livre des merveilles. Qu’il advienne tout ce qui voudra maintenant que je suis nu !!! Je regarde la page des événements d’il y a quatre ans. J’admire les photos d’Ambre et de Granma. Il y en a deux de chacune. Une première où elles sont dans les vêtements qu’elles portaient à l’arrivée d’Ambre. Une seconde les montre chacune à-demi dévêtue mais en exposant leur vulve et leur pubis. Toutes des photos souvenirs sans doute prises quelques jours plus tard! Je m’attarde dans la contemplation de ces images. Ne songeant même pas qu’il y a quelques heures je ne me serais jamais arrêté à celà. Plus je les détaille, plus insidieusement le déroulement de leur affrontement vient encombrer mon esprit, alors que je voudrais parcourir toutes les pages de l’album!!! Machinalement je me tourne sur le dos et derrière mes paupières fermées je revis le spectacle de leur lutte. Tout d’abord elles s’étaient dévêtues. La visiteuse avait débridé ses chaussures et une fois pieds nus avait baissé ses bretelles pour faire descendre sa mini robe en agitant ses hanches pour faciliter leur passage. L’effeuillage de Granma avait demandé beaucoup plus de temps. Elle avait donné l’impression de vouloir faire dûrer le plaisir. Elle avait commencé par se débarasser de sa courter obe blanche en dentelle très ajourée. Puis en posant un genou sur un canapé elle avait " débranché " ses jarretelles. Elle s’était assise pour enlever ses chaussures nu-pieds à talons aiguilles et avait roulé méthodiquement ses bas bleus pâles le long de ses jambes avant de les enlever. Enfin une fois debout elle avait ôté le large porte-jarretelles blanc. Pendant ce temps, la visiteuse faisait des mouvements d’échauffement. Elle sautillait sur place avant de s’accroupir sur ses talons et bras tendus à l’horizontal se relever en souplesse par la puissance des muscles de ses cuisses et mollets qui se gonflaient en tavaillant. Sans préparation de la part de Granma les lutteuses s’étaient rejointes au milieu de la pièce et comme si celà allait de soi s’étaient communément saisies en une ceinture avant, chacune ayant son bras droit passé sur le bras gauche de l’autre. Elles avaient bloqué leur prise et la serraient par plus ou moins longues pressions. Les seins nus et hauts perchés de la visiteuse étaient écrasés sur l’emballage de tissu qui contenait les deux grosses mamelles de Granma. Chacune cherchait à maitriser l’autre. Elles trébuchaient plus ou moins et se déplaçaient par des mouvements de déstabilisation involontaires. J’avais une vue parfaite des muscles des bras et des épaules qui étaient autant sollicités autant chez l’une que chez l’autre. Elles poussaient du ventre contre celui de l’adversaire et les cuisses et les fesses semblaient animées d’une propre vie nerveuse. Et puis il est arrivé que Granma avait pris le dessus. Je voyais la visiteuse de dos et ma grand’mère de face. Ambre était bousculée et avait reculé jusqu’à ce qu’elle soit bloquée par la table qui avait été repoussé juste devant moi. Son string noir était enfoncé entre les deux masses crispées de ses fesses. Je n’avais jamais vu de fesses nues!!! Les yeux devaient me sortir de la tête. Et puis surtout face à moi j’avais le visage de Granma qui exprimait une satisfaction que j’avais pensé être sadique ou lubrique!!! Je n’avais pas la bonne maitrise des qualificatifs. Tout çà a déclanché mon exaspération sexuelle et j’avais déjà lancé le premier jet de mon éjaculation lorsque j’avais entendu Granma dire à mi-voix: "Ah ah!! Petite trainée tu vois ce que c’est une vraie lutteuse!!" Et la réponse m’avait autant choquée qu’excité encore plus: "Peuoeuf! Vielle garce tu vas voir à ton tour!! Grosse dégueulasse!" J’avais du foutre plein mon short mais je m’en foutais!! Je voulais voir et ne rien perdre de ce qui allait arriver. La visiteuse le cul en appui sur le rebord de la table bandait ses fesses et son ventre pour repousser l’adversaire. Je l’avais vue alors se baisser en avant en détendant un peu dans son dos la prise bloquée des bras de Granma. Et dans un cri d’effort elle s’était redressée et Granma était soudain devenue plus grande devant elle. En réalité la visiteuse avait baissé sa prise sur l’autre corps et maintenant elle soulevait Granma!!! Elle était forte cette jeune femme! En titubant un peu elle s’avançait maintenant en faisant une sorte d’arc de cercle en supportant ma grand’mère dans sa prise. J’étais fasciné!! Mais Granma réagissait comme elle pouvait en agitant ses pieds qui ne touchaient plus le sol et en essayant de plier la visiteuse. Elles s’étaient retrouvées ainsi devant le canapé qui avait été déplacé le long de la volée de l’escalier. La visiteuse avait trébuché et les deux femmes enlacées étaient tombées de biais sur le canapé. Granma avait ses reins sur le bord du meuble et la visiteuse était comme à genoux devant elle. Elle n’avaient pas lâché leurs double ceinture et la visiteuse avait tenté d’écraser Granma sous son torse. Mais Granma avait alors envoyé sa main droite dans l’arrière de sa chevelure et avait tiré sa tête en arrière. En plus Granma poussait son bassin en l’air et soulevait presque son adversaire. Elles s’étaient agitées en luttant ainsi, chacune avec sa cuisse droite entre les cuisses de l’autre. Finalement elles s’étaient retrouvées sur le tapis, allongées côte à côte. Les ceintures avant n’existaient plus et leurs mains luttaient pour accrocher mains ou bras de l’adversaire. Une fois encore, Granma avait gagné elle était dessus la visiteuse. Fface à face et elles avaient pris en ciseau la cuisse droite de l’adversaire. Chacune avait saisi le poignet gauche de l’autre. Elles avaient passé un moment ainsi à se regarder et à mi-voix à s’insulter à nouveau. Toutes celles qui commençaient par petite ou jeune venaient de ma grand’mère! Et celles débutant par vielle ou sale émanaient de son adversaire. Pendant ce moment de pause, je m’étais débarassé de mon maillot de corps et je l’avais glissé dans mon short gluant. J’avais eu ainsi le sentiment de me nettoyer un peu!!! En dessous une activité semi-statique était engagée dont je n’avais pas pû déterminer la raison et l’objectif. Chacune des lutteuses agitait sa cuisse droite. Elle semblait plus ou moins frapper ou gratter entre les cuisses de l’autre avec sa propre cuisse. En même temps elles poussaient des sortes de grognements ou de forte respiration. Je n’avais rien compris. Puis la visiteuse avait profité de cette drôle d’attaque pour basculer Granma à son tour sur le côté puis sur le dos. Elle avait redressé son buste et envoyé une bruyante gifle au visage de Granma qui avait réagit en giflant à son tour de bas en haut et sans doute moins efficacement. Mais l’assaut avait été brisé et les deux femmes étaient revenues en position debout et s’étaient éloignées de l’autre. J’avais vu la visiteuse de face et remarqué ses seins aux bouts devenus longs et durs. Son string était un peu glissé dans son sexe et en haut des poils chatains épars et mêlés dépassaient. Granma vue de côté avait sa culotte blanche bizarrement roulée sur un côté et il m’avait semblé que son sein gauche était presque sorti de son logement!! J’avais vu la grande aréole et un grand bout rose dépasser. Tout en reprenant son souffle Granma avait glissé: "Tu es une vraie petite branleuse, mais t’es pas mauvaise!!" "Tu es bonne aussi... pour une vieille pute défoncée!!" Elles avaient repris leur combat. Cette fois chacune avait saisi d’une main une grosse poignée de cheveux et de l’autre elle giflait à coups redoublés. Les coups et les torsions de cheveux leur avait fait perdre leur équilibre et elles s’étaient vite retrouvées à genoux mais sans rien abandonner de leurs prises et de leurs coups. Ces gifles atteignaient le visage mais aussi les seins et se tranformaient en coups de poings pour atteindre l’estomac ou le bas des côtes ou encore un organe sensible de l’abdomen. Elles ne se lâchaient pas. Par moment elles semblaient s’accorder une pause. Elles soufflaient comme des phoques et au hasard, comme par accord tacite elles changeaient de mains pour tenir et pour frapper. Pour tout le reste du combat elles ne se sont pas remises debout. Leur position de base semblait être à genoux. A un moment la visiteuse à mis un pied à plat au sol. Mais ce n’était pas pour se relever. Celà lui a donné un point d’appui pour faire basculer Granma sur son côté. Alors Ambre a essayé de la chevaucher tout en maintenant sa prise de cheveux et en appuyant sur Granma avec son autre main. Je n’avais pas remarqué tout de suite mais au bout d’un moment je me suis rendu compte qu’elle avait empoigné un sein de ma grand’mère!! A l’élancement que cette vision a amené dans ma bite je me suis rendu compte que je bandais à nouveau au milieu de mon maillot!!...C’était bon!...Et j’ai donné de la place à mon pénis pour lentement le branler au travers du tissu. J’avais encore envie de jouir! En-dessous sur le sol les deux adversaires se tenaient maintenant par les seins. Leurs jambes étaient à nouveau enmêlées. Et leurs mains s’acharnaient sur les globes de l’autre. Les seins de Granma avaient quité leur abri et les doigts de la visiteuse semblaient d’une puissante cruauté. Ma grand’mère lui rendait son attaque et grognait les efforts de ses doigts et de ses mains comme elle donnait l’impression de vouloir faire des vis de pressoir avec les jolis tétons de son adversaire. Et le combat a duré ainsi longtemps. Echangeant les périodes de prises des seins avec celles des gifles et de nouvelles attaques. C’était ainsi qu’elles s’étaient installées pour échanger des coups de genoux alors qu’elles étaient allongées sur leurs côtés. Il m’avait fallu du temps pour remarquer que ces coups étaient portés à destination de l’entre jambes de l’autre. Comme un con j’avais pensé alors ’’heureusement qu’elles n’ont pas de couilles!’’ C’était ma seule connaissance du sexe féminin!!!... Tout au long du combat qui était devenu de plus en plus agressif et violent elles avaient ajouté de nouvelles méchancetés. Elles pinçaient, elles griffaient et même elles mordaient quand elles le pouvaient. C’est ainsi qu’à un moment elles s’étaient retrouvées en position quasi tête bêche. La visiteuse était sur le dos et Granma était allongée avec sa poitrine sur sa tête. Elle lui pinçait et lui meurtrissait les seins. A un certain moment Granma a hurlé de douleur en essayant d’écarter son buste de dessus sa rivale. Mais l’autre avait enfoncé ses dents serrées dans un de ses seins et par la force de sa morsure elle empêchait Granma de se reculer. C’était devenu violent, plus même, sauvage ou bestial. C’est çà, bestial!! Elles semblaient être devenues deux fauves dans la savane qui se battaient sauvagement comme si leur vie en avait dépendu!! L’intensité de cette lutte était telle qu’une fois encore elle avait fait éclater ma propre violence sexuelle en jets brulants dans mes vêtements!!! C’était d’une beauté sauvage. Deux meveilleuses femmes, si avenantes et si sympathiques en train de s’affronter d’une telle manière dépassait mon entendement et pourtant je voulais que çà dure toujours!!!... Les périodes de repos étaient devenues de plus en plus fréquentes. C’était un signe évident de fatigue et je n’en était pas revenu de l’endurance montrée par ma grand’mère. Elles s’arrêtaient en position assise sur leurs talons mais en se tenant par des prises de la chevelure. Elles respiraient très fort. Et celà durait jusqu’à ce que l’une ou l’autre rouvre les hostilités. Le plus souvent par des reprises de gifles soit au visage soit à la poitrine. Depuis longtemps le soutien-gorge de Granma ne lui était plus d’aucune utilité, ses seins étaient passés par dessus et ses larges aréoles rose brun formaient des sortes de cônes dominés par les longs et épais mamelons au rose plus tendre. La visiteuse avait de plus petites aréoles mais ses mamelons rivalisaient de taille et de raideur avec ceux de Granma. Lorsque l’une ou l’autre avait réussi un ciseau sur son adversaire il m’avait été possible de juger de la puissance musculaire de leurs cuisses. Et si les cuisses de Granma me paraissaient plus volumineuses, celles de la visiteuse étaient beaucoup plus nerveuses et musclées!!! C’était fantastique!!!...j’avais rêvé et imaginé depuis longtemps de tels affrontements entre des garçons ou des hommes sans jamais vraiment croire à leur réalisation!! Alors que j’avais sous mes yeux en une seule fois plus que je n’avais fantasmé!!!...et en plus avec des femmes comme protagonistes!!! Lorsque à un certain moment elles se sont trouvées assises face à face, avec leur pied droit entre les jambes de l’autre et alors qu’elles avaient enlacé leurs doigts pour se tenir, elles se sont mises à se lancer des coups de talon dans le sexe. Pliant le pied pour le lancer le plus fort possible!!! J’avais cru à cet instant que j’allais mourir d’excitation tellement j’avais cru ressentir l’écrasement de ma propre verge sous l’impact des coups de pieds!!..Une sensation fantastique de mon imaginaire qui une fois encore m’avait amené à un fulgurant orgasme. J’avais dû perdre un peu de réalité de l’action des deux lutteuses après cette extase car ma vue s’était embrouillée sur des images intérieures qui m’avaient fait remplacer les deux lutteuses par mes voisins de dortoir!!.. Je les avait retrouvées à genoux se tenant de la main gauche par les cheveux et avec la droite engagée dans une action à laquelle je ne m’étais pas attendu et que j’avais inconsciemment espérée. D’abord j’avais observé que le string de la visiteuse était sur le sol non loin d’elle. Ensuite j’avais vu que Granma avait empoigné sa vulve à pleine main avec sa main droite. De son côté la visiteuse avait plongé sa main droite dans la culotte de Granma et elle aussi avait dû se saisir de son sexe. Presqu’à voix basse elles se répétaient les grossièretées déjà entendues et en même temps elles semblaient ou grogner ou ronronner!! Ensemble elles avaient écarté leurs genoux. Les mains droites s’étaient agitées et les bassins avaient commencé à onduler ou à se jeter en avant. J’avais vu la main de Granma pivoter et doigts fouiller avant de s’enfoncer dans la fente mystérieuse. La visiteuse devait en faire tout autant mais le tissu de la culotte ne m’avait pas permis de le constater. Leurs mains gauches avaient alors abandonné la chevelure et leurs bustes s’étaient rapprochés. Elles s’étaient retrouvées seins contre seins presque écrasés, et leur tête était partie en appui sur l’épaule de l’autre. Leurs soupirs étaient devenus des sortes de gémissements ou des plaintes grognées et non exprimées. Leurs yeux étaient fermés serrés. Et leurs visages exprimaient une sorte d’appréciation fièvreuse. Celà a duré un long temps avant qu’elles soient secouées ensemble d’une sorte de vibration ondulante et qu’elles s’écroulent les fesses sur leurs talons. J’ai entendu distinctement Granma dire à sa visiteuse: "Il vaut mieux que nous allions finir celà dans ma chambre nous serons plus à l’aise maintenant! Tu es une très bonne lutteuse j’ai beaucoup aimé ce combat avec toi!!" "Moi-aussi!! C’est sensationnel une bonne bagarre comme çà!!" Lorsqu’elles s’étaient levées trempées de sueur, j’avais pû voir sur leurs corps toutes les marques de la lutte. Les bleus qui commençaient à se former, l’empreinte des doigts sur leurs joues, leurs culs archi-rougies de fessées, et les griffures un peu partout. Elles s’étaient un peu essuyées avec leurs mains. Puis elles s’étaient enlacées à nouveau. J’avais cru qu’elles allaient repartir en ceintures avant. Mais non...loin de là!!!... Elles avaient rejoint leurs bouches et à lèvres ouvertes elles s’étaient embrassées!!! Alors presque en titubant elles avaient quitté la grande pièce et s’étaient dirigées vers la porte qui donne accès aux pièces personnelles de Granma. J’étais resté pétrifié d’émotion allongé sur le palier derrière mon lambris. Mes yeux et mon esprit gardaient les clichés du combat. Enfin en prenant conscience de l’englument de mon bas ventre j’avais fini par me lever et me diriger vers ma chambre. Après m’être dévêtu j’allais me glisser sous la douche et ouvrir les robinets lorsque j’avais réalisé que j’étais sensé être absent et que l’écoulement de l’eau et de la douche allaient faire du bruit et mettre Granma en alerte!!! Alors j’avais ouvert le robinet du lavabo au goutte à goutte pour en remplir doucement et silencieusement le bac. Une fois lavé et habillé j’avais descendu subrepticement l’escalier et m’étais éloigné dans la nature pour marcher et me détendre. - o-o-o-o-o-o-o-o- Cette remémorisation des événements d’il-y-a quatre ans n’a sans doute pris que quelques minutes en tout cas énormément moins qu’il n’en faut pour l’écrire, même si c’est en résumé!!! Revenant au présent je vois que je suis en train de me branler, mais les années qui se sont écoulées m’ont permis d’apprendre à mieux me controller même si ce n’est pas parfait. Pourtant le souvenir des derniers instants, les caresses et les autres choses sur les sexes.... Et puis le baiser...Il me vient maintenant à l’esprit qu’elles se faisaient l’amour!!!...Alors une sorte de frénésie me submerge. Amours toutes féminines... Granma en train de jouir...Granma faisant jouir sa visiteuse et jouissant des prévenances de celle-ci!!!...Comment se fait-il qu’il ma fallu tant d’années pour comprendre...deviner et prendre conscience de la réalité!!!... Devant mes yeux les images érotiques des deux femmes sont floues mais mon esprit se souvient de leur beauté, leur force, leur musculature luisante sous la sueur qui couvre les corps!!! Et aussi l’expression de leurs visages, la béatitude, le bonheur et surtout la sensualité!!! Que d’années perdues, sequestré en dehors du monde, en dehors de la vie!!! Femmes...des femmes...il me vient soudain le besoin d’une femme! Je ne sais ce que je ferais!! Des caresses, des baisers et des attouchements!!... En atendant je touche ce que j’ai!!! C’est mon corps...C’est mon sexe qui sont mon exutoire!! Comme un fou je me lance dans une masturbation comme je n’en ai encore jamais vécue!!!...Je veux me vider pour une femme..Dans une femme je ne saurais pas!!!... Et en crachant plein de foutre sur la serviette inconsciemment je prends la décision d’apprendre...apprendre la femme!!.. Vidé, repus et apaisé je reprends le grand album et je commence à le feuilleter en remontant en arrière page par page. La page immédiatement précédente me fait découvrir deux autres femmes et Granma n’en fait pas partie. Ce sont deux femmes inconnues. Le texte de commentaires les présentent comme Hanelaure une rousse de 44ans et Jessica une blonde de 32ans. Jessica a gagné le combat après une longue et âpre lutte au cours de laquelle Hanelaure avec méchanceté avait dominé une grande partie de la rencontre. Elle s’était notamment acharnée à coups de pieds sur la poitrine de son adversaire. Mais Jessica avait bien résisté à la douleur et était parvenue à renverser les rôles et avait forcé la rousse à abandonner quand elle lui avait brutalisé la vulve alors qu’elle lui tenait les deux jambes écartées en l’air. L’autre page encore me surprend. Cette fois j’y retrouve Granma mais cette fois face à celle qu’elle appelle tout simplement mon ennemie !! C’est écrit en caractères gras et souligné. Cette femme là je l’ai déjà vue, et peut-être plusieurs fois. Je regarde la date et je me rends compte que cette rencontre s’était déroulée exactement neuf jours avant le fameux combat avec Ambre qui s’était passé sous mes Yeux!! Je fais un effort de mémoire et je cherche à me souvenir. Qu’est-ce que j’avais à cette époque?? Je passais beaucoup de temps chez Baptiste mon collègue d’internat...alors..?? J’allais chez lui en vélo...je rentrais entre 19 et 20 heures...parfois je croisais dans l’allèe des personnes qui quittaient la maison...mais je n’y faisais guère attention...Et soudain j’ai une illumination!!!... Dans les jours qui avaient précédé la venue de la visiteuse, enfin de Ambre, Granma avait eu un oeil au beurre noir !!!...Et la grande Dame en robe rouge qui montait dans sa voiture comme j’arrivais...elle avait elle aussi des égratignures sur le visage !!!...C’était çà !!! J’avais trouvé !!! Granma m’avait dit qu’elle avait voulu montrer à la dame qui partait comment greffer des arbrisseaux et qu’elle s’était enfoncé l’oeil sur une courte basse branche qu’elle n’avait pas vue !! La Dame en rouge s’était griffée en prenant sa grande tignasse de cheveux dans les rosiers derrière la maison !! Excuses valables et parfaitement camouflées !!! J’examine la photo de " l’ennemie . C’est bien la personne de mes souvenirs. D’ailleurs elle porte la même robe rouge rouge qui est plus courte devant que derrière. Elle dévoile devant ses cuisses jusqu’à leur moitié. Je ne me souvenais pas que le bustier devant était aussi en dentelle ajourée et que comme elle ne porte pas de soutien-gorge on voit ses gros seins tombants. Ses cuisses et ses mollets sont puissants et elle est chaussée dans des escarpins de cuir rouge. Comme Granma sa coupe de cheveux comporte une frange sur le front. Ils sont d’un blond foncé et lui descendent jusqu’au milieu du dos en mèches vagues et libres. Elle a certainement le même âge que Granma et son visage n’est pas desagréable encore que sa grande bouche affiche une sorte de sourire ironique. Sans doute de même taille et de même puissance que Granma elle doit être pour elle une redoutable adversaire. La lecture des commentaires de Granma m’apprend que si elles se disent "ennemies", il n’y a pas de motif particulier autre que de l’antipathie de l’une et de l’autre à l’égard de chacune. Dans ses remarques Granma s’étonne aussi de ce qu’elles vont toujours plus loin d’une fois sur l’autre au cours de leurs combats. Elle ne sait où cette escalade de violence pourra les conduire et elle espère que les blessures comme celles qu’elles se sont infligées ce jour là ne s’aggraveront pas dans l’avenir. Donc l’histoire de la branche et des épines de rosiers étaient bien des "histoires" en elles-même. Elle écrit aussi qu’elles ont dû passer beaucoup de temps à soigner et camoufler leurs blessures et que celà a créé du retard dans la remise en ordre de la grande salle pour faire disparaître toutes traces. Ce qui a amené Hermine, l’ennemie à lui offrir son aide dans le ménage à accomplir!!! Donc une ennemie serviable et compréhensive malgré tout!!! Tout celà m’excite encore. Je découvre du mystère, de la violence bien sûr mais ausi quelque chose de chevaleresque!!! Je me mets à tourner les pages avec frénésie. Je découvre nombre de visages inconnus, de beaux corps et des femmes sportivement en forme pour la plupart, avec beaucoup de sensualité. Il y a ausi des visages aperçus sur lesquels je ne m’étais jamais arrêté mais maintenant ma curiosité me pousse à savoir qui sont ces femmes. Il y en a aussi que je connais parce qu’elles font partie de l’entourage de Granma. C’est ainsi que je découvre avc stupéfaction que les deux employées de maison sont aussi des lutteuses qui affrontent Granma mais aussi ses amies!!! Donc Giuzi la forte femme d’ascendance Italienne et Eléna qui est d’origine Tchèque sont des adversaires de Granma et de bien d’autres!!! Ces deux femmes que j’ai cotoyées depuis si longtemps sans trop les regarder seront de mes fantasmes maintenant!! Que de beaux "devoirs de vacances" en perspective!!! Je m’attarde sur les photos des deux femmes et c’est Eléna qui fait le plus réagir ma bitte qui a retrouvé toute sa vigueur! J’arrive encore sur une page avec Granma et une autre femme au prénom de Régina et qu’elle affuble de la qualité de " notre rivale ". Mais elle ne donne aucune explication pour "notre". C’est une femme très brune d’environ 35ans à la peau très bronzée. Sans doute de type Méditerranéen. Elle est très puissante, et sa photo érotique dévoile son long sillon vulvaire enfoui au milieu d’un dense buisson de poils noirs. J’en suis tellement troublé que je me laisse à nouveau aller à une effusion séminale qui me raidit avant de me détendre. Soudain je pense que Granma risque de bientôt être de retour. Je m’en vais prendre une douche, roule la serviette que je fourre dans le panier à linge et j’enfile un de mes boxers-shorts et un maillot de corps. Je redescend avec l’album dans le boudoir de Granma et je me mets à compulser quelques uns des autres documents. Il y a peu de temps que j’ai commencé à fouiller au hasard les documents de Granma lorsque j’entends le moteur de sa voiture. Sans prendre la peine de classer l’album que je consulte je vais tout de suite au devant d’elle. Ce n’est pas elle qui conduit, c’est une jeune femme brune qui sort de derrière le volant et qui va ouvrir la portière de droite à ma grand’mère. Elle l’aide à s’extraire du véhicule et la soutient en l’accompagnant vers la maison. Granma a la figure tuméfiée et marche difficilement. Mais elle cherche à me rassurer: "Ce n’est pas grave tu sais une bonne et grande nuit de repos et demain je serai en pleine forme!!.. Ou tout du moins en meilleure forme. Adeline va m’aider à me coucher et va te tenir compagnie. Surtout ne me dérangez pas!!" Je voulais tout lui dire de ma découverte de ses secrets. De mon émotion et du plaisir que j’en ressens. Mais la tournure des événements ne m’y engage pas. Je lui dirai demain. Peu de temps après, la dénommée Adeline est de retour: "Elle s’est battue avec plus forte qu’elle aujourd’hui! Une grande garce des Pays de l’Est sacrément méchante et vicieuse. Mais elle va se remettre de celà très vite. Elle est très forte et en grande forme. Bon! Puisque nous sommes seuls, nous allons en profiter tous les deux!! Tu veux bien?.." "Bien sûr! Mais je ne sais pas...." "Fais moi confiance, je suis une grande fille! Je prends mon sac et tu vas me montrer une chambre. Je vais me changer et on va s’organiser une belle petite soirée tous les deux!!" Je suis tout chamboulé, énervé comme un jeune chiot mais aussi angoissé par mon ignorance des choses de la vie!!! C’est l’occasion ou jamais d’avoir une femme pour moi tout seul et de pouvoir m’initier à la pratique féminine. Je le veux intensément et je suis paralysé de peur!!! Elle descend l’escalier dans une tenue " à réveiller un mort!!!" Elle a revêtu un body qui couvre tout son corps, à l’exception du tout haut du buste puisque deux filets lui servent de bretelles, mais qui le dénude de la façon la plus érotique qui soit!!! Comme j’ai déjà vu sur de nombreuses photos dans les albums de Granma, le vêtement est fait dans une dentelle à très grands motifs qui collent à ses formes pour les souligner!!! Je dois être rouge de confusion et d’émotion!! Et puis mon pénis lui aussi ne peut pas résister à montrer le plaisir qu’il éprouve devant une telle merveille!!! Serré dans mon boxer-short, ma bite en érection doit être mieux dessinée que si j’étais complètement nu!! "Je vois que tu aimes!...Allez, viens approche!!!" Elle est debout, appuyée d’une hanche contre une commode. Sa chevelure brune à reflet auburn lui descend en une longue vague sage jusqu’au milieu du dos. Son pied droit passe devant le gauche. Son visage est d’un bel ovale aux pommettes et menton soulignés. Elle me regarde de ses yeux noisettes d’une manière franche et nette. Sans aucune provocation ni amusement. Avant de bouger et de m’approcher je me demande si elle sait que je suis puceau!!.. Granma avait-elle manigancé cette rencontre ?? J’ose m’avancer et j’arrive à portée de mains. Son léger parfum me trouble. Il est ténu mais omniprésent. De très légères et courtes rides au coin de l’oeil me suggèrent qu’elle doit avoir entre 25 et 30ans. Je lui tends les mains paumes ouvertes, emprunté, n’osant même pas trop la regarder. Je crois avoir les mains moites d’appréhension!! "Tu n’as pas peur de moi quand même ??" "J’ose pas!....C’est la première f..." "Ah bon! Alors c’est moi qui va prendre l’initiative!" Elle franchit le pas qui nous sépare et m’enlace à hauteur des épaules. Elle approche son visage du mien et du bout de son nez elle le parcourt. Je sens sa respiration, son parfum avec plus de précision et quelques cheveux viennent me chatouiller les narines. Soudain ses lèvres s’arrêtent au niveau des miennes. Elle m’embrasse en palpant mes lèvres avec les siennes. Je sens qu’elle les a un peu entrouvertes et qu’elle commence à me les sucer. Je devine de répondre de pareille façon et je goutte sa bouche quand du bout de sa langue elle me les ouvre davantage. J’avance la mienne et elle fait titiller nos pointes de langue!!!... C’est une brûlure que je ressens au bout de ma bite et qui me fait sursauter d’une façon incontrolable. Elle écarte son visage alors qu’elle incruste son corps contre le mien. Est-ce pour mieux me sentir ou au contraire me faire sentir le sien. Elle a certainement compris ma réaction car elle me dit alors: "Qu’en penses-tu, si nous faisions une petite dinette et ensuite nous ferons un peu de lutte toi et moi ??" "Je suis tout à fait d’accord!!.. Tu crois que je peux me battre avec toi? un garçon et une fille??" "Pour moi ce ne sera pas la première fois!! C’est sympa tu vas voir!!" -o-o-o-o-o-o-o- Tu ne crois tout de même pas que je vais te narrer mon dépucelage! Je peux toutefois te dire qu’Adeline est une merveilleuse amante, autant en tant qu’amoureuse qu’initiatrice. Nous avons commencé par lutter. C’est-à-dire que j’ai tenté de me délivrer de ses prises infernales de lutteuse confirmée. Mais le contact de nos corps enlacés dans l’effort m’a délivré de tenaces inhibitions. J’ai découvert la satisfaction du contact des peaux. Et les prises que nous avons engagées ont été un avant-goût de caresses à venir. Elle a des seins si fermement doux et si réceptifs! Elle a une peau tendre et tiède qui sent l’amour! Elle a une taille qui s’étrangle sous l’emprise des mains! Elle a des hanches qui s’évasent pour reposer les coudes pendant que les paumes parcourent les fesses rondes et fermes sur un cul joliment cambré!Elle a des cuisses puissantes et musclées comme ses mollets! Elle a sous un petit trapèze soyeux une adorable vulve dodue dont la longue fente charnelle s’ouvre sur un foisonnement de pétales coralines. Et tout en haut sous le volumineux capuchon le plus terrible serpent érectile qui sans doute aurait fait fauter notre Père Adam!!! Adeline possède un vagin doté d’une vie propre aux contractions fantastiques et insatiables. Elle est une vraie pieuvre qui semble posséder dix bras et jambes et trois ou quatre bouches. Une amoureuse tentaculaire!!! Alors ami tu puises dans l’érotisme de tes fantasmes et tu rêves!! Après deux jours d’intimité grâce à la discrétion de Granma elle m’a quitté en me dictant ses commandements: "Maintenant pour rester un de mes amants préférés il faut que : Tu apprennes à lutter convenablement Tu continues de te branler passionnément Et surtout tu gardes ton cul proprement!!! " Cette dernière règle voulant dire qu'il faut refuser et s'interdire : le viol, la pédophilie, la prostitution enfantine, le proxénétisme et les formes de déviations qui sont avilissantes pour les partenaires. Bonne et heureuse année 2002 !!!